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  • L’Europe raille la France : « C’est l’Afrique qui a gagné ! »

     

     

     Face à l’africanisation et l’islamisation fulgurantes de la France, l’opinion publique européenne réagit avec dégoût devant le spectacle offert par la sélection de souche africaine alignée par l’Etat Français ainsi que les scènes de pillage du week-end.

     

    BFMTV :

    En France, les photos et vidéos de scènes de liesse ont pris d’assaut les réseaux sociaux depuis la victoire des Bleus en finale de la Coupe du monde dimanche soir. De l’autre côté des Alpes, où selon un sondage du Corriere della sera 90% des Italiens soutenaient la Croatie, ce sont les messages racistes qui se multiplient.
    C’est avec la même citation entre guillemets que la Repubblica et l’agence de presse Adnkronos évoquent le phénomène: « c’est l’Afrique qui a gagné », et non la France dimanche soir. Une phrase trouvée de nombreuses fois au détour de Twitter ou de Facebook. Des réseaux sociaux où il est aussi question de « singes avec un ballon » ou de « champions du tiers monde ». Un racisme assumé et adressé aux joueurs noirs de l’équipe de France. Des joueurs dont la nationalité française est niée ou mise en doute. Parmi les internautes ayant publié ce genre de messages, un conseiller municipal du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia a été épinglé.
    Au-delà de leur dénonciation du phénomène, et particulièrement pendant les jours précédant la finale, les médias italiens ont aussi participé, alternant entre les propos anti-français et les déclarations racistes. « Macron me casse les couilles, la France me casse les couilles, je soutiens la Croatie », a par exemple cité un journaliste du quotidien sportif la Gazzetta dello Sportcité par nos confrères des Echos. Ce qui pourrait être du Matteo Salvini dans le texte, le ministre de l’Intérieur ayant décidé d’aller assister à la finale pour « porter la poisse » à la France.
    C’est souvent dans la comparaison avec la Croatie que s’est exprimé le racisme dans les médias. Un article du Corriere della Sera a décrit l’équipe de France comme « une équipe de champions africains mélangés à de très bons joueurs blancs », face à une équipe croate « de blancs au centre de trois grandes écoles (de foot, ndlr), l’allemande, la slave et l’italienne ».

    Naturellement, cette opinion est partagée par l’Europe entière mais pas uniquement : les Africains eux-mêmes revendiquent la victoire, tant dans leur presse que sur les réseaux sociaux. Et c’est précisément en raison de sa composition raciale qu’ils soutenaient l’Equipe de France.

    Le rejet massif d’une France en voie d’abâtardissement racial a été d’autant plus conforté que les afro-musulmans ont semé le chaos dans les rues de plusieurs grandes villes françaises devant les médias internationaux.

  • La France actuelle semble condamnée à disparaître .

    Chronique des temps de déshérence : la Figure de l’Étranger

     

    Notre tâche est de combattre dans l’urgence et par tous moyens, intellectuels, politiques et moraux, les idées devenues folles qui ont intoxiqué et contaminé les foules, tels l’égalitarisme sans rime ni raison ou une liberté sans limites ni responsabilité aucune, l’État assurant la couverture sanitaire et sociale de tous les écarts de conduite et les dérapages subséquents. Idées mortelles nées entre autres de la défiguration et de la trahison modernistes du catholicisme romain, lequel modernisme ne prêche plus le secours au prochain, mais se préoccupe d’abord de l’accueil du lointain, parasite opportuniste inaccessible à une culture du don qui lui est proprement étrangère. Église conciliaire qui prétend défendre la vie, mais nous invite aujourd’hui au mépris de nous-mêmes, jusqu’au reniement de nos aïeux et à la haine de ce qu’ils ont patiemment édifié, à force de sueur, de sang et de larmes ; en un mot, des clercs dévoyés, ou ce qui en tient lieu, nous convient au suicide physique, culturel et spirituel pour faire place libre à des hordes sans foi ni loi autres que leurs féroces appétits. Notre pressant devoir est à ce titre de dénoncer inlassablement et de démasquer les idéologues porteurs de mort qui sèment le poison du désarroi, cultivent le chaos mental, vérolent et polluent les esprits jusqu’à nous faire renoncer à notre avenir et au libre choix de notre destin.

