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blanquer

  • Les mensonges du franc-maçon BLANQUER.

    Depuis quelques temps, nous voyons poindre la grosse supercherie en ce qui concerne les évaluations dont se glose le ministre de l’Education .

    Ne nous laissons pas berner – une fois de plus – par le discours de Monsieur BLANQUER qui, en plus d’être un véritable désinformateur – tout comme ses prédécesseurs puisqu’ils s’abreuvent à la même source – continue néanmoins à être perçu – lui – comme le redresseur de torts, ce qui est un comble !

    JM. BLANQUER nous présente la question de l’évaluation comme si nous n’avions jamais évalué le travail des élèves et comme s’il se lançait dans une entreprise destinée à « consolider le grand service public de l’Education Nationale », c’est d’ailleurs ce qu’il prétend sans vergogne.

    En réalité, comme pour tout ce qu’il dit et pour tout ce qu’il fait, il faut aller chercher le « loup », et le « loup », on le trouve toujours !

    Suivons sa trace…

    Un renforcement des évaluations ?

    Le 24 octobre 2018, faisant une communication en conseil des ministres, Monsieur BLANQUER avait affirmé : « pour ‘consolider’ (sic) un grand service public de l’éducation au XXIème siècle, l’Education Nationale s’appuie sur plusieurs leviers de transformation

    «… Pour cela, l’Education Nationale développe une véritable culture de l’évaluation (…):

    « . A côté des évaluations internationales et des évaluations des acquis des élèves, le projet de loi pour l’Ecole de la confiance prévoit :

    « . La création d’une instance nationale d’évaluation des établissements scolaires dans une logique d’audit portant sur :

    • Les enjeux des ressources humaines, budgétaires et pédagogiques,

    • La sécurité,

    • Le climat et la qualité de la vie scolaire… ».

    Ce discours, qui donne l’impression d’un renforcement des évaluations, assène au contraire, la preuve du contraire à qui connaît les arcanes de la désinformation dispensée à jets intermittents mais réguliers par Monsieur Blanquer .

    Le « loup » planqué dans les déclarations de Blanquer

    Pour bien comprendre le discours de BLANQUER, il faut rappeler qu’en vertu de la loi de refondation de l’Ecole du 7 juillet 2013, deux systèmes éducatifs parallèles fonctionnent :

    . un pour les élèves issus de l’immigration – et de l’immigration la plus récente – au sein des réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+), basé sur la transmission du savoir et la recherche de l’excellence des résultats,

    . un pour les autres enfants basé sur des activités qui se substituent aux cours transmetteurs du savoir, sans obligation de résultat, autrement dit, système exactement inverse de celui qui caractérise une institution scolaire, mais conforme à un simple « lieu de vie ».

    Dans ces conditions, il est évident que pour chacun de ces publics, les évaluations ne peuvent pas être les mêmes.

    C’est bien ce que formule Blanquer quand il déclare : «… à côté des évaluations internationales et des évaluations des acquis des élèves … », il dit bien «… à côté… » et non pas, «… en plus… ».

    Autrement dit, il n’y a pas superposition d’évaluation pour un même public, mais deux types d’évaluation pour deux publics différents.

    Deux types d’évaluation pour deux publics différents

    D’une part, les évaluations internationales et l’évaluation des acquis des élèves, qui ne peuvent être destinés qu’à ceux issus de l’immigration au sein des réseaux d’éducation prioritaire (1200 sur le territoire national), puisqu’eux seuls bénéficient non seulement d’une véritable scolarité, mais d’une scolarité d’excellence,

    D’autre part, l’évaluation des établissements pour les autres, cette évaluation ne pouvant évidemment pas porter sur des résultats d’élèves puisqu’il n’y est plus question de faire cours, donc il ne peut pas davantage y être question d’obligation de résultat .

