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vincent reynouard

  • Acharnement contre Vincent Reynouard : la France délivre contre lui un second mandat d’arrêt !

     

    L’ACHARNEMENT contre Vincent Reynouard atteint des niveaux inouïs.

    Alors que la justice écossaise devait décider le Jeudi Saint, le 6 avril, de son extradition ou non vers la France, voici que, lors de l’audience “relais” du 9 mars, les autorités françaises ont délivré contre le militant révisionniste un second mandat d’arrêt (voir l’interview de l’intéressé en page 3). Pourquoi cela ?

    Tout simplement parce qu’elles avaient conscience que leur dossier était mal ficelé, l’affaire mal engagée car, répétons-le, outre-Manche le révisionnisme historique n’est pas un délit.

    Le général de gendarmerie, le très conformiste Jean-Philippe Reiland, patron de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et contre les crimes de haine (sic !), dès l’arrestation par six policiers britanniques le 10 novembre 2022 du valeureux chercheur, avait pudiquement évoqué « des difficultés juridiques ». Mais, ajoutait-il, cela ne doit pas empêcher la police et la justice françaises de traquer les auteurs de « crimes de haine ». Accuser Vincent Reynouard de commettre des « crimes de haine », c’est particulièrement fort de café quand on connaît sa personnalité qui est incapable d’éprouver la moindre haine envers qui que ce soit. Craignant de perdre leur proie, les pouvoirs publics aux ordres du Lobby de la Mémoire ont donc décidé d’ajouter de nouvelles charges contre l’historien révisionniste afin d’obtenir son extradition vers la France. C’est ainsi qu’on l’accuse tout à coup d’incitation à la haine raciale à propos d’une vidéo de 2020 où il parle des juifs. Or tout esprit intellectuellement honnête et objectif ne peut déceler la moindre haine dans cette production. Mais qu’importe, comme dit l’adage, qui veut noyer son chien l’accuse d’avoir la rage.
    Ce nouveau mandat d’arrêt, dont Vincent et son avocat, Paul Dunne, n’ont eu connaissance que lors de l’audience “relais” du 9 mars, a pour conséquence directe et immédiate le prolongement de deux mois supplémentaires du séjour en prison à Edimbourg du militant révisionniste. En effet, les magistrats écossais ne rendront finalement leur décision quant à l’éventuelle extradition de Vincent que le jeudi 8 juin 2023. De sorte qu’il sera resté au minimum sept mois derrière les barreaux, de novembre 2022 à juin 2023, de manière tout à fait arbitraire. Car encore une fois il n’a commis aucun délit au regard de la loi britannique. Son arrestation et sa détention sont donc scandaleuses. Et l’acharnement des autorités françaises à son endroit est tout à fait révoltant. On a d’ailleurs mis les grands moyens pour le repérer, le traquer et l’appréhender puisqu’on sait maintenant que le contre-espionnage britannique s’en est mêlé comme si l’on avait eu affaire à un dangereux terroriste, à un poseur de bombes.
    Mais c’est qu’en réalité la bombe que constitue le révisionnisme historique est beaucoup plus redoutable pour les dirigeants actuels car elle met ouvertement en question la clé de voûte du Système mondial depuis 1945. Et c’est pourquoi, bien que Vincent Reynouard soit isolé, esseulé, suivi et soutenu par un nombre limité de personnes, il faut absolument le faire taire. Il a fallu aller le chercher au fin fond de l’Ecosse dans un introuvable lieu-dit, dans la modeste chambre d’hôte qu’il occupait au premier étage d’une maison délabrée, aux alentours du petit port de pêche d’Anstruther sur la côte est, au nord d’Edimbourg. Le Système actuel ne souffre pas même un murmure, pas même un bourdonnement. Il faut que le silence se fasse, que la vérité officielle règne partout, à l’école, dans les médias, sur la Toile, dans les cerveaux et les consciences, dans les esprits et dans les âmes.

