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  • Obama organise le renversement du nouveau gouvernement américain .

     
    BREIZATAO – ETREBROADEL (15/02/2017) Un mois seulement après l’entrée de Donald Trump à la Maison Blanche, un coup d’état est déjà lancé pour détruire le nouveau gouvernement américain. La démission précipitée de Michael Flynn, principal conseiller militaire du président, est le résultat d’une véritable révolution lancée par différentes factions et groupes d’intérêts, dont des agents gouvernementaux fidèles à Barack Obama.

    Flynn s’était simplement entretenu par téléphone avec l’ambassadeur russe aux USA, peu avant l’entrée de Trump à la Maison Blanche, afin de discuter du futur des relations des deux pays. Ayant été accusé de s’être impliqué sur le champ de la diplomatie sans autorisation, Flynn a été violemment attaqué par les médias du système jusqu’à ce qu’il soit démis de ses fonctions.

    Eli Lake offre une analyse pertinente pour Bloomberg (source) :

    Le Représentant Devin Nunes, le président républicain du Comité Permanent pour le Renseignement de la Chambre, m’a dit lundi qu’il voyait les fuites au sujet des conversations entre Flynn et Kislyak [l’ambassadeur russe aux USA, NDLR] comme une partie d’un tout plus large. « Cela apparaît bel et bien comme un effort orchestré pour attaquer Flynn et d’autres dans l’administration » a t-il dit.

    Il poursuit :

    En temps normal, l’idée que des officiels américains s’étant vus confier nos secrets les plus sensibles puissent en divulguer sélectivement afin de saper la Maison Blanche alarmerait ceux qui s’inquiètent d’un autoritarisme rampant. Imaginez si des écoutes d’un coup de téléphone entre le futur conseiller à la sécurité nationale d’Obama et le ministre des Affaires Étrangères d’Iran avait fuité à la presse avant les négociations autour du programme nucléaire ? Les cris d’indignation seraient assourdissants.

    Il précise pourquoi Flynn dérangeait :

    Flynn était une grosse cible pour l’état profond lié à la sécurité nationale. Il avait cultivé la réputation d’un réformateur et d’un critique sans concession des chefs de la communauté du renseignement qu’il a servi en tant que directeur de la Defense Intelligence Agency (DIA) sous Barack Obama. Flynn travaillait à réformer le complexe de l’industrie du renseignement, quelque chose qui menaçait les prérogatives bureaucratiques de ses rivaux.

    Et ajoute que Trump est la cible ultime :

    Finalement, ce fut la décision de Trump de lâcher Flynn. Ce faisant, il a cédé face son opposition politique et bureaucratique. Nunes m’a dit lundi soir que cela ne finirait pas bien. « D’abord c’est Flynn, puis ensuite Kellyanne Conway, ensuite ce sera Steve Bannon et enfin Reince Priebus » a t-il dit. Dit autrement, Flynn n’est que l’apéritif. Trump est le plat de résistance.

    Le journal Washington Free Beacon donne les noms de ceux impliqués dans ces fuites orchestrées à haut niveau pour détruire le gouvernement américain. Sans surprise, ce sont les anciens membres de la Maison Blanche sous Obama (source) :

    Ben Rhodes – l’architecte de l’effort solitaire de la Maison Blanche pour créer ce qu’il a décrit comme une « chambre de résonance pro-Iran » – incluait une petit équipe de travail composée de personnes loyales à Obama qui a inondé les médias avec des histoires visant à éroder la crédibilité de Flynn, d’après ce que révèlent plusieurs sources.

    Et :

    L’opération visait premièrement à discréditer Flynn, un opposant à l’accord sur le nucléaire iranien, afin de handicaper l’administration Trump dans ses efforts pour révéler des détails sur l’accord nucléaire avec l’Iran restés longtemps cachés par l’administration Obama. « Il est indéniable que la campagne pour discréditer Flynn était bien avancée avant le jour de l’inauguration, avec des séries de fuites très troublantes et très politisées destinées à le fragiliser » indique un ancien conseiller à la sécurité nationale ayant des liens étroits avec l’équipe de la Maison Blanche.

    Cet effort des conseillers d’Obama en faveur de l’Iran ne sont probablement qu’un élément d’une campagne beaucoup plus large menée par l’ancien président démocrate. Ce dernier, rompant avec la tradition, est toujours actif dans le débat politique et s’est établi à Washington. Une situation inédite dans l’histoire du pays.