    Et sur quoi va porter l’évaluation des établissements ? Elle va porter sur « les enjeux des ressources humaines et pédagogiques » autrement dit sur le remplacement progressif du personnel qualifié par du personnel sans qualification (professeur remplacé par des « emplois-avenir-professeur » créés par V.Peillon désormais appelés « contractuels »), ce qui constitue la garantie la plus sûre pour que ces personnels n’aient pas la tentation d’enseigner mais seulement d’accompagner les élèves dans leurs activités au cours desquelles ils sont censés construire leur savoir eux-mêmes. Seront également évalués la « sécurité, le climat et la qualité de la vie scolaire » !

    Autrement dit, rien à voir avec des résultats scolaires, seulement une évaluation sur les moyens mis en œuvre dans un établissement-« lieu de vie ».

    Conclusion

    Que va-t-il en résulter ?

    Tout simplement que les évaluations internationales – type PISA – sur les acquis des élèves seront faites essentiellement sur les élèves issus de l’immigration des classes des réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+) à qui est dispensé un enseignement d’excellence avec des « méthodes pédagogiques efficaces » (sic) et pour tous les autres, c’est la disparition pure et simple de l’évaluation des acquis au « profit » de l’évaluation des établissements !

    Et que va nous annoncer Blanquer ?

    Que les résultats enregistrés au cours des évaluations internationales sont satisfaisants, que grâce à lui, grâce à sa politique éducative, de nets progrès sont déjà acquis et que…le niveau monte !!!

    Voilà le tour de passe-passe de ce mêêêr-veilleux Blanquer que vont encore sans doute ne pas manquer d’aduler tous les « cocus-contents ripoublicains » réfractaires à la réalité qui les dérange !

     

  • Blanquer, "ministre du grand remplacement " !

    Le 11/09/18, Blanquer est venu se produire au micro d’un Pujadas, non seulement complaisant mais complice, pour l’aider à justifier ses propos de la veille au micro de JJ.Bourdin sur l’enseignement de l’arabe à l’école et à s’insurger contre les contestations soulevées par cette annonce.

    Comme l’a souligné Pujadas, Monsieur Blanquer est un ministre qui pèse au sein du gouvernement et pour cause ! Il le sert merveilleusement dans sa visée mondialiste dont l’objectif est de détruire l’identité française, notamment par la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration au détriment de nos enfants pour qui l’Ecole devient un simple lieu de vie, et dans le même temps, anesthésiant le public, le bernant en permanence avec des propos mensongers dispensés avec un aplomb et un cynisme dépassant toute mesure * , tout cela, sous des dehors de Monsieur « Propre ».

    Les contestations

    Monsieur Blanquer perçoit mal les contestations et n’hésite pas à fustiger les opposants qui n’avancent rien de plus que des propos de bon sens :

    Ce qui ne l’empêche pas de parler d’ « emballement médiatique, de déformation des propos, de mensonges, de vouloir exciter l’opinion de façon surréaliste, d’exciter les gens les uns contre les autres, d’instrumentaliser le débat pour de petites bassesses politiciennes, de dérive dans le mensonge permanent sur les réseaux sociaux… »  réseaux sur lesquels il n’a aucune prise pour l’instant, raison pour laquelle il les attaque tout particulièrement, car c’est précisément là que se fait le rétablissement de la vérité politique que ce gouvernement cherche à camoufler aux Français.

    Ce qu’il faut retenir des oppositions à cette décision, ce sont deux choses :

    D’une part, qu’il vaudrait mieux d’abord apprendre le français à nos enfants, d’autre part, qu’il y a danger d’islamisation de la France.

    Sans vouloir entrer dans les détails*, il faut dire qu’il n’y a rien d’excessif dans ces propos :

    Apprentissage de la langue française

    Pour ce qui est d’apprendre le français à nos enfants, il faut rappeler que malgré les déclarations – celles-là bien mensongères – de Monsieur Blanquer, il n’a nullement procédé – pour nos enfants – au rétablissement des méthodes dites « syllabiques » de lecture – en réalité alphabétiques – qui seules, permettent de maîtriser la langue et les méthodes semi-globales perdurent, ne permettant pas d’appréhender la très riche culture française.

