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Education - Page 12

  • Affaire Audin: Macron est un imposteur, un traître, un menteur .

    Le 19 septembre 2018

    Lettre ouverte au Président de la République.

    « Je n'aurais pas d'horreur de la trahison si elle était faite pour me rendre maître du monde. » (Fénelon : « Le jeune Pompée et Ménas » (1712)



    Monsieur le Président,



    La citation en entête de cette lettre pourrait être de vous tant on vous sait capable de toutes les bassesses, de toutes les intrigues et de tous les mensonges pour arriver à vos fins.

    Au début de l’année 2017, alors que vous étiez candidat à la Présidence de la République, vous avez qualifié l’œuvre française en Algérie de « crime contre l’humanité ». Puis, devant le tollé des associations de « Pieds noirs » et d’anciens combattants, de « crime contre l’humain », ce qui revient au même. Cette tirade de « lèche-babouches » n’avait qu’un but : tel François Hollande cinq ans plus tôt, vous veniez acheter le vote des Musulmans franco-algériens.

    Indigné, je vous adressais une longue lettre pour vous résumer tout ce que la France a bâti avec courage, avec désintéressement et souvent au prix du sang en 132 années de présence en Algérie. A l’époque, Je pensais, naïvement j’en conviens, qu’un énarque postulant à la magistrature suprême était capable de comprendre qu’on n’a pas le droit de dénigrer ouvertement son pays, de salir sa mémoire et d’insulter ses morts. La notion de « Patrie » est un bien sacré. Je croyais que même un européiste convaincu (qui n’aime ni notre vieille nation, ni les Gaulois qui la peuplent) était instruit de ces choses-là.

    Et voilà que vous en rajoutez en condamnant le rôle (supposé) de l’armée française dans la mort de Maurice Audin. En agissant ainsi, vous creusez, un peu plus chaque jour, le fossé entre les Français de souche et l’immigration originaire du Maghreb. On ne gouverne pas un pays en réveillant de vieilles blessures, ni en jetant du sel sur une plaie encore à vif.

    Et vous faites, une nouvelle fois, la démonstration de votre inculture en matière d’histoire contemporaine car, en fait, qui était ce Maurice Audin ?

    Un jeune assistant-prof de maths à la fac d'Alger, membre du Parti Communiste Algérien et pro-FLN, un « porteur de valises », donc un traître à sa Patrie.

    Pendant la « bataille d'Alger », il a été arrêté par les parachutistes du général Massu puis remis pour interrogatoire aux hommes du commandant Aussarreses : le faire parler, pour qu’il livre ses complicités, ses caches d’armes et d’explosifs, et qu’il dénonce les attentats en préparation me semble un comportement assez logique, normal dans le contexte de la « bataille d’Alger ».

    Rappelons, juste pour mémoire, aux ignares de cette période tragique, qu’Alger - deuxième ville de France à l’époque - a subi…112 attentats du FLN en un mois, en janvier 1957.

    Ensuite, Maurice Audin disparaît et son corps ne sera jamais retrouvé: évasion, exécution sommaire, bavure,...toutes les supputations ont été évoquées par la presse de l'époque (avec une nette préférence pour celles qui pouvaient salir les parachutistes(1)).

    Or, on sait comment est mort le Communiste Fernand Yveton: guillotiné(2). On croit savoir comment l’aspirant Maillot, qui a déserté avec un camion d’armes au profit du FLN, a fini sa vie de traître (3). On sait aussi qu’Hervé Bourges, dit « Mohamed Bourges », est mort dans son lit, avec les honneurs, comme ancien patron de l’audiovisuel public. On sait également que d’autres « porteurs de valises » ont été ministres de François Mitterrand.

    Mais comment est mort Maurice Audin ? On ne le saura sans doute jamais. Les Fellaghas n’aimaient pas les traîtres : un certain nombre d’ «idiots utiles» du FLN en ont fait les frais. Et puis, après tout, n’est-ce pas le sort normal d’un traître que de mourir en traître ?