    En réalité, il a constitué un gouvernement parallèle, alimenté par d’innombrables relais à tous les niveaux de l’état américain.

    Il est aussi occupé à mobiliser des dizaines de milliers d’agitateurs sur tout le territoire tandis que les médias dominants et de puissants intérêts financiers attaquent inlassablement la politique du nouveau président.

    Le New York Post donne les détails de ces opérations (source) :

    Obama a une armée d’agitateurs – comptant jusqu’à plus de 30 000 membres – qui combattront son successeur républicain à chaque instant de sa présidence. Et Obama les commandera depuis un bunker situé à moins de trois kilomètres de la Maison Blanche […] Il travaille dans la coulisse à mettre en place ce qui sera en effet un gouvernement parallèle, non seulement pour défendre son héritage menacé, mais pour saboter la nouvelle administration et son agenda populaire « L’Amérique d’abord ».

    On en sait plus sur le système mis en place :

    Il le fait via un réseau d’associations gauchistes menées par « Organiser pour l’Action ». Normalement, vous vous attendez à ce qu’une organisation créée pour soutenir un politicien et son agenda ferme après qu’il ait quitté ses fonctions, mais pas l’OPA d’Obama. En fait, elle se prépare pour la bataille, avec un trésor de guerre de plus en plus important et plus de 250 bureaux dans tout le pays. Dirigée par les anciens conseillers d’Obama et ses cadres de campagne, les archives fiscales fédérales indiquent que l’OPA compte 32 525 volontaires au total […] et a levé plus de 40 millions de dollars de dons.

    C’est ce qui explique l’agressivité de nombreuses célébrités de Hollywood ou du show business US vis-à-vis de la nouvelle présidence. Mais aussi celle des grandes multinationales du pays (voir ici). Des sénateurs républicains connus pour leur appartenance au courant néo-conservateur, s’activent également à participer à ce coup d’état (source).

    Il est probable que Barack Obama entende se représenter en 2020. Mais, plus encore, tente de renverser l’actuel président en le faisant démettre de ses fonctions.

    Il s’agit bien d’empêcher le peuple américain de défendre ses intérêts et d’assurer la victoire des cercles financiers et militaires dont les intérêts sont situés à l’échelle globale. Le spectre de la guerre civile se précise.

     

  • Si la France veut éviter une guerre civile, il faut renvoyer les allochtones .

    Si le Front national a raison de soutenir la police scandaleusement lynchée par les media des jours entiers dans une affaire où l’on ne sait rien de certain et où les pouvoirs publics et la presse préfèrent croire la version des faits d’un “Jeune” plutôt que celle de policiers assermentés, il se garde bien de proposer la seule vraie solution qui est la réémigration de ces populations inassimilables. Quand bien même augmenterait-on en effet les effectifs et les moyens de la police, de la gendarmerie voire de l’armée, quand bien même leur apporterait-on tout le soutien moral et matériel dont elles ont besoin, cela ne réglerait pas le problème de fond. Tant que ces bandes ethniques qui haïssent la France et qui se plaisent à détruire tous les symboles de l’Etat resteront sur le territoire national, il est vain d’espérer un retour durable au calme et une pacification de ces territoires occupés, de ces zones de non-droit où le trafic de drogue, le trafic d’armes et tous les trafics se donnent libre cours. Dès que la police procède à un contrôle d’identité, essaie de démanteler un réseau mafieux, c’est aussitôt l’émeute. Et l’on ne compte plus les guets apens non seulement contre les forces de l’ordre mais aussi contre les pompiers, le Samu, les ambulanciers, les médecins, les chauffeurs de bus. « Rien qu’à Bobigny, les unités de forces mobiles engagées le 11 février au soir ont dû tirer plus de 100 grenades lacrymogènes pour faire reculer les assaillants  » confie au Figaro un gradé des CRS.

