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  • Le Général Bernard Messana réagit aux propos de Macron sur la guerre d’Algérie et le « crime contre l’humanité »

     

     

     

    RÉACTION du Général Bernard MESSANA aux propos de MACRON : Réconcilier les mémoires.

    La colonisation que la France a imposée à l’Algérie a été qualifiée par M. Macron de 
    « crime contre l’humanité », et de « vraie barbarie ». C’est par cet aveu, que cet ancien Ministre, candidat à la présidence de la République, prétendait œuvrer à la réconciliation des mémoires.

    Si l’on en juge par les réactions que ces propos ont provoquées, la réconciliation qu’il a appelée de ses vœux tourne au carnage :

         – A Gauche, le silence est lourd. Ne s’expriment avec passion que certains gauchistes impénitents, descendants des porteurs de valises du FLN. Palpitants d’émotion, ils retrouvent leurs vieilles lunes, ce temps béni où l’on pouvait agonir les prétendus « colons » faisant suer le burnous, dénoncer les tortionnaires parachutistes, pleurer le fellah abattu lors de « corvées de bois », magnifier l’intrépide fellagha aux pieds nus, avide de dignité. Il était donc juste et bon de trahir alors la France pour en « sauver l’honneur »! Ceux là ont totalement oublié qu’en ce temps là, c’était bien la Gauche qui défendait l’Algérie française, guillotinait les terroristes, et mettait aux arrêts de forteresse le général de Bollardière dénonçant la torture.

          – A Droite bouillonne la fureur. Fureur de voir, sur le sol algérien, un candidat à la présidence de la République française humilier une France qu’il accuse de crime et de barbarie. Fureur de le voir ainsi tenir des propos jugés déshonorants envers notre Pays. Dégoût de deviner que cette attitude qualifiée d’indigne n’a d’autre objectif que de racoler les  suffrages des minorités musulmanes d’origine maghrébine installées sur le sol français.

         – Les Pieds-noirs étouffent de colère, et de douleur. Eux savent l’histoire de l’Algérie, car ils l’ont faite, transformant  des terres sous-développées en espaces fertiles, donnant naissance à un Etat moderne. Ils ont inventé cette Algérie que Ferhat Abbas cherchait en vain dans les cimetières. L’Algérie était leur terre de France, bâtie pierre après pierre, ils l’aimaient, la respectaient. Aujourd’hui, en Algérie, au milieu des déchets qui inondent villes et campagnes, Kamel Daoud tonne : « la terre appartient à ceux qui la respectent. Si on en est incapable, autant la rendre aux colons ». Et Boualem Sansal renchérit en invitant «  à reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants », oubliant toutefois que ces colons étaient aussi « enfants » de cette terre.

         – Les militaires encore nombreux qui ont servi en Algérie, appelés ou engagés, sont révulsés. 25 000 de leurs camarades sont tombés sur le sol algérien, en huit années d’un conflit qui, s’il a connu des actions de guerre, s’est voulu avant tout pacification. Les faits d’armes de leurs adversaires n’ont été qu’actes de terrorisme, assassinats, massacres, mutilations, égorgements, bombes dans les lieux publics. L’Armée a rétabli l’ordre, créé écoles, dispensaires. Elle a gagné toutes les batailles qui lui ont été ordonnées. Mais la France du général de Gaulle ne voulait plus d’une Algérie française. La rage au cœur, l’Armée a obéi. 

         – En France, la communauté d’origine algérienne, française ou non, est désorientée. Au sein de cette communauté, nos frères d’armes harkis et leurs descendants, bouleversés, découvrent ce qu’ils considèrent comme une nouvelle trahison de la France à leur égard. Abandonnés en 1962, massacrés en Algérie, parqués en France, ne va t’on pas maintenant les traiter de « collabos » comme osait déjà impunément le faire, sur notre sol, le Président Bouteflika ! Quant à ces Algériens très majoritaires qui ont quitté le bled pour, tout simplement, vivre mieux et en paix en France, ils s’inquiètent de cette agitation qui réveille, chez les Français de souche, la fibre xénophobe. Seuls exultent les islamistes radicaux, et les jeunes paumés des cités. Les premiers nourrissent leur prédication des prétendus crimes de la colonisation, les seconds voient là fonder leur haine envers notre société, et justifier leur révolte.

