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gouvernance mondiale

  • Coronavirus et révolution "arc en ciel" .

     

    Pendant le coronavirus, la révolution arc-en-ciel a continué, elle a même avancé et beaucoup !

    Comme elle nous en avait prévenu, la crainte des pandémies est l’une de ses meilleures armes, elle fait souhaiter une gouvernance mondiale.

    L’actualité a eu l’amabilité d’établir peu à peu aux yeux des moins voyants ce point acquis pour nous dès le mois de mars. Certains virus disparaissent tandis que d’autres prennent place parmi les saisonniers, mais il est déjà sûr que l’ombre politique et morale du Coronavirus fait désormais partie des grandes menaces, tels le changement du climat ou le terrorisme, qui déterminent notre comportement. Les gestes barrière et la distanciation sociale marqueront. Et d’autres choses dont on se gardera de dresser la liste (exemples : l’argent liquide est dans le collimateur, le port d’un masque cachant le visage dans la rue est devenu quelque chose de positif, alors que c’était hier le fait des gangsters et des femmes d’Islam enfreignant la loi française). 

    Quand on parle d’infantilisation et de domination des peuples, il ne faut pas oublier de relever ce à quoi sert cette immense manipulation : à la révolution arc-en-ciel.

    Avec la fin du confinement elle a changé son agenda d’information, son livre d’images. Au menu de la semaine dernière, nous avons eu le grand Barnum George Floyd accompagné des petits cirques français, Traoré et autres criminels de banlieue, nous avons eu la remarquable affaire Harry Potter/ JK Rowling, nous avons eu l’allocution d’Emmanuel Macron. Nous avons vu aussi une petite réaction de Marion Maréchal, qui a dit : « Je n’ai pas à m’excuser d’être blanche ». C’est mieux que rien. Mais elle ne semble pas saisir l’unité profonde de la révolution, ni sa façon de progresser : elle monte des opérations successives avec les mêmes militants et les mêmes méthodes pour obtenir une synergie des subversions tout en déconcertant la capacité d’analyse de ses adversaires. De sorte que la plupart de ceux-ci se bornent à crier d’indignation chaque fois qu’apparaît l’une des têtes de l’hydre, sans voir qu’elles appartiennent au même corps.

    Le monde d’après annoncé par Macron et Lemaire a deux caractéristiques principales. Un, il a déjà commencé. Le changement, c’est maintenant, comme on disait bêtement du temps de Hollande. Deux, il ne date pas d’aujourd’hui. Le monde d’après, c’est le monde nouveau rêvé par la révolution, avec ses hommes nouveaux, c’est l’avenir que nous impose peu à peu l’empire arc-en-ciel, suivant un plan tissu de longue main. C’est le monde de Greta Thunberg, d’Al Gore, de Judith Butler, de Mandela, de Rockefeller, Rothschild,  Strong, Sutherhand, accessoirement de Soros. Macron et Lemaire l’ont dit, il a un « volet économique ». Il va falloir produire, consommer, concevoir, différemment d’hier. Les maîtres mots de la chose sont solidarité et responsabilité.

    Le monde d’après suppose l’endettement massif des grandes entreprises garanti par l’Etat, c’est-à-dire le recours à la planche à billets ou à l’emprunt avec la permission de la BCE. Cela veut dire plus de dette, plus de socialisme, moins d’indépendance.

    Comment l’on fera pour empêcher l’inflation dans ces conditions demeure un mystère de la foi arc-en-ciel. Quant aux petits qui n’auront pas eu les reins suffisants pour passer le mauvais cap, ils auront le choix entre mettre la clef sous la porte et vendre. Quant aux salariés des entreprises malheureuses, ils iront grossir les rangs des sportulaires, forme future, en pleine croissance, des ilotes de l’empire. La peur, la peur de tout, de mourir, du ciel qui tombe sur la tête, la peur d’être coupable, de tout, de racisme, de sexisme, de négationnisme, climatique ou autre, tiendra quiet ce troupeau. Le principe de précaution et le risque zéro régiront le moindre de ses gestes.

