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  • Le gouvernement n' a que du mépris pour les français de souche !

     

     

    Etat d'exaspération

    Les mots employés par le ministre ou par le Président soulèvent un immense problème. Non que ces démonstrations soient normales. En démocratie, en temps normal, elles ne devraient pas avoir lieu. Mais nous ne sommes ni dans des temps « normaux », à moins que l'on ne considère 3,5 millions de chômeurs comme une « norme », ni non plus dans un pays démocratique si l'on en juge à l'aune des violences policières qui ont marqué les dernières manifestations contre la loi El Khomri. C'est bien le problème.

     

    La police disperse une manifestation de protestation contre la Loi Travail

     

     

    Loi travail: 26 policiers et manifestants blessés, 21 interpellations

    Le gouvernement a créé des relations hautement conflictuelles avec une large partie de la population. La loi El Khomri n'est que l'un des aspects de cette situation, mais clairement un aspect essentiel. Le problème de la méthode saute aux yeux. Les divers sondages confirment qu'une majorité absolue des français est opposée à cette loi en l'état. Mais, le gouvernement n'en a cure. Il passe en force sur ce sujet, et l'emploi de l'article 49-3 est ici hautement symbolique. La menace d'une réquisition des grévistes agitée par des membres du gouvernement , et par le Président en privé , s'inscrit dans cette logique d'un usage brutal de tous les moyens dont un gouvernement dispose. Les mots utilisés par le Ministre des transports sont d‘ailleurs significatifs et effrayants. Quand ce Ministre ose dire « Il n'y aura aucune tolérance par rapport à des agissements qui remettraient en cause la grande fête dans laquelle la France s'engage » , se rend-il compte qu'il décrit un politique se réduisant aux « pain et jeux » (Panem et Circenses) de l'Empire Romain décadent? On attend d'ailleurs avec une certaine impatience ce que le gouvernement dira au sujet des émeutes qui ont entaché le début de l'Euro. La fameuse « grande fête » a bel et bien était gâchée et non par des syndicalistes mais par les supporters .

     

    Paris

     

    A Paris, les protestations ont des relents acides

    L'exaspération d'une partie de la population, exaspération qui se nourrit aussi d'autres problèmes, est donc compréhensible. Elle est même palpable, et c'est l'une des preuves de la nature hors sol de ce gouvernement, confit dans les ors de la République, qu'il ne s'en rende même pas compte.

    Le mépris et l'indignité

    Le discours tenu par les divers membres du gouvernement est donc celui de l'indignation. Mais, cette indignation est bien trop sélective pour être honnête. Les militants socialistes ne se sont pas privés, dans l'histoire de ces quarante dernières années soit de soutenir des manifestations interpellant directement des ministres de droite, soit d'apporter, dans la presse, à de telles manifestations. Car, ces dernières font partie — aussi — de la démocratie. Assurément, cette démocratie n'est point apaisée, mais il faut comprendre que cette notion d'apaisement recouvre soit l'existence d'un consensus, mais rien dans la politique menée par ce gouvernement n'y conduit, soit, en réalité le silence de la répression du mouvement social. Et ce silence est bien souvent un silence de mort. Voilà pourquoi cette « indignation » des membres du gouvernement porte à faux.

    Cette « indignation » est donc révélatrice en réalité de deux attitudes. Elle peut nous révéler le mépris profond dans lequel le Présidents comme ses ministres tiennent le peuple dit des « sans dents .

    Lettres géantes Euro 2016 à Lille

     

     

    Cette indignation peut donc traduire un profond mépris, mépris de caste et mépris de classe. Mais, elle peut aussi, et ce n'est pas incompatible, révéler l'incurable bonne conscience qui entoure toute la politique du gouvernement actuel. Comment pourrait-on se révolter contre un gouvernement qui est « bon » par nature? La « gauche » représente le peuple, c'est entendu depuis toute éternité. Quels sont donc ces énergumènes qui osent nous contester? Ainsi, confits dans leur bonne conscience, le ministre comme le Président ne peuvent tout simplement pas se représenter les effets réels, et profondément réactionnaires, des mesures qu'ils font passer avec, d'ailleurs, une rare brutalité. Comment donc des syndicats peuvent-ils s'en prendre à ce gouvernement de « gauche »? Ainsi va la vie en ce cas, et ce gouvernement se pense dans le monde des bisounours mais agit en réalité avec une dureté, un mépris des biens et des personnes et une instrumentalisation de l'ordre public dont on a eu rarement exemple.