    Il sera souvent fait ici mention de l’Étranger. Il  n’est évidemment pas question de la figure littéraire et métaphorique de l’Étranger que décrivit naguère — et de façon inspirée — Albert Camus… car son personnage était d’abord étranger à lui-même, ne menaçant a priori ni l’ordre public ni l’équilibre civilisationnel. Non, notre sujet est proprement l’Étranger — l’alien diraient les Anglo-Saxons — au monde dans lequel il s’invite parce qu’il est et demeure essentiellement extérieur aux sociétés dans lesquelles il s’incruste et par lesquelles il prospère. Insertion due le plus fréquemment — certes pas toujours — non à son courage et à son ardeur à participer à l’effort collectif — mais à sa capacité à parasiter un système faisant de l’Étranger le nombril du monde et le sel de la terre.

     

    De la Fraternité dévoyée à la préférence étrangère

     

    Seuls les imbéciles prennent encore au pied de la lettre les grotesques déclarations de Fraternité humaine à l’usage des masses. Non que celle-ci n’existât point, mais dites-moi en quoi la solidarité entre les hommes, la nécessaire coopération entre les peuples, auraient quelque chose à voir avec de folles migrations aux allures de conquête ? Et si, sans abus de langage, l’on peut parler de la Nation comme d’un organisme — une communauté organique —, il devient absolument loisible de parler de corps étranger à propos de ces masses humaines inassimilables qui viennent en perturber la bonne économie vitale. Et pourquoi également ne pas assimiler ce mal à une tumeur invasive et à ses métastases ? Une Fraternité que le Conseil constitutionnel vient pourtant — par une stupéfiante escroquerie intellectuelle, pour ne pas parler de forfaiture — d’ériger en norme de droit.

    En effet le Conseil dit constitutionnel, en venant au secours du faux paysan et vrai passeur délinquant multirécidiviste Cédric Herrou, a décrété « qu’il découle » de la devise de la République — Liberté/Égalité/Fraternité — que la Fraternité étant « un principe à valeur constitutionnelle », il se substitue de facto à la volonté clairement exprimée du peuple souverain et du suffrage universel (ou encore du Parlement : les deux chambres réunies en congrès) pour dire le Droit. Déjà en 2012, la Cour de cassation, plus haute juridiction civile, décidait que si l’entrée illégale en France constituait un délit, le séjour irrégulier ne l’était plus ! Aujourd’hui le Conseil constitutionnel déclare l’abrogation immédiate des mots « séjour irrégulier » et consécutivement donne une abracadabrante « valeur constitutionnelle au principe de fraternité ».

    Mme Anne-Marie Le Pourhier, professeur de droit public à l’Université Rennes I et vice-président de l’Association française de droit constitutionnel, constate pour sa part en termes pesés que : « le juge constitutionnel a trahi la lettre et l’esprit de la Constitution qu’il est chargé d’appliquer : la fraternité n’a jamais eu la moindre définition ni donc de contenu normatif. Elle n’a jamais évidemment concerné que les citoyens de la nation française réunis en “fratrie” symbolique. Enfin, l’Article 2 de la Constitution distingue soigneusement la “devise” de la République de son “principe” qui n’est pas du tout celui que le Conseil constitutionnel prétend consacrer ». Parce que la Fraternité n’est évidemment qu’un idéal abstrait et ne saurait en aucun cas avoir force de loi, sauf à rendre l’amour et la charité obligatoires sous peine, le cas échéant, de sanctions judiciaires. Resterait à savoir de quelle autorité transcendante peuvent se prévaloir les tristes sires du Conseil constitutionnel pour définir ainsi ce qui serait une morale sociale se confondant avec le droit dont elle est en et par principe distincte.  Rectitude et intégrité juridiques dont ils devraient être par définition les gardiens vigilants.

     

    Qui est l’Étranger ? L’ennemi ?