    D’ailleurs, à cet égard, nous aimerions que Monsieur Blanquer vienne à un quelconque micro, nous détailler les décisions prises pour la valorisation de la langue française à l’école, du primaire à l’université incluse. Nous l’attendons !

    Les méthodes alphabétiques ne sont pratiquées que dans les REP, pour les immigrés, en classes dédoublées !!

    Danger d’islamisation de la France

    C’est d’autant plus cohérent comme propos, que l’arabe est appréhendé à travers la lecture du Coran dont le caractère «religieux » n’échappe à personne et dont le contenu révèle des dangers incalculables, mettant gravement en danger notre société. Vouloir que nos enfants apprennent l’arabe, c’est vouloir les islamiser, il n’y a aucun excès dans ces propos.

    Conclusion

    Fustigeant également les associations qui se mobilisent contre l’éducation sexuelle à l’école, Monsieur Blanquer n’aspire qu’à une chose :  imposer le silence aux opposants, en résumé à tous ceux qui veulent protéger nos enfants et sauver la France !

    C’est cela, la démocratie selon Blanquer, c’est cela un « honnête homme » !

    *cf. ouvrage paru le 05/09/2018 : « blanquer, ce monstre froid »- remède de cheval contre la blanquer-mania –Editions des trianons – sites : chapitre.com ; Chiré.fr ; Duquesne diffusion Paris.

     

    En cette rentrée 2018, Monsieur BLANQUER s’est également produit au micro de Jean-Jacques BOURDIN sur BFM-TV. après un entretien avec Paris-Match la semaine passée d’où il est loisible d’apprécier l’immigrationnisme forcené du ministre et l’évidente collusion des medias avec le ministre.

    Fidèle à lui-même, Blanquer continue à discourir avec le même aplomb, le même cynisme.

    Néanmoins, beaucoup de Français que les faux-semblants de JM Blanquer ont abusés toute l’année passée, commencent à se réveiller d’un mauvais sommeil avec une « gueule de bois » qui risque fort de perdurer !

    Peuple en voie de rééducation ?

    Braves gens qui contestez l’Education Nationale, vous n’allez pas bien du tout ! c’est ce que sous-tend le discours du ministre aidé par le journaliste.

    En effet, pour introduire l’entretien, JJ. Bourdin tend une perche à JM Blanquer qui s’en saisit immédiatement : « Parlons des enseignants – dit-il – parce-que cette phrase que vous avez prononcée, je la reprends chaque fois : ‘un pays qui va bien est un pays qui aime ses enseignants’ , çà c’est clair, on est tous d’accord ».

    Très habile de déplacer le curseur, du système éducatif sur les enseignants. Certes, nous sommes tous d’accord sur le fait que ce ne sont pas les enseignants qui sont responsables de l’incurie de l’Education Nationale et, pour cette simple raison, ce ne sont pas les enseignants que nous n’aimons pas, mais l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, marquée du sceau de la politique éducative poursuivie par nos différents gouvernants depuis des décennies et qui exploitent les enseignants, leur faisant appliquer une politique éducative qui n’est pas la leur. Pour preuve, le taux actuel de démissions du personnel enseignant (près de 20%).

    De plus, cette affirmation laisse supposer que si nous n’aimons pas l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est que le pays ne va pas bien, faisant une inversion « renversante » si l’on peut dire. En réalité, c’est parce que l’école ne va pas bien que nous ne l’aimons pas.

    Cette inversion n’est pas anodine : elle tend à nous signifier que si nous n’aimons pas l’Ecole telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est nous qu’il va falloir rééduquer et peut-être, dans les hôpitaux psychiatriques, qui sait ? car il est à craindre que nous entrions progressivement en dictature où toute contestation étant censée venir troubler l’ordre social, se devra d’être bâillonnée, ce qui est déjà en cours !

    TOUT POUR LES R.E.P.