    Monsieur le Président, puisque vous condamnez la torture, laissez-moi vous parler des massacres d’Aïn-Abid et d’El-Halia, le 20 août 1955, qui restent dans les mémoires comme les « Oradour-sur-Glane » d'Algérie. La formule n'est pas exagérée. Elle recouvre des scènes dont l'horreur fait frémir et dont les photos ne sont pas publiables.

    Qu'il vous suffise de savoir qu'à Aïn-Abid, une petite fille de… cinq jours, Bernadette Mello, a été tronçonnée, devant sa mère, dont on a ensuite ouvert le ventre pour y replacer le bébé.

    Que sous le même toit, Faustin Mello, le père, a été massacré dans son lit, amputé à la hache, des bras et des jambes, avant qu’on lui ouvre le ventre. Que la tuerie n'a épargné ni Marie-José Mello, une fillette de onze ans, ni sa grand-mère de soixante-seize ans, violées toutes les deux.

    Qu'à El-Halia, 32 Européens ont été abattus à coups de hache, de serpe, de gourdin, de couteau. Les femmes violées, les tout petits enfants fracassés contre les murs : « Pas de pitié, pas de quartier », avait dit Zighout Youssef, le chef de la bande d’assassins du FLN.

    A El-Halia, six familles à peine survivront au massacre.

    Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you-you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant au Djihad, certains ouvriers musulmans regarderont d'abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l'odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine locale. Les tueurs pénètrent dans chaque maison, cherchent leur proie parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d'effroyable kermesse.

    Outre les 32 morts, il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes qu’on ne retrouvera jamais. Quand les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.

    Aïn-Abid, dans le département de Constantine, est attaqué en même temps. Les émeutiers s'infiltrent par différents points du village, prenant d'assaut, simultanément, la gendarmerie, la poste, la coopérative de blé, l'immeuble des travaux publics et les maisons des Européens.

    Comme à El-Halia, c'est la tuerie, le pillage, la dévastation. Les Français sont livrés aux couteaux.

    A Aïn-Abid, les civils, mieux armés, se défendent jusqu'à l'arrivée des renforts militaires, vers 16 heures. C'est à cette heure-là qu'on découvrira le massacre de la famille Mello.

    Si vous avez un cœur, Monsieur le Président, vous pouvez toujours aller faire repentance auprès des survivants de la famille Mello… s’il en reste !

    Des histoires atroces comme celle-là, j’en ai quelques dizaines à votre disposition car j’ai beaucoup écrit sur l’Algérie (4). C’est un sujet sensible que je connais au moins aussi bien, sinon mieux, que les Benjamin Stora et autres « Pieds roses », historiens autoproclamés de cette période.

    Vous semblez totalement méconnaître l’histoire de notre Algérie française. Je pourrais vous raconter aussi les massacres de Mélouza, ceux d’Oran le 5 juillet 1962, les 3000 Européens portés disparus lors de l’indépendance de l’Algérie, les 120 à 150 000 Harkis et leurs familles massacrés par le FLN avec la complicité de l’Etat français…

    Donc, si vous tenez vraiment à faire œuvre de repentance, Monsieur le Président, faîtes-le à bon escient ! Et pendant vos vacances à Brégançon, lisez donc « L’épopée coloniale de la France » d’Arthur Conte, c’est un bon ouvrage de vulgarisation(5). Il vous évitera de dire n’importe quoi sur le sujet (et, accessoirement, de prendre la Guyane pour une île). Vous ne manquez jamais une occasion de rappeler que votre génération ne porte pas le poids de « l’héritage colonial de la France ». C’est parfaitement exact : vous ne savez RIEN de cette époque et vous ne la comprenez pas, alors, de grâce, Monsieur le Président, TAISEZ-VOUS !!!!

    Et puis, dois-je aussi vous rappeler que le pays dont vous êtes le premier magistrat est un « état de droit », et qu’en droit français « le doute profite à l’accusé ». Or personne - ni vous, ni vos affidés - n’est en mesure de dire, encore moins de prouver, comment est mort Maurice Audin.

