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  • Socialo-communisme français : Plus de 24 milliards d’euros de nouveaux impôts en 2016 ! ...

     

    Entre-Melenchon-et-Hollande-une-page-est-tournee


     La propagande gouvernementale bat son plein alors que les élections régionales et présidentielles se rapprochent. Les médiats d’état hexagonaux s’étaient ainsi fait fort d’affirmer que la présidence socialiste “baisserait les impôts” en 2016 .
     
    Or, comme le rappelle Contribuables Associés , c’est bien une hausse massive d’au moins 24 milliards d’euros qui attend les contribuables français pour 2016 :
    Selon la loi de finances 2016 qui a été adoptée en première lecture la semaine dernière par les députés, les Français vont devoir payer 24 milliards d’euros d’impôts et de taxes de plus que l’année 2015, selon l’estimation de la rapporteuse socialiste de la commission des Finances elle-même, Valérie Rabault. Une estimation basée sur deux hypothèses plutôt optimistes de Bercy : une augmentation du PIB, c’est-à-dire de la richesse nationale, de 1,5 %, et une augmentation de l’inflation de 1 %.
    Les “baisses d’impôts” annoncées complaisamment par la presse d’état est en fait une “baisse de la hausse” :
    Hollande et Valls ont sorti les tam-tams pour annoncer que 8 millions de nouveaux contribuables ne paieront plus d’impôt sur le revenu en 2016, pour un « manque à gagner » de 2 milliards d’euros, selon Bercy. Deux milliards d’impôts directs en moins face à 24 milliards de recettes fiscales en plus, la balance est très, très loin d’être égale !
    Sans surprise donc, l’art de l’hypocrisie et du mensonge propre à la classe politique parisienne donne à fond. Car s’il y aura une baisse de 2 milliards d’impôts directs, donc très “visibles” par l’électorat, il y aura dans le même temps une hausse de 24 milliards d’impôts indirects dont le peuple a beaucoup plus de difficulté à évaluer l’impact immédiat sur ses dépenses quotidiennes.
     
    C’est ainsi que les taxes sur les produits énergétiques, dont les nouvelles taxes sur le diesel, vont exploser en 2016 et dépasser largement les 16 milliards contre 14 milliards en 2015. Ou que la taxe sur les fournisseurs d’accès à Internet, dite « taxe Copé », sera augmentée de 33 %, excusez du peu, pour financer France Télévisions, reniant ainsi au passage un engagement solennel du président en février 2013. Au total, un océan de recettes publiques qui, pour la première fois, dépasseront la barre des 300 milliards d’euros : un nouveau record du célèbre « modèle fiscal » français !
    Par ailleurs, la taxe foncière explose :
    À noter, une énorme bêtise de quelques parlementaires inconscients qui ont fait voter un doublement de la taxe « Tobin » sur les transactions financières (TTF) qui avait rapporté 770 millions en 2014 et qui devrait atteindre 2 milliards d’euros en 2016 : une pure folie idéologique qui risque d’avoir de très lourdes conséquences sur la place de Paris et sur les dix autres places européennes qui y sont associées, sauf certaines des plus importantes, Londres, Dublin, Amsterdam et Luxembourg. « Un suicide pour le marché financier européen, alors même que tous les grands centres financiers de la planète en seront exclus », selon Lorenzo Bini Smaghi, le nouveau président de la Société générale.
    Être propriétaire en France coûte de plus en plus cher : un bond de 16 % pour cette taxe foncière sur l’ensemble du territoire entre 2009 et 2014, alors que l’inflation n’a progressé dans le même temps que de 6,5 %. Dans certaines communes, le niveau de cet impôt local atteint, dans la plus grande anarchie, des niveaux confiscatoires si on les rapporte à la base taxable, le revenu net cadastral : 68 % à Saint-Quentin, 61 % à Montauban, 60 % à Narbonne…
     
     

  • Comment vaincre le terrorisme .

     

    « L’expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de toute l’humanité. » (Alexandre Soljenitsyne)

     

                Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car « vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit ». Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.

    Le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires… d’autant plus que ces actions terroristes impliquent nécessairement une chaine de connivence et d’appui logistique sur notre sol et une préparation minutieuse…

                Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendées », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d’un terrorisme par « vases communicants » ou par osmose.

    La mise en œuvre du plan « Sentinelle » qui mobilise actuellement 10 000 hommes sur le territoire national (et cela pour « aussi longtemps que la situation l’exigera (sic) » a précisé le ministre de la Défense -ce qui peut se traduire, comme ce fut déjà le cas pour le plan Vigipirate, par le maintien définitif du dispositif- ne saurait être la solution idéale car envisager la mobilisation de nos soldats (hébergés de surcroît dans des conditions précaires alors que les « sans papiers » bénéficient de chambres d’hôtels) dans la durée n’est pas la mission des armées. Un soldat est préparé à faire la guerre ; il n’a aucune formation de police et ce n’est pas sa vocation. On ne pourra donc, indéfiniment, le maintenir dans des missions statiques en limitant sa tâche à un rôle de vigile ou de « supplétif des forces de police » sous peine de l’« user », de le démotiver et d’éroder son potentiel de combat.

