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Politique internationale - Page 8

  • G30: Mario Draghi, gouverneur de la Banque Centrale Européenne, fricote avec le club secret de l’Oligarchie bancaire internationale .

     

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    Mario Draghi est officiellement mis en cause et gravement soupçonné de faire de la Banque Centrale européenne, un instrument au service de l’Oligarchie bancaire internationale. Omerta dans la presse française c’est le Guardian qui a relevé cette information. Emily O’Reilly, médiatrice Européenne, a mis en demeure Mario Draghi de cesser d’appartenir au club secret des banquiers appelé le G30 ! ou tout-au-moins, de rendre officielles ses réunions avec ce groupe. Mario Draghi, en sa qualité de président de la BCE est le banquier des banques centrales des pays membres de l’Union. Banquier, fils de banquier, il a été ministre des Finances publiques en Italie, et, notamment, ancien vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs.  Emily O’Reilley dénonce sa participation à quatre réunions du très secret G30, en 2012, en 2013 et à deux reprises en 2015. Ci-dessus portrait de Mario Draghi.

    Voici la traduction intégrale de cet article du Guardian :

    « Le président de la Banque centrale européenne s’est fait dire par le chien de garde de l’UE qu’il devrait cesser d’appartenir à un club secret de banquiers d’affaires. Après une enquête d’un an, Mario Draghi a été informé mercredi par le Médiateur européen, Emily O’Reilly, que ses relations étroites avec le groupe G30 basé à Washington menaçaient la réputation de la banque, en dépit ses assurances contraires.

    Les membres de ce club exclusif, dont seulement deux des 33 membres actuels sont des femmes, sont cooptés par un conseil d’administration anonyme. Seule l’identité du président du conseil d’administration, Jacob A Frenkel, président de JPMorgan Chase International, a été rendue publique. Madame O’Reilly a noté le secret et le manque de transparence du groupe quant au contenu de ses réunions. Elle a également demandé que tous les futurs présidents de la BCE soient interdits d’adhésion au club, qui était auparavant nommé Groupe consultatif pour les affaires économiques et monétaires internationales.

    Cette décision faisait suite à une plainte déposée par le Corporate Europe Observatory (CEO), une ONG basée à Bruxelles, qui affirmait que la relation étroite de Draghi avec le G30 était contraire au code d’éthique de la BCE. Au cours de sa présidence de la BCE, M. Draghi, un banquier italien qui a précédemment travaillé chez Goldman Sachs, a assisté à quatre réunions du G30, en 2012, en 2013 et à deux reprises en 2015.

    Mme O’Reilly a déclaré qu’il y avait danger pour l’indépendance de la banque qui pourrait être compromise par l’implication de Draghi dans ce club, dont les membres comprennent un certain nombre de gouverneurs de banque centrale, de banquiers du secteur privé et d’universitaires. Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, en est notamment membre. Mais Mme O’Reilly a dit qu’il n’y avait aucune preuve que des renseignements de nature délicate aient été échangés.

    La médiatrice a déclaré : “La BCE prend des décisions qui affectent directement la vie de millions de citoyens. Au lendemain de la crise financière, et compte tenu des pouvoirs supplémentaires conférés à la BCE ces dernières années pour superviser les banques des États membres dans l’intérêt public, il est important de démontrer à ce public qu’il existe une séparation claire entre la BCE, en tant que superviseur, et le secteur financier qui est affecté par ses décisions.”

    Mme O’Reilly a déclaré que toute réunion entre la BCE et le G30 devrait à l’avenir être rendue publique et que des résumés des discussions devraient être fournis. Une plainte déposée en 2012 avait été rejetée par la médiatrice mais Mme O’Reilly a déclaré que les choses avaient changé et que la BCE n’avait pas montré comment le public aurait bien pu bénéficié de l’adhésion de Draghi. La relation entre la banque et le G30 devrait “être alignée sur certaines règles et certains codes de gouvernance propres à la banque”, a-t-elle déclaré.