    Ma lettre de févier 2017, se terminait ainsi :

    « La France a TOUT donné à l’Algérie. Ce pays a connu un essor considérable, rendant riche et fertile une terre inculte. Des historiens engagés et quelques « officiels » algériens tentent de nous faire croire que le peuple algérien a subi, pendant 132 ans, un colonialisme tortionnaire et brutal.

    Et les imbéciles les écoutent ! Ainsi s’écrit l’histoire !

    Voilà, Monsieur Macron, ce que je voulais vous dire. Je ne suis même pas « pieds noirs » ; j’avais à peine 12 ans au moment des funestes Accords d’Evian, mais j’en ai assez que n’importe quel politicard en mal de reconnaissance insulte l’œuvre française en Algérie… »

    Je n’ai rien à rajouter sinon que vous n’êtes plus « n’importe quel politicard », vous êtes le Président de la République française. Je n’ai pas voté pour vous, mais vous avez été élu (certes mal élu : par défaut) pour restaurer la situation économique et l’image de la France dans le monde, pas pour dénigrer les Français, ni pour lécher les babouches de nos anciens ennemis du FLN.

    Ne voyez pas, dans cette lettre, l’amertume d’un nostalgique de l’Algérie française : une belle page de notre histoire est - hélas ! - tournée. La nostalgie ne sert plus à rien, et puis, comme disait Michel Audiard : « Je n’aime pas penser à reculons. Je laisse ça aux lopes et aux écrevisses. »

    Ma lettre ne comporte pas d’insultes ou d’injures car je respecte profondément la « fonction présidentielle ». En revanche, permettez au citoyen-lambda que je suis de vous dire qu’il n’a que du mépris - un mépris total - pour le citoyen Macron.

    Je ne vous salue pas car une formule de politesse serait une hypocrisie de ma part.

    Eric de Verdelhan





    P.S : Après votre visite et votre repentance à la veuve de Maurice Audin, je m’attendais à une levée de boucliers des ténors de la droite, des associations patriotiques et des amicales militaires.

    Pour l’instant, le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils font profil bas.

    Mais les Algériens applaudissent des deux mains et demandent que la France « aille plus loin dans la reconnaissance des crimes commis par l’armée française ». Vous pouvez être fier de vous !




    1)- Paras qui avaient pourtant mis fin au terrorisme en gagnant la « bataille d’Alger ».

    2)- Avec la bénédiction du Garde des Sceaux, François Mitterrand.

    3)- A-t-il été tué par l’armée française, les Harkis du Bachaga Boualem, ou…ses « amis » du FLN ? Le doute subsiste encore !

    4)- J’ai écrit trois livres et des dizaines d’articles sur le sujet. Mon prochain livre, à paraître bientôt, s’intitule « Hommage à NOTRE Algérie française ».Le titre résume le livre.

    5)- Et, pour (essayer de) comprendre l’Algérie française, lisez aussi Jean Brune, Guillaume Zeller, Pierre Montagnon, Edmond Jouhaud, Geneviève de Ternant, José Castano, etc…etc… Les bons auteurs ne manquent pas.

     

  • Blanquer, "ministre du grand remplacement " !

    Le 11/09/18, Blanquer est venu se produire au micro d’un Pujadas, non seulement complaisant mais complice, pour l’aider à justifier ses propos de la veille au micro de JJ.Bourdin sur l’enseignement de l’arabe à l’école et à s’insurger contre les contestations soulevées par cette annonce.

    Comme l’a souligné Pujadas, Monsieur Blanquer est un ministre qui pèse au sein du gouvernement et pour cause ! Il le sert merveilleusement dans sa visée mondialiste dont l’objectif est de détruire l’identité française, notamment par la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration au détriment de nos enfants pour qui l’Ecole devient un simple lieu de vie, et dans le même temps, anesthésiant le public, le bernant en permanence avec des propos mensongers dispensés avec un aplomb et un cynisme dépassant toute mesure * , tout cela, sous des dehors de Monsieur « Propre ».

