Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique internationale - Page 11

  • Afrique du Sud : Le président se rallie au programme d’expropriation de masse des Blancs voulu par les extrémistes noirs .

     


     

     

     

     Les appels aux expropriations de masse par les racistes noirs de l’EFF – une scission de l’ANC communiste – ont franchi un nouveau cap en Afrique du Sud.  Après le précédent catastrophique du Zimbabwe, c’est donc l’Afrique du Sud qui pourrait mettre en œuvre un programme de nettoyage ethnique contre la population européenne.

    Les Boers réagissent

    L’organisation « Nation Boer-Afrikaaner » – qui affirme rassembler environ 40 000 membres de souche européenne – a indiqué qu’elle ne reconnaîtrait aucune loi permettant la « nationalisation » des terres sans compensation légales, même si elles émanent du parlement sud-africain.

    « La privation, la dépossession et l’occupation de notre pays en termes juridiques doivent être considérées comme des actes de guerre formels contre le peuple boer-afrikaaner, ce contre quoi nous devons nous défendre et riposter avec les moyens et méthodes internationalement reconnus afin de garantir notre propriété ou la récupération de celle-ci » a déclaré l’organisation boer.

    La démagogie raciste des communistes noirs de l’EFF

    Cette réaction est intervenue après l’appel au parlement sud-africain par les « Combattants pour la Liberté Economique » [une scission raciste noire de l’ANC communiste, NDLR] à l’expropriation des terres [détenues par les Boers, NDLR] sans compensation. La motion a été mise à l’ordre du jour par le chef de l’EFF, Julius Malema, qui a appelé les différents groupes ethniques « noirs » à s’unir afin de s’assurer que l’article 25 de la constitution soit modifié pour rendre constitutionnellement possible la nationalisation des terres sud-africaines sans compensation.

    En l’état actuel, l’article 25 de la constitution interdit l’expropriation des terres sans compensation.

    L’EFF menée par Julius Malema mêle rhétorique tiers-mondiste et « anti-colonialiste » à des diatribes ouvertement racistes contre la minorité européenne d’Afrique du Sud. Organisant des manifestations un peu partout (voir ici), Malema a pour habitude de dénoncer les « voyous hollandais » ou le « pouvoir blanc » dans un pays où ceux-ci représentent moins de 9% de la population totale et n’occupent aucun rôle politique significatif.
     
    Portant des chemises rouges, les « Economic Freedom Fighters » forment le groupe le plus bruyant et agité du parlement sud-africain.
     
    Dans ce contexte, la « Nation Boer-Afrikaner » a également déclaré que tout manque d’action contre les meurtres de fermiers [blancs, NDLR] serait vu « comme un acte d’hostilité contre la population blanche ».
     
    Le président sud-africain se rallie au programme de nettoyage ethnique
     
    Le président Jacob Zuma, leader de l’ANC impliqué dans d’innombrables affaires de corruption (voir ici), est sous la pression des extrémistes de l’EFF. Aussi a-t-il commencé vendredi dernier à répondre positivement aux discours incendiaires de Malema, lequel qualifiait récemment la direction de l’ANC « d’idiote ».
     
    Zuma a officiellement appelé le parlement sud-africain à réviser la constitution afin de rendre possible le vol des terres des fermiers européens par le gouvernement (source). Le président sud-africain a indiqué que les « partis noirs » devaient s’unir car une modification de la constitution nécessite « les deux tiers des votes » des parlementaires.
     
    Les terres occupées par les fermiers européens ont pour l’essentiel été mises en culture à une époque où aucun noir ne vivait dans les régions visées, surtout l’Orange Free State boer. Il faudra attendre 150 ans avant que les premiers migrants africains ne viennent dans ces zones.
     
    Près de 70 000 Blancs ont été assassinés en Afrique du Sud ces dernières décennies (voir ici) et Malema entend bien répliquer le programme de son mentor communiste zimbabwéen, Robert Mugabe. Ce dernier avait fait exproprier les 10 000 fermiers blancs que comptait le pays, aboutissant à la faillite de ce pays ainsi passé, en peu de temps, de grenier à blé de l’Afrique à un pays ravagé par la famine.
  • Islamophilie totale du parlement européen .

