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  • Afrique du Sud : Le président se rallie au programme d’expropriation de masse des Blancs voulu par les extrémistes noirs .

     


     

     

     

     Les appels aux expropriations de masse par les racistes noirs de l’EFF – une scission de l’ANC communiste – ont franchi un nouveau cap en Afrique du Sud.  Après le précédent catastrophique du Zimbabwe, c’est donc l’Afrique du Sud qui pourrait mettre en œuvre un programme de nettoyage ethnique contre la population européenne.

    Les Boers réagissent

    L’organisation « Nation Boer-Afrikaaner » – qui affirme rassembler environ 40 000 membres de souche européenne – a indiqué qu’elle ne reconnaîtrait aucune loi permettant la « nationalisation » des terres sans compensation légales, même si elles émanent du parlement sud-africain.

    « La privation, la dépossession et l’occupation de notre pays en termes juridiques doivent être considérées comme des actes de guerre formels contre le peuple boer-afrikaaner, ce contre quoi nous devons nous défendre et riposter avec les moyens et méthodes internationalement reconnus afin de garantir notre propriété ou la récupération de celle-ci » a déclaré l’organisation boer.

    La démagogie raciste des communistes noirs de l’EFF

    Cette réaction est intervenue après l’appel au parlement sud-africain par les « Combattants pour la Liberté Economique » [une scission raciste noire de l’ANC communiste, NDLR] à l’expropriation des terres [détenues par les Boers, NDLR] sans compensation. La motion a été mise à l’ordre du jour par le chef de l’EFF, Julius Malema, qui a appelé les différents groupes ethniques « noirs » à s’unir afin de s’assurer que l’article 25 de la constitution soit modifié pour rendre constitutionnellement possible la nationalisation des terres sud-africaines sans compensation.

    En l’état actuel, l’article 25 de la constitution interdit l’expropriation des terres sans compensation.

    L’EFF menée par Julius Malema mêle rhétorique tiers-mondiste et « anti-colonialiste » à des diatribes ouvertement racistes contre la minorité européenne d’Afrique du Sud. Organisant des manifestations un peu partout (voir ici), Malema a pour habitude de dénoncer les « voyous hollandais » ou le « pouvoir blanc » dans un pays où ceux-ci représentent moins de 9% de la population totale et n’occupent aucun rôle politique significatif.
     
    Portant des chemises rouges, les « Economic Freedom Fighters » forment le groupe le plus bruyant et agité du parlement sud-africain.
     
    Dans ce contexte, la « Nation Boer-Afrikaner » a également déclaré que tout manque d’action contre les meurtres de fermiers [blancs, NDLR] serait vu « comme un acte d’hostilité contre la population blanche ».
     
    Le président sud-africain se rallie au programme de nettoyage ethnique
     
    Le président Jacob Zuma, leader de l’ANC impliqué dans d’innombrables affaires de corruption (voir ici), est sous la pression des extrémistes de l’EFF. Aussi a-t-il commencé vendredi dernier à répondre positivement aux discours incendiaires de Malema, lequel qualifiait récemment la direction de l’ANC « d’idiote ».
     
    Zuma a officiellement appelé le parlement sud-africain à réviser la constitution afin de rendre possible le vol des terres des fermiers européens par le gouvernement (source). Le président sud-africain a indiqué que les « partis noirs » devaient s’unir car une modification de la constitution nécessite « les deux tiers des votes » des parlementaires.
     
    Les terres occupées par les fermiers européens ont pour l’essentiel été mises en culture à une époque où aucun noir ne vivait dans les régions visées, surtout l’Orange Free State boer. Il faudra attendre 150 ans avant que les premiers migrants africains ne viennent dans ces zones.
     
    Près de 70 000 Blancs ont été assassinés en Afrique du Sud ces dernières décennies (voir ici) et Malema entend bien répliquer le programme de son mentor communiste zimbabwéen, Robert Mugabe. Ce dernier avait fait exproprier les 10 000 fermiers blancs que comptait le pays, aboutissant à la faillite de ce pays ainsi passé, en peu de temps, de grenier à blé de l’Afrique à un pays ravagé par la famine.