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Culture de mort - Page 12

  • Stade de France : à propos de ces images qui ont disparu ! ...

     

    Violences au Stade de France : ils sont tous coupables (le préfet de Police, le ministre de l’Intérieur, la Justice, la Première ministre, le Président de la République…).

     

    ZÉRO POINTÉ : pour le préfet de Police à qui, faute de temps et en dépit des alertes, l’organisation et le contrôle ce rassemblement ont visiblement échappé. Même s’il peut prétendre avoir évité le pire, il a quand même laissé s’installer sans vraiment réagir le trou noir de la racaille au sein de son dispositif.

    Il n’a pas voulu en outre ou pas eu le réflexe de veiller par tout moyen à la conservation des supports vidéo détenus par de tierces institutions, dont on craignait sans doute qu’ils mettent trop à mal des versions officielles très fluctuantes, mais auxquelles il est vrai désormais personne ne croit plus guère...

    ZÉRO POINTÉ : pour le ministre de l’Intérieur Moussa Darmanin, dont les propos cherchaient visiblement à occulter les pillages et les agressions d’une racaille envahissante et fière de son impunité, mais   qu’on veut dissimuler au monde entier dans la perspective fébrile des prochains Jeux Olympiques. En outre, les chiffres officiels à haute volatilité sur la géométrie très variable de la fausse billetterie se sont trouvés constamment démentis par la plupart des sachants et des témoins directs au fur et à mesure de leur arrivée sur les plateaux d’information. Quant au caractère prétendument « nauséabond » du rappel insistant de certaines réalités qui lui déplaisent, le ministre verse une fois de plus dans une rhétorique éculée et dans le déni pour évacuer sa propre responsabilité, sans s’apercevoir qu’il y a de son côté force silences et mensonges qui sentent plutôt mauvais !

    ZÉRO POINTE: pour la Justice dont aucun magistrat – y compris au plus haut niveau  n’a voulu ou eu le réflexe élémentaire de préserver à temps auprès des tiers concernés les  supports  de surveillance vidéo par les réquisitions idoines,   alors que dès  le samedi soir du match, on  savait parfaitement que les débordements observés ne sauraient se réduire  au seul effet de simples désordres de billetterie et que peu de temps après se trouvait confirmé le lancement  de l’enquête du Sénat qui impliquait les sauvegardes nécessaires. À noter que de son côté, l’Assemblée nationale a trouvé dans le calendrier électoral un prétexte opportun pour se désintéresser complètement d’un événement très grave et dommageable pour l’image du pays, mais sur lequel, hors opposition, la plupart des élus de la majorité ont préféré faire profil bas...

    ZÉRO POINTÉ : pour la Première ministre Bornestein, car ses promesses toutes neuves de sincérité et de transparence semblent avoir été immédiatement prises en défaut sur cet événement, sur lequel elle a immédiatement débranché sa communication et dont on voit bien qu’il agace prodigieusement le Président. Ses promenades dans le Calvados lui ont permis de fuir opportunément l’air vicié de la capitale ...

    ZÉRO POINTÉ : pour le président de la République, lui-même, exposé crûment en France et à l’étranger en plein accès de déficit régalien. Il a fait mine, sans convaincre, de considérer que son implication personnelle avait pris fin à l’instant même où il a réussi à arracher in extremis à l’UEFA le transfert de la finale de St Pétersbourg à Paris, même si tout le monde savait dès l’origine qu’une telle finale nécessite normalement une année pleine de préparation.

    ZÉRO POINTÉ :  pour l’UEFA qui ne brille pas par ses initiatives, ni par son empressement pour déterminer l’origine, cerner l’ampleur et pointer les causes d’un fiasco retentissant et dans lequel elle se trouve partie prenante, à moins que le procès Blatter/Piatini ne mobilise toutes ses forces en repoussant à des jours meilleurs l’enquête indépendante qu’elle a promise sur les incidents du Stade de France. N’arrange évidemment pas les choses la récente révélation par le Daily Mail que l’UEFA aurait, sous la pression du Gouvernement français, consenti à expurger son rapport originel des références aux scènes de pillages et d’agression que tout le monde avait vues quasiment en direct.