     

    Il peut ne s’agir — réduit à sa dimension hyperbolique — que de l’adversus primordial du genre humain que traquaient les Conventionnels, autrement dit les pères fondateurs de la République si vantée, adulée et si somptueusement honorée lors de son bicentenaire, le 14 juillet 1989, à grand renfort de défilés carnavalesques animés et peuplés de grotesques en tous genres…  Est qualifié d’étranger celui qui « est soupçonné d’être le moteur d’une conspiration étrangère, et est déclaré l’ennemi du genre humain par la convention »…

    Dénomination qui, dans la bouche de Saint-Just — le Bel ami intime de Robespierre — s’adressant pour la première fois à la Convention le 13 novembre 1792, stigmatisera Louis le XVIe… Saint-Just s’acharnera à désigner le Roi précisément comme l’ennemi, l’Étranger : « Le roi doit être jugé en ennemi,… nous avons moins à le juger qu’à le combattre… Louis est un étranger parmi nous… C’est un barbare, un étranger prisonnier de guerre ».

    La tyrannie cependant n’a plus aujourd’hui le visage trop humain d’un Roi débonnaire, et l’on ne peut guère envoyer à l’échafaud une hydre aux mille faces plus hideuses les unes que les autres. À la racaille périphérique répond et correspond la canaille bien-pensante d’une Gauche généralement bien nantie. Le tout assorti d’une piétaille bureaucratique généreusement stipendiée et subventionnée… travailleurs sociaux, pédagogistes, intermittents de la société du spectacle, fonctionnaires relevant du grand ministère de la Vérité et de l’Euthanasie des derniers des Mohicans.

    De nos jours la tyrannie n’a pas, n’a plus de visage de convenance, elle est diffuse, sans patrie, toujours en mouvement, elle est entre autres « la main invisible » du marché, celle de l’actionnariat anonyme adepte de rendements financiers aussi débridés que meurtriers, tout comme elle se trouve dans la main de ces idéocrates semeurs à l’envi d’idéovirus qui nous rongent la cervelle. Le visage de la tyrannie actuelle est au final, en ce bel été de victoire et d’hystérie footballistique mondiale, celui de tous ceux qui précipitent l’Europe dans l’abîme d’une submersion migratoire visant à épuiser et consommer l’héritage des siècles. Du passé faisons table rase pour qu’éclosent et s’épanouissent mille et une start up… d’où sortira l’Homme nouveau né d’une grossesse pour autrui ou d’une procréation médicalement assistée, GPA et PMA, acmés de la Liberté, de l’Égalité et de la Fraternité pour tous et toutes. Et pour tout bientôt, ainsi que promis par l’Élysée et Matignon !

     

    Les forces du chaos

     

    Au reste, la domination de l’étranger sur le destin des peuples, est bien celle que combattait Saint-Just lorsque rapporteur du Comité de salut public et de sûreté générale, il présentait le 23 ventôse an II, un mémoire relatif aux « factions de l’étranger et sur la conjuration ourdie par elles dans la République française pour détruire le gouvernement républicain ». À ceci près que c’est à présent, précisément, au nom des principes républicains  que les portes de la ville d’Ys ont été ouvertes afin d’y laisser déferler le flot migratoire et en finir avec trente siècles d’histoire européenne… Et, sans le dire ouvertement, liquider les peuples blancs, ceux qui édifièrent la prodigieuse cathédrale civilisationnelle qui fut la nôtre jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Faut-il vraiment s’en réjouir ? Laisser faire, laisser passer ?

    Nous sommes donc rendus à pied d’œuvre, les forces du chaos — du renouvellement et du progrès dit-on — ont pris notre destin en main, aussi le sort des Européens (pour ceux qui ne seront pas de simples et gentils animateurs d’un Disneyland planétaire) sera peut-être à l’image de ce que fut le navrant destin de l’Algérie, de la Rhodésie, de l’Afrique du Sud… Terre des Boers dont les femmes et les enfants ont été exterminés sous divers prétextes humanitaires par les Anglais dans les premiers camps de concentration de l’histoire moderne ! Ou encore subirons-nous en douceur, à grands coups d’avortements, de vaccinations, de loisirs et d’un large éventail de drogues douces (neuroleptiques, cannabis, cocaïne, télé-réalité), le sort des Amérindiens et des ultimes Fuégiens ?