     

    Emmanuel Macron

     

     

    Quelle que soit l'explication, et quelle que soit l'attitude qui explique ce comportement, l'effet sur la population en est à tout plein désastreux. Il est aujourd'hui évident pour une large majorité de nos concitoyens que le gouvernement ne proteste pas: il chouine. Telle est donc l'image terrible que ce gouvernement renvoie: dur avec les faibles et soumis aux puissants tant qu'il s'agit de politique, chouinant et pleurnichant dès qu'il est confronté à la moindre opposition. Cette combinaison de brutalité envers les autres et d'auto-apitoiement envers soi-même est dévastatrice en matière d'opinion publique. L'une des conséquences du mouvement social contre la loi El Khomri aura donc été de révéler la véritable nature de ce gouvernement, et de montrer à tous, et au-delà des opinions politiques particulières que l'on peut avoir sur tel ou tel point, sa profonde indignité.

     

  • La France soumise à la charia avec la complicité de tous nos élus .

             De tout temps, les minorités agissantes -encouragées par la bien-pensance (elle-même enfantée par la dictature du « politiquement-correct »)- ont toujours supplanté les majorités pacifiques et silencieuses, notamment dans les domaines politico-ethnico-religieux.

    S’agissant de ce mal allant en s'aggravant qui ronge aujourd’hui notre société -à savoir le fondamentalisme islamique- d’aucuns, inconséquemment (ou idiotement), prétendent que ses adeptes ne sauraient être dangereux pour la paix du monde car « minoritaires ». Et quand on pointe du doigt tel ou tel acte barbare perpétré par ces mêmes fanatiques, la réponse fuse tel un leitmotiv : « Pas d’amalgame ! »… « Ils ne sont pas tous pareils ! ». Certes ! Mais que fait alors cette majorité dite pacifique pour empêcher que se perpètrent et se perpétuent tant de crimes atroces ?

                Il ne se passe un jour sans que l’actualité nous rapporte les exactions des « fous d’Allah » diffusant à travers le monde leur religion de « paix et d’amour » basée sur des supplices, égorgements, assassinats, rapts, lapidations, mutilations, viols, ce que préconise la chariasans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse.

     

                Pour ne citer que la France, de plus en plus de zones urbaines sont la proie des délinquants en tout genre, djihadistes, voyous et terroristes en herbe qui, assurés de leur impunité, sèment la terreur, multipliant sous n’importe quel prétexte les affrontements avec les forces de l’ordre, exprimant à cette occasion une haine et un racisme violents anti-français, anti-chrétien et anti-juif… sans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse.

     

    Il ne se passe un jour sans que les médias -pourtant d’ordinaire discrets et frileux- ne parlent d’insécurité, de violences, de délinquance… Aujourd’hui, les bandes font la loi dans les cités qui sont devenues de véritables zones de non-droit. Les « jeunes », issus principalement de l’immigration arabo-africaine, se livrent à des batailles rangées dignes des plus violents polars. Les actes de guerre, les règlements de compte, les émeutes, les voitures qui flambent, les dégradations d’équipements collectifs, celles des immeubles, des transports en commun, le vandalisme, les incivilités, le bruit, les cambriolages, le racket, le trafic d’armes et de stupéfiants, la multiplication des femmes voilées portant le niqab (plus par signe de provocation que par ferveur religieuse) et d’hommes porteurs de djellabas, l’intégrisme religieux en progression constante, sont monnaie courante et renforcent le sentiment d’insécurité des habitants de ces quartiers… sans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse… rendant actuels ces vers de Théophile de Viau dans son « Elégie » : « Dans ce climat barbare où le destin me range, me rendant mon pays comme un pays étrange… »

    Et pendant ce temps, la contagion du fanatisme s’amplifie et se répand à travers tout le pays… « Vous êtes dans la fabrique à terroristes, ici, sachez-le. Dans les caves des HLM de Clichy, on vend des armes comme je vous vends des aspirines » relatait dans une désespérance extrême un pharmacien de Montfermeil au lendemain des attentats de « Charlie Hebdo »… Depuis lors, aucune leçon n’a été tirée…

    Certes, il est facile d’arguer que « les Musulmans ne sont pas tous pareils »… « ne sont pas tous mauvais »… Seulement quand Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris, déclare : « Je suis extrêmement inquiet de voir la rancœur contre l’islam […] alors que ce sont les musulmans radicaux qui sont en cause », la réalité,  hélas, est imparable.

    Depuis les attaques du 11 septembre 2001 sur les tours jumelles du World Trade Center, en 15 ans, près de 29 000 attentats terroristes mortels ont été perpétrés par des musulmans de par le monde. L’islamisme ne se cache plus et affiche clairement ses ambitions hégémoniques sur le monde occidental qu’il entend soumettre. « Il n’y a pas un islam modéré et un islam violent ; l’islam, c’est l’islam ! », avait déclaré le président turc, Recep Tayyip Erdogan, en 2007.