    ZÉRO POINTÉ :  pour la Fédération française de football (FFF) qui, tout en s’adaptant aux sinuosités des déclarations du pouvoir, n’a pas réalisé qu’au-delà de sa possible mise en cause dans les désordres intervenus, ses supports de gestionnaire pouvaient apporter un concours précieux et même irremplaçable à la justice. On le regrette d’autant plus que l’un de ses directeurs a fait part du caractère extrêmement violent des agressions perpétrées. Mais ce zèle éradicateur va grandement faciliter l’enquête indépendante de l’UEFA en cours en la recentrant efficacement sur des sources « non violentes » bien contrôlées par le pouvoir. Il reste quand même à vérifier d’après les dires d’un ancien directeur du Stade de de France si, avant d’être détruites, les images n’auraient pas essaimé sur d’autres sites plus discrets et plus… soucieux d’une saine conservation des preuves.

    ZÉRO POINTÉ pour le garde des Sceaux, qui a cru bon de se maintenir à saine distance d’un événement, dont tout le monde savait qu’il ne pouvait qu’avoir des prolongements judiciaires, aussi bien en France qu’à l’étranger.

    ZÉRO POINTÉ : enfin pour Aurore BERGÉ, présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée nationale qui, pour désamorcer l’affaire, n’a pas craint d’affirmer dans le style qu’on lui connaît : on a suffisamment d’éléments qui permettent une enquête, comme si la dame avait eu le loisir de visionner personnellement l’ensemble des supports sauvés de l’écrasement. Et quand bien même les éléments restants permettraient une enquête, il n’empêche que l’étendue et les conclusions de cette enquête resteront constamment entachées d’un doute quant aux images irrémédiablement détruites par au mieux l’incompétence, mais probablement aussi la bêtise, sans pouvoir exclure la servilité ou la duplicité des uns et des autres.

    Terminons avec 3 sur 10 pour la RATP qui a montré une fois de plus son art consommé de pourrir la vie des usagers, sans du tout se soucier de savoir si la grève annoncée mettrait ou non en danger le public rassemblé. À retenir pour les prochains Jeux Olympiques ! Par contre, après des informations contradictoires il semble bien qu’un responsable soit parvenu à empêcher l’écrasement des supports vidéo.

    Enfin, un grand bravo à tout ce petit monde dont, après avoir ridiculisé les Sénateurs qui n’en croyaient pas leurs oreilles, les carences conjointes ou synchrones, les déclarations intempestives et contradictoires, les effacements opportuns ou les silences obstinés ont confirmé au monde entier que notre République était plus mensongère qu’exemplaire. Impuissante à reconnaître honnêtement et spontanément ses manques ou ses erreurs, elle se défausse en   accusant sans preuve à la vitesse de l’éclair.  C’est ainsi qu’incapables de dénombrer sérieusement quelques centaines de racailles éparses mais généralement bien connues des services de police, nos dirigeants savent recenser d’un seul coup d’œil pas moins de 70 000 sujets de sa gracieuse Majesté, sans qu’il en manque un seul...  Et il y avait très certainement beaucoup d’images à cacher pour que d’un même mouvement, la FFF et le Stade de France détruisent avec un ensemble confondant tout ce qui aurait pu à la fois impliquer leur responsabilité et révéler les mensonges du pouvoir en place. On appréciera à leur juste mesure les explications fournies, dont on apprend que chacun bidouille dans son coin ses propres délais de conservation des supports vidéo – qui vont de trois jours à un mois, en passant par une semaine – sans qu’il existe apparemment en haut lieu le moindre souci de coordination, ni d’harmonisation entre les différents acteurs en cause et les autorités publiques.

    Il est sûr que nos amis anglais et nos amis espagnols ne vont guère apprécier la fâcheuse propension des supports français à s’auto-effacer sans crier gare, ce qui marque l’émergence d’une sorte de droit local numérique accéléré à l’oubli guère compatible avec la lenteur légendaire de la Justice. On connaît déjà l’opinion du maire de Liverpool qui ne se gêne pas pour dénoncer haut et fort une action coordonnée afin d’occulter ou effacer ce qui gêne.  Mais on préfère rassurer tout de suite nos hôtes : qu’ils ne s’impatientent pas : en dehors des deux malheureux policiers surpris à gazer inopportunément deux individus plus ou moins récalcitrants, il n’y aura pas de coupables. Car, même si elle ne peut prétendre à l’apparat et au faste du Royaume-Uni, la France est un pays qui a ses usages, dont le sérieux est établi. La preuve : cela fait des lustres qu’on n’y recherche même plus les responsables, puisqu’on sait bien chez nous qu’ils ne sont jamais coupables.

    Une consolation quand même :  la France n’est sans doute pas près de se voir confier à nouveau une finale UEFA !

