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  • Le sioniste Macron sera pire que Chirac! ...

    Macron dans les pas de Chirac. Les présidents passent, l’allégeance au lobby juif reste !

     

    Jacques Chirac n’avait pas attendu pour déclarer la France coupable de la déportation des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. A peine élu à la magistrature suprême, payant « sa dette à la communauté juive » selon l’expression de Jean-Marie Le Pen, et à Klarsfeld en particulier qui l’avait ardemment soutenu, Chirac affirmait, le 16 juillet 1995, anniversaire du jour de la rafle du Vel d’Hiv, que « la France commettait ce jour-là l’irréparable », ouvrant ainsi la voie à des demandes de réparations morales et financières sans cesse plus déraisonnables et favorisant une surenchère mémorielle entre les différentes communautés, les descendants autoproclamés de colonisés et d’esclaves réclamant à leur tour des excuses publiques de la France et une forte réparation en espèces sonnantes et trébuchantes.

    Emmanuel Macron a mis ses pas dans ceux de Jacques Chirac dans son discours du 16 juillet 2017 commémorant le 75e anniversaire de cet événement dont les media parlent tant : « Oui, je le redis ici, c’est bien la France qui organisa la rafle puis la déportation et pour presque tous, la mort, des 13 152 personnes arrêtées le 16 et 17 juillet à Paris », a dit le président, avant de fustiger les « accommodements et les subtilités de ceux qui disent que Vichy n’était pas la France », allusion aux propos tenus par Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle et que curieusement Jean-Luc Mélenchon, après avoir dit le contraire, reprend désormais en substance à son compte, et selon lesquels Vichy n’était pas la France car l’Etat français n’était pas la République. Ce qui est d’ailleurs très contestable, les deux assemblées ayant accordé les pleins pouvoirs au maréchal Pétain le 10 juillet 1940 étant tout à fait légales, élues et républicaines.

    Macron a enfoncé le clou, affirmant que « les 16 et 17 juillet furent l’œuvre de la police française ; pas un seul Allemand n’y prêta la main ». « Le temps a fait son œuvre, les témoins parlent, les archives s’ouvrent, les historiens travaillent. Alors la vérité se fait jour, et elle est implacable, irrévocable. La cacher et l’amoindrir insulte notre mémoire collective. » Ce qui fait son œuvre, c’est au contraire le poids chaque jour plus étouffant du politiquement et de l’historiquement correct et ce que feu François Mitterrand avait appelé « l’influence puissante et nocive du lobby juif ».

    On passe volontairement sous silence les études, les analyses qui montrent qu’au contraire le régime de Vichy tant honni a fait ce qui était en son modeste pouvoir pour sauver le maximum de juifs de la déportation.

    L’israélite Annie Kriegel, dans son fameux article du Figaro du 3 avril 1990 sur « l’insupportable police juive de la pensée », se demandait ouvertement si les efforts de l’Etat français n’avaient pas été au final plus bénéfiques aux juifs qu’à la France. Et Eric Zemmour, dans son livre Le Suicide français, citant le livre récent d’un rabbin ayant étudié minutieusement et sans parti pris ces questions, conclut que le maréchal Pétain a sauvé de nombreux juifs de la déportation, contrairement à ce qui s’est passé dans d’autres pays européens où la proportion des israélites déportés a été infiniment supérieure. Mais ce sont là des vérités historiques que le poids de certain lobby empêche de proclamer, sauf à s’attirer des foudres médiatiques voire judiciaires...