    (réseaux d’éducation prioritaire)

    Une revalorisation des salaires des enseignants ?…pour les R.E.P.

    Il est ensuite question des enseignants français moins bien payés que dans beaucoup d’autres pays.

    Que prévoit JM Blanquer ? la revalorisation des salaires en REP et REP+ seulement : 1000 euros cette année, 2000 euros l’année suivante et 3000 euros en 2019.

    Dédoublement des classes de CP et CE1 ?…pour les R.E.P.

    Ces dédoublements concernent 60000 élèves en cette rentrée, 190000 en 2019 et 300000 en 2020 … élèves des R.E.P. et des R.E.P.+.

    Rappelons que seul est évoqué le dédoublement, mais en réalité, les méthodes pédagogiques (« efficaces » – sic) et les programmes (« pour donner une culture solide » – resic) ne sont pas du tout les mêmes que ceux destinés à nos enfants, et quand JM. Blanquer prétend qu’il s’agit d’une mesure sociale de lutte contre les inégalités, en réalité il s’agit d’une mesure qui crée des inégalités au détriment de nos enfants, car ce sont les élèves issus de l’immigration qui ont une scolarité d’excellence en opposition avec la scolarité de nos enfants, totalement et volontairement dévoyée par nos gouvernants, et JM.Blanquer « ne corrige nullement le tir » !

    Evaluation des établissements scolaires ?…pour les R.E.P.

    « Sur quels critères ? et les résultats seront-ils rendus publics ? » demande JJ.Bourdin ?

    « C’est tout un sujet de discussion » répond JM. Blanquer. Or, si SON Ecole pour nos enfants était une véritable Ecole, cela ne devrait pas être un « sujet de discussion » : seuls, les résultats scolaires comptent ; or, pour l’Ecole de nos enfants, Monsieur Blanquer évoque l’appréciation du « climat scolaire, les sujets de cantine et toilette à envisager avec les collectivités territoriales… »…tout un programme en effet !

    C’est assez dire si SON Ecole pour nos enfants se réduit à un simple lieu de vie !

    « Les résultats seront-ils rendus publics ? »

    Hésitation de Blanquer… « çà dépend desquels » !

    Evidemment ! seuls les établissements des REP et des REP+ pourront être évalués sur la base de leurs résultats scolaires ! ...

    Développement des internats ?…pour les R.E.P.

    JM. Blanquer prévoit le développement des internats sans préciser, bien évidemment, que ces établissements sont prioritairement réservés aux élèves issus de l’immigration. Il est question de « rapport » qu’il doit recevoir, d’un « grand plan », mais rien ne perce du contenu et pour cause !

    Par contre, l’arabe pour tous…

    JM Blanquer parle de relancer l’apprentissage de la langue arabe et se fait le fervent défenseur de cette langue :

    «L’arabe est une langue très importante comme d’autres grandes langues de civilisation : chinois, russe…il faut développer ces langues, donner du prestige à ces langues, c’est particulièrement vrai pour l’arabe qui est une très grande langue littéraire qui doit être apprise pas seulement par les personnes qui sont d’origine maghrébine ou de pays d’origine arabe.

    « Donc, c’est toute une stratégie qualitative vis-à-vis de la langue arabe que nous allons mener.

    « …A la place de l’apprentissage de l’anglais, cela peut l’apprentissage de l’arabe en CP »

    A noter d’ailleurs qu’il ne s’agit pas de « relancer » (sic) l’apprentissage de la langue arabe mais plutôt de la généraliser  et cette généralisation était prévue dans les circulaires de rentrée de 2016 et 2017 produites par NV.Belkacem, c’est assez dire qu’en tout, JM.Blanquer poursuit la politique de ses prédécesseurs.

