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  • Routes dégradées en France: «l’État n’a pas fait son boulot» !

     

    En France, les routes sont en bien mauvais état comme le constate un rapport commandé par le ministère des Transports.

    Une situation qui n’est pas sans conséquence pour les usagers, selon Pierre Chassenay, délégué général de l'association 40 millions d'automobilistes.

     

     
    « On avait mis un coup de pied dans la fourmilière » se félicite Pierre Chassenay, délégué général de l'association 40 millions d'automobilistes, qui lançait en 2015 l'opération participative "J'ai mal à ma route" pour donner la possibilité aux automobilistes de signaler les routes en mauvais état.

     

    Trois ans plus tard, une étude consacrée à "l'état du réseau routier national non concédé" se penche sur "la politique d'entretien de ce réseau", soit 12.000 km d'autoroutes et de routes nationales gérées par l'État. Le rapport est « accablant », comme le titrait le 21 juillet dernier le Journal du Dimanche (JDD) qui a pu consulter cet audit réalisé à la demande du ministère des Transports

    « Le réseau routier se dégrade et on est passé à la septième place du niveau européen […] On a une sécurité routière qui brille par son incompétence à faire un bon boulot », déplore Pierre Chassenay:

    Menée entre octobre 2017 et février 2018, l'étude montre que 17% du réseau présente aujourd'hui « un état de dégradation important », et 7% des autres infrastructures (ponts, tunnels) nécessitent des travaux de rénovation.

    « Sur ce coup là, il faut saluer Élisabeth Borne […]. Elle commande une enquête qu'elle fait fuiter dans la presse, et derrière elle sait qu'elle va être dans l'obligation d'agir… C'est courageux un ministre qui dit que l'État n'a pas fait son boulot»

     

     
     
    En effet, les auteurs de l'audit constatent "un sous-investissement chronique en matière d'entretien routier", rapporte le JDD. Pour Hervé Maurey, sénateur de l'Eure et président de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable, interrogé par l'hebdomadaire, « quand on a besoin de boucler un budget, on rabote sur l'état du réseau […]. C'est de la mauvaise politique, car plus on tarde à investir, plus les investissements seront importants ». Un mauvais état des routes peut-il avoir un impact sur les accidents?

     

    « Je m'en réfère à une étude parlementaire de 1995 qui annonce que 47% des accidents impliquent un mauvais état et entretien de la route. Quasiment un sur deux […]. Il n'existe aucune autre étude qui met en avant le lien entre accident de la route et infrastructures routières », explique Pierre Chassenay.

    L'opération "J'ai mal à ma route", devenue par la suite une application, a permis que des préfectures « en tant que garant[e]s de la sécurité routière et départementale », puissent agir sur le terrain et « corriger le tir », à l'exception de certaines, selon Pierre Chassenay.

    « Une majorité de préfectures bossent positivement avec notre application […] Mais on a encore certaines préfectures qui jugent qu'[elles] n'ont pas besoin de nous. Mais quand on creuse un peu, on s'aperçoit que ce sont des partisans du ‘80', et d'un discours officiel complètement lisse » ! ...

    Actuellement en cours d'arbitrage, la loi d'orientation des mobilités devrait être présentée en Conseil des ministres à la rentrée.

     

  • Les évêques conciliaires seraient payés par Sörös pour promouvoir le génocide de l’Europe !

     

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    C’est une bombe  que vient de lâcher l’évêque kazakh d’origine allemande Athanasius Schneider dans un entretien accordé au quotidien italien de centre-droit Il Giornale dans son édition du 27 juin.

    Il fait état d’un plan organisé par le financier juif György Schwartz dit « George Sörös » pour détruire l’Europe, déclarant notamment :

    « Le phénomène de la soi-disant « immigration » est un plan orchestré et préparé depuis longtemps par les puissances internationales pour changer radicalement l’identité chrétienne et nationale des peuples européens. Ces puissances utilisent l’énorme potentiel moral de l’Eglise et leurs structures pour atteindre plus efficacement leur objectif antichrétien et anti-européen : à cette fin on abuse du vrai concept de l’humanisme et même du commandement chrétien de la charité ».

     

    Rappelons aussi que des proches de Donald John Trump liés à l’église catholique ont déclaré que le Pape Benoît XVI avait été victime d’un véritable coup d’Etat fomenté par la CIA et l’Administration Obama (plus exactement un proche d’Hillary Diane Clinton et de George Sörös, le déviant sexuel conciliaire John David Podesta, qui l’ont poussé à la démission et fait remplacer par Jorge Mario Bergoglio, dont le mépris pour les peuples européens est notoire).