     

    Le pauvre Macron en a naturellement profité dans son allocution solennelle pour attaquer l’extrême droite alors qu’il se prétend le président de tous les Français. Rendant hommage aux enfants du Vél’ d’Hiv, victimes « du racisme et de l’antisémitisme », il a rappelé le progrès des idées extrémistes dans la société française des années trente. « La barbarie n’avance jamais à visage découvert. Elle se forge d’abord dans les esprits, ce sont les esprits et les mots qui progressivement font sauter les digues de nos consciences. » Il a martelé que « le racisme et l’antisémitisme » n’étaient pas « morts avec Vichy », en citant les victimes récentes de crimes jugés antisémites, dont Ilan Halimi (2006), les enfants de l’école Ozar Hatorah de Toulouse (2012) et les victimes de l’Hyper Cacher de Vincennes (2015). « Le racisme ordinaire pullule . Et puis un jour, parce qu’on n’a pas voulu voir, le passage à l’acte intervient », a déploré le chef de l’Etat, avant d’exiger, « malgré les dénégations de l’accusé », que la justice fasse « toute la clarté sur la mort de Sarah Halimi », ce qui est une façon tout à fait scandaleuse de peser sur la justice. Cette femme de confession juive a été assassinée par un voisin, dans son appartement à Paris, en avril dernier. Le meurtrier présumé a été mis en examen le 12 juillet pour homicide involontaire, sans toutefois que le caractère antisémite n’ait été pour l’heure retenu comme circonstance aggravante. Mais qu’à cela ne tienne : une personne qui se trouve être juive a été tuée, c’est forcément un crime antisémite. Cela ne se discute même pas. Voilà dans quelle hystérie l’on évolue !

     

    Le chef de l'état est allé encore plus loin, en déclarant, sous les applaudissements de l’assistance : « Nous ne céderons rien à l’antisionisme car il est la forme réinventée de l’antisémitisme. » Des propos extrêmement choquants et lourds de conséquence car cela interdit toute critique un tant soit peu vive de l’Etat d’Israël, des conditions et justifications de sa naissance et de son maintien, de son attitude permanente d’agression à l’égard des Palestiniens et des Etats voisins. A preuve la condamnation systématique par les pouvoirs publics et les tribunaux de leur République des associations appelant au boycott des produits israéliens fabriqués dans les territoires occupés. Ces condamnations sont une façon de montrer que l’entité sioniste est parfaitement habilitée à occuper ces territoires et que tout critique conséquente de la politique de l’entité sioniste est illégitime car potentiellement ou réellement antisémite. Que l’on ne s’y trompe pas, lorsque l’on parle ici et là de la nécessité de la paix entre Israéliens et Palestiniens, il s’agit d’un fieffé mensonge. Ce que les gouvernements occidentaux soumis au lobby israélien demandent en réalité aux populations palestiniennes et à leurs représentants, c’est d’accepter de vivre en esclaves sur des terres où ils sont pourtant chez eux. Curieux que ceux qui ont tant flétri la colonisation française soient souvent les mêmes à trouver parfaitement justifiée l’attitude de l’Etat hébreu en Palestine !

     Preuve que Macron joue à fond la carte du sionisme, il a invité le Premier ministre israélien à cette cérémonie du 16 juillet !  Benjamin Netanyahu y a pris la parole avant d’être reçu, à l’issue de la commémoration, pour un déjeuner de travail à l’Elysée. Dans son allocution, le Premier ministre israélien a qualifié cette invitation de « geste très, très fort » et a défendu l’idée d’une « guerre de civilisation » contre l’islam radical, pour lequel, dit-il, l’agression contre Israël n’est que « la première étape » dans une lutte contre « les valeurs communes » de l’Occident. On voit bien la manipulation qui consiste à présenter les Palestiniens luttant pour la libération de leurs terres et l’octroi d’un Etat digne de ce nom comme des terroristes, des islamistes radicaux, à l’instar des kamikazes réalisant des attentats dans les pays du Vieux Continent.

     

    C’est une façon d’imposer aux chefs d’Etat et de gouvernement occidentaux une politique d’alignement sur l’entité sioniste, sur ses méthodes musclées, ses objectifs géopolitiques, sa vision du monde, sa volonté d’œuvrer activement à un choc des civilisations, c’est-à-dire à une guerre planétaire qui puisse asseoir davantage encore sa domination mondiale.