    Le public du rugby ne posant pour la prochaine Coupe du Monde pas du tout les mêmes problèmes que celui du football, reste à craindre l’échéance 2024, celle des Jeux olympiques. D’ores et déjà, le criminologue Alain Bauer a ouvertement et publiquement dénoncé les risques insensés qui pèsent sur l’organisation d’une cérémonie inaugurale présentement conçue à ciel et à fleuve ouverts. Mais on a encore deux ans pour éviter qu’à rebours de sa devise et sans flotter le moins du monde, la capitale du pays, une nouvelle fois, ne sombre incontinent dans le ridicule et le chaos .

     

  • La France en déshérence et les français lobotomisés !

     

    Plus il y des attentats commis au nom d’Allah, des agressions d' islamistes contre des Français, des viols, des coups de couteau ou autres « incivilités », et plus les Français votent pour les ordures qui leur imposent leur remplacement !

    Moins ils votent pour ceux qui, comme Zemmour, Vardon ou Patrick Jardin, essaient de leur remonter la culotte, plus il y a de mesures de confinements avec l’alibi du sanitaire, et plus les Français votent pour les crapules comme Véran, vendus et soumis aux labos.

    Et moins ils votent pour Martine Wonner ou Florian Philippot, qui ont essayé de les informer et de les aider à résister, plus Macron protège les racailles, plus il impose de nouveaux immigrés, plus il se moque ouvertement des Français, en mentant grossièrement, avec son larbin Darmanin, et plus nos compatriotes votent pour LREM et pour Moussa ...

     

  • Nouveau scénario des mondialistes pour contribuer à la dépopulation : les enfants virtuels via le Métaverse !

     

    La description du futur que l’on nous prépare devient de plus en plus abominable. Ces jours-ci, toute la presse britannique fait grand cas des propos de Catriona Campbell, spécialiste britannique de l’"intelligence artificielle".  Celle-ci a sa petite idée pour contribuer à la dépopulation mondiale : le développement des « enfants virtuels » !

    Selon Catriona Campbell, qui vient de publier un livre sur le sujet, les bébés générés par ordinateur, qui coûtent environ 25 dollars par mois, devraient devenir monnaie courante au début des années 2070.

    Propos absurdes d’une amatrice de science-fiction ? Ce serait une erreur de sous-estimer ce nouveau danger qu’elle annonce, elle, comme un bienfait. Outre son expertise en matière d’Intelligence Artificielle, Campbell est également l’une des principales autorités britanniques en matière de technologies émergentes et perturbatrices, et une ancienne conseillère du gouvernement britannique. Selon elle, d’ici 2070, la réalité augmentée et les gants haptiques « sensibles au toucher » rendront l’expérience potentiellement « réaliste ».

    À ce moment-là, près d’un parent sur cinq pourrait décider d’opter pour un bébé numérique plutôt que pour un vrai bébé, estime-t-elle. Cela créera ce que l’on appelle la « génération Tamagotchi » – la première cohorte d’enfants numériques respectueux de l’environnement qui n’épuiseront pas la planète de ses ressources naturelles. Au contraire, ils n’existeront que dans le Métaverse où ils grandiront en temps réel et prendront vie par simple pression sur un bouton.

    Bébés virtuels : Comment fonctionnera la « parentalité virtuelle » ?


    Les parents verront leur progéniture et interagiront avec elle grâce à des lunettes de réalité augmentée et des gants haptiques de nouvelle génération !...

    Ces dispositifs permettent aux utilisateurs de ressentir une sensation de toucher réaliste lorsqu’ils manipulent des objets virtuels ou holographiques.

    Ils ne coûteront rien à nourrir, ne prendront pas de place et resteront en bonne santé aussi longtemps qu’ils seront programmés pour « vivre ». Et ils pourraient être accessibles par le biais d’un service d’abonnement de type Netflix pour seulement 25 dollars par mois. Si le concept peut sembler « peu ragoûtant », il représente une solution viable à long terme pour le contrôle des naissances sans empêcher les gens d’avoir des enfants, explique très sérieusement Campbell.

    « Les enfants virtuels peuvent sembler être un pas de géant par rapport à notre situation actuelle, mais d’ici 50 ans, la technologie aura progressé à un point tel que les bébés qui existeront dans le Métaverse seront indistincts de ceux du monde réel », déclare Campbell. « Au fur et à mesure que le Métaverse évolue, je vois les enfants virtuels devenir un élément accepté et pleinement assumé de la société dans une grande partie du monde développé».

    Le "Meilleur des Mondes" s’annonce de plus en plus infernal !