Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Acheté par le Qatar et les Saoudiens, Le Drian refuse toujours de coopérer avec la Syrie pour neutraliser les djihadistes ...

     

     
    000_Nic6403045_0
     
     
    BREIZATAO – ETREBROADEL (22/11/2015) Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense français, refuse toujours de collaborer avec le gouvernement syrien pour obtenir des informations sur les djihadistes de l’Etat Islamique opérant dans ce pays.
    Une position logique compte tenu de la corruption massive à laquelle se livrent les pétromonarchie du Golfe auprès de la classe politique française et des énormes contrats d’armement qu’elles passent avec Paris.
    Interrogé aujourd’hui, l’intéressé a fait valoir les intérêts de l’oligarchie au pouvoir sur la sécurité de la population :
    J-Y Le Drian :” Parler avec les services de renseignement de la Syrie n’est pas à l’ordre du jour” #legrandrdv
    — Michaël Darmon (@DarmonMichael) 22 Novembre 2015
    Cette ligne, imposée par l’alliance secrète entre le gouvernement français, le Qatar et l’Arabie Saoudite, est conforme aux buts de guerre réels de ces trois oligarchies : la création d’un gazoduc traversant la Syrie à destination de la Turquie et l’endiguement de l’Iran chiite.
     

  • Les attentats terroristes sont utilisés pour mettre en place un gouvernement mondial ...

    Les attentats terroristes provoquent de nombreuses réactions. Celles ci , ne manquent pas d’intérêt , car elles montrent du doigt le poids idéologique des promoteurs de la culture de mort, culture profondément apatride et anti-christ. les islamistes n’étant dès lors que le bras armé de ceux pour qui la France chrétienne est l’ennemi à abattre.Il s’agit donc bien d’une guerre civile…

     

     Attentats à Paris : Pourquoi parler d’une « guerre » (contre le terrorisme), alors que nous vivons en réalité une guerre civile (nourrie et organisée par l’idéologie libertaire et laïciste dont la plupart des Français sont complices) ? Pourquoi ne pas voir que derrière cette guerre civile se cache la prochaine dictature humaniste antéchristique de la « Paix » et de la « Nature » ?


    Le drame que nous venons de vivre à Paris n’est pas qu’une « guerre importée », n’est pas qu’un retour de bâton des conflits que la France a semés à l’extérieur d’elle-même (en Syrie, en Libye, en Irak, en Afrique…) qui nous indique que nous devrions renoncer à la guerre, à toute guerre. Pas plus qu’il n’est le fait de la « haine » des « fondamentalistes islamistes », ni « la faute au terrorisme ». Comme l’explique clairement Vincent Hervouët, « on ne se bat pas contre le terrorisme. Ça n’a pas de sens de dire cela. Le terrorisme est une forme d’action. On ne se bat pas contre une forme d’action. C’est sur les motivations de cette forme d’action que nous devons nous pencher ». Comment expliquer la faillibilité de nos services de renseignements nationaux réputés les plus qualifiés du monde, autrement que par notre propre complicité ? Sans tomber dans la paranoïa de l’ennemi interne, il nous faut regarder les choses en face.


    Qui, dans ce drame, va oser dire que les véritables commanditaires de la tuerie parisienne d’hier soir sont autant les islamistes que les défenseurs libertaires de l’Union Civile et du « mariage pour tous » ? Que Christiane Taubira ou François Hollande sont différemment et tout aussi terroristes que les kamikazes ? « On remarqueras que Paris a été frappé en plein coeur de la boboïtude. Si personne n’y voit un signe c’est que ce monde est aveugle. » m’a fait remarquer à juste raison le pédopsychiatre Vincent Rouyer. Quel journaliste se risquera à se pencher sur l’immoralité des messages libertins du groupe de rock des Eagles Of Death Metal qui, ironie du sort, a concrètement pactisé avec le diable juste avant le drame (au moment de l’assaut, ils chantaient « Kiss the devil ») ? Aucun. Pourtant, c’est l’identification de la signifiance de ces liens non-causaux – qui ne doivent jamais justifier la réponse homicide qui est faite à ceux qui profèrent ces messages – qui pourrait nous aider à sortir concrètement du cercle vicieux dans lequel notre pays est rentré, qui pourrait nous aider à prier et à nous responsabiliser, qui pourrait nous aider salutairement à comprendre que nous sommes entrés dans une guerre spirituelle et personnelle qui n’a absolument rien d’une guerre « extérieurement démoniaque ».


    Ce qui est scandaleux en ce moment, c’est que les mass médias, à travers un faux réalisme (voyeuriste) et un sensationnalisme (compassionnel) quasi justifié par la gravité de l’événement, tentent de déshumaniser et de dématérialiser les faits et les responsabilités. Dans leurs reportages et leurs interviews, ils parlent par exemple du « film des événements », grossissent les traits pour se rendre complices d’une psychose (« La capitale toute entière est plongée dans le chaos. » : c’est concrètement faux, je peux vous le dire en direct depuis ma chambre de bonne du 5e arrondissement), font des césures syntaxiques phoniquement insupportables (par exemple leur lancinante et anaphorique coupure chantonnante entre « état » et « critique » relève du tic de langage pathologique : « les victimes dans un état… euh… critique »).