    Le Parlement européen vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen afin qu’on puisse la poursuivre pour avoir retransmis quelques photos des abominations tortionnaires pratiquées par l’Etat islamique, qu’il ne faut d’ailleurs évoquer que par son acronyme arabe, « Daesh », histoire de ne jamais confondre le fait islamique et la barbarie…
     
    Une fois de plus, selon sa grande tradition, le Parlement européen s’est ainsi vautré dans son indigne tartufferie de l’islamo-politiquement correct. Comme si dans tous les médias ne dégoulinaient pas des cataractes de scènes ignobles, les plus crues, les plus violentes, les plus perverses. Faudrait-il donc ne strictement réserver la retransmission des horreurs qu’à celles perpétrées par le nazisme ? Extraordinaire pudibonderie sélective !
     
    Nous sommes donc en cette affaire totalement en accord avec Marine Le Pen et nous continuerons pour notre part à montrer indifféremment les égales monstruosités du communisme, du nazisme et de l’islamisme. Mais Marine Le Pen devrait dénoncer aussi les inqualifiables poursuites et condamnations ayant frappé des personnes ou des sites retransmettant tout simplement ce qu’est la réalité atroce des IVG.
     
    Différentes d’apparence, toutes les barbaries,islamiques ou modernes, ont en commun un même nihilisme dans tous les registres de la culture de mort.

  • Marine Le Pen présente sa politique étrangère devant les corps diplomatiques de 50 pays dans le silence absolu des gros médias

     

    Si une preuve était encore nécessaire que l’élection à la présidence de Marine Le Pen est prise très au sérieux dans le monde, la présentation de son programme de politique étrangère le 23 février, l’a apportée. C’est devant un parterre d’une cinquantaine de représentants de pays étrangers et une foule de journalistes du monde entier qu’elle l’a développé durant une heure. Parmi les délégations de nombreux ambassadeurs de pays d’Asie notamment. Une démonstration que la presse française quasi-unanime a tout simplement boycottée, car elle démontre que l’accession à la présidence de la fille de Jean-Marie Le Pen prend de plus en plus de crédit sur la scène internationale, où elle fait naître l’espoir d’un nouvel ordre mondial multipolaire. Les gros médias mainstream aux mains des magnats cosmopolites et apatrides de la presse préfèrent se focaliser sur les manigances d’une « Justice » aux ordres.

    La vidéo du service de presse de Marine Le Pen

    La candidate à la présidence a fait un discours d’une heure dans lequel elle a fustigé une diplomatie française couchée et soumise à des diktats étrangers, accusant la diplomatie occidentale en générale de se voiler la face face aux réalités, conduite seulement par des idéologie mondialistes.

    Elle a déploré l’invasion de l’Irak et la «dissolution» de son armée comme «une faute» et a pris pour appui le le récent rapport parlementaire britannique consacré aux responsabilités dans l’invasion de ce pays qui «place au premier plan l’ignorance des réalités et la méconnaissance du terrain». De même en ce qui concerne le soutien occidental «aux islamistes supposés modérés en Syrie» qui «a été et demeure une erreur». Faisant le lien avec les mouvements migratoires de masse, elle a jugé «irresponsable de ne pas voir dans ces grands mouvements de populations une problématique géopolitique majeure et même dans certains cas une menace pour la paix et l’équilibre du monde».

     

    Photo extraite de la vidéo de Russia Today, le seul médias qui a retransmis cette intervention capitale de la candidate à la Présidence de la République, qui offre une véritable alternative à la position subalterne de la France que maintiennent les programmes de tous les autres candidats. Il est vrai que Russia Today n’est pas sous la coupe de la haute finance occidentale!

    «Indépendance et équilibre» et Haute trahison

    Marine Le Pen présidente de la République annonce donc un virage à 180° sur la politique moyen-orientale de la France et fonde son projet international sur deux piliers : «l’indépendance et l’équilibre». Pour donner du poids à cette ambition elle entend que la dissuasion nucléaire «joue tout son rôle» et que le budget de la Défense soit inscrit dans la Constitution et chiffré à 2% du PIB pour atteindre 3% en fin de quinquennat.

    Dans le cadre d’une politique multipolaire, le mot-clef de son orientation, elle veut faire du principe de non-ingérence un des fondements de sa diplomatie. Marine Le Pen a regretté que la France se soit engagée dans «des guerres qui ne sont pas les siennes, pour des intérêts qui ne sont pas les siens et qui sont contraires aux objectifs fixés par les Nations unies». Elle a cité l’exemple de l’agression de la Libye ou de l’agression indirecte de la Syrie. La potentielle présidente s’est montrée très accusatrice envers la diplomatie française du gouvernement de François Hollandepour ses livraisons d’armes aux «rebelles» qui ont bénéficié en partie à l’Etat islamique et qui ont «peut-être tué des Français».