    Mais le monde d’après sera aussi celui du vivre ensemble républicain et des bonnes personnes. Ici, la lyre révolutionnaire joue abondamment sur la corde antiraciste.

    La gestion de la crise Floyd, Traoré et alii, a été presque aussi spectaculaire que celle du corona. Le dossier médical et judiciaire de l’interpellation et de la mort d’Adama Traoré établit que, selon toute probabilité, les gendarmes sont innocents de ce dont on les accuse.

    D’autre part, au jeu des sept familles, dans la famille Traoré, on ne risque pas de faire une mauvaise pioche en appelant délinquant ou criminel.

    La cause des Traoré est donc exécrable et leur tintamarre a pour premier objet de se protéger eux-mêmes : il ne remue aujourd’hui des foules hexagonales hébétées que parce qu’elles suivent, comme la bourse de Paris suit Wall Street, le grand mouvement lancé aux Etats-Unis autour de George Floyd.

    Ce mouvement est double. Outre-Atlantique, il sert à abattre Trump, président qui déplaît à l’Etat profond américain et aux démocrates. Dans le monde, il sert aussi à abattre Trump, soupçonné de rébellion par la révolution arc-en-ciel, mais surtout à remuer les communautés noires et les communautés immigrées au profit de la subversion des institutions, de la destruction de la civilisation européenne et blanche. Pour l’instant, c’est la composante raciale (et parfois sociale, certains discernant derrière le noir ou l’immigré l’éternel prolétaire victime du grand capital) qui est activée, la composante religieuse restant au repos, Arabes et musulmans demeurant en réserve en ce début d’épisode. 

    Les amateurs de pittoresque sont aux anges tant la négromanie actuelle déborde, avec une inventivité sans complexe. Et chacun de s’y plier, les grands magasins suisses Migros viennent d’exclure de leurs gondoles une friandise au chocolat appelée Mohrenkopf, littéralement tête de maure. Et certaines plateformes de distribution ont ôté de leur catalogue le film Autant en emporte le Vent, qui avait pourtant offert un oscar à l’actrice noire Hattie MacDaniel dans le rôle de la nourrice (Monsieur Oueth !). On s’en offusque ou l’on en rit ici et là, mais rien de cela n’est nouveau. Cela fait belle lurette qu’on pourchasse les nègres en chemise et que l’on a pris l’habitude de dire noirs, hommes de couleur ou blacks pour nègres, qui n’avait pourtant, à la différence de l’américain niggers, rien de péjoratif. Cela fait tout aussi longtemps que la censure “antiraciste” sévit de manière indécente et triomphante, sûre d’elle et dominatrice.

    Le mouvement Floyd ne fait que répéter trente-six mouvements lancés dans un passé récent dont les émeutes de Ferguson à propos de la mort de Michael Bromw en 2014 et 2015 ont révélé le caractère organisé, le soutien systématique apporté par Barack Obama et les démocrates ...

     

  • Macron bâcle les commémorations du centenaire de la Grande Guerre pour lancer ses projets de gouvernance mondiale !

     

     

    Emmanuel Macron était doué pour la comédie si l’on en croit les témoignages de ses condisciples lorsque Brigitte était son enseignante et qu’ils travaillaient ensemble à un projet théâtral...

    C’est sans doute ce qui explique l’air solennel qu’il peut prendre durant ses visites sur les lieux les plus marquants des combats de la Première Guerre mondiale en France, comme aux Eparges, commune de la Meuse qu’il a visitée avec son maire, le Colonel Xavier Pierson, ancien directeur du Mémorial de Verdun.

     

    Mais le même Emmanuel Macron a choisi la date ô combien symbolique du 11 novembre 2018 pour ouvrir à Paris un Forum dont l’objectif est la mise en place de la gouvernance mondiale !

    Sous le nom passe-partout de Forum de Paris sur la paix, c’est bel et bien le Nouvel Ordre Mondial qui se dessine.