    Les contestations

    Monsieur Blanquer perçoit mal les contestations et n’hésite pas à fustiger les opposants qui n’avancent rien de plus que des propos de bon sens :

    Ce qui ne l’empêche pas de parler d’ « emballement médiatique, de déformation des propos, de mensonges, de vouloir exciter l’opinion de façon surréaliste, d’exciter les gens les uns contre les autres, d’instrumentaliser le débat pour de petites bassesses politiciennes, de dérive dans le mensonge permanent sur les réseaux sociaux… »  réseaux sur lesquels il n’a aucune prise pour l’instant, raison pour laquelle il les attaque tout particulièrement, car c’est précisément là que se fait le rétablissement de la vérité politique que ce gouvernement cherche à camoufler aux Français.

    Ce qu’il faut retenir des oppositions à cette décision, ce sont deux choses :

    D’une part, qu’il vaudrait mieux d’abord apprendre le français à nos enfants, d’autre part, qu’il y a danger d’islamisation de la France.

    Sans vouloir entrer dans les détails*, il faut dire qu’il n’y a rien d’excessif dans ces propos :

    Apprentissage de la langue française

    Pour ce qui est d’apprendre le français à nos enfants, il faut rappeler que malgré les déclarations – celles-là bien mensongères – de Monsieur Blanquer, il n’a nullement procédé – pour nos enfants – au rétablissement des méthodes dites « syllabiques » de lecture – en réalité alphabétiques – qui seules, permettent de maîtriser la langue et les méthodes semi-globales perdurent, ne permettant pas d’appréhender la très riche culture française.

    D’ailleurs, à cet égard, nous aimerions que Monsieur Blanquer vienne à un quelconque micro, nous détailler les décisions prises pour la valorisation de la langue française à l’école, du primaire à l’université incluse. Nous l’attendons !

    Les méthodes alphabétiques ne sont pratiquées que dans les REP, pour les immigrés, en classes dédoublées !!

    Danger d’islamisation de la France

    C’est d’autant plus cohérent comme propos, que l’arabe est appréhendé à travers la lecture du Coran dont le caractère «religieux » n’échappe à personne et dont le contenu révèle des dangers incalculables, mettant gravement en danger notre société. Vouloir que nos enfants apprennent l’arabe, c’est vouloir les islamiser, il n’y a aucun excès dans ces propos.

    Conclusion

    Fustigeant également les associations qui se mobilisent contre l’éducation sexuelle à l’école, Monsieur Blanquer n’aspire qu’à une chose :  imposer le silence aux opposants, en résumé à tous ceux qui veulent protéger nos enfants et sauver la France !

    C’est cela, la démocratie selon Blanquer, c’est cela un « honnête homme » !

    *cf. ouvrage paru le 05/09/2018 : « blanquer, ce monstre froid »- remède de cheval contre la blanquer-mania –Editions des trianons – sites : chapitre.com ; Chiré.fr ; Duquesne diffusion Paris.

     

    En cette rentrée 2018, Monsieur BLANQUER s’est également produit au micro de Jean-Jacques BOURDIN sur BFM-TV. après un entretien avec Paris-Match la semaine passée d’où il est loisible d’apprécier l’immigrationnisme forcené du ministre et l’évidente collusion des medias avec le ministre.

    Fidèle à lui-même, Blanquer continue à discourir avec le même aplomb, le même cynisme.

    Néanmoins, beaucoup de Français que les faux-semblants de JM Blanquer ont abusés toute l’année passée, commencent à se réveiller d’un mauvais sommeil avec une « gueule de bois » qui risque fort de perdurer !

    Peuple en voie de rééducation ?

    Braves gens qui contestez l’Education Nationale, vous n’allez pas bien du tout ! c’est ce que sous-tend le discours du ministre aidé par le journaliste.

    En effet, pour introduire l’entretien, JJ. Bourdin tend une perche à JM Blanquer qui s’en saisit immédiatement : « Parlons des enseignants – dit-il – parce-que cette phrase que vous avez prononcée, je la reprends chaque fois : ‘un pays qui va bien est un pays qui aime ses enseignants’ , çà c’est clair, on est tous d’accord ».

