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Le maire de Londres est mahométan : le Grand Remplacement avance !

 

 

Le jour de l’Ascension était élu le nouveau maire de Londres. Symbole d’une Europe décadente envahie et défigurée par les minorités ethniques, l’élection s’est résumée en un duel entre un juif milliardaire ultra-sioniste Zac Goldsmith, fils aîné de feu James Goldsmith, lui-même issu d’un père ashkénaze, et représentant le Parti conservateur et le mahométan d’origine pakistanaise Sadiq Khan, candidat du Parti travailliste. C’est ce dernier qui l’a emporté nettement avec dix points d’avance sur son principal concurrent. En page centrale l’ami Scipion de Salm donne tous les détails sur cette élection. Il nous paraît important de tirer ici quelques enseignements de ce scrutin. D’abord il ne faut pas croire que ce qui s’est passé à Londres ces jours-ci ne se produira pas demain, non seulement à l’échelle de la capitale de la France mais même à la tête du gouvernement et de l’Etat. Chaque jour le Grand Remplacement avance et au point où évolue la situation avoir en France un Premier ministre ou un chef de l’Etat mahométan et d’origine extra-européenne est une question de quelques années seulement, tout au plus d’une ou de deux décennies. L’élection de Barack Obama aux Etats-Unis en 2008, puis sa réélection en 2012, ont été un premier signal extrêmement fort. Et l’on sait que ce qui se passe outre-Atlantique préfigure généralement de quelques années ce qui survient sur le Vieux Continent.

Il est par ailleurs très significatif que les deux principaux postulants à la mairie de Londres soient pour l’un un mahométan, pour l’autre un juif. On voit que les pays occidentaux sont de plus en plus sous la coupe de confessions étrangères à l’histoire, à la tradition et à la spiritualité du Vieux Continent. Les peuples autrefois chrétiens sont devenus apostats et, la nature ayant horreur du vide, le judaïsme politiquement organisé d’une part, l’islam dynamique et conquérant d’autre part dominent chaque jour davantage le champ politique, sociétal et spirituel. Il s’agit d’ailleurs d’une fausse opposition puisque les deux courants se rejoignent dans la culpabilisation de l’Occident et dans la volonté d’en finir avec la civilisation européenne, blanche et chrétienne. Ce n’est ainsi pas un hasard si le nouveau maire de Londres a pour priorité, à peine élu, de se rendre au Mémorial de l’Holocauste de la capitale du Royaume-Uni, preuve que, quelle que soit l’origine ethnique et la confession de l’édile, c’est toujours la même contre-religion qui domine et qui impose son joug à tous les Européens qu’elle vise à tétaniser pour leur faire accepter le suicide de leur nation, de leur civilisation, de leur race. Les deux candidats étaient également acquis au “mariage” homosexuel qui, il faut le dire, est hélas passé comme une lettre à la poste chez nos voisins britanniques dont le libéralisme décomplexé repose, il est vrai, sur l’exaltation des libertés individuelles, même et y compris les plus dissolvantes.

 

En toutes choses il convient de regarder la vérité en face. Il n’y a pas de sursaut des Britanniques face à l’invasion et à la submersion de leur pays. Les quelques succès naguère du British National Party ont été fugaces. Son chef historique Nick Griffin a été exclu car jugé trop radical (il ne cachait pas son scepticisme face à la version officielle et obligatoire de la Seconde Guerre mondiale) à l’instar de Jean-Marie Le Pen, lui-même exclu par sa benjamine du mouvement qu’il a fondé et si longtemps présidé pour avoir été insuffisamment respectueux du Dogme. C’est le drame des droites nationales et populistes en Europe : dès qu’elles obtiennent quelques succès électoraux, elles se croient obligées de faire concession sur concession au point souvent de se renier et même de dire le contraire de ce qu’elles affirmaient auparavant. On connaît tous le cas de l’apostat Gianfranco Fini, d’abord néofasciste (il célébrait encore en 1992 le 70e anniversaire de la marche sur Rome de Benito Mussolini et de ses chemises noires), puis postfasciste, puis antifasciste, allant jusqu’à dire en Israël où il s’était recueilli avec une kippa à Yad Vashem  que « le fascisme était le mal absolu ». Pas moins. On dirait du Chirac !

