Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • La caserne Général Guillaudot (Rennes) réaffectée à l’accueil d’immigrés illégaux !

     

    Alors qu’un bras de fer s’entame entre l’armée et Emmanuel Macron, on apprend que le département d’Ille-et-Vilaine a décidé de réaffecter la caserne Général Guillaudot de Roazhon (Rennes) en centre d’accueil pour loger une centaine d’immigrés illégaux considérés comme "mineurs isolés" ! ...

    France 3 Rennes annonce (source) :

    « Les lieux d’hébergement en Ille-et-Vilaine sont actuellement saturés, c’est pourquoi le département, après consultation avec la préfecture et la ville de Rennes, a décidé de transformer l’ancienne caserne Guillaudot à Rennes, dont il est propriétaire, en lieu d’accueil pour les mineurs non accompagnés. Un site, composé de trois bâtiments, en plein centre-ville qui devrait ouvrir à la fin du mois d’août, pour une centaine de jeunes, une fois réalisés les travaux de sécurisation nécessaires. « Le Département doit assumer avec humanité l’accueil des mineurs non accompagnés. Notre dispositif d’accueil est saturé, nous sommes contraints de faire de l’ancienne caserne Guillaudot, à Rennes, un centre d’hébergement pour une centaine de jeunes » a déclaré Jean‐Luc Chenut, le président du Conseil départemental. »

    Cette caserne désaffectée porte le nom du général Guillaudot, héros de la Résistance. Le pauvre homme doit se retourner dans sa tombe!

     

  • Tombes chrétiennes profanées à Paroy et Tarcenay .

     

    Encore des profanations de cimetières en France qui ne feront pas la une des journaux télévisés ni le sujet de grandes déclarations de politiciens. Et pour cause : les tombes profanées sont chrétiennes...

    Ce sont au moins soixante crucifix en laiton ou en bronze qui ont été volés sur les tombes des cimetières de Paroy et Tarcenay, deux communes du Doubs.

    Michel Chaussarot, maire de Paroy s’est rendu sur place et a appelé la gendarmerie qui est venue compter le nombre de sépultures concernées. Les gendarmes ont dénombré 48 tombes profanées à Paroy et d’autres dans le cimetière de Tarcenay, au sud de Besançon.

    « Je suis indigné! C’est profaner le souvenir des gens« , a déclaré le maire au journal local. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.

    Depuis plusieurs années, l’envolée du cours des métaux aiguise les appétits de voleurs dénués de toute conscience morale. Plusieurs enquêtes ont abouti ces dernières années à des camps de ferrailleurs roms. Mais rares sont les condamnations !

     

  • Clandestins: A Tarbes les riverains élèvent un mur pour bloquer un hôtel destiné aux immigrés .

     

    A Séméac, prés de Tarbes, les habitants ont construit un mur de 2 mètres de haut sur 18 mètres de long afin de bloquer l’accès à un hôtel en cours de transformation en centre d’accueil pour les clandestins. Des dizaines de riverains et commerçants sont à l’origine du mur de la révolte à Séméac dans les Hautes-Pyrénées, un village de près de 5 000 habitants, dans la banlieue de Tarbes. L’action s’est déroulée sans incidents, selon la préfecture. Ce n’est pas courant, mais pour une fois, les citoyens concernés ont pris leurs intérêts en mains au sens propre, avec détermination.
     
    Alors que Macron mène une politique économique d’austérité envers les Français, l’un de ses dispositifs en faveur des immigrés sans papiers, outre une augmentation du budget en leur faveur, a été d’acheter les hôtels Formule1 pour y loger les clandestins et autres immigrants sans papier. Une opération dont le groupe Accor propriétaire des Formule1 ne doit pas se plaindre; l’immigration fait aussi des heureux surtout parmi les milliardaires. 
     

    : « Des voisins d’un hôtel de Séméac ont construit dans la nuit et ce matin un pour barrer… » la route aux .  Facebook

    Laurent Teixeira, responsable du Collectif Séméac qui regroupe les opposants au projet de transformation de l’hôtel, n’est pas contre l’accueil, a-t-il expliqué, «Mais il faut prendre également en compte les citoyens». Hugo Lacoue, buraliste à Séméac et membre du collectif proteste contre l’installation de ce futur centre d’accueil  «dans une zone pavillonnaire». Partout les mêmes récriminations devant le fait accompli. A Séméac les opposants dénoncent «l’opacité» du projet, monté «sans aucune concertation» avec la population locale, et dans «la précipitation», puisque «Rien n’est prévu pour la vie au quotidien des migrants et des habitants de la commune et les structures municipales, comme les cantines et écoles, sont sous-dimensionnées», explique Laurent Texeira.

    Certes le collectif fait bien attention de parler politiquement correct, mais les actes valent plus que des paroles!

    Ce sont 62 établissements de premier prix qui ainsi sont supprimés de l’offre d’hébergement à travers toute la France. Mais le groupe AccorHotels à qui ils appartiennent fait une bonne opération puisqu’il se les fait racheter par la SNI (filiale de la Caisse des Dépôts), qui a trouvé les fonds, peut-être dans la part supprimée des APL aux familles françaises, pour loger les étrangers qui franchissent nos frontières sans y être autorisés.

      Cet hôtel Formule 1 d’une capacité d’accueil de 85 personnes selon la Préfecture, situé aux portes de Tarbes, fait partie des structures d’hébergement et d’accueil, gérées par Adoma (ex-Sonacotra de si mauvaise réputation). La remise des clefs doit avoir officiellement lieu le 25 juillet.

    Alors que les Allocations familiales ont été réduites par Hollande, Emmanuel Macron, son digne successeur, réduit les APL (Aides au logement). Avec la forte augmentation de la CSG au dépend des retraités, ce sont les familles françaises déjà impactées par la crise et le chômage, qui règlent l’addition, pour permettre leur Grand remplacement au profit de l’Oligarchie apatride qui elle n’est pas mise à contribution, et va profiter d’une main d’œuvre bon marché pour s’enrichir toujours plus.

     

    Mais il ne fallait pas élire un "bankster"…

    Emilie Defresne