    A la guerre révolutionnaire ou « guerre sainte » prônée par les islamistes, nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste, il faut faire le choix majeur qui s’impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ». La France est aux yeux de l’islam une aire de guerre, « dâr al-harb », et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu’il la traite.

    Nous n’arriverons probablement jamais -en dépit de toute fermeté- à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter le nombre par l’instauration d’une juridiction et de tribunaux d’exception identiques à ceux créés par le régime gaulliste durant la guerre d’Algérie afin d’éradiquer l’OAS… et qui menèrent sans le moindre état d’âme au poteau d’exécution quatre soldats français dont deux officiers.

                Puisque cela fut accompli contre des patriotes dont le seul crime fut de vouloir conserver l’Algérie française, pourquoi cette juridiction ne serait-elle pas reconduite contre les ennemis de la France reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes ? Dès lors, le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort seraient prononcés à leur endroit. Qui a tué doit être tué ! L’horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s’imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. « La loi, en général, est la raison humaine –disait Montesquieu- en tant qu’elle gouverne tous les peuples de la terre »…

                Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, les condamner à mort ou leur infliger une sanction à la hauteur de leurs crimes, ne ferait -dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice- que révolter les consciences de la « bien-pensance », des associations « humanistes » et provoquer la colère des islamo-compatibles issus de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompts à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.

    Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.

    Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des « égarés » ou des « déséquilibrés ». Or, on ne combat pas des terroristes avec de simples lois. On doit adopter une riposte appropriée afin de les arrêter dans leur élan velléitaire et agressif. « Plus l’Etat est corrompu, plus les lois se multiplient » clamait Tacite, cet historien et sénateur de l’antique Rome.

    La France vit sous des menaces de plus en plus récurrentes que l’on ne peut contenir par la seule force de la loi. « Les français vont devoir s’habituer non à la menace des attentats, mais à la réalité des attentats qui vont, à mes yeux, immanquablement survenir. Nous sommes désormais dans l’œil du cyclone, le pire et devant nous » a déclaré dans « Ouest France », le 14 novembre 2015, le juge Marc Trévidic.

    En effet, la France est confrontée à l’un des plus graves périls de son histoire et ne doit pas s’embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d’assurer sa propre survie. « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.

                Quand la liberté est frêle, en péril, alors on ne transige pas et Saint-Just d’annoncer en ces termes la répression sanglante des mouvements contre-révolutionnaires et royalistes pendant la Révolution : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! ». C’était, certes, La Terreur mais cette célèbre citation revient en pleine actualité.

                Aujourd’hui, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà la civilisation paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent, qui ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares –forts de cette assurance- qui répandent leur terreur en voulant tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voici qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues… Et voici que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».

    Et nous, pauvres occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler… au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.

                Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »

               Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

     

                                                                                                  José CASTANO

  • Bretagne : Le gouvernement socialiste lance officiellement le début de l’invasion islamique .

     



     
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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (06/11/2015) En Bretagne la politique de remplacement de population a formellement débuté sous la direction des préfectures (gouvernement français). Les premiers colons afro-musulmans sont installés de façon autoritaire par les autorités françaises, sans qu’aucune consultation des populations n’ait eu lieu.
    Ouest-France rapporte (source) :
    Le premier groupe de migrants à arriver dans le Finistère pourrait être accueilli à Pleyber-Christ, dès la semaine prochaine. La commune, près de Morlaix, se prépare.
    Le premier groupe de migrants à arriver dans le Finistère pourrait être accueilli à Pleyber-Christ, dès la semaine prochaine. La commune de 3 200 habitants, près de Morlaix, se prépare.
    Une douzaine de communes ont été retenues, dans le département, pour assurer un accueil, dont Pleyber-Christ, Brest ou encore Saint-Thégonnec. En tout, 59 logements ont été recensés. Selon Philippe Beuzelin, sous-préfet de Morlaix, « le premier groupe de migrants pour le Finistère devrait arriver à Pleyber-Christ, non pas cette semaine mais peut-être dès la semaine prochaine. »
    Matelas, draps, couvertures, alimentation… La mairie de Pleyber-Christ travaille actuellement de façon active pour équiper sa structure d’hébergement en matériel, en lien avec des associations comme la Croix-Rouge française. Vingt places seraient disponibles pour l’accueil de migrants.
    Cette décision appelle une puissante réaction populaire et une mobilisation rapide afin de faire augmenter le coût politique pour le gouvernement central.