Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

migrants

  • La caserne Général Guillaudot (Rennes) réaffectée à l’accueil d’immigrés illégaux !

     

    Alors qu’un bras de fer s’entame entre l’armée et Emmanuel Macron, on apprend que le département d’Ille-et-Vilaine a décidé de réaffecter la caserne Général Guillaudot de Roazhon (Rennes) en centre d’accueil pour loger une centaine d’immigrés illégaux considérés comme "mineurs isolés" ! ...

    France 3 Rennes annonce (source) :

    « Les lieux d’hébergement en Ille-et-Vilaine sont actuellement saturés, c’est pourquoi le département, après consultation avec la préfecture et la ville de Rennes, a décidé de transformer l’ancienne caserne Guillaudot à Rennes, dont il est propriétaire, en lieu d’accueil pour les mineurs non accompagnés. Un site, composé de trois bâtiments, en plein centre-ville qui devrait ouvrir à la fin du mois d’août, pour une centaine de jeunes, une fois réalisés les travaux de sécurisation nécessaires. « Le Département doit assumer avec humanité l’accueil des mineurs non accompagnés. Notre dispositif d’accueil est saturé, nous sommes contraints de faire de l’ancienne caserne Guillaudot, à Rennes, un centre d’hébergement pour une centaine de jeunes » a déclaré Jean‐Luc Chenut, le président du Conseil départemental. »

    Cette caserne désaffectée porte le nom du général Guillaudot, héros de la Résistance. Le pauvre homme doit se retourner dans sa tombe!

     

  • Belgique : " retour à l' envoyeur " ...

     

    La Belgique a peur de voir son territoire envahi du côté sud. Pourtant la France ne songe pas à l’annexer ! Ce n’est pas des Français dont elle se protège mais des migrants, lesquels, si la jungle de Calais est évacuée, vont s’installer ailleurs, ce qui a d’ailleurs commencé : appliquant eux aussi le principe de précaution, une trentaine d’individus ont déjà été arrêtés à Adinkerke. Les autorités belges ont donc décidé de fermer leurs frontières. Les contrôles seront réalisés « systématiquement sur les lieux stratégiques connus pour les passages » a indiqué le ministre de l’Intérieur, Jan Jambon.

    Contrairement à ce qu’imagine son homologue français, Bernard Cazeneuve, ceux qui veulent aller en Grande-Bretagne à tout prix ne vont pas se rendre dans un centre d’hébergement dans les Causses ou à Romorantin mais vers un autre port du Nord. C’est donc la crainte de voir les maux de Calais s’exporter vers le port de Bruges-Zeebrugge, d’où partent les ferries à destination de la Grande-Bretagne, qui justifient la décision de Bruxelles. Il s’agit aussi de faire taire la rumeur qui se répandait dans la jungle selon laquelle les Belges seraient plus « ouverts » que les Français, rumeur qui serait le fait des passeurs afin de pouvoir continuer leur coupable activité de l’autre côté de la frontière.

    Ce n’est pas de gaieté de cœur que le chef du gouvernement belge a pris cette mesure à l’encontre de son plus proche voisin avec qui les échanges sont permanents et amicaux. Cela montre que la Belgique n’est pas dupe du discours de notre ministre de l’Intérieur pour résorber cet abcès sur la côte calaisienne, elle ne veut pas faire les frais de cette impuissance. Ceux des « migrants » qui parviendraient à passer à travers les mailles du filet et interceptés en Belgique, où ils ne voudraient pas demander l’asile, se verraient notifier un « ordre immédiat de quitter le territoire » et seraient raccompagnés à la frontière française par la police belge. Retour à l’envoyeur !