    Car les violences consécutives au contrôle d’identité le 2 février de Théodore — que les media ont rebaptisé avec affection Théo et qu’ils font passer pour une victime innocente et un saint à canoniser sur-le-champ — n’ont cessé de s’étendre ces derniers jours, d’Argenteuil à Bobigny, d’Aulnay à Tremblay-en-France, du Blanc-Mesnil à Stains en passant par Neuilly-sur-Marne : voitures et bus incendiés, policiers, pompiers et journalistes caillassés. Dans le Val-de-Marne, le domicile du syndicaliste policier qui a déclaré sur BFMTV trouver le terme “bamboula” « à peu près convenable » fait l’objet d’une “sécurisation”, par peur de représailles. Le policier accusé de viol par Théodore lors de l’interpellation d’Aulnay est, quant à lui, ouvertement menacé de mort sur les réseaux sociaux tandis que, dans les mots d’ordre des émeutiers, le parallèle est établi entre cette affaire et le sort des deux jeunes immigrés de Clichy-sous-Bois, Zyed et Bouna, dont la mort, dans un transformateur électrique après une course-poursuite avec la police, le 27 octobre 2005, avait conduit aux émeutes, contraignant Chirac à décréter un couvre-feu. Ainsi un SMS a appelé à un rendez-vous devant la mairie de Drancy pour en découdre avec les “keufs”, au nom de « Théo, Adama, Zyed, Bouna ». Le 12 février, les pompiers étaient appelés pour un « feu de voiture » dans le quartier du Crozet à Scionzier en Haute-Savoie. En fait de voiture, ils trouvaient un amoncellement de portes en feu, et des bouteilles de gaz déposées à côté. Et pour couronner le tout, les sapeurs-pompiers recevaient des pierres au moment d’intervenir. Et face à tout cela que fait le gouvernement ? Il reçoit les associations dites antiracistes (LICRA, LDH, Sos-Racisme, MRAP…) et écoute deux heures durant le 13 février leurs doléances et leurs récriminations contre la police ! ...

    On marche sur la tête. Les pouvoirs publics ne font pas preuve de laxisme envers les émeutiers. Ils font preuve de complicité active et criminelle envers des délinquants qui insultent, menacent, détruisent et dont la haine de la France et des Français peut conduire à tout moment aux pires extrémités. Face à cela il faudrait, il faudra un pouvoir fort, nationaliste, qui ne se contente pas de demi-mesures et qui procède avec énergie et détermination à une large réémigration des allochtones .

     

  • La franc-maçonnerie, c'est la contre Eglise, une société secrète et la synagogue de satan .

    Commençons d’abord par définir la franc-maçonnerie de

    manière succincte, dans ses fondamentaux, ses grandes

    lignes.

    Depuis sa création, ses défenseurs et adeptes aiment la

    présenter de manière élogieuse, sous un visage respectable. Selon

    le discours officiel maçonnique, la franc-maçonnerie serait un

    club philosophique, une société de bienfaisance philanthropique

    et apolitique qui se prétend tolérante et charitable. Cette

    imposture dure depuis maintenant trois siècles. Ce ne sont

    pourtant pas les détracteurs de la secte qui ont manqué durant

    tout ce temps, ni les aveux de ses membres qui allèrent à

    contresens de cette prétendue charité. Une charité qui est à

    l’évidence chrétienne et non maçonnique.

    La secte n’a jamais accompli ce qu’elle prétend faire. La francmaçonnerie

    a-t-elle accueilli en son sein des pauvres, des gens en

    détresse, en difficulté sociale ? Aucunement. Elle les exclut de ses

    rangs. Consacre-t-elle une partie de son budget à ces personnes

    dans le besoin ? Elle qui prétend être philanthropique, altruiste et

    humaniste.

     

    Qu’est-ce que la franc-maçonnerie ? En quoi consiste-t-elle ?

    Au XIXe siècle, le franc-maçon illuministe Louis Blanc la

    présenta dans sa globalité. Il s’agit, selon lui, d’« une association

    composée d’hommes de tous pays, de toute religion, de tout rang,

    liés entre eux par des conventions symboliques, engagés sous la

    foi du serment à garder d’une manière inviolable le secret de leur

    existence intérieure, soumis à des épreuves lugubres, s’occupant

    de fantastiques cérémonies, mais pratiquant d’ailleurs la

    bienfaisance et se tenant pour égaux quoique répartis en trois

    classes, apprentis, compagnons et maîtres : c’est en cela que

    consiste la franc-maçonnerie. »1 D’après ses statuts, « la franc-maçonnerie,

    institution essentiellement philanthropique,

    philosophique et progressive, a pour objet la recherche de la

    vérité, l’étude de la morale et la pratique de la solidarité, elle

    travaille à l’amélioration matérielle et morale, au perfectionnement

    intellectuel et social de l’humanité. Elle a pour principe la

    tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi-même et la

    liberté de conscience. (…) Elle a pour devise : Liberté, Égalité,

    Fraternité... La franc-maçonnerie a pour devoir d’étendre à tous les

    membres de l’humanité les liens fraternels qui unissent les francs-maçons

    sur toute la surface du globe. (…) Le franc-maçon a pour

    devoir, en toute circonstance, d’aider, d’éclairer, de protéger son

    frère même au péril de sa vie et de le défendre contre l’injustice. »

    Ceci est la devanture de la secte maçonnique... Sa définition

    officielle et séduisante pour tromper le grand public.