    Qui ne voit en effet qu’Israël a tout intérêt à la multiplication des attentats en Europe qui valide sa stratégie et sert ses objectifs ? Les aveux de Netanyahu dans son discours du 16 juillet devraient faire réfléchir tous ceux qui ne s’intéressent qu’aux exécutants des attentats et ne cherchent jamais à savoir qui sont et comment procèdent les marionnettistes ! ...

  • Le taux réel du livret A est négatif !

    Coup de théâtre dans la fixation semestrielle du taux du livret A. La formule actuelle de fixation des taux, qui a été modifiée et qui est moins favorable à l’épargnant que la précédente, aurait impliqué de faire passer le taux de 0,75% à 1%. (L’ancienne formule aurait donné 1,25%). Il s’agissait donc d’une mini-aumône, pour ce qui est considéré comme une forme d’épargne populaire, largement répandue.

    Mais même ce taux de 1% a paru excessif au gouverneur de la Banque de France, qui a proposé au gouvernement de laisser le taux à 0,75%, soit sensiblement moins que l’inflation actuellement légèrement supérieure à 1% : le taux réel est donc négatif. Car le gouvernement, avec un empressement surprenant, a accepté quelques heures plus tard la proposition du gouverneur : ce sera 0,75%, taux inchangé donc. Rien ne bougera au 1er août !

    Voilà un comportement extraordinaire : l’Etat définit une formule de calcul totalement arbitraire et encore moins favorable que la précédente.

    Le résultat ne plait pas au gouvernement, qui décide de ne pas appliquer la formule, pourtant définie par les pouvoirs publics. Pourquoi ? Pour permette à la Caisse des dépôts, qui reçoit l’essentiel de l’épargne déposée au livret A, de se financer à faible taux, pour mener à bon marché des opérations voulues par l’Etat, et d’abord le financement des HLM. 

    Moralité : c’est sur le dos de l’épargnant que l’Etat finance ses activités sociales tout en nous imposant une immigration forcenée !

    Et cela pour la forme d’épargne la plus répandue, qui concerne même les plus bas revenus,. C’est à la fois l’arbitraire le plus total et le mépris des épargnants, sans pudeur : il n’y a même pas l’aumône annoncée pour faire passer la pilule. Il est grand temps de séparer l’épargne du pouvoir politique et de mettre dehors ce gouvernement fantoche dont ne voulait pas les français ...

     

    Pendant ce temps, Edouard Philippe promet plus de logements… pour les immigrés

     

     

    Ce mercredi 12 juillet, le premier ministre Edouard Philippe a annoncé la création de 7.500 places d’hébergement pour les demandeurs d’asile et de 5.000 places pour les réfugiés, soit 12.500 nouvelles places d’accueil pour les immigrés.

     «Nous ne sommes pas à la hauteur de ce que doit être la France» en matière de droit d’asile et d’accueil des immigrés, a déclaré Edouard Philippe !

    Le premier ministre a donc présenté un «plan immigration» qui comporte à la fois des mesures d’urgence et des réformes sur le long terme, dont certaines seront rassemblées dans un projet de loi présenté à l’automne.

    Le premier ministre s’est félicité de faux résultats tels que le démantèlement du campement de la porte de La Chapelle, réapparu au même endroit dans les jours qui ont suivi l’opération.

    «40% des demandeurs d’asile n’ont pas accès au logement», s’est lamenté Edouard Philippe qui n’a pas dit un mot des Français vivant à la rue ou dans des taudis et qui mériteraient en priorité l’attention du gouvernement français !

    Persistant dans une politique de préférence étrangère, le gouvernement augmentera donc les places d’accueils des demandeurs d’asile, ce qui portera le nombre total de places à près de 90.000 pour les demandeurs d’asile, indépendamment de celles pour les réfugiés.

    Le premier ministre annonce par ailleurs la nomination d’un délégué interministériel à l’intégration des réfugiés, ce qui va évidemment tout changer...