    Celle qui caracole en tête des sondages a trouvé stupide la décision du pouvoir socialiste de couper les relations avec les services de renseignement syriens. «Combien d’attentats auraient pu être évités ?», s’est-elle interrogée. Elle s’est étonnée de l’incompétence des services de renseignement français qui «ont servi des intérêts étrangers ce qui s’appelle de la haute trahison».

    L’Union européenne pointée du doigt

    «En Europe aussi, il est temps d’en finir avec une Union européenne tentée par la fusion qui détruit l’Europe des nations». Elle a jugé que Bruxelles se trouvait «à rebours de l’Histoire, mise en congé du monde» et que «partout la globalisation naïve est battue en brèche, partout c’est le patriotisme économique qui triomphe».  «Il faut en finir avec ce monstre bureaucratique […] L’Union diminue la France, elle la sépare du monde. Je ne me résous pas à voir la France diminuée, dépendante, séparée», ajoutant que l’Union européenne allait rejoindre «le musée des constructions idéologiques sans lendemain». «Que Mme Merkel, M. Schulz ou les autres commissaires le veuillent ou non, nous bâtirons une autre Europe», a-t-elle pronostiqué. La candidate la mieux placée dans les sondages entend «remettre à plat les traités européens et engager résolument la France dans la construction d’une Europe des nations libres».

    Les USA de Donald Trump, un espoir

    Qualifiant les Etats-Unis, d’ «allié» qui s’était comporté en «adversaire». Elle a évoqué une «surchauffe stratégique» et des «dérives dans l’expression de la force» notamment au Moyen-Orient: Irak, Libye, et Syrie avec des «jeux dangereux» avec les groupes terroristes.

    Elle attend donc «un changement de logiciel» avec l’arrivée  de Donald Trump au pouvoir. Changement qui sera «positif pour le monde mais également pour les Etats-Unis». «Je salue son réalisme et sa volonté de changement» a déclaré Marine Le Pen. L’OTAN n’en a pas été quitte, avec sa « structure anchronique« . Elle souhaite que la France quitte son commandement intégré afin de «rétablir l’indépendance» de ses forces.

    «Arrimer la Russie au continent européen»

    Pour Marine Le Pen présidente, la Russie est considérée comme un «élément décisif de l’équilibre des forces qui peut pacifier la mondialisation». Ce pays, selon elle, a été «maltraité par l’Union européenne et une France vassalisée» rappelant notamment l’épisode de l’annulation de la vente des Mistral sous pression américaine dans le sillage de la crise ukrainienne. Interpelant la Russie, elle a rappelé que les Russes n’ont pas oublié le pillage des ressources de leur pays par de jeunes consultants frais et moulus de l’école de Chicago qui l’ont organisé dans les années 90 avec leurs complices oligarques russes qui gravitaient dans l’entourage de Boris Eltsine. «La Russie n’est plus l’URSS» a-t-elle lancé,  le pays a «payé le tribut le plus lourd lors du dernier conflit mondial avec 25 millions de morts». La France de Marine Le Pen entend contribuer  à «arrimer la Russie au continent européen» afin de ne pas la pousser vers l’Asie.

    Des liens particuliers avec l’Afrique

    «Non ingérence ne veut pas dire indifférence» a souligné Marine Le Pen qui a assuré que les pays africains proches de la France par leur histoire trouvent en elle un allié naturel prêt à les aider et, si nécessaire, à intervenir militairement comme c’est le cas aujourd’hui au Mali ou en Centrafrique.

    Réitérant son souhait de mettre un terme à l’immigration de masse, elle a affirmé que les étudiants africains seraient les bienvenus en France tant qu’ils accepteraient de retourner dans leurs patries d’origine une fois leurs cursus terminés. Quant aux Français d’origines africaines, Marine Le Pen assure qu’ils jouiront des mêmes droits que tout citoyen français et bénéficieront de «la priorité nationale» en matière d’emploi et de logement. Dans ce cadre elle souhaite le retour d’un «ministère de la Coopération» dédié en partie aux relations avec l’Afrique.

    lire aussi: En direct au JT de TF1, Marine Le Pen arrache le masque de l’institut Montaigne, émanation de la haute finance qui téléguide Macron