    CE FAIT n’est pas nouveau. Il n’est que de voir la façon dont Vincent Reynouard a été traité depuis qu’il a osé s’intéresser de près à la tragédie d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 et que, contrairement à beaucoup d’historiens qui se contentent de lire des livres et de les régurgiter, il s’est rendu sur place, a mené une enquête sérieuse, longue et approfondie, a interrogé les villageois contemporains du drame, a examiné de fond en comble l’église et le clocher, a étudié de près les corps des cadavres, lui qui est ingénieur chimiste de formation, a analysé les différents témoignages et dépositions pour juger de leur crédibilité, de leur cohérence, de leur véracité. Le premier livre qu’il a écrit et publié sur la question, Le Massacre d’Oradour-sur-Glane : un demi-siècle de mise en scène, en 1997, a été interdit. La cassette vidéo qu’il a réalisée sur le même sujet a été elle aussi interdite en 2001 et on a même utilisé pour l’occasion une disposition destinée à protéger les bonnes mœurs des mineurs ! A deux reprises, le tribunal et la cour d’appel à Limoges, en 2003 et en 2004, ont osé condamner le chercheur pour un délit qu’il n’avait pas commis. On l’a en effet condamné à trois mois puis à six mois de prison ferme pour apologie de crime de guerre. Mais comment pouvait-il faire l’apologie d’un crime dont précisément il contestait l’existence ? Comme à cette époque la contestation d’un crime de guerre n’était pas un délit, contrairement à la contestation d’un crime contre l’humanité (depuis la loi Rocard-Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990), il a donc fallu tordre le droit pour pouvoir le condamner. Cela n’a gêné ni le juge d’instruction qui l’a mis en examen pour apologie de crime de guerre, ni les magistrats en première instance et en appel qui l’ont jugé à Limoges dans un climat de terreur.
    Il est d’ailleurs impressionnant et en même temps terrifiant de constater que de longues décennies après les faits on ne puisse pas disposer de la liberté de recherche, d’expression et de publication sur les événements de la Seconde Guerre mondiale. On parle régulièrement de la mort du communisme mais en réalité ses méthodes, son état d’esprit, ses façons d’être et d’agir n’ont peut-être jamais été aussi prégnants. Le règne du mensonge, la désinvolture vis-à-vis de la justice et de la vérité n’ont peut-être jamais été aussi écrasants. Et ce hélas dans l’indifférence générale, dans un silence sépulcral. Faut-il que l’amour de la vérité et de la justice ait considérablement diminué dans la conscience de l’homme moderne pour que l’on accepte aussi facilement qu’un innocent soit à ce point bâillonné, maltraité, pourchassé, persécuté ?

    ET IL NE faut pas croire que Vincent Reynouard soit un cas isolé. Lorsqu’on ne dénonce pas publiquement et fermement une injustice, une ignominie, alors immanquablement les injustices se multiplient, se banalisent et finissent par avoir force de loi. Et c’est bien ce qui se passe actuellement. On ne compte plus les dissolutions arbitraires de mouvements, de groupements, d’associations que prononce régulièrement le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin, alors même que lesdits groupements n’ont commis aucun délit, n’ont été impliqués dans aucune violence, dans aucun acte séditieux ou terroriste.

    Mais qu’importe, il suffit de déclarer, d’édicter que ce sont des associations incitant à la haine, et le tour est joué. Lutte contre la haine, que de crimes, que d’infamies on commet en ton nom ! C’est ainsi que certains sites communautaires, comme BTA (Balance ton antisémite), la LICRA et quelques autres, ainsi que le vice-président du CRIF, l’inénarrable Gil Taieb, demandent désormais aux pouvoirs publics l’interdiction de RIVAROL au motif que notre modeste publication, vieille de 72 ans, inciterait à la haine. On se permet ainsi de réclamer la tête de tous ceux qui n’ont pas l’heur de plaire, de tous ceux qui dérangent. Et hélas le plus souvent cet odieux chantage est couronné de succès. C’est ainsi que LCP, la chaîne parlementaire, a renoncé au dernier moment sous pression à un entretien avec Kémi Séba, agent d’influence du groupe russe Wagner, parce que ce dernier a tenu par le passé des propos jugés antisémites et négationnistes et que cela est insupportable au Lobby de la Mémoire. Il y a quelques semaines, une conférence prévue à Lyon à l’occasion du trentième anniversaire des accords d’Oslo entre l’entité sioniste et l’Autorité palestinienne, alors représentée par Yasser Arafat, a pareillement été annulée au dernier moment, à la suite des vives protestations et des violentes attaques du lobby judéo-sioniste parce qu’avait été invité à ce colloque, parmi bien d’autres participants, un avocat palestinien défendant les droits de son peuple à une terre et à un Etat. Or le Lobby le considérait comme un affreux terroriste. Il est vrai que le plus modeste soutien à la cause palestinienne est aujourd’hui assimilé à de l’antisémitisme et à de la complicité active avec le terrorisme. Voilà où l’on en est ! Mais là encore l’injustice nourrit l’injustice, le mensonge appelle le mensonge, la répression suscite la répression. Beaucoup se sont tus lorsque l’on a créé un ahurissant délit de négationnisme, empêchant la libre recherche et la libre expression sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y a aucune raison pour que l’injustice et la tyrannie ne s’étendent pas à d’autres questions, concernent d’autres domaines. C’est aujourd’hui la cause palestinienne qui est délégitimée, criminalisée, diabolisée. Et ses partisans avec elle. Mais ce qui est vrai pour la Palestine l’est également pour la famille et pour la nation française. Défendre la morale naturelle et la famille traditionnelle est aujourd’hui un délit nommé homophobie, transphobie, etc.  Lutter contre le Grand Remplacemernt, contre l’invasion migratoire est un délit appelé racisme, xénophobie. Et on pourrait multiplier le exemples. Tout ce qui déplaît au Système arc-en-ciel est considéré comme de l’incitation à la haine. C’est tellement facile !
    Nous sommes victimes d’un terrorisme intellectuel et moral de plus en plus violent, de plus en plus extrémiste, de plus en plus étendu qui a sans cesse besoin de chair fraîche, qui réclame quotidiennement que des têtes tombent, qui est assoiffé de sang, qui ne fonctionne que par la loi des suspects et par une impitoyable terreur. Plus que jamais le devoir de l’homme libre et brave est de résister calmement et vaillamment à cette oppression, à cette volonté d’engourdissement des consciences et d’asservissement des âmes.

