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  • Frais de succession : il faut bien choisir sa banque avant de mourir ! ...

     


     

    Si les frais de succession que réclament les banques au moment de la mort d'une personne coûtent 300 € en moyenne, la facture grimpe parfois au-delà de 2 000 € !

    Plusieurs établissements alourdissent même la note pour les héritiers qui ne sont pas dans la même banque que le défunt.

     

    Les frais de succession facturés par les banques au décès de leur client sont de plus en plus onéreux. En 5 ans, ils ont grimpé de 21%, selon le dernier baromètre du comparateur en ligne MeilleureBanque.com. C'est 8 fois plus que le taux d'inflation sur la même période (2,5%). Si, près de la moitié des banques - de réseau ou en ligne - a limité la hausse des tarifs à moins de 10 %, "l'autre moitié des banques n'y va pas de main morte !", déclare Maxime Chipoy, responsable de Meilleurbanque.com.

     

    Jusqu'à 2 000 € après le décès

    Parmi les banques qui ont le plus augmenté le tarif des frais de succession, on retrouve notamment la Macif (+275 %), Allianz (+ 198 %), eLCL (+114 %), le Crédit Agricole Val de France (+111 %), les différentes caisses du Crédit du Nord (+ 89 %) et la Banque Postale (+ 81 %). 

    Même si ces hausses sont vertigineuses, cela ne signifie pas pour autant que les banques citées pratiquent les prix les plus chers. Selon le baromètre de MeilleureBanque.com, les tarifs vont de 150 euros pour les établissements les moins chers (Crédit agricole Nord- Est, Barclays, Banque populaire des Alpes) à 525 euros pour eLCL. Pour des successions importantes, la facture "va jusqu’à 2 000 € pour la Caisse d'épargne de Normandie", constate le comparateur.

    Une fidélisation forcée

    Pour fidéliser leurs clients, certaines banques allègent la tarification pour les héritiers qui sont dans la même banque que le défunt.


    Ainsi, de nombreuses agences du Crédit mutuel facturent 420 euros pour une succession, mais seulement 120 euros si l'argent reste dans leur banque... Idem pour la Banque Populaire Occitane, qui prélève 270 euros en général, mais seulement 51 euros si les héritiers sont domiciliés chez elle. 

    "Cette pratique – qui a pour but de surtaxer toute sortie d'avoirs – apparaît une nouvelle fois comme un moyen d'enterrer, avec les clients, la mobilité bancaire ! ", conclut Maxime Chipoy.

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  • Algérie : Au moins un demi-million de visas délivrés par an annonce triomphalement l’ambassadeur de France !

     

     

     

     L’Etat Français accélère rapidement le grand remplacement avec des millions de migrants afro-musulmans mais s’y livre dans une relative discrétion, laissant la population faire face au fait accompli.

    Ce n’est qu’au hasard de déclarations d’officiels que l’on peut mesurer l’étendue de cette politique qui devrait, d’ici quelques décennies, voir la population autochtone devenir minoritaire. L’ancien ambassadeur en Algérie Xavier Driencourt indiquait ainsi en octobre que près d’un demi-million de visas étaient délivrés aux seuls algériens.

    Observalgerie (source) :

    L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a assuré lors d’une déclaration à la presse hier jeudi que les problèmes liés à l’obtention du visa vers son pays seraient réglés avant la fin de l’année en cours. « Depuis que je suis arrivé en juillet, j’ai pris les choses en main et toutes les difficultés sont en voie de règlement » a indiqué Xavier Driencourt. Sur un autre volet, l’ambassadeur s’est félicité du nombre des visas délivrés aux algériens par les services consulaires de son pays. « Quand j’ai quitté Alger en 2012, on délivrait 200.000 visas. Aujourd’hui, on délivre 410 000. Nous avons doublé le nombre de visas en cinq ans » a-t-il annoncé. « Nous délivrons presque 40% de visas de circulation. C’est à dire des visas pour deux, trois ou quatre ans. Cela facilite les choses. Ces visas ne sont pas comptabilisés dans les 410 000 que j’ai cités » a-t-il ajouté.

    Ces chiffres sont naturellement à additionner aux masses de migrants d’autres pays afro-musulmans, en plus des clandestins divers actuellement installés dans l’Hexagone !

  • Marisol Touraine ment au sujet des retraites .

    Dans une interview accordée au journal Les Echos le 2 novembre dernier, Marisol Touraine, ministre des Affaires Sociales et de la Santé, a soutenu que « les retraites étaient à l’équilibre et qu’il n’y avait donc pas besoin d’allonger les durées de cotisation ». Cette affirmation démontre que Mme Touraine ne connaît pas la situation du système de retraite français et veut faire croire qu’il n’y a nullement besoin d’une réforme. Elle se trompe. Voilà pourquoi :

    1. Pour la ministre, le régime général serait à l’équilibre. Elle semble ignorer que ce régime ne représente qu’environ 38 % du total des pensions, 116 Mds d’euros sur 240 Mds d’euros de dépenses retraites.  Les complémentaires (Agirc et Arrco) sont largement déficitaires, les caisses seront vides entre 2017 et 2024. La ministre oublie de mentionner aussi le Fonds de solidarité vieillesse, créé en 1994, et qui est aujourd’hui déficitaire de 4 Mds d’euros. De même, Le Fonds de réserve des retraites créé pour combler les déficits à l’horizon 2020, a déjà été siphonné de plusieurs milliards d’euros.

    En même temps, les employés du privé ont vu reculer l’âge de départ à la retraite jusqu’à 62 ans, ont subi une hausse des cotisations en 2014, 2015 et 2016, le gel des pensions et une hausse de la fiscalité avec la mise en place de la Casa (contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie).

    2. Mme Marisol Touraine se moque de cette situation car elle fait partie du secteur public où les retraites sont très majoritairement prises en charge par l’Etat, donc par les contribuables. Dans son constat, elle oublie de préciser que les retraites du public et les régimes spéciaux ne sont pas provisionnés. Les fonctionnaires ne bénéficient pas de caisse comme les employés du privé. Leur cotisation est fictive, celle de l’Etat représente 74.28 %, et même 126 % pour les militaires. Quand un fonctionnaire paye 1 euro de cotisation pour sa retraite, l’Etat en paye 9 ! Dans le privé, ce rapport est de 1 pour le salarié à 1.6 pour l’employeur.

    Pour ce qui est des régimes spéciaux (SNCF, RATP, EDF, etc…), le poids des retraites est estimé à plus de 90 Mds d’euros et le déficit à plus de 6 mds d’euros. Ce « trou » n’apparaît nulle part car il est prélevé directement sur le budget de l’Etat ! ...