     

    Au passage, il commente l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement italien : « Je ne suis pas et je ne connais pas bien la situation politique italienne, donc je ne peux rien en dire, mais si un gouvernement d’une quelconque nation européenne essaie d’accentuer sa souveraineté et son identité historique, culturelle et chrétienne face au totalitarisme d’une espèce de la nouvelle Union Soviétique, que l’on appelle aujourd’hui l’Union européenne avec une idéologie maçonnique sans équivoque, cela mérite certainement d’être salué ». Pour autant, il ne lui délivre pas un blanc-seing, notamment sur l’homosexualité :

    « L’Église catholique ainsi que toute personne humaine de bon sens et de raison directe a toujours rejeté l’activité homosexuelle. Confier à des soi-disant couples homosexuels des enfants signifie une violation d’un droit fondamental de chaque enfant de grandir et d’être éduqué par un père et une mère. L’attribution d’enfants à des soi-disant couples homosexuels est en fin de compte un abus moral des enfants, le plus petit et le plus sans défense. Ce phénomène restera dans l’histoire comme l’une des plus grandes dégradations de la civilisation. Ceux qui combattent aujourd’hui cette injustice retentissante sont les vrais amis des enfants et des héros de notre temps ».

    Dans le même entretien, le Cardinal en profite pour donner un coup de patte au Concile Vatican II :

    « Il y a déjà quarante ans que le Pape Paul VI a constaté de façon réaliste la situation suivante dans la vie de l’Eglise ». On croyait qu’après le Concile il y aurait une journée ensoleillée pour l’histoire de l’Eglise est venu au lieu un jour de nuages, de tempête, d’obscurité, de questionnement, d’incertitude. Depuis les fissures, la fumée a pénétré dans Satan le temple de Dieu. « » Cette situation a été aggravée au cours des dernières décennies au point qui a forcé le grand cardinal Carlo Caffara d’affirmer quelques mois avant sa mort : « Seuls les aveugles peuvent nier que, dans l’Église, il y a une grande confusion ». De même au sujet de l’intercommunion : « Nous devons examiner le problème dans ses racines L’effet propre de la communion eucharistique est l’union parfaite de tous les membres de l’Église Par conséquent, la même réception de l’Eucharistie – y compris dans ce qu’on appelle les cas d’urgence – par un protestant ou orthodoxe, en dernière analyse, est un mensonge, car l’admission d’une telle Eucharistie non-catholique continue intentionnellement à rejeter l’intégrité de la vérité catholique et la communion hiérarchique, selon le principe théologiquement contradictoire de l’article 844 du code de droit canon qui parle de « « intercommunion » en cas d’urgence. Les propositions des évêques allemands « contredisent la pratique constante de l’Eglise au cours des deux mille ans ».

     

    Hristo XIEP

     

  • Benalla et Macron, "la pourriture en marche" ! ...

     

     

    Ce « chargé de mission » à l’Elysée, [(au premier plan à droite) qu’on retrouve dans la viédo ci-dessous ndlr], équipé d’un casque noir à visière des forces de l’ordre, a molesté une femme, puis tabassé un homme à terre lors d’une manifestation, à Paris, le 1er mai dernier, avant de s’éclipser par peur d’être identifié.

    A l’époque, ce proche collaborateur de Macron (ils ont skié ensemble dans les Pyrénées, en décembre), en fait chargé de sa sécurité mais en congé ce jour-là (!), avait été suspendu deux semaines, puis recasé au Château… sur décision du chef de l’Etat. En douce. Dans le feutré. Ni vu, ni connu. Par le passé, le garde du corps avait déjà agressé un journaliste et un militant communiste, menacé un commissaire de police et même provoqué un accident de voiture avant de tenter de s’enfuir. L’adjoint au chef de cabinet du président (c’est son titre !) était pourtant chargé, il y a encore quelques jours, d’organiser… les vacances du couple Macron au fort de Brégançon. Source


    Reste à savoir pourquoi « Le Monde » a sorti cette affaire qui impacte directement l’Elysée alors que le quotidien des bobos de gauche avait largement propagé la propagande qui a permis à Macron de prendre l’Elysée?  Alors que l’affaire Benalla semblait étouffée, l’homme de main de Macron recevait ce 9 juillet 2018, un appartement de fonction  quai Branly, dans « une dépendance de l’Elysée. »

    En plus d’un gros salaire et d’une voiture de fonction, ce proche d’Emmanuel Macron s’est vu aussi attribuer un appartement dans « une dépendance de l’Elysée »:

    Un logement qui pose question. Alexandre Benalla, le collaborateur de l’Elysée mis en cause pour violences contre un manifestant le 1ermai, est domicilié au 11, quai Branly, dans un appartement appartenant au parc de l’Elysée, a-t-on appris de plusieurs sources, confirmant une information du Monde.

    Ces logements, situés dans le VIIe arrondissement de Paris, sont souvent attribués à des opérationnels de l’Elysée pour des nécessités de service.

    Mais selon Le Monde, son emménagement officiel est daté du 9 juillet, soit bien après les faits de violences qu’on lui reproche et la mise à pied de 15 jours qu’il aurait reçue.

    Par le passé, Claude Guéant, Henri Guaino ou Jean-Louis Georgelin, chef d’état-major des armées entre 2006 et 2010, ont par exemple habité les lieux. C’est aussi là que François Mitterrand, alors président de la République, avait discrètement installé sa compagne Anne Pingeot et leur fille Mazarine. Source

    Pour en savoir plus sur cette affaire voir Ici, « encore un passeport banlieue qui passe mal » et Ici, les frasques des « 7 racailles de l’Elysée ».