    Dans un esprit semblable, le haut initié Ragon présenta la

    franc-maçonnerie telle qu’elle prétend être. Il délivra une sorte de

    définition politiquement correcte volontiers reprise par les médias

    de masse : « La franc-maçonnerie est une association universelle,

    soumise aux lois de chaque pays. Elle est, dans chaque État

    comme dans chaque loge, une société intime d’hommes de choix,

    dont la doctrine a pour base l’amour de Dieu, sous le nom de

    Grand Architecte de l’Univers, et l’amour des hommes ; pour

    règle, la religion naturelle et la morale universelle. Elle a pour

    cause la vérité, la lumière, la liberté ; pour principe, l’égalité, la

    fraternité, la bienfaisance ; la persuasion et le bon exemple ; pour

    fruit, la vertu, la sociabilité, le progrès ; le perfectionnement et le

    bonheur de l’humanité, qu’elle tend à réunir sous une seule

    1 Histoire de la Révolution française de Louis Blanc, 1847.

     

    bannière. Elle a son centre et son empire où est le genre humain ;

    elle n’est point une société secrète, mais une société qui a un

    secret. »1

    Cette définition contient, à l’évidence, de nombreux

    mensonges au regard de ce qu’est réellement la franc-maçonnerie,

    de ce qu’elle a accompli depuis trois siècles. Trois cents ans

    d’imposture puisque la secte continue, malgré son lourd passif, à

    se faire passer pour ce qu’elle n’est pas ; la propagande

    médiatique rejoignant, encore aujourd’hui, la description

    déformée de Jean-Marie Ragon.

    Les francs-maçons parlent en effet de vertus alors que leur

    ésotérisme en est très éloigné ; de vérité alors que la libre pensée

    en est la négation ; de patrie alors que leur seule patrie est la

    république, autrement dit l’anti-France, le parti de l’étranger ; de

    progrès humain et de fraternité alors que l’humanité n’a jamais

    connu autant d’injustices et de conflits que depuis qu’elle est aux

    affaires. Et l’on pourrait continuer ainsi sur les termes employés

    par la secte qui sont souvent vides de sens et contredits par les

    faits.

    Si l’on devait définir la franc-maçonnerie en un mot, ce serait

    la contre-Église. En deux mots : une société secrète. Et en trois :

    la Synagogue de Satan.

    La franc-maçonnerie est incontestablement la contre-Église, et non

    « l’Église du progrès humain »,2 comme osa écrire Oswald Wirth.

    Par son état d’esprit intrinsèquement antichrétien et les faux

    principes qu’elle ne cesse de diffuser.

     

    Elle est aussi un contre-État, par son rôle politique majeur à la

    tête des nations, sur le plan temporel et spirituel. Elle est hostile à

    la vraie morale auquel elle oppose sa propre morale laïque et

    révolutionnaire. Contrairement au catholicisme qui est un

    1 Rituel de l’apprenti maçon de Jean-Marie Ragon, 1860.

    2 L’idéal initiatique d’Oswald Wirth, éditions Le symbolisme, 1927.

     

    exotérisme (enseignement commun professé publiquement et

    accessible à tous), la franc-maçonnerie est ésotérique. Du mot

    grec « esoteros » qui signifie « intérieur ». L’ésotérisme est une

    doctrine secrète réservée uniquement aux initiés. Ainsi, à

    l’exotérisme de l’Église catholique s’oppose donc l’ésotérisme des

    loges maçonniques. C’est un point commun important entre

    toutes les sectes antichrétiennes. Une constante dans les sociétés

    secrètes : l’enseignement est réservé aux seuls initiés en fonction

    de leur grade.

     

    Autre notion importante : l’occultisme et sa conception

    mystique de Dieu, du bien et du mal, qui précéda la création

    officielle de la franc-maçonnerie. L’occultisme et sa considération

    de l’humain en trois parties : le corps physique, astral et l’esprit.