         – En Algérie même, interloqués par cet acte de contrition inattendu d’un candidat à la présidence de la République française, les responsables exultent et s’esclaffent. Ils n’en attendaient pas tant ! Si la France se veut repentante, on la fera payer, avec les intérêts ! Ceux qui patiemment travaillaient dans l’ombre au rétablissement des liens indispensables entre nos Pays hésitent à comprendre. Cette France qui s’humilie, ils la regardent avec une surprise qui peu à peu devient condescendance, et confine au mépris.
     
    Ce « carnage » s’inscrit parfaitement dans le lamentable et troublant désordre de la campagne présidentielle française. Où est passée la France des Lumières, la France « mère des Arts, des Armes, et des Lois », la France de l’intelligence, du bon sens, des grands hommes d’Etat ? Une Justice à la compétence contestée et à la communication sibylline alterne hâte fiévreuse et lenteurs paralysantes pour cerner les prétendus délits d’un candidat de Droite qui pressent qu’on cherche à le « casser », et irrémédiablement polluer sa campagne. La Gauche s’émiette entre visionnaires généreux du revenu universel tombant comme la manne au désert, et bouillonnants adeptes de l’insoumission. M. Macron, cœur à Gauche, portefeuille à droite, déchire et recoud, en grand écart permanent. Faut-il s’inquiéter de le voir chanter la Marseillaise, marche guerrière, en fermant les yeux ? Et si, comme il l’avoue, il nous « aime furieusement », devons-nous redouter les dérives possibles de cette dévorante passion ? Mais il plait à bien des « djeun’s » modernes que son imprévisibilité provocatrice séduit ; « Macron, c’est une tuerie ! »disent-ils. Au Front national, patiemment, on cultive le discours qui rassemble le noyau frontiste, séduit les mécontents de Droite, attire les mécontents de Gauche.

    Alors peut-être faut-il croire ces experts de la CIA annonçant, de par le monde, et pour les prochaines années, la multiplication des guerres civiles.

     

    Bernard MESSANA
    Officier général (2S)

  • Le « Je vous ai compris! » d’Emmanuel Macron aux pieds-noirs de Toulon… très en colère .

     

    Il est clair que Macron n’a rien compris! Il n’a rien trouvé de mieux pour calmer la colère des pieds noirs que de lancer le fameux « Je vous ai compris » de de Gaulle qui a fait que celui-ci est passé du statut de sauveur de la France qu’il était, à celui de traître, qui lance de grands espoirs pour mieux les trahir.

    «Macron trahison!» en chute dans les sondages…

     

    Si on en juge au parcours de la figure du Judas français qu’est Macron, à l’ENA on apprend à défendre les intérêts de la haute finance cosmopolite, les intérêts de l’industrie énergétique américaine (braderie d’Alstom-énergie), les intérêts des grands groupes de presse apatride (SFR à Patrick Drahi), on apprend à s’adresser en Anglais aux affairistes allemands, et on apprend l’histoire de France à travers les lunettes des terroristes assassins du FLN. Ce qui est certain c’est que ni Macron, ni les mondialistes affairistes qui l’entourent n’ont appris l’Histoire de France… la vraie. Mais la vérité intéresse-t-elle des gens formatés pour trahir la France ?

     

    « Selon un sondage OpinionWay publié vendredi, l’ex-conseiller de Hollande à l’Elysée et ex-ministre de l’Economie, [Emmanuel Macron], recule dans les intentions de vote. Une chute esquissée plus tôt dans la semaine. »

    https://twitter.com/fandetv/status/833001866497781760

    Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant le principal accès du meeting organisé au Zénith de Toulon dans le Var par Emmanuel Macron, le 18 février. Une foule très remontée formée notamment qui scandait : «Macron trahison!».