    Et pour qu’on ne vienne pas dire que nous exagérons, concentrons-nous simplement sur ce que chacun peut lire sur le site web officiel de ce Forum.

     

    « Le premier Forum de Paris auquel nous vous inviterons le 11 novembre prochain sera aussi l’occasion de réfléchir à l’organisation du monde en marge des commémorations de la fin de la Grande Guerre pour bien souligner quelle est notre responsabilité collective à nous qui devrions savoir mieux que tous nos prédécesseurs ce qui a conduit l’humanité au malheur dans le passé et ce qui pourrait causer sa perte à l’avenir. »

    Emmanuel Macron, le 4 janvier 2018

     

    Autre extrait :

    Le Forum de Paris sur la Paix est une organisation indépendante dont l’initiative a été lancée par le président Macron au cours de l’été 2017. La première édition du Forum de Paris sur la Paix se tiendra du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande halle de La Villette à Paris. Elle sera inaugurée par les chefs d’État et de gouvernement des pays invités par le président de la République française à la suite des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale.

    Présentation des lieux :

    L’espace des débats : des idées et initiatives y seront discutées et développées dans des formats de discussion innovants pour aboutir à des conclusions opérationnelles.

    L’espace des solutions : des projets de gouvernance mondiale y seront présentés par des organisations et des individus qui ont été retenus à la suite d’un appel à candidatures.

    L’espace de l’innovation : un hackathon portant sur la transparence des données financières y sera mené en collaboration avec des challengers et des mentors.

    Et lorsque le lecteur clique sur projets de gouvernance mondiale, il peut lire :

    Le Forum de Paris sur la Paix est la plateforme annuelle des projets de gouvernance mondiale. Conçue comme une réponse aux tensions croissantes dans le monde contemporain, il est fondé sur la conviction qu’une paix durable ne peut être atteinte que par une coopération transnationale. Le Forum de Paris sur la Paix vise ainsi à être le lieu de toutes les solutions de coopération dans les domaines de la paix et de la sécurité, de l’environnement, du développement, des nouvelles technologies et de l’économie inclusive. Chaque année, il convoquera jusqu’à 20 000 personnes issues de la politique, de l’économie, des universités, des médias et de la société civile pour discuter et faire progresser les projets de gouvernance dans ces domaines.

    Le Comité de sélection du Forum de Paris sur la Paix a reçu près de 900 candidatures issues de 116 pays. Parmi celles-ci, 119 projets ont été sélectionnés pour être présentés dans le cadre de la première édition du Forum de Paris sur la Paix qui se déroulera du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande Halle de La Villette à Paris.

    Pour les porteurs de projet sélectionnés c’est l’occasion unique de rencontrer des acteurs de la gouvernance mondiale, de faire connaître et de discuter de leurs idées avec des "experts" ou des "décideurs" et de faire avancer leurs initiatives.

    Le Comité de sélection a étudié toutes les candidatures et a fait son choix au regard de la qualité des projets ainsi que d’une représentation géographique équilibrée. Les porteurs de projet sélectionnés représentent les acteurs clés de la gouvernance mondiale, notamment les organisations internationales ainsi que la société civile et, plus particulièrement, les ONG, les fondations, les think tanks, les universités et les entreprises.

    C’est Jacques Attali et les loges qui doivent être fiers de leur Macron! ...

     

    Aussi est' il est souhaitable que les français manifestent massivement samedi 17 novembre :

    Le 17 novembre, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal

    Après les “bonnets rouges”, voici les “gilets jaunes” qui appellent à une action de résistance au racket organisé par le gouvernement. Nous voici devant une nouvelle illustration concrète de la fameuse opposition entre pays réel et pays légal.
    C’est qu’il faut en avoir conscience, l’Etat républicain (le pays légal) est intrinsèquement antagoniste aux intérêts du pays réel.


    L’Etat républicain pratique la préférence étrangère au détriment des Français.


    L’Etat républicain organise la destruction de la Famille, cellule de base de la société.