Fini qui est aujourd’hui retiré de la vie politique transalpine a fini à gauche de Berlusconi, condamnant les « dérives droitières et populistes » du célèbre entrepreneur. On a vu également comment avait évolué le parti de feu Jorg Haider qui a accepté naguère une alliance gouvernementale avec les conservateurs et qui a trahi totalement son programme lors de son calamiteux passage aux Affaires. Et une délégation du FPÖ et du Vlaams Belang est allée en Israël brûler l’encens à l’idole. Dès que l’on pose cet acte ô combien significatif, on n’est plus objectivement dans le camp national car les organisations juives défendent le mondialisme, le globalisme, le libre échange, condamnent tout protectionnisme, tout nationalisme (autre bien sûr que l’israélien) et, l’expérience l’atteste, cette concession ouvre la voie à toutes les reptations, à tous les reniements.

 

L’objectif des forces cosmopolites est d’annihiler toute réaction authentique à leurs menées subversives, à leur volonté de détruire les nations européennes et d’instaurer un gouvernement mondial dont l’Union européenne n’est qu’une première étape, déjà très efficace. Il faut donc neutraliser les mouvements patriotes en plaçant à leur tête et dans leurs rangs des alliés objectifs, soit des traîtres reniant tout par carriérisme, par intérêt, soit des idiots utiles croyant que des concessions toujours plus nombreuses sont nécessaires pour parvenir au pouvoir, ce qui conduit pan après pan à liquider les fondamentaux du nationalisme.

Par exemple, lorsqu’un mouvement considéré comme anti-immigrationniste fait l’apologie sans nuances de la contraception et de l’avortement, qu’il ne voit aucun problème au “mariage” gay qui serait aussi peu important que la « culture du bonsaï », il participe objectivement au Grand Remplacement. Car si les Français ne font plus d’enfants, n’ont plus de famille nombreuse, si beaucoup de jeunes gens deviennent homosexuels, si les jeunes Françaises avortent ou sont en permanence sous contraception, il est évident que la substitution de population est ainsi grandement favorisée et accélérée. Qu’un mouvement qui se prétend patriote et national tienne publiquement de tels propos, refuse de combattre pour la famille et la défense de la vie est la preuve que ce parti est devenu une imposture, qu’il est passé à l’ennemi, qu’il promeut la culture de mort, qu’il fait objectivement le jeu des destructeurs de notre nation, de notre race, de notre civilisation, de notre religion et de notre morale.

 

Car tenir de tels discours est non seulement un crime sur le plan politique et démographique, encourage le suicide d’un peuple et d’une nation mais c’est aussi une aberration sur le plan moral. Car la crise que nous vivons n’est pas seulement économique, politique et sociale mais elle est aussi et plus encore morale et spirituelle. La perte des repères les plus fondamentaux, l’abandon des principes vitaux, des valeurs ancestrales est une catastrophe incommensurable. Et lorsque l’on entend congédier (purger a même osé dire le très raffiné Steeve Briois) d’un mouvement les ultimes défenseurs de la famille traditionnelle, de l’accueil et du respect de la vie innocente, de l’exclusivité du mariage hétérosexuel, c’est bien la preuve que ce mouvement a perdu son âme et que la tête en est pourrie.

Or, on le sait, le poisson pourrit toujours par la tête. Et lorsque l’on voit une publication dite nationale et catholique se réclamant explicitement de la devise de Saint Eloi (Dieu Famille Patrie), de celle de Sainte Jeanne d’Arc (Dieu premier servi) soutenir quasi inconditionnellement Marine Le Pen parée de toutes les vertus et attaquer ceux qui dénoncent cette trahison, taire les propos scandaleux sur la sanctuarisation de la contraception et de l’avortement, se livrant ainsi à la plus scandaleuse des désinformations, on se dit que décidément l’on vit l’époque de tous les effondrements, de tous les parjures et de toutes les reniements.

 

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