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Education - Page 10

  • La subversion sociétale de Macron en marche contre la famille !

    Jean-Louis Touraine (LREM) au sommet de la barbarie nihiliste !

    On croit être atteint d’hallucinations. Il faut s’y reprendre à deux fois pour bien lire ces mots que le député macronien Jean-Louis Touraine a osé écrire en son jargon : « Il n’y a pas de droit de l’enfant à avoir un père, à quelque moment que ce soit ! ».

    À ce jour, aucune barbarie, ancienne ou moderne, n’avait sécrété à ce niveau de responsabilité politique pareille monstrueuse élucubration. Ainsi, dans une société où à chaque instant on invoque, souvent à tort et à travers, les droits de l’homme, c’est le rapporteur de la loi relative à la bioéthique en cours de vote à la chambre des députés qui a pu émettre cette énormité.

    Le génial prophète Aldous Huxley dans « Le meilleur des mondes » eut pu la faire proférer à l’un de ses personnages !

    Nous voici donc très explicitement menés avec cet idéologue du Grand Orient de France, conseiller chéri de la macronnerie à l’ère des enfants sans pères, à l’ère des enfants qui ne sauraient revendiquer le droit d’avoir un père.

    Est désormais venu le temps des « bébés éprouvettes » ! Et demain, évidemment, son extension pour la fabrication de la continuité du « genre humain ». On n’avait entendu cela que dans les sectes socialistes les plus déjantés.

    Dans la logique de ce concept sociétal, le père étant désormais superflu, il serait logique que M. Touraine, s’il a des enfants, et ses idéologiquement semblables, donnent l’exemple en abandonnant leurs droits de paternité, ce qui est d’ailleurs légalement possible dans les cas extrêmes de dissolution familiale.

    Comment ne pas voir que la subversion sociétale de la macronnerie en arrive aux pires pratiques des totalitarismes où l’enfant ne peut être que la propriété de l’État.

    On est là dans le règne du pire racisme, le racisme antihumain!

     

  • LREM, Satan et les franc-maçons à l' oeuvre avec la fameuse PMA .

    L’horreur, c’est maintenant ! 

    ON CROIT avoir touché le fond mais on ne cesse de creuser !

    Le texte qui a été présenté en Conseil des ministres le 24 juillet bouleverse de fond en comble la filiation et la procréation.

    Supprimant l’infertilité comme critère donnant accès à la déjà monstrueuse procréation médicalement assistée, la fameuse PMA, qui consiste à fabriquer des bébés-éprouvette en laboratoire (sait-on assez qu’un enfant sur trente est actuellement conçu par PMA en France, selon les chiffres de juin 2018 donnés par l’INED, ce qui est considérable ?), le projet de loi de bioéthique voulu par le gouvernement et le chef de l’Etat marque une nouvelle rupture et une nouvelle avancée dans l’horreur. Non seulement la procréation médicalement assistée va être permise aux femmes célibataires et aux lesbiennes revendiquées, mais même les couples fertiles hétérosexuels y auront droit. Plutôt que de concevoir des enfants de manière naturelle, l’on promeut la création artificielle de bébés en laboratoires et l’on ouvre la voie à toutes les manipulations, à la marchandisation du vivant, à la tyrannie de la technique et de l’argent qui l’emporte sur l’homme, la nature et l’amour véritable. 

    Le projet de loi prévoit également d’autoriser pour toutes les femmes la congélation des ovocytes, « à partir de 30 ou 32 ans » en vue d’une grossesse ultérieure. Un décret est prévu pour autoriser le prélèvement de gamètes entre 30 et 37 ans  et une insémination artificielle ou une fécondation in vitro (FIV) jusqu’à 43 ans.

    On veut manifestement mettre en place une société sans père, ce qui ne peut conduire qu’aux pires catastrophes. La révolution sociétale, morale, sexuelle et anthropologique que nous subissons est sans précédent dans notre histoire, et dans toute l’histoire de l’humanité depuis les origines. Et cette révolution est sans fin, elle va toujours plus loin dans la négation de la morale naturelle, dans la destruction méthodique et acharnée de la famille traditionnelle, dans la mise à bas des repères moraux et civilisationnels les plus immémoriaux, les plus fondamentaux, les plus structurants.