    Très habile de déplacer le curseur, du système éducatif sur les enseignants. Certes, nous sommes tous d’accord sur le fait que ce ne sont pas les enseignants qui sont responsables de l’incurie de l’Education Nationale et, pour cette simple raison, ce ne sont pas les enseignants que nous n’aimons pas, mais l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, marquée du sceau de la politique éducative poursuivie par nos différents gouvernants depuis des décennies et qui exploitent les enseignants, leur faisant appliquer une politique éducative qui n’est pas la leur. Pour preuve, le taux actuel de démissions du personnel enseignant (près de 20%).

    De plus, cette affirmation laisse supposer que si nous n’aimons pas l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est que le pays ne va pas bien, faisant une inversion « renversante » si l’on peut dire. En réalité, c’est parce que l’école ne va pas bien que nous ne l’aimons pas.

    Cette inversion n’est pas anodine : elle tend à nous signifier que si nous n’aimons pas l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est nous qu’il va falloir rééduquer et peut-être, dans les hôpitaux psychiatriques, qui sait ? car il est à craindre que nous entrions progressivement en dictature où toute contestation étant censée venir troubler l’ordre social, se devra d’être bâillonnée, ce qui est déjà en cours !

    TOUT POUR LES R.E.P.

    (réseaux d’éducation prioritaire)

    Une revalorisation des salaires des enseignants ?…pour les R.E.P.

    Il est ensuite question des enseignants français moins bien payés que dans beaucoup d’autres pays.

    Que prévoit JM Blanquer ? la revalorisation des salaires en REP et REP+ seulement : 1000 euros cette année, 2000 euros l’année suivante et 3000 euros en 2019.

    Dédoublement des classes de CP et CE1 ?…pour les R.E.P.

    Ces dédoublements concernent 60000 élèves en cette rentrée, 190000 en 2019 et 300000 en 2020 … élèves des R.E.P. et des R.E.P.+.

    Rappelons que seul est évoqué le dédoublement, mais en réalité, les méthodes pédagogiques (« efficaces » – sic) et les programmes (« pour donner une culture solide » – resic) ne sont pas du tout les mêmes que ceux destinés à nos enfants, et quand JM. Blanquer prétend qu’il s’agit d’une mesure sociale de lutte contre les inégalités, en réalité il s’agit d’une mesure qui crée des inégalités au détriment de nos enfants, car ce sont les élèves issus de l’immigration qui ont une scolarité d’excellence en opposition avec la scolarité de nos enfants, totalement et volontairement dévoyée par nos gouvernants, et JM.Blanquer « ne corrige nullement le tir » !

    Evaluation des établissements scolaires ?…pour les R.E.P.

    « Sur quels critères ? et les résultats seront-ils rendus publics ? » demande JJ.Bourdin ?

    « C’est tout un sujet de discussion » répond JM. Blanquer. Or, si SON Ecole pour nos enfants était une véritable Ecole, cela ne devrait pas être un « sujet de discussion » : seuls, les résultats scolaires comptent ; or, pour l’Ecole de nos enfants, Monsieur Blanquer évoque l’appréciation du « climat scolaire, les sujets de cantine et toilette à envisager avec les collectivités territoriales… »…tout un programme en effet !

    C’est assez dire si SON Ecole pour nos enfants se réduit à un simple lieu de vie !

    « Les résultats seront-ils rendus publics ? »

    Hésitation de Blanquer… « çà dépend desquels » !

    Evidemment ! seuls les établissements des REP et des REP+ pourront être évalués sur la base de leurs résultats scolaires ! ...

    Développement des internats ?…pour les R.E.P.

    JM. Blanquer prévoit le développement des internats sans préciser, bien évidemment, que ces établissements sont prioritairement réservés aux élèves issus de l’immigration. Il est question de « rapport » qu’il doit recevoir, d’un « grand plan », mais rien ne perce du contenu et pour cause !

    Par contre, l’arabe pour tous…

    JM Blanquer parle de relancer l’apprentissage de la langue arabe et se fait le fervent défenseur de cette langue :

    «L’arabe est une langue très importante comme d’autres grandes langues de civilisation : chinois, russe…il faut développer ces langues, donner du prestige à ces langues, c’est particulièrement vrai pour l’arabe qui est une très grande langue littéraire qui doit être apprise pas seulement par les personnes qui sont d’origine maghrébine ou de pays d’origine arabe.