    L’occultisme et son « rayonnement invisible » de l’humain, ses

    trois mondes composant l’univers.

    Fondée à Londres le 24 juin 1717, la franc-maçonnerie est une

    société secrète. Plus précisément une superposition de sociétés

    secrètes où les bas grades ignorent ce qui se trame au-dessus

    d’eux. En effet, les membres des degrés élevés maintiennent dans

    l’ignorance ceux des grades inférieurs. La tromperie est bien

    réelle. Elle fut avouée par Albert Pike. Selon lui, « les degrés bleus

    ne sont que le parvis ou l’antichambre du Temple. Une partie des

    symboles est divulguée à l’initié, mais ce dernier est

    intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les

    comprenne. Leur vraie explication est réservée aux adeptes, aux

    princes de la franc-maçonnerie. »1

    Haut initié palladiste américain né à Boston en 1809, Albert

    Pike fit, vers la fin du XIXe siècle, cette révélation éloquente :

    « Nous adorons un Dieu, mais c’est le Dieu que l’on adore sans

    superstition. À vous, Souverains Grands Inspecteurs Généraux

    1 Morals and dogma d’Albert Pike, 1871.

     

    (33e...), nous disons, pour que vous le répétiez aux frères des 32e,

    31e et 30e degrés (et non pas aux frères des grades inférieurs) : la

    religion maçonnique doit être, pour nous tous, initiés des hauts

    grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. »1

    Tirés d’une ancienne correspondance d’Albert Pike, ces écrits

    démontrent deux choses importantes. Des instructions sont

    données uniquement aux francs-maçons des hauts degrés (à partir

    du 30e) et non à ceux des grades inférieurs. Le deuxième point

    nous indique que ces hauts initiés adorent un Dieu qui n’est autre

    que Lucifer, le porteur de lumière. Les francs-maçons des grades

    supérieurs sont donc dans le culte de Lucifer, si l’on s’en tient à

    Pike.

    Selon cet occultiste très influent du XIXe siècle, un petit

    nombre d’initiés serait dans l’ésotérisme et le secret maçonnique.

    Il s’agirait de décideurs dans la société profane, d’« une section

    ésotérique qui donne généralement l’impulsion aux masses

    sociales »,2 tandis que la majorité des francs-maçons serait dans

    l’ignorance et l’absence de pouvoir réel.

    Selon Albert Pike, la secte maçonnique serait la seule vraie

    religion, les autres étant toutes dans l’erreur : « La francmaçonnerie

    enseigne et a conservé dans toute sa pureté les

    principes fondamentaux de la vieille foi primitive, qui sont les

    bases sur lesquelles s’appuie toute religion. Toutes les religions

    qui ont existé jusqu’ici ont eu un fond de vérité et toutes l’ont

    recouvert d’erreurs. »3

    Dans un esprit tout à fait talmudique, la franc-maçonnerie n’a

    cessé de dire une chose et son contraire. Et surtout, elle n’a cessé

    de dire une chose puis d’effectuer le contraire. De mentir sur sa

    vraie nature. Tel le prince Lucien Murat qui osa affirmer que cette

    « société n’est ni secrète, ni antireligieuse et sans but politique, elle

    n’est qu’une simple société de bienfaisance ». Ceci est totalement

    1 Le palladisme de Domenico Margiotta, 1895.

    2 Martinès de Pasqually de Papus, 1895.

    3 Morals and dogma d’Albert Pike, 1871.

     

    faux mais cela correspond à l’esprit de la Synagogue de Satan.

    Laquelle s’efforce de diffuser mensonges et erreurs. Ainsi, Satan

    sera gnostique. Puis tour à tour panthéiste, manichéen,

    bouddhiste, protestant, islamiste, rousseauiste, voltairien,

    évolutionniste, matérialiste, communiste, socialiste, rosicrucien,

    kabbaliste, maçonnique, talmudique... Mais dans tous les cas,

    Satan sera fondamentalement antichrétien.