    Dans la circulaire de rentrée du 13 avril 2016, il est expressément indiqué que l’enseignement en langues et cultures d’origine (ELCO) qui concernait 92500 élèves à la rentrée 2012et près de 85 000 élèves à la rentrée 2016 et dont la majeure partie des cours était en langue arabe, évoluait vers un dispositif inspiré des sections internationales (EILE – enseignement international de langues étrangères) existant dans le premier degré, dispensé en plus des 24 heures de cours, ouvert à tous les élèves volontaires de CE1, quels que soient l’origine, la nationalité et le niveau linguistique de départ.

    Cet enseignement étant assuré par des enseignants mis à disposition des pays partenaires, la continuité a été assurée dans le cadre des dispositifs bi-langues au niveau du collège.

    L’expérimentation du dispositif a eu lieu à la rentrée 2016 dans des académies pilotes, avec un ajustement à la rentrée 2017 et une perspective de généralisation à la rentrée 2018 et ce, malgré les sonnettes d’alarme, comme celles du député Damien Meslot qui, en 2013, avait déposé une proposition de loi (rejetée) pour interdire le financement des cours d’arabe par des pays étrangers, écrivant : « Des Etats étrangers financent les cours de langues étrangères pour transmettre des messages contraires aux lois de la république, des appels au trouble à l’ordre public sur le territoire national ».

     

     

    Monsieur BLANQUER agit donc en connaissance de cause en poursuivant la politique assassine de l’identité française de ses prédécesseurs sans état d’âme : foulant aux pieds la langue française en laissant perdurer les méthodes ineptes d’apprentissage de la lecture qui grippent le cerveau des enfants durablement, les empêchant d’appréhender la très riche culture française, il valorise au plus haut point la culture arabe qui est le prélude à l’islamisation de la France puisque l’arabe s’appréhende à travers la culture du Coran : il s’agit donc d’un enseignement religieux au sein de l’école dite de la république et…quelle religion !

     

    Et l’éducation sexuelle ?

    Monsieur Blanquer déclare : « On doit protéger les enfants en faisant en sorte que les deux sources d’information pour eux sur ce sujet…c’est la famille et l’école.

    Autrement dit, n’écoutez pas ceux qui contestent le bien fondé de ce qui va être asséné aux enfants à l’insu des parents au sein des établissements ; ceux-là seront systématiquement stigmatisés.

    Voilà le message de Monsieur Blanquer

    « Laissez-nous dérégler vos enfants, assassiner la culture et les valeurs françaises ! SILENCE ! »

     

     

     

  • Les prétextes fallacieux invoqués par Blanquer vis à vis des écoles "hors contrat" .

    «L’esprit qui nous anime, c’est l’esprit de liberté » dit JM BLANQUER ! ...

    Qui l’eut cru ? au moment même où il « veut en finir avec les écoles hors contrat » (sic), écoles entièrement privées, entièrement libres, ne bénéficiant à ce titre d’aucune subvention de l’Etat ou des collectivités territoriales, écoles reconnaissant seulement devoir répondre à une obligation de résultat académique pré-établie et s’y soumettant d’autant plus volontiers que leur but est précisément de cultiver l’excellence.

    Pour cette raison, elles refusent de devoir se calquer sur les délires anti-pédagogiques de l’Education Nationale dont l’indigence des programmes et la nocivité des méthodes n’est destinée qu’à produire des citoyens incultes et manipulables au gré de ceux qui nous détruisent.

    Au nombre de 1300 en France, scolarisant environ 65 000 élèves – alors que les dispositifs d’ « éducation prioritaire » qui cultivent également l’excellence mais pour les élèves issus de l’immigration, scolarisent 1 200 000 élèves – le gouvernement a entrepris de mettre la main sur ces écoles hors contrat.

    Raisons invoquées de la main-mise

    Mais…pourquoi vouloir mettre la main sur des écoles qui se développent chaque année davantage et qui, dans l’immense majorité des cas, satisfont pleinement les parents ?

    La raison "officielle" est celle de « lutter contre la radicalisation » en clair, de vouloir contrôler les écoles islamiques !

