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le grand remplacement

  • Le "grand remplacement" directement mis en oeuvre par les ambassades et consulats français !

    Le 3 juillet 2017, Jean-René Lecerf, président du Conseil départemental du Nord, a dévoilé un élément important au sujet de l’immigration massive qui nous submerge.

    « Beaucoup de ces jeunes qui arrivent, qui sont guinéens pour un grand nombre d’entre eux, arrivent non pas par bateaux après avoir risqué leur vie, mais par Roissy ou par Orly. »

    « Ce qui veut dire qu’il y a des visas qui leur ont été délivrés par des agents qui dépendent du gouvernement français, qui sont des agents des ambassades ou des consulats, (…) qui n’ont vérifié, ni la fiabilité des documents d’identité, ni la fiabilité des domiciles d’accueil qu’ils indiquent. »

    « Lorsque je dis cela aux autorités nationales ou préfectorales, ils me répondent : « Ah monsieur le président ! Comme si vous ne saviez pas que la corruption existe à un niveau généralisé sans ce type de responsabilité ! «  »

    Mais l’absence de volonté des autorités françaises de mettre fin à cette corruption généralisée dans les ambassades et les consulats français en Afrique ne fait que confirmer l’idée que l’immigration de grand remplacement est bien un plan orchestré au plus haut niveau du gouvernement !

     

  • Le Grand Remplacement " En Marche " toute !

     

    Le Grand Remplacement civilisationnel et identitaire est En marche dans la capitale française. Le quotidien Le Parisien, que l’on ne peut soupçonner d’être politiquement incorrect mais plutôt de faire de l’angélisme, a mené une enquête dans certains quartiers de Paris :

    «Désormais, notre quartier est abandonné aux seuls hommes : plus une femme dans les cafés. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles». 

    A dicter la loi ce sont des hommes dont la journaliste du Parisien tait l’origine mais donne quelques indications :

    « des groupes de dizaines d’hommes seuls, vendeurs à la sauvette, dealeurs, migrants et passeurs, tiennent les rues, harcelant les femmes. »

    Après des années d’accueil à tout va, Le Parisien raconte ce que sont devenus des quartiers radical-chic et bobos parisiens : des zones de non-droit, véritables enclaves dans lesquelles des hommes extra-communautaires dictent une loi proche de la charia.

     

    L’article du Parisien est assez explicite pour être retranscris tel quel :

    « Paris : des femmes victimes de harcèlement dans les rues du quartier Chapelle-Des femmes de ce quartier de l’est de Paris se plaignent de ne pas pouvoir se déplacer sans essuyer des remarques et des insultes de la part des hommes. 

    Ce sont plusieurs centaines de mètres carrés de bitume abandonnés aux seuls hommes, et où les femmes n’ont plus droit de cité. Cafés, bars et restaurants leur sont interdits. Comme les trottoirs, la station de métro et les squares. Depuis plus d’un an, le quartier Chapelle-Pajol, à Paris (Xe- XVIIIe), a totalement changé de physionomie : des groupes de dizaines d’hommes seuls, vendeurs à la sauvette, dealeurs, migrants et passeurs, tiennent les rues, harcelant les femmes.

    Réactions

    Révoltées, des habitantes du quartier ont décidé de lancer une vaste pétition pour dénoncer la situation. Et un quotidien de plus en plus oppressant. Celui des jeunes filles, qui ne peuvent plus sortir seules, porter une jupe ou un pantalon trop près du corps sans recevoir une bordée d’injures : l’une d’elles raconte avoir subi un jet de cigarette allumée dans les cheveux.

     «Des réflexions incessantes»

    «Nous avons toutes droit à un traitement insupportable», souligne Nathalie, 50 ans, qui revendique trente années dans le quartier, et un climat «inédit» ces derniers mois : «Ce sont des injures, des réflexions incessantes. L’ambiance est angoissante, au point de devoir modifier notre itinéraire, notre tenue vestimentaire. Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles». A l’image de cette vieille dame de 80 ans, agressée sexuellement alors qu’elle rentrait dans son immeuble, et désormais retranchée dans son appartement.

     « Un repaire masculin»

    Aurélie, une jeune femme de 38 ans, avoue ne pas reconnaître le quartier où elle vit depuis 15 ans, rue Perdonnet (Xe) : «Le simple fait de circuler est devenu problématique. Le café, en bas de chez moi, un bistrot autrefois sympa, s’est transformé en repaire exclusivement masculin et en permanence bondé : j’ai droit à mon lot de remarques lorsque je passe devant, d’autant plus qu’ils boivent énormément : il y a quelques jours, le simple fait de me mettre à ma fenêtre a déclenché un flot d’injures, et j’ai dû m’enfermer dans mon appartement. Il y a quelque temps encore, j’empruntais le boulevard de la Chapelle depuis Stalingrad, même tard le soir… C’est impensable aujourd’hui».

     Le métro Chapelle, Laure l’évite soigneusement. Comme la place du même nom : «Ces dernières semaines, j’ai été prise au milieu d’une bagarre de vendeurs à la sauvette. Affolée, je me suis mise à crier, et deux d’entre eux ont sorti des couteaux pour me menacer. J’ai cru que ma dernière heure était arrivée. Et ça fait des mois que ma fille de 12 ans ne va plus seule au collège, ni nulle part dans le quartier, d’ailleurs».

     Porter plainte aurait peu d’effet 

    Comment lutter contre le phénomène ? Les femmes de La Chapelle le savent : porter plainte aurait peu d’effets. Alors, d’un commun accord, et sur les conseils de Nadine Mezence, adjointe à l’égalité hommes-femmes du maire (PS) du XVIIIe, elles ont décidé d’organiser prochainement une marche exploratoire. Ensemble, elles parcourront tous les lieux du quartier où elles sont indésirables. Puis, rendront compte, aux pouvoirs publics de leurs observations… En espérant être entendues. A la mairie d’arrondissement, on assure que leurs remarques seront examinées avec la plus grande attention.