    Toutefois, très paradoxalement, qui pourrait nous interdire, en pensée (et d’aventure, en acte), surtout en ces temps de déshérence morbide, de renier l’héritage des révolutionnaires fondateurs de cette République au nom de laquelle nos libertés fondent chaque jour davantage comme beurre en broche ? Car peuples et nations se trouvent à présent enserrés dans un  maillage extrêmement dense de traités, d’accords qui s’imposent derechef aux lois nationales. Inutile désormais de légiférer pour ou contre, le peuple souverain est une galéjade (comme nous le rappelle opportunément le Conseil constitutionnel) et son destin est désormais supranational, et nulle part ailleurs. Au reste Saint-Just avant de monter sur l’échafaud qu’il avait tant contribué à ériger et à approvisionner, nous a montré la voie à suivre en nous faisant savoir que « tous les hommes tiennent de la nature la mission secrète d’exterminer la domination en tout pays » [op.cit. p. 489]. Eh bien à sa suite, nous ne saurions mieux dire. À bon entendeur salut !

     

    Le parti de l’étranger

     

    Précisons qu’aujourd’hui « la domination » ressort d’une entreprise formidablement sournoise prenant chaque fois l’une des nombreuses formes de guerre que les élites cosmopolitistes et nomades livrent aux peuples sédentaires et laborieux. Guerre inexpiable que l’on affuble de noms savants telle ingénierie sociale, vecteur de ces dissonances cognitives (de l’hébéphrénie à la schizoïdie collectives) si utiles à l’instauration d’une “démocrature” universelle. Gouvernance en rapide et constante progression sous la houlette d’une hyperclasse (ainsi baptisée par l’illuministe  Attali) libérale-libertaire, avide de jouir frénétiquement sans entrave ni temps mort… Ce sont ces ploutocraties régnantes — leur unique religion étant un profit égoïste sans limites — qui ont parrainé et propulsé le président Macron dont le projet politique (discrètement totalitaire) est en vérité d’une totale transparence. S’il n’était occulté par le succès d’une équipe sportive néo-coloniale afro-hexagonale ! Écoutons le vibrion Attali — surtout ne pas le lire parce qu’il est illisible et abscons — et nous saurons tout : rien n’est caché, tout est annoncé ! 

    Totalitaire parce que peuples et nations se trouvent notamment enserrés dans des réseaux (des rets) de contraintes (certaines plus insupportables que d’autres : par exemple les limitations de vitesse draconiennes sur les routes), de règles, de lois, de directives, de textes en tous genres qui régentent dans le détail et jusqu’à l’absurde kafkaïen la vie des hommes. Un juridisme talmudique à croissance rapide (corrélat d’une bureaucratisation galopante) proliférant pour engendrer autant de maquis juridiques impénétrables aux non-initiés et cause première d’une eutrophisation sociétale et, pour finir, d’asphyxie existentielle….

    Forts de ce constat, rappelons-nous le parti de l’étranger que Jacques Chirac dénonça si opportunément le 6 décembre 1978 dans son Appel de Cochin : « …Comme toujours quand il s’agit de l’abaissement de la France, le parti de l’étranger est à l’œuvre avec sa voix paisible et rassurante. Français ! Ne l’écoutez pas. C’est l’engourdissement qui précède la paix de la mort ». Et peu importe qui écrivit ces mots et que le radsoc Chirac eut changé d’idées deux jours plus tard. Un discours qui resta en effet sans suite et n’eut aucune conséquence à l’image de la versatilité d’un homme public ayant, lui aussi, fait semblant de gouverner la France tout en la trahissant autant que possible. Un discours qui cependant résonne encore et demeurera pour les temps à venir — si l’histoire s’écrit encore — à l’instar de cette éphémère intervention du ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin, le 14 février 2003 devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies, quand le gouvernement français refusa (crânement) de s’associer à ce crime sordide que devait être l’invasion de l’Irak par les États-Unis d’Amérique, cette irréprochable démocratie !

     

     

     

     

    Léon CAMUS

  • Coupe du monde : victoire du cosmopolitisme, de l’Afrique et de la guérilla urbaine ...