    Un porte-parole de la BCE a déclaré qu’il avait pris note de la décision et qu’il répondrait en temps utile. »

    Un  gouvernement mondial occulte soumis aux intérêts particuliers de la haute finance

    Les impôts des habitants de l’Union européenne alimentent la Banque Centrale européenne (BCE), laquelle contrôle leurs finances et se permet de sanctionner les pays membres si ça lui chante !

    Il était déjà scandaleux que le directeur de la BCE ait été membre de la banque Goldman Sachs, mais cette fois-ci la collusion d’intérêts est officiellement mise à jour. Certes, l’évidence de cette mise sous séquestres des intérêts publics européens au profit des intérêts privés des gros banquiers qui gouvernent le monde était déjà amplement supposée. Mais là, c’est une accusation officielle par une sorte de magistrature européenne. Malheureusement les médiateurs européens n’ont aucun pouvoir de rétorsion, et cette grave dénonciation est un coup d’épée dans l’eau, très timide du reste, d’autant plus que l’information est occultée.

    Franc-maçonnerie ? A noter le chiffre 33, pour le nombre de membres de ce G30… Est-ce un hasard?

    Cette gravissime affaire est complètement passée sous silence en France où l’information est mise sous séquestre, où Macron, comme Draghi a lui aussi été impliqué au plus haut niveau dans l’Oligarchie banquière puisqu’il a été associé de la banque Rothschild ! Mais existe-t-il un passé dans ce genre de fonctions ? Probablement pas ainsi que tout converge à le faire penser! 

    Résumons: notre Président de la République est un ex-associé de la banque Rothschild et le président de la BCE est a été vice-président de Goldman Sachs!

      Faut-il en plus un dessein pour comprendre que les vrais maîtres de la France et des Français sont les oligarques de la Haute banque ?

     

  • Les drones utilisés par les terroristes pour attaquer les bases militaires russes en Syrie représentent une grave menace pour la sécurité dans le monde, selon un sénateur russe.

     

    Les Etats-Unis ont pris une grande responsabilité devant le monde entier en laissant les terroristes attaquer les sites militaires russes en Syrie à l'aide de drones, a laissé entendre le sénateur russe Franz Klintsevitch dans une interview accordée à Sputnik.

    «En ayant transféré aux terroristes des technologies dernier cri, les Etats-Unis ont laissé le mauvais génie sortir de sa bouteille. Les technologies, ce n'est pas de l'argent: une fois prêtées, elles ne sont jamais rendues à celui qui les avait données», a indiqué le sénateur.

    Il a également mis en doute les affirmations du Pentagone concernant la disponibilité de moyens permettant d'organiser une attaque de drones.

     

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    «La déclaration d'un porte-parole du Pentagone sur la disponibilité de technologies utilisées pour perpétrer l'attaque de drones contre les bases russes en Syrie, est destinée aux personnes qui ne connaissent les drones que par les images à la TV. Pour un expert, il s'agit d'un bluff évident. Je ne serais pas étonné que demain, un Américain déclare que les bombes nucléaires sont vendues sur le marché libre», a indiqué le sénateur.

     

    M.Klintsevitch estime que pour lancer des attaques pareilles à celles perpétrées contre les bases militaires russes en Syrie, il faut des technologies appropriées.

    «Je suis presque certain que les drones étaient guidés par des instructeurs ayant suivi une formation spéciale. Les terroristes eux-mêmes ne seraient pas capables de mener cette opération. Je continue d'affirmer que les services américains étaient impliqués dans l'opération», a souligné le sénateur.

    Rappelons que le ministère russe de la Défense a déclaré lundi qu'une attaque de drones contre ses bases militaires en Syrie avait été repoussée le 6 janvier. En outre, il a été souligné que les solutions d'ingénierie auxquelles les terroristes avaient eu recours ne pouvaient provenir que d'un pays possédant de hautes capacités technologiques.

     

  • Afrique du Sud : rumeur de génocide des blancs pour fin novembre .