    Macron : «Je vous ai compris !»

    L’artisan de la loi Travail a tenté de noyer le poisson à Toulon en s’exclamant: «Donc je le dis aujourd’hui, à chacun et chacune dans vos conditions, dans vos histoires, dans vos traumatismes, parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime. Parce que la République, elle doit aimer chacun !», en un français moins châtié que son anglais, certes, mais le pauvre homme n’a fait que l’ENA…

    S’adressant aux rapatriés d’Algérie et aux anciens combattants et victimes de la guerre (1954-1962), Emmanuel Macron les a appelés à ne pas céder à la haine. Lui qui pourtant les a copieusement couvert de haine: «Cette haine, ce ressentiment que vous pouviez avoir, cette peur et cette frustration, elle a été récupérée, ici dans ces terres, on l’a vu dehors, par des marchands de la haine».

    Et d’insister lourdement, lui qui a bien appris sa leçon FLN qui semble être le socle de ce qui s’apprend à l’ENA en matière d’Histoire de France:

    «Je ne veux pas revenir sur les haines recuites, mais j’ai en même temps nommé les choses. On ne vous a dit, ou vous n’avez voulu entendre, qu’une partie de la chose», «J’ai dit en effet les responsabilités de la France quant à son passé, pas simplement en Algérie, quant à notre passé colonial». «Et on doit le regarder en face ce passé colonial, et oui, c’est un passé dans lequel il y a des crimes contre l’humain».

    Par définition un crime est contre « l’humain… Passons! Certes, il y a eu crimes en Algérie, nombreux et atroces, mais surtout contre la France, contre les Français d’Algérie et contre les harkis dans une bataille où de nombreux soldats Français ont donné leur vie pour la cause nationale, une bataille où l’Armée française à vaincu le terrorisme FLN, victoire volée dans les coulisses de la diplomatie gaullienne aux accords d’indépendance d’Evian.  Le mondialiste Macron  a ajouté au drame de l’Histoire, vécu par les soldats, harkis et Français d’Algérie, l’insulte et l’ignominie envers toute la nation Française.

    Des déclarations qui ont au moins le mérite de faire tomber le masque de ce traître formaté de l’ENA à la banque Rothschild, avant d’atterrir comme conseiller de François Hollande à l’Elysée puis de chasser Montebourg de Bercy pour céder le fleuron de l’industrie  française qu’était Alstom-énergie aux Américains qui détiennent grâce à lui un pan important de ce qui faisait avant Macron l’indépendance énergétique de la France. Sans compter qu’à peine huit jours après avoir investi Bercy, il donnait SFR au magnat de la presse qu’est l’Israélo-marocain Patrick Drahi, auquel là encore Montebourg faisait barrage. En échange de bon procédé, Drahi, dont le groupe de presse regroupe la plupart des médias français, a permis à l’inconnu Macron d’émerger subitement par des campagnes de presse sans précédents. 

     Voir sur le même thème: 

     

  • Le révisionniste Macron .

    MACRON ou micron?

    Monsieur MACRON, candidat à la présidentielle et poulain de la BANQUE ROTHSCHILD, a fait cette déclaration ahurissante lors de son passage en Algérie :

    «  La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie et çà fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux pour lesquels nous avons commis ces gestes »

    Macron, ignorant ?

    Est-ce que ce garçon, énarque de son état, et que l’on nous présente comme un brillant sujet, se rend-il bien compte de ce qu’il dit ?

    Est-il à ce point ignorant ou bien est-il un traître ?

    Sait-il que l’Algérie n’existait pas et que c’est l’œuvre de la France ?

    Sait-il ce qui a justifié la présence des français en Algérie ?

    Sait-il que ce sont les français qui l’ont rendu féconde ?

    Sait-il aussi qu’après le départ des français, toutes les structures existantes, créées et entretenues par les français ont été laissées à l’abandon, que désormais, les algériens viennent en France parce qu’ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins les plus élémentaires par eux-mêmes chez eux et que la pompe aspirante de tous les avantages sociaux, véritable caverne d’Ali-baba, les précipitent dans notre pays ?