    Ce qui est également révoltant, c’est, de la part des mass médias et de nos dirigeants français dans leur ensemble, leur tentative d’extériorisation et de diabolisation du conflit, pour se laver les mains. Cela contribue à la démobilisation, à l’indignation passive, au laisser-faire. Déjà que les Français, par réflexe de survie et par ignorance, ont tendance à s’installer spontanément dans l’émotion pour ne pas voir que la « guerre » dont on leur parle tant (les journalistes se gargarisent d’avoir lâché le MOT « guerre ») est en réalité une guerre civile dont ils sont eux aussi les constructeurs par leur relativisme sentimentaliste… On le voit bien. Depuis hier soir, les gens paniquent et ne savent pas quoi faire. Ils ont déjà décidé que leur résignation prendrait l’apparence performative/actionnelle de la posture indignée. Or, s’ils pensent que l’ennemi contre lequel se battre serait quelqu’un d’autre qu’eux-mêmes, serait un djihadiste cagoulé, invisible et armé jusqu’aux dents contre lequel ils ne font pas le poids, il est évident que la situation va rester telle qu’elle est, voire empirer. En réalité, ils se trompent de cible car c’est l’idéologie (laïciste, républicaniste, antifasciste, LGBT, etc.) qu’il faut abattre. Pas le « terrorisme » ni la « peur » ni la « guerre ». Ce sont les membres de notre gouvernement socialo-droito libertaire qu’il faudrait déloger. Pour bien faire, c’est le « mariage pour tous » et l’Union Civile qu’il faudrait déchirer. La « déclaration de guerre à la guerre », c’est bien sincère mais c’est de la pure connerie. Elle produit la réaction du réactionnaire, mais pas l’action efficace contre le véritable ennemi.
    Pis encore. Cette déclaration pacifiste est dangereuse pour la suite des événements. Comme je l’ai expliqué dans mon article sur l’Antéchrist, les islamistes djihadistes sont les pions humains d’un scénario idyllique écrit par une instance bien plus nocive qu’eux, mais qui s’annoncera sous des hospices libérateurs et réparateurs : je veux parler de l’Humanisme intégrale de l’Antéchrist. En effet, afin de mieux préparer le terrain à une nouvelle hégémonie qui succèdera aux conflits terroristes, nos médias et nos hommes politiques veulent nous faire croire que la solution à la crise nationale et internationale que nous connaissons actuellement en Europe et partout dans le monde, reposerait sur deux concepts particulièrement séduisants et en réalité construits de toute pièce par un système bien plus terrible et homicide que le terrorisme islamiste, et qui succèdera à ce dernier, à savoir le Gouvernement Mondial Pacifiste qu’instaurera l’Antéchrist : le concept de la NATURE d’une part (celle-ci est déjà vantée dans toutes nos pubs ; et la proximité contextuelle de la COP21 avec les attentats n’est absolument pas le fruit du hasard) et le concept de la PAIX d’autre part (« paix » entendue uniquement comme « absence de conflits et de nations » et « absorption uniformisante/unificatrice des différences »). En effet, c’est pour mieux imposer les bulldozers idéologiques de la Nature et de la Paix conduits par le Gouvernement Mondial que les mass médias se braquent aujourd’hui sur l’horreur des tueries parisiennes. Comme le dit à très juste raison Francis Cousin : « L’écologie est une des dernières impostures du capital pour nous faire aimer l’économie. » Idem concernant la Paix, mot qui, à l’instar de la miséricorde chez les cathos, va servir de puissant carburant droit-de-l’hommiste pour mettre en marche la vague atlantiste de désarmement généralisé universel, la vague de l’humanisme intégral, la vague de la neutralisation de tous nos systèmes de défense (collectifs et individuels) pour mieux asservir pacifiquement l’Homme et le rende esclave de lui-même.

    Ne soyons pas dupes. C’est pour mieux imposer l’impérialisme naturo-pacifiste de l’humanisme intégral antéchristique qu’en ce moment nos hommes politiques libertaires pleurent sur les conséquences dont ils chérissent les causes, et alimentent la diabolisation du mythe de la « terreur terroriste ». Sur TF1, ils nous dressent le portrait (avec la COP21) d’une « démocratie qui se réunit ». On est vraiment dans le jargon du Gouvernement Mondial. « La science n’a toujours pas parlé » sort à l’instant un journaliste. Comment ne peut-on pas être plus dans la gnose humaniste ?
    Ne nous trompons pas de combat. Contrairement même à ce que dit aujourd’hui Radio Vatican, ce n’est pas la « Paix de l’Humanité » qui a été attaquée à travers ces attentats parisiens mais bien le Christ et son Église-Institution. C’est parce que nous ne prions pas assez et que notre pays a cédé sur l’Union Civile que nous connaissons cette forme inédite de guerre civile.

