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  • Utopies et manipulations politiques de la gauche socialo-marxiste .

    Cette débauche d’utopie masque les échecs cuisants de la gauche depuis cinq ans qui sont autant d’années de régression sociale et économique. Pour faire oublier la réalité du pouvoir auquel ils ont été étroitement associés, Macron et Hamon se disputent les « rêves » des Français.

    La surenchère n’en finit pas. Les candidats de gauche multiplient les promesses. Benoît Hamon veut une « société désirable » qui confond le juste, boussole objective des sociétés, et le désir subjectif qui alimente les passions et les pulsions des hommes. Et partant, comme Alice, au pays des merveilles, il propose le revenu universel, jusqu’à 750€ par mois à terme pour chacun pour un coût de l’ordre de près de 400Md€ par an !

    Emmanuel Macron veut offrir à tous, salariés et indépendants, « un droit universel à la mobilité professionnelle » et souhaite que les professionnels indépendants soient indemnisés en cas d’arrêt d’activité, comme le chômage pour les salariés. Et plus généralement, il garantit l’égalité des chances à tous et pour tout, l’antichambre de l’égalité des conditions, stade suprême des fantasmes égalitaires du socialisme aigu. Qui paiera ? Peu importe !...

    Cette débauche d’utopie masque les échecs cuisants de la gauche depuis cinq ans qui sont autant d’années de régression sociale et économique. Pour faire oublier la réalité du pouvoir auquel ils ont été étroitement associés, Macron et Hamon se disputent les rêves des Français.

    Il est vrai que les candidats y sont incités de tous bords. Après que Génération Libre ait prôné le revenu universel, voici que France Stratégie imagine de doter chaque individu âgé de 18 ans d’un patrimoine minimal. Et même l’Institut Montaigne, soi-disant libéral, préconise, pour un coût de 11Md€ par an, la création d’un dispositif de droits individuels sous forme d’un « chéquier électronique » qui permettrait à chaque titulaire de se payer les formations les mieux adaptées à son cas.

    En soi, l’idée de permettre à chacun de constituer un compte regroupant d’ailleurs non seulement des droits de tirage en matière de formation, mais l’ensemble de ses droits d’assurance maladie, maternité, retraites, chômage est intéressante. Un tel compte permettrait plus de flexibilité tout au cours de la vie professionnelle de chacun, quelques soit son statut. Chacun pourrait naviguer d’un statut de salarié à un autre de professionnel indépendant sans perdre ses acquis. Mais pourquoi faire croire aux gens, une fois de plus que cela peut leur être offert ? Il n’y pas de repas gratuit. Il y a toujours quelqu’un qui le paye. Et quand on laisse l’Etat s’en mêler, gérer la redistribution des uns vers les autres…, on peut être certain que cela coutera plus cher, que ce sera mal administré, que le système profitera à quelques uns au détriment des autres… La distribution de droits aux uns se fait toujours sur le dos de quelques autres.

    Toutes les politiques qui se construisent en réduisant les cotisations des uns et en attribuant de nouveaux droits à des catégories sans cesse plus nombreuses sont d’autant plus arbitraire que leur charge supportée par les assujettis est plus déconnectée de leur coût réel. Elles relèvent de la manipulation politique. A la fin, plus personne ne sait qui paye quoi au profit de qui.

    La solution n’est pas dans le renforcement des mécanismes étatiques ou paraétatiques pour prendre en charge la vie de tous. Tout au contraire, elle repose sur la libération des relations sociales et des choix individuels. La mutualisation des risques et leur gestion dans le temps existe depuis longtemps. Ca s’appelle l’assurance. Elle permet la responsabilisation des assurés et le respect de leur liberté en même temps que celle des autres.

    A l’inverse, bâtir un projet politique sur les promesses intenables d’une abondance obtenue sans travail est le fruit d’une irresponsabilité capable de dégénérer en médiocrité universelle au mieux et en tyrannie larvée ou affichée au pire. Car l’égalitarisme qui tue l’initiative et l’incitation au travail nivelle la société par le bas jusque dans la grisaille des systèmes où ne survivent que ceux qui savent profiter de l’appareil du pouvoir, les apparatchiks. L’utopie est nécessairement vouée à l’infaisabilité que le pouvoir cherche alors à surmonter en augmentant les prélèvements qui pèsent sur les producteurs jusqu’à épuisement en même temps qu’il explique ses insuccès par la dénonciation de boucs émissaires condamnés pour les crimes improuvés de sabotage des illusions perdues comme autant de mirages évaporés sans fin.

    Puisse les Français écouter la voix de la raison plutôt que les sirènes qui les incitent à revêtir la tunique empoisonnée de Nessus...

  • Les hautes trahisons de Macron: vente d' ALSTOM aux américains et de SFR à Drahi .

     

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    Macron ou la figure du Judas français. Emmanuel Macron Secrétaire général de Hollande, soutient depuis l’Elysée les intérêts des Américains et de la haute finance face à ceux de la France, chasse Montebourg de Bercy et prend sa place. Aussitôt, de Bercy il vend un des domaines les plus performants de la souveraineté nationale qu’est Alstom aux USA.

    Il s’agit d’opérations de haute trahison passées sous silence pendant que la presse amuse l’opinion sur le salaire de 3600,00€ mensuel perçu par Madame Fillon au titre d’assistante parlementaire, face à la dilapidation des fleurons de l’industrie française, avec un grand pan du pouvoir énergétique de la France transféré aux Américains. 