    « La PMA pour toutes » n’est-elle pas encore votée et promulguée que l’on évoque déjà ouvertement l’étape suivante : la légalisation de la GPA, la gestation pour autrui, permettant aux sodomites de disposer d’enfants par le moyen de mères porteuses rémunérées. Plusieurs ministres et députés de la majorité présidentielle n’hésitent plus à dire publiquement qu’il conviendra de poser rapidement la question de la GPA. Et lorsque ces politiciens parlent de l’ouverture d’un débat, on sait qu’en réalité tout est déjà décidé à l’avance et que l’on s’oriente invariablement vers le choix du pire. Aucune liberté n’est de fait tolérée. A preuve la mésaventure du député macroniste, Agnès Thill, qui a été exclu de son groupe parlementaire et de son parti, la République en marche, pour avoir manifesté publiquement son opposition à l’ouverture de la PMA aux lesbiennes. A LREM manifestement il faut marcher au pas du lobby LGBT et danser sur les chars de la Gay Pride ! 

    La révolution que nous subissons depuis un demi-siècle et qui met à bas notre civilisation et la morale traditionnelle procède par étapes successives : après la contraception (1967), nous avons eu l’avortement (1975), puis le Pacs (1999), puis le “mariage” et le droit à l’adoption pour les invertis (2013), maintenant la PMA pour les adeptes des mœurs saphiques et demain la GPA pour les pédérastes. Ce bouleversement radical des mœurs et des mentalités, de la filiation et de la procréation, ouvre un gouffre sans fond. Et, malheureusement, on ne peut compter aujourd’hui sur aucune formation politique, aucun homme public d’envergure pour s’opposer frontalement, totalement, courageusement, à ces projets sataniques. Nous sommes seuls, tous les partis populistes ayant trahi et se faisant les obligés des revendications les plus folles du lobby LGBT. Mais il est des solitudes honorables.

    On ne se relève jamais de l’abandon des principes et plus que jamais dans ce chaudron infernal où Satan mène le bal, il nous faut nous préserver de la contagion et de la pollution du monde, débusquer le mensonge et défendre de toutes nos forces, à temps et à contretemps, le beau, le bien, le vrai.

     

  • La franc-maçonnerie revendique encore et une fois de plus son emprise sur l’école !

     

    On ne dira jamais assez que l’école républicaine est aux mains de la franc-maçonnerie.

    Ce n’est pas une vue de l’esprit de catholiques "intégristes". C’est un fait assumé et revendiqué par la franc-maçonnerie elle-même, avec l’assentiment de différents ministres successifs en charge de l’éducation nationale.

    On notera à ce sujet que, le samedi 22 juin, l’Institut d’Études et de Recherches Maçonniques (IDERM), émanation du Grand Orient de France, organise sa journée d’études annuelle sur les relations entre la franc-maçonnerie et l’école.

    En voici le programme :

    Journée d’études de l’IDERM 2019 : Les francs-maçons, de l’enseignement à l’éducation.
    Samedi 22 juin, de 9h00 à 17h30, Hôtel du Grand Orient de France (Temple 13), 16 rue Cadet, 75009 Paris
    Informations et contact : eric.saunier@wanadoo.fr ou pierre.mollier@godf.org

    9h00 · Accueil
    9h30 · Allocutions d’ouverture
    10h 00 · Céline Sala, Franc-maçonnerie et éducation au XVIIIe siècle. L’instruction à Perpignan, vitrine maçonnique de la France des Lumières
    10h 25 · Débats
    10h 50 · Sylvain Wagnon, Decroly, pédagogue et franc-maçon
    11h 15 · Céline Bryon-Portet, Les spécificités de l’éducation maçonnique : une auto-formation accompagnée ?
    11h 40 · Débats

    12h 30 Pause déjeuner

    14h 30 · Jean-Paul Delahaye, Les francs-maçons et l’instruction gratuite, laïque et obligatoire au temps de Jules Ferry
    14h 55 · Alexandre Laumond, Du syndicat à la loge : parcours croisés d’instituteurs vosgiens (1920-1980)
    15h 20 · Débats
    15h 45 · Fulvio Conti, Franc-maçonnerie, école et éducation dans l’Italie libérale
    16h 10 · Jeffrey Tyssens, La franc-maçonnerie de la Flandre occidentale devant l’école laïque : une voie exceptionnelle
    16h 35 · Débats
    17h00 · Conclusions

    Le programme de cette journée rappelle ainsi qu’Ovide Decroly était franc-maçon. Il est important de le savoir car ses “innovations” pédagogiques ont connu une grande promotion en Belgique mais aussi en France.

     

     

    En 2015, le Grand Orient de France n’avait pas hésité à clamer “L’école est à nous !” lors d’une journée consacrée à expliquer comment le franc-maçon Jean Zay avait révolutionné l’éducation. Or, cette journée maçonnique se déroulait sous le patronage de Najat Vallaud-Belkacem, cette marocaine alors ministre de l’Education nationale...

    Vincent Peillon, le prédécesseur de Najat Vallaud-Belkacem à l’éducation nationale, avait été tout aussi clair, affirmant même que l’école républicaine devait être une “nouvelle église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi”.