    Conjointement à l’émotion légitime qui nous étreint en ce moment, gardons par conséquent à l’esprit et dans le coeur : 1) quel type de guerre nous vivons (une guerre civile et spirituelle et non une « guerre contre le terrorisme et la peur ») ; 2) quelle forme nous pouvons mettre en place pour la combattre (la prière du rosaire et la formation intellectuelle concernant les fins dernières) ; 3) que la guerre civile actuelle est l’arbre qui cache la forêt de la dictature de l’Humanisme intégral a-patride et antéchristique.


    N.B. : Je viens d’avoir une interview avec une journaliste italienne. M’est venue une réflexion qui renchérit mon analyse : ce sont les quartiers de l’athéisme bobo libertaire qui ont été visés une nouvelle fois par les islamistes (et non les quartiers ouest et sud de Paris : République, Bastille, Montmartre, c’est peuplé d’anars bobos gauchistes ; Charlie Hebdo se trouve d’ailleurs non loin de la rue de Charonne), preuve que les « terroristes » se sont bien attaqués au berceau de leur fondamentalisme. Il ne s’agit pas, comme le font croire les journalistes de TF1, d’une « guerre de religions », mais plutôt d’un fondamentalisme « religieux » qui s’en est pris à son gémellaire fondamentalisme « athée ».

    Philippe Ariño

  • Ces gentils « réfugiés » que le gouvernement et les préfets nous imposent !...

    « Piste syrienne », « filière belge ». Alors que les politiques et les médias tentent depuis deux jours de nous faire croire à « une attaque venue de l’extérieur », l’enquête a pour l’instant démontré que la plupart des auteurs des attentats perpétrés vendredi à Paris étaient soit Français, soit récemment arrivés sur le sol français.

    Des français «  de papier « 

    Ainsi Ismaïl Omar Mostefaï, premier des djihadistes dont le nom a été dévoilé samedi, était-il Français d’origine algérienne. Né à Courcouronnes (Essonne) en 1985, il était connu des services de police pour des condamnations de droit commun entre 2004 et 2010. Il faisait même l’objet – lui aussi ! – d’une fiche S depuis 2010 pour « radicalisation ». Cet ami d’Amedy Coulibaly vivait à Chartres, et fréquentait tranquillou ses potes islamistes de la mosquée de Lucé. Des vérifications sont actuellement en cours pour savoir s’il s’est rendu ou non en Syrie entre 2013 et 2014, comme le prétendent certains médias. Sept de ses proches sont aussi en garde à vue.

    Autre terroriste identifié : Bilal Hadfi, l’un des trois kamikazes qui se sont fait exploser près du Stade de France, était lui aussi Français. Né le 22 janvier 1995, il aurait combattu en Syrie au sein de l’EI, avant de revenir en France.

    Sans oublier la gentille fratrie de djihadistes Abdeslam, tous français. Ibrahim, né le 30 juillet 1984 et mort vendredi en se faisant sauter Boulevard Voltaire. Dimanche, la police française a lancé un appel à témoins pour retrouver son frère Salah, né à Bruxelles le 15 septembre 1989 mais de nationalité française, soupçonné d’avoir joué le rôle de chauffeur lors des attentats. Il aurait été contrôlé samedi matin à la frontière belge, mais pas interpellé. Le dernier de la fratrie Abdeslam serait actuellement en garde à vue en Belgique.

    Ces gentils « réfugiés »

    Et puis il y a ces gentils « réfugiés » que l’Europe, et la France en particulier, ont accueillis. Ainsi, près du corps de l’un des kamikazes qui se sont fait exploser près du Stade de France, a été retrouvé un passeport syrien au nom d’Abbdulakbak B. Né en 1990 en Syrie, il aurait séjourné sur l’île grecque de Leros début octobre, où il aurait été inscrit en tant que « réfugié », suivant les règles de l’UE, avant de rejoindre notre pays.

    Autre terroriste identifié grâce à son passeport : Ahmad Almohammad, un Syrien de 25 ans, passé lui aussi par Leros, enregistré lui aussi comme « réfugié », et qui aurait rapidement pris la route de la France.

    N’oublions pas non plus Ali R., Allemand d’origine monténégrine, arrêté en Bavière la semaine dernière lors d’un contrôle sur l’autoroute A8, alors qu’il se rendait à Paris avec des pistolets, des grenades et des explosifs.

    Et ce n’est pas fini : dans la nuit de dimanche à lundi, les interpellations se sont multipliées en France. A Lyon, où « un arsenal de guerre » (dont un lance-roquettes) a été découvert, mais aussi à Grenoble, Echirolles, Fontaine, Saint-Martin-d’Hères, Toulouse...