    C’est clairement se moquer du monde, jouant sur la peur des français pour les abuser de la façon la plus éhontée, leur faisant croire que la lutte contre la radicalisation passe par là alors que…

    or,  l’Etat a déjà tous pouvoirs pour faire fermer une école islamiste et qu’elle ne le fait pas,

    les principaux foyers de radicalisation se situent essentiellement dans les lieux d’enseignement non déclarés en lien avec des lieux de prières eux-mêmes non répertoriés, que prévoit le ministère pour les détecter quand il suffirait de contrôler tous azimuts et les lieux de prière et les écoles coraniques ?

    Rien ne peut justifier la main-mise sur toutes les écoles hors contrat sous ce prétexte.

    Par ailleurs, pour apporter une justification supplémentaire au renforcement du contrôle des écoles hors contrat, est évoqué le constat de « vraies failles pédagogiques » dans ces écoles: il ne faut pas manquer d’aplomb quand l’Education Nationale est la première à faillir, à fournir à tour de bras des illettrés et des incultes et que JM BLANQUER – grand enfumeur devant l’Eternel – n’a pas du tout l’intention de changer de braquet contrairement à ce que ses déclarations pourraient laisser à penser et s’il y a un lieu où nos enfants sont réellement en danger, c’est bien à l’Education Nationale, ce qui explique d’ailleurs le succès grandissant des écoles hors contrat qui contrarie la politique destructrice de Monsieur BLANQUER.

    Raisons réelles de la main-mise

    Mais…ne nous laissons pas abuser.

    « En toutes choses il faut considérer la fin » concluait Jean de la Fontaine dans la fable « le renard et le bouc ». Quelle fin considère le renard BLANQUER ?

    Mondialiste et immigrationniste impénitent comme son maître MACRON, il entend, à la suite NV. BELKACEM, « mettre au pas » de l’Ecole de la république les écoles hors contrat afin d’empêcher la transmission de la culture française et l’émergence d’une élite française et ce, au bénéfice de l’émergence d’une élite issue de l’immigration formée dans les R.E.P. (réseaux d’éducation prioritaire) et autres structures qui leur sont réservées, voulant contraindre ces écoles hors contrat à suivre les mêmes « programmes » et les mêmes délires anti-pédagogiques de l’Education Nationale que les parents fuient de plus en plus et que les professeurs – les vrais – supportent de moins en moins malgré le silence-radio des syndicats complices.

    Moyens de la main-mise

    Jusqu’à ce jour, une école hors-contrat pouvait être créée librement par simple déclaration avec possibilité d’opposition de la part de l’administration mais pour des raisons non pédagogiques, une entière liberté étant laissée aux créateurs d’écoles à cet égard.

    Le gouvernement précédent représenté par NV.BELKACEM a voulu restreindre la liberté de créer des écoles hors-contrat en faisant voter une loi substituant au régime de déclaration, un régime d’autorisation ; cette loi a été invalidée par le conseil constitutionnel le 25 janvier 2017.

    JM. BLANQUER prend le relais de la marocaine BELKACEM poursuivant le même objectif mais s’y prenant autrement.

    Une loi votée par les sénateurs le 21 février 2018 par 240 voix contre 94 voix vise à restreindre la liberté de création et de fonctionnement des écoles hors contrat. Bien que proposée par une sénatrice UDI Françoise GATEL, les négociations se sont en réalité faites directement avec JM.BLANQUER qui a confié être « très attaché à cette loi ».

    Le texte va être soumis au vote de l’assemblée nationale.

    Contenu de la loi

    Dans le Figaro du 11/02/18, Anne Coffinier souligne que « l’hostilité des services du ministère de l’Education Nationale envers les écoles hors contrat est en contradiction totale avec les déclarations publiques du ministre ».

    En effet ! ne soyons pas dupes !

    L’apparence de simplification pour présenter un dossier de création d’école ne signifie pas pour autant une plus grande facilité de création, bien au contraire !