    « Donc, c’est toute une stratégie qualitative vis-à-vis de la langue arabe que nous allons mener.

    « …A la place de l’apprentissage de l’anglais, cela peut l’apprentissage de l’arabe en CP »

    A noter d’ailleurs qu’il ne s’agit pas de « relancer » (sic) l’apprentissage de la langue arabe mais plutôt de la généraliser  et cette généralisation était prévue dans les circulaires de rentrée de 2016 et 2017 produites par NV.Belkacem, c’est assez dire qu’en tout, JM.Blanquer poursuit la politique de ses prédécesseurs.

    Dans la circulaire de rentrée du 13 avril 2016, il est expressément indiqué que l’enseignement en langues et cultures d’origine (ELCO) qui concernait 92500 élèves à la rentrée 2012et près de 85 000 élèves à la rentrée 2016 et dont la majeure partie des cours était en langue arabe, évoluait vers un dispositif inspiré des sections internationales (EILE – enseignement international de langues étrangères) existant dans le premier degré, dispensé en plus des 24 heures de cours, ouvert à tous les élèves volontaires de CE1, quels que soient l’origine, la nationalité et le niveau linguistique de départ.

    Cet enseignement étant assuré par des enseignants mis à disposition des pays partenaires, la continuité a été assurée dans le cadre des dispositifs bi-langues au niveau du collège.

    L’expérimentation du dispositif a eu lieu à la rentrée 2016 dans des académies pilotes, avec un ajustement à la rentrée 2017 et une perspective de généralisation à la rentrée 2018 et ce, malgré les sonnettes d’alarme, comme celles du député Damien Meslot qui, en 2013, avait déposé une proposition de loi (rejetée) pour interdire le financement des cours d’arabe par des pays étrangers, écrivant : « Des Etats étrangers financent les cours de langues étrangères pour transmettre des messages contraires aux lois de la république, des appels au trouble à l’ordre public sur le territoire national ».

     

     

    Monsieur BLANQUER agit donc en connaissance de cause en poursuivant la politique assassine de l’identité française de ses prédécesseurs sans état d’âme : foulant aux pieds la langue française en laissant perdurer les méthodes ineptes d’apprentissage de la lecture qui grippent le cerveau des enfants durablement, les empêchant d’appréhender la très riche culture française, il valorise au plus haut point la culture arabe qui est le prélude à l’islamisation de la France puisque l’arabe s’appréhende à travers la culture du Coran : il s’agit donc d’un enseignement religieux au sein de l’école dite de la république et…quelle religion !

     

    Et l’éducation sexuelle ?

    Monsieur Blanquer déclare : « On doit protéger les enfants en faisant en sorte que les deux sources d’information pour eux sur ce sujet…c’est la famille et l’école.

    Autrement dit, n’écoutez pas ceux qui contestent le bien fondé de ce qui va être asséné aux enfants à l’insu des parents au sein des établissements ; ceux-là seront systématiquement stigmatisés.

    Voilà le message de Monsieur Blanquer

    « Laissez-nous dérégler vos enfants, assassiner la culture et les valeurs françaises ! SILENCE ! »

     

     

     

  • Où est passé le coffre-fort de Benalla ? Pour macron, tout cela n’est qu’un complot!

     

     

    En attendant la série d’un Arsène Lupin noir à la télévision avec Omar Sy, c’est sous les traits d’Alexandre Benalla que de nombreux internautes ont cru déceler le célèbre et facétieux  gentleman cambrioleur qui joue mille tours à la police. En effet le coffre-fort d’Alexandre Benalla que la police devait perquisitionner au domicile du favori de l’Elysée suite à sa garde-à-vue, a disparu mystérieusement dans la nuit du 19 au 20 juillet 2018 en dépit des scellés apposés sur la porte du domicile...