     

    Après la victoire de l’équipe Black-Blancs-Beurs en finale de la coupe du monde de football il y a vingt ans, Jacques Chirac avait fortement grimpé dans les sondages. Alors que son impopularité était forte jusque-là, qu’il avait perdu un an plus tôt à la suite d’une dissolution hasardeuse la majorité à l’Assemblée, le triomphe d’une équipe de mercenaires cosmopolites lui avait tout à coup redonné des couleurs. Il y a fort à parier qu’il en ira de même pour le président Macron qui va chercher à profiter le plus possible de ce succès des “Bleus” et qui pourrait gagner une dizaine de points dans les enquêtes d’opinion. C’est que la victoire de l’équipe dite de France le 15 juillet à Moscou face à la Croatie a été l’occasion d’un débordement à la fois de liesse et de violence un peu partout en France.

    Même dans les villages les plus reculés, les hameaux les plus minuscules, les bourgs les plus modestes, ce ne fut qu’un long concert de klaxons, de hourras, de cris et de hurlements de la part de Français de souche qui applaudissaient avec ferveur voire frénésie la victoire d’une équipe composée très majoritairement de Noirs. 

    Sur les 23 joueurs de l’équipe dite de France, 17 sont en effet d’origine africaine. Ce n’est plus une minorité visible, c’est une majorité ostentatoire.

    Imagine-t-on l’équipe de Corée du Sud avec trois Asiatiques sur vingt ?Ou une majorité de blondinets dans l’équipe du Cameroun ? ...

    Poser la question, c’est y répondre... Le plus tragique, c’est que les remplacés applaudissent à tout rompre les remplaçants, les colonisés se réjouissent sans réserve, sans retenue de la victoire des nouveaux colonisateurs.

    Le dimanche 15 juillet 2018 restera dans l’histoire comme l’une des principales dates du suicide français, de l’acceptation par tout un peuple de son remplacement, de son effacement, de son adultération, de son abâtardissement, de sa honteuse abdication.

    La Coupe du monde : victoire de la France ou du cosmopolitisme, de l’Afrique et de la guérilla urbaine ? Le spectacle dimanche était saisissant entre une équipe croate exclusivement blanche, ethniquement homogène, et une équipe française majoritairement composée d’Africains. Et que la finale de cette compétition ait eu lieu en Russie, un des derniers pays qui reste encore (pour combien de temps ?) très majoritairement blanc (il suffit de prendre le métro à Moscou pour s’en rendre compte) était un symbole politique particulièrement fort.

     

    Car il faut être un fieffé imbécile pour ne pas mesurer la dimension idéologique du sport professionnel aujourd’hui, et singulièrement du football.

    Les mondialistes se servent du sport, et de l’engouement populaire qu’il suscite, pour détruire les défenses immunitaires des peuples européens.

    Depuis déjà un certain nombre de décennies le sport professionnel est une arme de destruction massive des identités, des ethnies, de l’intelligence, de l’esprit critique, de la capacité de résistance des peuples. A l’instar de l’opération « Je suis Charlie », le phénomène « Je suis les Bleus » sur les réseaux sociaux apparaît comme une gigantesque opération de sidération et de manipulation des masses. Ce qui est triste, même si cela ne nous surprend pas, c’est que cela fonctionne à chaque fois. Il suffit de lire les réactions de la LICRA, de la gauche et de la grande presse pour comprendre pourtant la dimension idéologique et politique de ce résultat sportif. Ces partisans du cosmopolitisme se réjouissent bruyamment de la victoire d’une équipe multiraciale, multiethnique censée représenter la vraie France, celle d’aujourd’hui et plus encore celle de demain. Cette victoire est la leur. C’est leur victoire, et c’est notre défaite. Imagine-t-on ce qu’auraient pensé nos aïeux d’un tel spectacle, qu’auraient pensé les combattants de 14-18 qui se sont sacrifiés par centaines de milliers à Douaumont, au Chemin des Dames, et qui se verraient représentés par une équipe mélanisée ? Car, de grâce, que l’on ne vienne pas nous parler de patriotisme dans cette affaire. Ces joueurs de football sont des mercenaires cosmopolites qui se vendent — ou que l’on vend — à prix d’or indépendamment de tout attachement charnel à un terroir, à un peuple, au sol et au sang. Un jour ils sont dans une équipe belge, le lendemain dans une équipe anglaise ou néerlandaise, un autre jour dans une équipe allemande, toutes d’ailleurs multiraciales. Ils se vendent au plus offrant et sont parfaitement interchangeables. Ce qui compte, c’est leur carrière, leur situation, et non l’intérêt national, le bien commun. Ce sont des mercenaires.