    110 opérations de police depuis le mois de janvier

    La question du harcèlement des femmes, et notamment celle de la présence de dizaines de migrants rue Pajol, sera évoquée ce lundi en conseil d’arrondissement par l’élu (LR), Pierre Liscia. Tandis qu’au cabinet du maire (PS) du XVIIIe, Eric Lejoindre, on reconnaît la complexité de la situation : «Les femmes ont un sentiment de vulnérabilité devant cette violence, souvent associée à l’alcoolisation, mais la réponse publique est essentiellement policière».

    Précisément, depuis lancement du dispositif «Barbès respire», au mois de janvier, par le préfet de police avec déploiement de renforts sur le secteur, 110 opérations ont donné lieu à plus de 19 000 évictions de vendeurs à la sauvette et 884 personnes ont été arrêtées. Mais les habitantes, elles, veulent des opérations de plus vaste ampleur pour retrouver leur sérénité perdue…

     Les femmes, une espèce en voie de disparition au cœur de Paris 

    «Désormais, notre quartier est abandonné aux seuls hommes : plus une femme dans les cafés. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles».

    Les habitantes de la Chapelle-Pajol viennent de rédiger une pétition, intitulée «Les femmes, une espèce en voie de disparition au cœur de Paris», qu’elles espèrent voir parapher par de nombreux soutiens et victimes avant de l’envoyer à la mairie, à la préfecture de police et au procureur de la République. Leur demandant de «faire enfin respecter lois et règlement dans les endroits où se fixent les trafiquants, de diligenter des enquêtes sur les filières et de renforcer le nombre de moyens policiers affectés au secteur».

    «Il y a les insultes dans toutes les langues, les vols, l’alcoolisme de rue. Les trafics qui s’enracinent, et les employés de ces trafics, qui nous signifient chaque jour que nous sommes indésirables, nous et nos enfants. Cela doit cesser.»

    Avec le nouveau gouvernement de Macron, il est sûr que cet état de fait qui n’est autre qu’un Grand Remplacement civilisationnel et identitaire continue sa marche en avant !

     

  • Re-ouverture des frontières intérieures: le "Grand remplacement " s' accélère !

     

    Fin du contrôle des frontières intérieures en Union européenne. Contrairement à ce qu’affirmait encore récemment Emmanuel Macron, mentant effrontément, actuellement la France ne bénéficie d’aucune dérogation de Bruxelles pour contrôler ses frontières, ainsi que le prouve cette annonce de la Commission de l’Union européenne lancée hier mardi qui ne concerne pas la France qui ne bénéficiait pas, de toute façon, de cette générosité des eurocrates qui, à Bruxelles, ont autorité sur les Pays membres. Les eurocrates de l’UE vont donc mettre un terme en novembre aux dérogations exceptionnelles accordées à l‘Allemagne, l’Autriche, le Danemark, la Suède et la Norvège, concernant les contrôles aux frontières internes de l’espace Schengen, a-t-elle annoncé ce mardi. Dérogations qui prennent fin et qui n’empêchaient absolument pas l’acceptation obligatoire des quotas d’immigrés imposés par ces mêmes eurocrates sans mandat des peuples, mais qui leur commandent et les sanctionnent lourdement en cas de manquement.

    Bruxelles a donné son accord à l’Allemagne, l’Autriche, au Danemark, la Suède et la Norvège pour une nouvelle prolongation des contrôles de six mois, mais ce sera la dernière fois, a prévenu le commissaire européen à la Migration Dimitris Avramopoulos lors d’une conférence de presse. RFI

     

    Pour ceux qui en doutent encore le Grand remplacement est à venir, ce que nous avons déjà vu n’est rien.

    Seule Marine Le Pen promettait de s’attaquer au problème dés son accession à l’Élysée en suspendant l’accord de Schengen. Le traité de Schengen ayant été conclu entre États indépendamment de Bruxelles, celui-ci peut être abrogé sans passer par les autorités de l’UE et donc avant toutes négociations pour le Frexit ainsi que le prouvent des pays comme la Hongrie ou la Pologne qui ont rétabli leurs frontières sans avoir demandé leur autorisation aux commissaires de Bruxelles, qui rouspètent, menacent, mais n’y peuvent rien.

    Avec Macron ce sera un pont ouvert entre l’Afrique et la France, entre l’Algérie et la France, il l’a affirmé d’Alger en même temps qu’il accusait la France d’être coupable de crime contre l’humanité.

    Mais ce n’est pas tout, il veut fédérer les pays membres de l’UE, de sorte que la France n’aura plus aucun pouvoir sur le contrôle de ses frontières et sur sa sécurité. Macron en sa spécificité de banquier d’affaire au service des gros capitalistes internationaux est pour l’immigration des pays pauvres et musulmans, et/ou perturbés par les guerres. Guerres qui, par ailleurs, sont agitées par les marchands d’armes et les pétroliers, amis de la haute finance que Macron a servis chez Rotschild, a continué de servir à l’Elysée comme secrétaire général de Hollande, avant de les servir comme ministre de l’Économie avec la loi Travail, les ventes trahisons d’Alstom et de SFR etc. Les gros capitalistes mondialistes promeuvent l’immigration afin d’avoir de la main d’oeuvre à bas coût tout en faisant baisser les salaires de France et autres pays de l’Union. Cette Union qui en réalité est l’ennemie de l’Europe dont elle nie la civilisation chrétienne.

    emiliedefresne@medias-presse.info