    Sait-il aussi que les français ont été tellement regrettés dans tous les pays d’Afrique qu’on les retrouve aujourd’hui en masse dans les banlieues  et ailleurs ?

    Sait-il d’ailleurs, que l’on n’a encore jamais vu des populations souffrir du joug implacable de tortionnaires, venir se remettre volontairement sous la houlette de ceux qui les ont torturés ?

    Un multi-révisionnisme forcené

    Sait-il aussi que, dans les années qui ont suivi la décolonisation – dans les années 70-80 – les natifs des pays colonisés déploraient le départ de la France et auguraient de ce qui s’est passé : un naufrage généralisé, ce qui est corroboré par KOFI YAMGNANE, ancien ministre du TOGO, candidat à la présidence de la République qui, dans l’émission « çà vous regarde » sur LCP  et dont le thème était « Afrique, qu’a-t-elle fait de la liberté ? », a répondu à la question du journaliste lui demandant « qu’a fait l’Afrique depuis 50 ans ? » :

    « Le TOGO, mon pays d’origine, n’a rien fait des 50 ans, c’est 50 ans pour rien, puisqu’aujourd’hui, les plus vieux dans les villages – j’ai eu l’occasion de tourner dans l’ensemble des villages du TOGO – les plus vieux disent : « Kofi, c’était tout de même mieux du temps des blancs ». C’est extraordinaire comme aveu d’échec « … C’était quand mieux du temps des blancs… ».
    « Dans nos dispensaires, on n’a pas un flacon de mercurochrome, les blancs nous en donnaient, on était vacciné, on ne l’est plus, les écoles fonctionnaient, il n’y en a plus, il y avait des pistes qui étaient entretenues, il n’y en a plus, c’est vraiment…quand on regarde çà, on a envie d’en pleurer, effectivement… »

    Sait-il aussi que dans ces mêmes années 70-80, les français parcourant les pays qui avaient été colonisés, ont pu faire le constat que partout où la France avait colonisé, les français étaient adorés , ajoutant par contre – sans vouloir être désagréable aux anglo-saxons – que partout où les anglais avaient colonisé, ils étaient détestés.

    Sait-il aussi que c’est seulement à partir des années 90 où les africains sont arrivés en masse et à qui l’on pouvait être en droit de dire : « si vous avez besoin de nous, nous pouvons vous aider chez vous »  – qu’a été créée cette légende d’une colonisation faite au détriment des populations autochtones. Jamais nous n’en avions entendu parler auparavant, seulement 30 ans plus tard… En réalité, c’est la caste mondialiste dont l’objectif est de créer le chaos qui a usé et continue d’user de ce subterfuge éhonté pour bloquer toute éventualité d’aide de ces populations dans leur propre pays.

    Sait-il également que le multi-révisionnisme a fait passer la raison de cette présence étrangère sur notre sol du « c’est parce qu’on est allé les chercher » au « ils fuient la guerre » – cela s’appelle de la désertion – en passant par le « c’est pour nous faire payer la colonisation » pour arriver aujourd’hui à prétendre que les colons français auraient commis un « crime contre l’humanité » ?

    Jusqu’où ira ce révisionnisme forcené ?

    Le Communisme : un baume pour l’humanité ?

    Sait-il, par contre, que les COMMUNISTES ont beaucoup, beaucoup massacré et que c’est le « silence radio » sur ces massacres alors que des millions de morts dans le monde entier sont à porter à leur débit ?

    Sait-il aussi pourquoi, ce silence assourdissant contre ce réel – celui-là – CRIME CONTRE L’HUMANITE ?

    Nous sommes en droit de poser de nouveau cette question à ce pauvre garçon : « Etes–vous un ignorant ou êtes-vous un traitre ou bien tout simplement, avez-vous toute votre tête ? …et  au fait, votre nom, est-ce MACRON ou MICRON  ?