     

    La pieuvre maçonnique se couvre de secret. Elle impose le

    silence à ses membres dans leurs serments. Ceux qui dérogent à la

    règle sont sanctionnés. Une sanction matérielle et sociale sous

    forme de diffamation, de calomnie et de mise au placard. Le

    franc-maçon démissionnaire voit alors les portes de l’ascenseur

    social se refermer et ses réseaux diminuer de manière

    conséquente. Sur le caractère secret de la secte, relevons cette

    phrase significative extraite d’un convent du Grand Orient en

    1922 : « On doit sentir la maçonnerie partout, on ne doit la

    découvrir nulle part. » Ou encore celle-ci : « Notre effort consiste

    à préparer les hommes à exercer une action extérieure, mais ce

    n’est pas le rôle de la maçonnerie de s’extérioriser. »1

    Parce qu’elle est sous la tutelle juive et qu’elle opère par le

    mensonge et le secret, la franc-maçonnerie est la Synagogue de

    Satan. Car elle est l’alliance entre le juif et Satan. La loge étant

    leur point de rencontre, leur inévitable intersection. La loge est

    aussi et surtout le laboratoire de la société. Nous le verrons dans

    ses faux principes, dans le rôle politique qu’elle a joué durant

    l’histoire et qu’elle continue de jouer. Dans toutes les

    conspirations qu’elle a menées dans l’ombre.

    Le mode de fonctionnement maçonnique est vertical et sa

    structure pyramidale. Ce qui est contraire à son principe d’égalité.

    Les ordres se transmettent de haut en bas et les informations

    remontent de bas en haut, comme dans toute hiérarchie au sein

    d’une entreprise, afin que la tête ait toujours le contrôle de la

    base.

    1 Convent maçonnique du Grand Orient en 1929.

     

    Mensonge, invisibilité et secret marquent la franc-maçonnerie

    de leur empreinte. Datant du XIXe siècle, une circulaire du

    Grand Orient stipulait qu’« une institution, qui connaît le monde

    et n’est pas connue de lui, est d’une puissance irrésistible car

    aucun élément étranger ne l’altère ni ne la dénature. »1 Cette vérité

    appelle certaines interrogations. Comment combattre et espérer

    vaincre un ennemi lorsque celui-ci est invisible ? Comment en

    venir à bout alors que la majorité de la population ne sait même

    pas qui il est, ses projets et comment il opère ?

    Ayant rapidement perçu cette dangerosité, l’Église catholique

    condamna la franc-maçonnerie à maintes reprises. La première

    fois, ce fut le 28 avril 1738 avec la bulle pontificale In eminenti

    apostolatus specula du pape Clément XII.2

    L’« ordo ab chaos » est une devise fondamentalement

    maçonnique. Selon l’initié italien du 33e degré Porciatti, « elle

    représente la synthèse de la doctrine maçonnique et en représente

    le secret fondamental. Elle signifie que le grand oeuvre ne peut se

    produire qu’à travers un état de putréfaction et de dissolution et

    enseigne que l’on ne peut arriver à l’ordre nouveau qu’à travers un

    désordre savamment organisé. »3

    On entre généralement en franc-maçonnerie pour se faire un

    réseau, par intérêt financier. On en sort difficilement de peur de

    perdre ce réseau, de se retrouver à nu, mais aussi à cause des

    éventuelles représailles si jamais l’on transgresse le secret

    maçonnique. Quitter la franc-maçonnerie bleue ne comporte pas

    de grands risques. Mais plus le franc-maçon monte en grade, plus

    il lui sera compliqué et compromettant d’en sortir.

    C’est dans les hauts grades que la sélection devient exigeante.

    Et dans la maçonnerie bleue que ces mêmes hauts grades

    1 Cité dans Le pouvoir occulte contre la France de Paul Copin-Albancelli, 1908,

    éditions Saint-Rémi.

    2 Ce sujet sera traité en profondeur dans le chapitre VII La franc-maçonnerie

    condamnée par la papauté.

    3 Symbolisme maçonnique d’Umberto Gorel Porciatti, 1981.

     

    viennent recruter et décider qui a le profil pour gravir les

    échelons supérieurs. Ainsi, les initiés des bas grades devront leur

    carrière à ceux des degrés supérieurs. En somme, leur

    avancement professionnel dans le monde profane dépendra de

    leur ascension au sein des loges. Les deux étant liés. L’un se verra

    au grand jour, l’autre pas.