    L’Etat républicain, foncièrement maçonnique, combat le christianisme, la foi du pays réel indispensable au salut de la France.


    L’Etat républicain est soumis aux forces occultes, aux lobbies cosmopolites et à leurs puissances d’argent apatrides.


    L’Etat républicain est le vassal du Nouvel Ordre Mondial.


    L’Etat républicain se maintient par le totalitarisme démocratique.

     

     

     

     

  • Notre gouvernement est'il inconscient ou collabo ?

    Au fil des événements et des attentats, il s’avère que la France est gouvernée par des inadaptés, qui sont profondément inadaptables, tellement ils sont pétris de « bons sentiments », prescrits par la Bible pour soixante-huitards attardés. À commencer par le principal élément, le président de la République, socialiste et laxiste bon teint, qui n’a basé sa carrière politique que sur la recherche, toujours et encore, d’un improbable consensus mou, envers ses alliés et sa propre famille politique. Mais qui ne veut pas entendre la colère d’un peuple qui s’exprime à travers les propositions politiques de l’opposition. Pourquoi, dans ces conditions, répète-t-il à l’envi : « unité nationale, unité nationale » ?

    Il n’aurait pas été nécessaire de subir la série d’attentats qui frappent durement notre pays, pour s’apercevoir que ce gouvernement est inconsistant.

    À maintes occasions, il a prouvé sa totale impuissance à prendre des décisions convenablement ajustées aux circonstances. Borné, il s’en tient toujours aux préceptes de son idéologie. Pourtant, l’heure est grave : nous payons, aujourd’hui, l’addition de décennies de laxisme d’État, d’inaction de tous les gouvernements successifs et d’innombrables discours lénifiants d’élites hors-sol, coupées des réalités, avec, en supplément, un manque de courage évident de la part de l’administration judiciaire.

    Nous sommes en lutte contre un ennemi sournois, barbare et qui, loin d’être idiot, profite des faiblesses d’un état en déliquescence, mais le chef de l’État refuse toujours de déroger à nos règles constitutionnelles. En clair, il nous dit : « pas besoin d’avoir recours à des lois d’exception, dans une période d’exception ». On est en guerre ou pas ?

    Il est vrai que notre arsenal juridique nous permet, s’il était strictement appliqué, de faire face au terrorisme, mais il nous faut prendre en compte que le terrorisme islamiste est particulièrement bestial, sauvage et qu’il n’a aucune règle loyalement acceptable. Sa justification ne peut être comprise par personne. Même la psychiatrie renonce à expliquer des actes diaboliques dont les motivations dépassent l’entendement. Il nous faut donc adapter notre droit à cette nouvelle donne. Peut-être qu’il n’est pas nécessaire de faire voter de nouvelles lois, mais il serait tout de même bon de remettre de l’ordre dans notre appareil judiciaire afin de pouvoir accroître les peines et les sanctions. N’oublions pas que les attaques djihadistes en France, depuis l’affaire Merah, en 2012, ont fait près de 250 morts…

    Avec un tel bilan, n’importe quel gouvernement, digne de ce nom, aurait tiré toutes les conséquences de ce carnage et dans ce cas, soit il démissionne, soit il se réveille enfin, pour prendre les mesures implacables qui s’imposent. Manifestement, fidèle à lui-même, il n’a toujours rien compris et poursuit ses litanies teintées d’angélisme postmoderne. Complètement dépassé, il ne gère plus rien ; il se contente de faire de belles déclarations d’intention, mais au final, toujours pas de mesures concrètes susceptibles de redresser une situation qu’il ne comprend pas et dont la conjoncture lui échappe totalement. En attendant il fait de l’esbroufe et nous vend du vent. C’est insupportable !

    Combien faudra-t-il encore de temps à ce gouvernement pour qu’il prenne enfin pleinement conscience du problème islamiste dans sa globalité : immigration, communautarisme, intégrisme, laïcité rabaissée, binationalité, absence de frontières nationales… ?

    Est-il inconscient ou collabo ? ( A priori les deux ...) .

    Claude PICARD