    En effet ce jour-là, suite à son interrogatoire, Alexandre Benalla, présent, a refusé de remettre ses clefs à la police et il a refusé d’appeler sa femme pour qu’elle les leur apporte. D’autre part aucun serrurier ce jour-là n’était en mesure d’ouvrir le système sophistiqué de la serrure. Tant et si bien qu’à 21 heures les policiers astreints aux heures légales de perquisition ont été obligés d’abandonner la visite domiciliaire non sans avoir apposé des scellés, assez succincts si on en croit le Canard enchainé.  De retour à 6 heures 35 le lendemain matin avec l’équipement adéquat, le coffre-fort s’était volatilisé dans la nuit. Mais où est donc votre coffre-fort ? se sont demandé les enquêteurs:

    Aucune trace, cependant, d’une armoire forte censée contenir des armes et évoquée par Alexandre Benalla au cours de sa garde à vue, selon une source proche du dossier, confirmant une information du Canard enchaîné. Celui-ci, filmé le 1er mai en train de molester des manifestants place de la Contrescarpe à Paris, a été mis en examen pour « violences en réunion » dans cette instruction confiée à trois juges. Au cours de sa garde à vue, l’ancien collaborateur de l’Élysée a affirmé que ses armes « sont déclarées » et que l’armoire en question « a dû être emmenée en lieu sûr par une personne ». Benalla a invoqué un « souci de sécurité », étant donné que son domicile « a été identifié par les journalistes ». « Mais ce n’est pas moi qui me suis occupé de cela », a-t-il ajouté, selon la source proche du dossier. Face au magistrat, au cours de son interrogation de première comparution, il a précisé ensuite avoir demandé à « un ami » d’aller chercher sa femme et « de récupérer tout ce qui pouvait être volé […] et notamment les armes », a ajouté cette source. Source Le Point

    Et cela nonobstant les scellés et nonobstant la perquisition en cours…

    Alexandre Benalla se trouve dans l’impossibilité de dire où est passée l’armoire. « Aucune idée, répond le gardé à vue. Elle a dû être emmenée dans un lieu sûr par une personne, mais ce n’est pas moi qui me suis occupé de cela. » Une version confirmée par L’Obs, qui va un peu plus loin. Selon l’hebdomadaire, le chargé de mission de l’Elysée aurait demandé à un ami de mettre en « lieu sûr » les armes qui se trouvaient chez lui. Devant les enquêteurs, Alexandre Benalla se défend de toute volonté de dissimulation. Il a simplement agi par « souci de sécurité et de responsabilité » après que son appartement a été « identifié par les journalistes ». Source challenges.fr

    Ben voyons!

    Le mystère reste entier. Un mystère que les policiers approfondiront peut-être s’ils arrivent à s’extirper des influences élyséennes et autres maçonniques, si nombreuses dans cette affaire où Emmanuel Macron et sa femme Brigitte semblent être, tout comme Vincent Crase et Benalla, eux aussi affiliés à la Grande Loge Nationale de France (GLNF) .

    Combien d’armes contenait cette armoire forte en réalité, et que pouvait-elle contenir d’autre encore ?  En tout cas, fallait-il qu’elle contint des choses compromettantes pour que le protégé de Macron ait fait obstruction à sa perquisition avec le culot de celui qui sait qu’il est protégé ! Comment en quelques heures ce coffre, qui comme tout coffre-fort a été étudié pour ne pas être déplacé, a-t-il pu être emmené sans que les voisins ne voient rien ou ne soient interrogés ? Pourquoi ne s’être pas contenté de retirer les armes et autres éventuels objets, documents (?) plutôt que d’enlever ce coffre désormais « perdu » comme s’il était compromettant en lui-même?… Bien que… M. Benalla l’a tout-de-même retrouvé pour retirer les quatre armes qu’il a fini par remettre à la police, mais il ne lui a pas remis le coffre. Ainsi volent les coffres-forts en Macronie au nez et à la barbe de la police et autant en emporte le vent…

    Mais après tout qu’y a-t-il a redire aux joyeuses facéties de l’Arsène Lupin élyséen ? Sinon que si les internautes s’en offusquent ce ne peut être que de la faute des agents secrets de la Russie qui probablement ont activé le Monde et l’ensemble des gros médias qui ont en premier rapporté l’affaire. C’est en tout cas le point-de-vue que défend sans plaisanter une ONG très sérieuse basée à Bruxelles, dénommée EU DisinfoLab, bref un laboratoire chargé de traquer les fausses nouvelles. Entendez les nouvelles qui n’arrangent pas l’Oligarchie et autres dieux de l’Olympe.