    Par ailleurs, le texte de loi révèle ce qui était le plus à redouter : un obligatoire alignement des écoles hors contrat sur les contenus et les méthodes de l’Education Nationale , autrement dit, ce texte signe la mort des écoles hors contrat.

    Le « diable étant dans les détails », il a fallu aller « à la pêche » dans l’article 4 nouveau de la loi qui fait référence à l’article 227-1-1 du code pénal mais n’en énonce que la partie modifiée, et c’est précisément là que le bât blesse.

    Désormais, l’article 227-1-1 du code pénal stipule :

    « Le fait, par un directeur d’établissement privé accueillant des classes hors contrat, de n’avoir pas pris, malgré la mise en demeure de l’autorité de l’Etat compétente en matière d’éducation, les dispositions nécessaires pour que l’enseignement qui y est dispensé soit conforme à l’objet de l’instruction obligatoire, tel que celui-ci est défini par l’article L. 131-1-1  du code de l’éducation et permette aux élèves concernés l’acquisition progressive du socle commun défini à l’article 122-1-1 du même code (partie du texte modifiée par la proposition de loi) et de n’avoir pas procédé à la fermeture de ces classes est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende. En outre, le tribunal peut ordonner à l’encontre de celui-ci l’interdiction de diriger ou d’enseigner ainsi que la fermeture de l’établissement »

    La loi votée par le sénat renforçant les contrôles des établissements hors contrat par un contrôle systématique la première année d’exercice et des contrôles inopinés par la suite, cela signifie que ces contrôles s’effectueront forcément en référence à l’ « acquisition progressive du socle commun » et donc, les écoles hors contrat devront calquer méthodes et contenus sur ceux, désastreux de l’Education Nationale dont nous savons que, dans le cadre de la refondation de l’Ecole pour nos enfants, l’axe principal est l’acquisition et la soumission aux valeurs dites de la République.

    Ce n’est pas recevable !

    Comme vient de souligner le rapport de la Cour des Comptes  : « …L’évaluation n’a pas été conçue au sein de l’Education Nationale pour qu’elle devienne grâce à elle, une organisation « apprenante » tirant les enseignements de ses succès comme de ses échecs appréhendés selon des méthodes clarifiées, validées et fondées sur le recueil de données sur les acquis et les besoins des élèves… »

    Conclusion

    En réalité, la volonté diabolique de JM BLANQUER de tuer l’enseignement privé hors contrat est manifeste et s’inscrit dans une logique engagée par ses prédécesseurs.

    De plus, dans le dernier projet de loi de finances, le ministre de l’éducation a également « gelé » les postes financés dans l’enseignement privé sous contrat : aucun poste ne lui a été attribué, contrairement à l’accord conclu en 1992 qui astreint l’Etat à assurer 20% dans le privé et 80% dans le public.

    Pour conclure, notons le cynisme sans cesse renouvelé de JM BLANQUER devant le Sénat au moment de la présentation du texte :

    «… Ce qui se passe à travers cette proposition de loi, c’est tout simplement de conforter la liberté d’enseignement ( !!!) en évitant, comme pour toute liberté, que l’abus de cette liberté ne vienne abimer cette liberté… (applaudissements !… à croire que les sénateurs sont totalement décérébrés !)…toute liberté en effet, peut comporter des abus, et c’est en étant soigneux vis-à-vis de ces abus qu’on est soigneux vis-à-vis de ces libertés… »

    Le choix des mots est « soigneusement » choisi pour apparaître protecteur. « …Conforter la liberté d’enseignement… » autrement dit « davantage contrôler pour plus de liberté », nous avons déjà entendu cela avec NV. BELKACEM, ce qui est d’autant plus compréhensible que l’un et l’autre s’abreuvent à la même source !

    Mais ne nous laissons pas abuser !

    Notre volonté à nous, défenseurs de l’avenir de nos enfants, est au contraire celle de libérer tous les enfants, tous les jeunes, du joug destructeur de l’Education Nationale et nous devons nous y employer par tous les moyens !