    Mais on se tromperait à ne voir là qu’une affaire de gros sous. Il y a bien plus grave.

    La volonté d’accélérer le Grand Remplacement, de faire accepter aux indigènes de ce pays qu’ils doivent se faire tout petits et accepter la France de la diversité, du mélange, car c’est cette France multicolore qui gagne, qui remporte des victoires sur le monde entier. Voilà le message que l’on entend faire passer au peuple français, ou à ce qu’il en reste. Las, les réactions à cette odieuse propagande sont bien faibles. Combien de nationaux, combien d’électeurs lepénistes se sont réjouis ouvertement, bruyamment, de cette victoire qui est pour eux la leur ? Ils ne voient pas, ils ne veulent pas voir que c’est leur asservissement, leur mise en servitude qu’ils proclament en saluant ainsi la victoire, peut-être arrangée d’ailleurs, de cette équipe de «remplaçants”. Mais de même qu’on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, on ne peut pas sauver les Français contre eux, ou malgré eux. S’ils acceptent de disparaître ou de devenir ultra-minoritaires dans leur propre pays, s’ils ne font plus d’enfants, s’ils ne croient plus en rien, s’ils sont drogués de télévision et conquis, ou tétanisés, par la propagande cosmopolite, holocaustique et homosexualiste, par l’antiracisme unilatéral, s’ils participent activement à ce suicide organisé, que peut-on y faire ?

     

    Comme toujours lorsqu’une équipe de mercenaires gagne une compétition, les débordements de toutes sortes se multiplient. Ce fut encore le cas dimanche soir tant à Paris que dans les villes de province où l’on a pu assister à de multiples scènes de guérilla urbaine : pillages de magasins, incendie de voitures et de poubelles, heurts violents avec les forces de l’ordre, saccage du Drugstore Publicis aux Champs-Elysées, les casseurs brisant les vitres et volant champagnes et bouteilles de vin, jets de divers projectiles, violentes échauffourées dans quasiment toutes les villes de France, de Lyon à Marseille, de Grenoble à Aix-les Bains, de Rouen à Ajaccio, de La Roche-sur-Yon à Nantes, etc. 

    Et la célébration de cette victoire s’est soldée par au moins deux morts (dont celle d’un automobiliste qui faisait la fête en conduisant et qui a heurté un platane tandis qu’un quinquagénaire, qui avait sans doute trop arrosé la victoire, s’est tué à Annecy en plongeant dans un canal, dans une trop faible profondeur d’eau !) et plusieurs blessés graves, dont trois enfants, de trois à six ans, qui ont été percutés par un motard qui faisait la fête en roulant en Meurthe-et-Moselle. Quel vide spirituel que d’entrer ainsi en transes pour la victoire d’une équipe de mercenaires cosmopolites ! Quels pauvres gens ! Quel pauvre pays ! Quelle déchéance !

     

    L’homme blanc est mort une première fois à Stalingrad en 1943. Il se pourrait bien qu’il soit mort une seconde fois, trois quarts de siècle plus tard, un 15 juillet 2018 au soir. Mais cette fois la défaite n’est pas militaire, ne s’est pas faite les armes à la main, elle est mentale, elle est cérébrale et elle est totale. C’est tout un peuple qui a renoncé à être lui-même, qui se glorifie d’être représenté, incarné au plus haut niveau sportif, et devant le monde entier, par une équipe issue pour l’essentiel de l’Afrique noire. Il y a bien pire qu’une conquête militaire par l’ennemi, c’est la conquête des cœurs, des âmes, des cerveaux et des intelligences. On peut se relever d’une défaite militaire, on ne se relève pas d’une abdication de l’âme. Or, force est de constater que cette conquête des esprits est quasiment achevée chez la plupart de nos compatriotes. Ils creusent leurs tombes à coups de klaxons, ils se jettent dans le vide en braillant « On est les champions », ils courent vers l’abîme en hurlant « On a gagné ».  Mais il est vrai que le pire des esclavages, c’est celui dont on n’a pas conscience et la pire des défaites, c’est celle qui se grime en prétendu triomphe.