    Pour espérer percer le fameux secret maçonnique, il faut

    obligatoirement atteindre les grades élevés, comme ceux des loges

    palladistes qui sont supérieures au 33e degré, à l’instar du B’naï

    B’rith. Ce sont souvent des décideurs et hommes d’influence que l’on

    retrouve dans ces hauts grades où rien ne filtre. Des hommes au

    pouvoir supérieur à celui des chefs d’État. Comme Albert Pike,

    Nicolas Roerich, Jacob Schiff, Henry Morgenthau et Henry

    Kissinger aux États-Unis, Giuseppe Mazzini et Adriano Lemmi

    en Italie, Gerson von Bleichröder et Paul Warburg en Allemagne,

    Lord Palmerston en Angleterre, Josef Retinger en Pologne,

    Richard Coudenhove-Kalergi et Papus sur le vieux continent ou

    encore Adolphe Crémieux, Alain Bauer et Jacques Attali en

    France. La liste des hauts initiés francs-maçons n’est bien sûr pas

    exhaustive. Elle est méconnue du grand public, la haute

    maçonnerie prenant garde de rester secrète.

    Pour recruter, outre la maçonnerie bleue où les hauts grades

    viennent effectuer leur sélection, la secte organise parfois des

    tenues blanches fermées. Ces réunions sont ouvertes aux

    profanes, afin de tester d’éventuels et futurs maçons, populariser

    les idéaux maçonniques, donner une bonne image de la francmaçonnerie.

    Les tenues blanches sont un moyen de propagande de la

    contre-Église. Elles invitent un ou plusieurs non-initiés à leur

    réunion maçonnique. S’il s’agit d’une tenue blanche fermée, le

    conférencier s’exprime devant des francs-maçons. Si elle est

    ouverte, des profanes entendent le discours d’un franc-maçon.

    Ces tenues blanches font évidemment l’éloge des faux principes

    issus de 1789. Elles cherchent à montrer un visage séduisant de la

    secte. Elles sont un moyen d’attirer certaines personnes dans les

    rangs de la contre-Église ou de gagner ces personnes à la cause

    maçonnique. Ses principales cibles sont les profanes et la gent

    féminine. « Soustraire les femmes à l’influence cléricale »1 fut

    l’objectif avoué par le Grand Orient de France. « Que ces

    manifestations soient extrêmement rares, extrêmement soignées

    par les choix des programmes et des orateurs »,2 précisa la

    Grande Loge.

    Tous les corrompus dirigeant les grandes nations de ce monde

    appartiennent à des clubs, sectes, cercles, lobbys, think tanks,

    loges, sociétés secrètes et autre fraternité de la mort. Tous

    tutoient Satan de près ou de loin.

    On distingue plusieurs sortes de francs-maçons. Des instruits,

    des faux érudits, des imbéciles,3 des carriéristes, des pervers

    narcissiques, ceux qui accomplissent le mal froidement... Mais audelà

    de ces diverses caractéristiques, nous ressortirons

    principalement deux catégories : les matérialistes se basant sur la

    raison en opposition à la foi catholique, et les spiritualistes (ou

    occultistes) qui, le plus souvent dans les hauts grades, sont

    généralement dans le culte de Lucifer, le panthéisme voire le New

    Age. Au fil du temps et sous l’influence du Grand Orient, la

    franc-maçonnerie a suivi l’évolution d’une association à la fois

    politique et matérialiste, qui oscille entre déisme, panthéisme,

    agnosticisme et athéisme.

    Des divergences et rivalités ont toujours existé entre les francsmaçons

    et les obédiences qui se déchirent dès qu’elles ont du

    pouvoir. Mais il y existe une unité d’esprit, car tous sont unis

    1 Convent du Grand Orient de France en 1900.

    2 Convent de la Grande Loge de France en 1929.

    3 Au XIXe siècle, Albert Pike écrivit, de manière sarcastique, au Grand

    Orient de France, que la franc-maçonnerie « a toujours été entre les mains des

    trois I, des ignorants, des imbéciles et des intrigants. »

     

    idéologiquement contre la religion catholique et l’authentique

    souveraineté de Jésus-Christ sur la nation. C’est cet

    antichristianisme qui unit les francs-maçons de tous les grades et

    de tous les horizons de la planète. Car la franc-maçonnerie est

    d’abord un état d’esprit, en opposition au dogme et à la religion.

    Un état d’esprit antichrétien, basé sur la haine de l’Église, l’orgueil

    de l’homme, la vengeance, le mensonge, la duplicité, sur des faux

    principes qui la caractérisent et forment l’esprit du monde dont

    Satan est le prince.