     
     
     
    Macron a aussi vendu SFR à Patrick Drahi
     
    Macron n’est pas resté longtemps à Bercy (deux ans quand même!) après avoir sévi à l’Elysée deux ans, mais cela lui a suffit pour multiplier les trahisons; il n’a pas fait que donner Alstom aux Américains, mais il a aussi, et entre autre, offert sur un plateau SFR à Patrick Drahi.« Drahi, patron d’un grand groupe de presse: Express, Libération, l’Etudiant, RMC etc, voulait racheter SFR. Macron « a remplacé Montebourg, et quelqueqs jours plus tard, M. Drahi avait l’autorisation de racheter SFR. Macron candidat des grandes puissances financières, des mondialistes, de la finance internationale ».Ci-dessous, extrait de l’émission Spécial Investigation du 9 novembre 2016: « Anti-corruption, l’arme fatale américaine », expliquant le rôle d’Emmanuel Macron dans la vente d’Alstom à Général Electric alors qu’Arnaud Montebourg avait bloqué la vente par

     

    décret .

    Emmanuel Macron, né le à Amiens, est un homme politique, haut fonctionnaire et ancien banquier d’affaires français.

    Diplômé de l’ENA en 2004, il devient inspecteur des finances avant de débuter en 2008 une carrière de banquier d’affaires chez Rothschild & Cie. Membre du Parti socialiste entre 2006 et 2009, il est nommé secrétaire général adjoint de la présidence de la République auprès de François Hollande en 2012 puis ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique en 2014 dans le gouvernement Manuel Valls II.

    En , il fonde le mouvement politique « En marche ! » puis démissionne de ses fonctions de ministre en août de la même année. Trois mois plus tard, le 16 novembre, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2017.

    On comprend qu’Emmanuel Macron ne peine pas, contrairement à Marine Le Pen, à trouver des fonds auprès des banques pour enfumer les élections présidentielles françaises, lui qui ne s’est encore jamais soumis à aucun verdict électoral… La Haute finance internationale lui paie le prix de sa trahison et en tentant de placer Macron comme successeur de François Hollande, la gauche du PS tente de pérenniser pour 5 ans encore la Haute trahison à l’Elysée.

     

  • Le bankster Macron .

    Alors que le « Pénélopegate » menace gravement la candidature de l’ancien Premier ministre, les affaires semblent glisser sur l’ex-ministre de l’Économie démissionnaire, qui reste le favori des médias. François Fillon et Emmanuel Macron bénéficient-ils du même traitement médiatique ? Analyse.

    Le premier semble tout droit sorti de l'œuf et faire de la politique « ni de droite, ni de gauche ». Le second est un vieux briscard encarté depuis quarante ans au principal parti gouvernemental de droite. L'un et l'autre sont extrêmement bien placés actuellement dans les sondages pour devenir le prochain président de la République française. Pourtant, alors que les médias et les juges ont obligé François Fillon à mettre en place une communication de crise suite aux révélations du Canard Enchaîné sur des soupçons d'emplois fictifs de sa femme, rien ne semble inquiéter Emmanuel Macron, qui traîne pourtant déjà plusieurs casseroles, malgré son jeune âge.

     

    En deux ans passés au ministère de l'Économie, Emmanuel Macron est accusé d'avoir siphonné 80 % des frais de représentation alloués à son ministère pour recevoir, aux frais du contribuable, l'essentiel des soutiens politiques et financiers qui lui ont permis de lancer « En marche », le parti qu'il entend représenter aux élections présidentielles. Dans leur livre écrit à quatre mains, les journalistes Marion l'Hour et Frédéric Says estiment à 120 000 euros le total des frais de bouches payés en deux ans par le ministère au service des ambitions personnelles de l'ancien banquier qui voudrait devenir président.

     

    François Fillon, quant à lui, doit justifier de 500 000 euros de salaire d'attachée parlementaire, versés en six ans à sa femme, sans que personne n'ait eu connaissance d'une quelconque activité au Palais Bourbon de la désormais célèbre « Penny » Fillon.

    Aucune loi n'interdit à un député d'embaucher sa femme, ni à un ministre de dépenser comme il l'entend ses frais de représentation. Le problème se situe plutôt au niveau de l'image et de la parole donnée. Lorsque l'on revendique, comme François Fillon, une probité sans faille, ou que l'on prétend, comme Emmanuel Macron, ne pas toucher d'argent public, mieux vaut être irréprochable. Or, l'ancien ministre de l'Économie semble avoir largement puisé dans les ressources de Bercy pour lancer son parti et l'ancien Premier ministre, alors qu'il posait pour Paris Match aux côtés de sa femme, « mère au foyer », comme elle se qualifie elle-même, se retrouve à tenter de prouver que les six ans de salaire qu'elle a touché ne finançaient pas un emploi fictif.

     En fait, la différence principale c'est que Fillon a été l'objet, dès le lendemain de la sortie de l'affaire par le Canard, d'une enquête du Parquet National Financier qui sera chargé d'établir si oui ou non les salaires perçus pendant des années correspondent à un emploi fictif. Le vainqueur des primaires de la Droite et du Centre a par ailleurs fait savoir qu'il ne se présenterait pas aux élections présidentielles s'il devait être mis en examen. Pendant ce temps, l'affaire qui touche Macron ne semble pas avoir beaucoup ému les médias, qui ne lui ont accordé qu'une couverture minimale.

     Mais à deux mois et demi de l'élection, plusieurs zones d'ombre restent à explorer autour de Macron si les journalistes voulaient bien s'en donner la peine. Si certains semblent indiquer qu'ils disposent d'éléments concernant sa vie privée, d'autres pourraient revenir sur son redressement fiscal alors qu'il était ministre ou sur le financement de sa campagne, qui semble bénéficier des largesses des grands de ce monde, dont l'évocation pourrait écorner son image de candidat « hors système ».