    Une ONG qui a déjà remporté quelques succès éclatants au profit de Jupiter lors de la «publication des MacronLeaks» le 5 mai 2017, deux jours avant le second tour de l’élection présidentielle française, en retraçant la diffusion sur les réseaux sociaux des e-mails de l’équipe de campagne du candidat Macron.

    « Cette fois, l’ONG s’est penchée sur la diffusion de l’affaire Benalla sur Twitter, et sur son ampleur. «4 millions de tweets, c’est du jamais vu en France», note Alexandre Alaphilippe, directeur exécutif du EU Disinfo Lab, interrogé par BFM. «Pour #Balancetonporc, lancé à la suite du scandale Harvey Weinstein, nous étions autour de 780 000 tweets. Pourtant, environ 250 000 comptes se sont exprimés sur le sujet dans les deux cas», détaille-t-il.

    Une confirmation de la portée de l’affaire Benalla ? Pas vraiment pour EU Disinfo Lab, qui y voit l’empreinte de comptes «pro-russes». Usant d’un concept métaphorique, le fondateur de l’ONG, Nicolas Vanderbiest affirme reconnaître l’influence d’un «écosystème russophile». »

    «4 millions de tweets, mais 1% des utilisateurs ont publié 44% des contenus. 25% sont en corrélation avec des comptes russes», affirme l’ONG qui utilise un outil d’analyse, Visibrain, qui permet de transformer des pans de la twittosphère en nuages de comptes selon leurs relations (abonnements, retweets…).

    Ce qui laisse tout de même plus de 2,6 millions de tweets qui auraient échappé à l’influence supposée de prétendus admirateurs de la Russie. » Source RT

    En résumé, le 18 juillet, Le Monde dévoile l’affaire Benalla, le collaborateur fantôme de l’Elysée est identifié dans une vidéo tournée plus de deux mois plus tôt, qui fait la joie des réseaux sociaux depuis lors. Alexandre Benalla y est vu molestant une personne, en marge de la manifestation du 1er mai. Depuis les révélations fusent dans la presse ou en auditions de personnalités concernées dans les Parlements, et il ressort clairement de ces auditions que l’Elysée, la préfecture de police ainsi que le ministère de l’Intérieur connaissaient la vidéo dès le 2 mai. L’Elysée a prétendu sanctionner son adjoint au chef de cabinet avec 15 jours de mise-à-pied qui ne semblent pas avoir été effectués et avec une privation de 15 jours de salaires qui clairement n’a pas été concrétisée. Et bien à rebours des sanctions le favori de M. Macron s’est vu attribué le 9 juillet un appartement dans le parc résidentiel de l’Élysée. Il est vrai qu’il apparaît que M. Benalla avait commencé de mettre en œuvre une sorte de garde prétorienne élyséenne; une garde fantôme et privée qui aurait agi par-dessus la tête des corps constitués,  ce qu’on appelle vulgairement une barbouzerie.

    Le Monde a consacré sept unes entre le 20 et le 27 juillet à cette affaire. Le reste de la grosse presse n’étant pas en reste. En outre, TF1 et le JDD ont offert une tribune à Alexandre Benalla, parsemé de mensonges et incohérences. Tout cela probablement cornaqué depuis le Kremlin, cela va de soi, tandis que Jupiter n’a pas encore jugé utile de s’expliquer de tous ces mensonges, passe-droits et incohérences à tiroirs, devant les Français.

    Ainsi va la France sous l’étreinte jupitérienne. Mais oui, mais c’est bien sûr! Il suffisait d’y penser, dés que l’opinion publique s’alarme d’abus de pouvoirs, il suffit de faire traquer ceux qui les dénoncent par les magistrats comme agents de l’étranger! D’ailleurs une loi sur les « fakes news » n’a-t-elle pas été votée par le Parlement dernièrement ?