     

    D’après le compte tweeter sud-africain Stop white génocide, des militaires blancs ont signalé à leurs frères de sang que le chef d’Etat du régime racialiste en place à Pretoria a décidé de lancer une offensive armée du groupuscule raciste EFF contre les manifestants blancs pacifiques qui ont l’intention de manifester les 24 et 25 novembre prochain dans tout le pays. Les supérieurs ont annoncé aux soldats qu’ils avaient ordre de ne pas intervenir et de laisser les Blancs se faire massacrer par les milices auxiliaires du régime ANC et de son président Zuma. « Il n’y aura aucune protection pour les Blancs » précise l’informateur. Une femme a d’ailleurs témoigné, photo à l’appui qu’une tentative d’incendie de la maison de ses parents avait été commis et revendiqué par l’EFF.

    Cela n’est pas sans rappeler le triste jour du 5 juillet 1962 où 5.000 Européens ont été massacrés par le régime ethno-socialiste du FLN, l’immonde général Joseph Katz (par ailleurs marié ultérieurement à une fellagha de plus de 40 ans sa cadette) ayant donné ordre au 19e Corps de ne pas bouger, gagnant le surnom de « boucher d’Oran » et poussant l’ignominie jusqu’à faire mettre aux arrêts le lieutenant Rabah Klélif, du 30e bataillon de chasseurs portés, qui – désobéissant aux ordres – sauva du massacre des centaines de femmes, enfants et vieillards européens qui allaient se faire exterminer. Katz lui lancera : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ». Par vengeance, le régime gaulliste le bloqua au grade de capitaine.

    La dérive raciste du régime mandeliste refroidit même ses plus ardents collabos. Ainsi, le communiste Ronald « Ronnie » Kasrils, juif letton qui comme la plupart de ses coreligionnaires – qui ont œuvrer pour la spoliation des Afrikaners d’abord de leur liberté et de leurs richesses minières (Guerre des Boers), puis du pays qu’ils avaient bâti – a soutenu le régime antiblanc, vient de lâcher définitivement Zuma, qu’il a qualifié de « dangereux, trompeur et traître à son pays ». L’un de ses proches, le journaliste Jacques Pauw, a reçu des menaces de mort le 6 novembre. Quand un régime raciste commence à s’en prendre à ses idiots utiles, le génocide n’est pas loin. L’Afrique du Sud a été longtemps le plus gros producteur mondial d’or, contrôlant jusqu’à la moitié de la production mondiale, et ce jusqu’en 2006. Année après année, l’ Afrique du Sud dégringole au classement, au point de n’être en 2014 que la 6e productrice mondiale avec seulement 5 %, loin derrière la Chine, l’Australie, la Russie, les Etats-Unis et le Canada. Les mines étant épuisés, les vautours changent de nids.

    Depuis le dernier article, le nombre de Blancs massacrés augmentent : entre le 5 et le 10 novembre, sont décédés : M. Jan Hough, 64 ans, de Kakamas ; M. Bobby van Zyl, de Krugersdrop ; une jeune fille de 15 ans dont l’identité n’a pas été encore communiquée à Driefontein ; un clochard Blanc de 45 découvert mort, le bras arraché, près de la Klein Olifants River ; M. André Saaiman et son épouse Lidia, âgés respectivement de 65 et 69 ans, ont été assassinés à coups de hache à Port-Elizabeth.

    Comme pour confirmer l’avenir sombre pour les Afrikaners, chassés du pays qu’ils ont créé et bâtis par des gens qui pour beaucoup n’en sont pas originaires (en 1965, 14 % des Noirs d’Afrique du Sud étaient originaires du Kenya et de Tanzanie), celle qui est présumée succéder à Zuma, son ex-épouse Nkosazana Dlamini Zuma, communiste et raciste fanatique, a déclaré son intention en cas d’accession au pouvoir de spolier les Blancs des fruits de leur travail, comme me fit Mugabe au Zimbabwe avec le succès que l’on sait.

    Si les Sud-Africains Noirs ne veulent plus de leurs Blancs, la France pourrait les acceuillir !. Après tout, nombres de Boers ont des noms français (Rousseau, Du Toit, de Villiers), puisque descendants des Huguenots chassés par Louis XIV.  On pourrait même les échanger contre les 7 millions de Noirs vivants en France métropolitaines,se plaignant constamment du « racisme » et qui de plus veulent "niquer" la France.