     

     

  • Les Français spoliés par les taxes sur l’essence ...

     

     

    Le litre de carburant à la pompe va-t-il atteindre 2€ ? En ajoutant à la TICPE une contribution dite « climat énergie » (CCE), autrement appelée taxe carbone, les parlementaires ont renchéri le coût des carburants. Qui plus est, il est prévu une augmentation régulière de la CCE jusqu’à 100 € par tonnes de CO² en 2030. Elle aura alors été multiplié par 14.

    Les parlementaires jouent avec les cours du pétrole

    Au début de la décennie précédente, on peut observer une relative corrélation des prix à la pompe et du prix du baril en euro. La parité euro dollars permet d’atténuer la flambée de l’or noir, côté en dollars américain. La taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) transformée en taxe intérieure de consommation de produits énergétiques (TICPE) était même légèrement déclinante.

    Variation des prix du baril (Brent) et du litre de gazole à la pompe (France)

    Variation des prix du baril (Brent) et du litre de gazole à la pompe (France)

    Source : INSEE, BdF

    En 2014, une contribution « climat énergie » a été introduite. Il s’agit d’ajouter à la TICPE, qui est un impôt proportionnel au volume, une part calculée sur le CO² produit par la consommation d’un litre de carburant.

    Il est prévu une augmentation régulière et forte de la taxe, introduite à 7,5 euros, jusqu’à 100 euros en 2030.

    Jusqu’à maintenant, elle ne s’est pas fait sentir puisque l’augmentation provoquée a été compensée par la baisse des cours du brut. Les automobilistes ont donc été lésés de cette baisse. Les recettes de TICPE ont augmenté de 2 milliards en 2016 pour s’établir à 28,5 milliards €. La TICPE a cette particularité de supporter en sus la TVA, la variation de recettes de la TICPE induit donc une variation supplémentaire de 20% enregistrée en TVA.

    Les français ont été lésé de la baisse des cours du brut

    Les français ont été lésé de la baisse des cours du brut

    Source : INSEE, BdF

    La contribution climat énergie (CCE) doit être convertie en litre de carburant pour être intégrée à la TICPE. Si on retient les valeurs de 2,28 kg de CO² produit pour un litre d’essence consommé et 2,6 pour le gazole, un prix de 100 € la tonnes provoquerait une augmentation de 23 et 26 centimes € par litre respectivement.

    En conséquence, la TICPE a augmenté de 7% sur l’essence et de 26% sur le gazole depuis 2014.

     

    * En régions hors IDF, Corse et Outre-mer

    Source : Douanes

    Convergence des taxes pesant sur l’essence et gazole

    Après avoir longtemps et largement favorisé la filière gazole, l’Etat a changé d’avis et souhaite annuler les avantages fiscaux lui étant accordé.

    En principe, la convergence se fait par une baisse des taxes sur l’essence symétrique à l’augmentation de celles pesant sur le gazole. On peut croire ainsi à une convergence vers un point médian. Il ne s’agit là que d’arguties parlementaires puisque la totalité de cette prétendue baisse est absorbée par la hausse de la CCE.

    Pourrait-on suggérer au gouvernement de faire converger les taxes pesant sur l’essence vers le niveau des taxes gazole ?

    Un plancher à 1,5 € par litre de carburant

    Le gouvernement promet la convergence des taxes pour 2022. Si l’échéancier de l’augmentation de la CCE ainsi que le rythme actuel sont maintenus, la TICPE avant TVA pourrait valoir 72 centimes € vers 2022 soit 86 chargé de TVA. En 2030, la TICPE chargée atteindrait 94 centimes par litre, une augmentation de 80%.

    Ajoutant à cela les prix HT vendeur et la TVA, le litre de carburant pourrait voir le plafond de 1,5 € par litre devenir un plancher. Tout cela sans prendre en compte les variations imprévisibles des cours du brut.