    Il s’agit d’une dérogation « temporaire » aux règles de Schengen, a précisé le ministre de l’Intérieur belge. C’est la formule que tous les pays emploient pour rester dans le cadre de la légalité européenne qui ne prévoit qu’une fermeture temporaire et exceptionnelle. Mais quand déjà sept pays de l’espace Schengen ont fermé leurs frontières et pour le même motif, petit à petit ce seront les Etats qui les maintiennent ouvertes qui deviendront l’exception… avant de s’y rallier. En effet, quand un accès est fermé, les passeurs et leurs clients en ouvrent un autre, ce qui conduit le pays victime de cette situation à reprendre lui aussi le contrôle de ses frontières. Quant au caractère « temporaire » ni en Belgique, ni ailleurs il n’y a de date butoir. Son gouvernement a indiqué que cette fermeture « durera autant que nécessaire », c’est-à-dire très longtemps car la crise dite des « migrants » est encore devant nous.

    Les chefs d’Etat et de gouvernement ont beau proclamer qu’il faut tout faire pour conserver « Schengen » ce n’est qu’une imprécation stérile ! La liberté de circulation se réduit chaque jour davantage, « Schengen » devient une coquille vide. Mieux vaudrait le constater et déclarer ces accords caducs au lieu de cet acharnement même pas thérapeutique .

  • Le chantage aux migrants ...

    L’émotion est à son comble. La situation est explosive car passionnelle…
    Comment la gérer d’un point de vue politique avec , en vue, les intérêts supérieurs de la France?
    Comment sortir du chantage compassionnel?

    Examinons tout d’abord le mécanisme mis en place par le politiquement correct au service des “valeurs républicaines” que sont l’égalitarisme (un étranger = un Français) et le multiculturalisme (déconstruction de l’identité française) .
     
    Dans notre univers façonné en profondeur par le christianisme, il est moralement condamnable de discriminer, d’exclure, de rabaisser une personne, un groupe, une communauté, etc. Le christianisme nous enseigne en effet que nous devons protéger les victimes (personnes maltraitées, exploitées réfugiés…)
    Qui pourrait et oserait soutenir le contraire ? Personne.
     
    Or, le “politiquement correct”, sous l’apparence d’une bonne intention – « ne pas discriminer » – dissimule un terrible virus mental. Car il est le dévoiement et l’instrumentalisation à des fins de domination mentale d’une avancée civilisationnelle fondamentale réalisée par et grâce au christianisme : la révélation totale et parfaite du mécanisme victimaire.
    Il y a là une manœuvre mentale d’une grande perversion ; l' idée est de jouer sur le reste de morale chrétienne afin de culpabiliser les masses et d’ostraciser les réfractaires qui critiquent la matrice et ses politiques :
    •Vous critiquez l’immigration de masse : attention vous êtes racistes, vous stigmatisez les étrangers !
    •Vous remettez en cause l’interprétation de certains faits historiques : attention vous êtes révisionniste, vous êtes antirépublicain, vous êtes antisémite !
    . Vous critiquez l’art contemporain : attention vous êtes un réactionnaire de droite !
    ...
     
    Ainsi, par le procédé de la culpabilisation, celui qui critique sera accusé de stigmatiser et il prendra immédiatement la place du bourreau .
     
    Or, le politiquement correct se gardera bien de rattacher ce fond de morale chrétienne aux autres commandements du christianisme : l’amour du prochain, la charité, le pardon, le respect de la vie et de Dieu.
    « Le “politiquement correct”,  c’est la religion de la victime détachée de toute transcendance, l’obligation sociale d’employer une véritable “langue de bois victimaire”, qui vient du christianisme mais qui le subvertit plus insidieusement encore que l’opposition ouverte. "
     
    Or la république laïque mélange les perspectives par cynisme et machiavélisme: de Victor Hugo à François Hollande on crée la confusion entre politique et éthique. Comme l’indique Laurent Fidès, “L’éthique et la politique sont des domaines distincts: l’éthique consiste à agir en considérant toujours la personne comme une fin en soi, tandis que la politique consiste à prendre des décisions au nom de l’unité de la collectivité.”
     
    Il s’agit donc avec ces réfugiés qui viennent de Libye ou d'ailleurs, comme lors de l’ "affaire Léonarda" d’une instrumentalisation des valeurs chrétiennes mises au service des valeurs d' une république qui trahit la France.
     
     
    Calais-migrants-welcome-here