                Alors que, le 18 novembre 2015, cinq jours après les 130 morts et 352 blessés de Paris, le président de l’Assemblée Nationale, Claude Bartolone, pérore sans complexe : « Il ne faut pas qu’on établisse de lien entre les classes populaires, les banlieues populaires et ces terroristes qui n’ont rien à voir avec ces populations qui n’aspirent qu’à vivre normalement », la corrélation entre les zones de non-droit et la barbarie islamiste s’avère évidente…

    « Pas d’amalgame ! » répètent-ils à l’envi… La volonté de dissocier à tout prix ces actes barbares, monstrueux ou simplement ignominieux de la « religion de paix et d’amour » finit par être une insulte à notre réflexion personnelle car si tous les musulmans ne sont pas terroristes, jusqu'à preuve du contraire, tous les terroristes sont musulmans… et tous ont crié « Allah Akbar » avant de perpétrer leurs crimes ! Et pourtant, ils disent que Daech n’est pas l’islam ! Qu’attendent-ils alors de le prouver sur le terrain et nous épargner leurs jacasseries infâmes ?

    Quand on a une once d’humanité en soi et de raison, on ne se fait jamais l’avocat de l’islam et ces mots du grand voyageur que fut Marco Polo, prononcés en janvier 1300, le confirment et nous ramènent à la triste réalité : « Le musulman militant est celui qui coupe les têtes pendant que le musulman modéré tient les pieds de la victime »..

    Si la majorité musulmane ne se reconnaît pas dans l’image de frayeur et de terreur que véhiculent tant les « fous d’Allah » que les voyous et les truands de nos cités, mais que signifie le silence de cette majorité pacifique, cette passivité, cette inconséquence , cette tolérance vis-à-vis de la minorité radicalisée ou adepte de la voyoucratie et du banditisme ? Elle ne se considère en aucun cas concernée et se contente simplement de regarder et de laisser faire…

    Ainsi, jamais les voix de cet Islam « modéré » ne s’élèvent pour dénoncer tant de barbarie, jamais la moindre pétition pour crier : « Pas en notre nom ! Pas au nom de l’Islam ! »… « NON à la haine ! » Mais quelle est donc cette incapacité arabe à porter un regard critique sur tant de misère humaine ?... Que signifie ce silence affiché par la communauté islamique à l’égard de la racaille radicalisée qui sévit en toute impunité dans les cités ? Les « bonnes âmes », les « humanistes à la conscience pure », prétendent que cette omerta est la conséquence de la peur et de la crainte des représailles que ressentent les habitants de ces quartiers. Si cela est vrai pour certains, pour d’autres, c’est la solidarité qui s’exprime et rien d’autre. Cependant, si les « terrorisés » persistent dans leur silence en s’abstenant publiquement de se désolidariser de la racaille et des terroristes qu’elle engendre, ils leur rendent également hommage en leur montrant leur soumission . 

     Et c’est ainsi que la communauté musulmane, dans sa résignation millénaire, continue -encouragée en cela par la « bien-pensance », le « politiquement correct » et les « moralistes »- d’observer, indolemment, la minorité agissante et ultra-violente (fer de lance de la 5ème colonne) s’érigeant en toute impunité -au nom de Dieu !- en « seigneurs des banlieues ».

    Et bientôt, à l’instar de Diderot, nous pourrons nous écrier : « Il n’y a plus de patrie ; je ne vois d’un pôle à l’autre que des tyrans et des esclaves ».

     

  • " Merluchon" a passé devant le Grand Orient de France son grand oral de candidat à la présidentielle de 2017 !

     

     
     
    mélenchon-godf
     
    Les candidats à la présidentielle de 2017 commencent à passer les uns après les autres leur grand oral devant les francs-maçons du Grand Orient de France. Quelques jours auparavant, le 30 mai 2016, c’est Jean-Luc Mélenchon, le co-fondateur du Parti de Gauche, qui « planchait » lors d’une Tenue Blanche Fermée au temple parisien du GODF, rue Cadet. Le thème était le même : «Refonder la République». Et plus de 250 frères trois points sont venus l’écouter, parmi lesquels Daniel Keller, « grand maître » sortant.
     
    Il faut noter que, selon les usages maçonniques, Mélenchon étant franc-maçon il aurait pu être invité comme frère dans le cadre d’une « Tenue Blanche Ouverte » (où les profanes sont admis) mais c’est en tant que candidat à la présidentielle de 2017 qu’il a été invité et ce fut donc une « Tenue Blanche Fermée » (interdite aux profanes).