     

    J.BOURBON

     

  • C'est l' Etat qu'il faut confiner !

     

    L’infantilisation du peuple continue plus que jamais.

    Dans son interminable intervention télévisée le 24 novembre, Emmanuel Macron nous a donné des précisions sur les modalités de notre assignation à résidence et sur les restrictions imposées à notre liberté de circulation, de réunion et de culte dans les deux mois à venir : le confinement continue jusqu’au 15 décembre, ainsi que les attestations à remplir et à signer systématiquement pour pouvoir sortir de chez soi légalement, le régime du couvre-feu reprend à compter du 15 décembre 2020 jusqu’au 20 janvier 2021, de 21 heures à 7 heures du matin. Le culte public peut reprendre à partir du 28 novembre, mais les offices ne pourront pas accueillir plus de trente personnes. On se demande pourquoi une telle mesure discriminatoire, sinon à vouloir humilier et persécuter les croyants. Car ce seuil de trente personnes est ridicule alors que les transports en commun sont souvent, eux, pleins comme un œuf. De plus, ce n’est pas la même chose de réunir trente personnes dans une chapelle minuscule et dans une immense cathédrale. Cette limitation est donc autant absurde que liberticide. 

    Si la plupart des commerces peuvent rouvrir depuis le samedi 28 novembre, les bars et les restaurants resteront fermés, eux, au moins jusqu’au 20 janvier. Et ils ne rouvriront à cette date que si la situation sanitaire est jugée assez bonne et surtout s’ils n’ont pas définitivement fait faillite d’ici là. Cette insupportable brimade du secteur de la restauration, un domaine où l’on ne se contente généralement pas des trente-cinq heures par semaine, et où l’on est courageux, travailleur, dur au mal (tenir un restaurant est l’un des métiers les plus exigeants et les plus contraignants !) est inexplicable, sauf à vouloir tuer les classes moyennes et à détruire ce qui était encore sain, ce qui tenait debout dans notre pays. Le Premier ministre ose affirmer sans rire que le millésime 2021 sera en France l’année de la gastronomie. De deux choses l’une : ou Castex a des talents d’humoriste qu’on ne lui connaissait pas, soit il s’agit d’une provocation ou d’une imbécillité majeure. 

    Au vu de la situation actuelle, rien ne justifie en effet la prolongation de cette fermeture des restaurants et des bars qui sont de surcroît des lieux de convivialité. Il y a tellement de gens qui se sentent seuls, qui sont profondément malheureux et dont la vie était rendue plus agréable, ou plus supportable, par le fait d’aller boire un petit noir au comptoir ou de se sustenter dans une auberge accueillante et chaleureuse, en prenant le plat du jour et un bon petit verre de vin et en se mêlant aux conversations du quotidien qui donnent un peu de joie. Si on ne peut plus chanter par crainte du virus, si on ne peut plus visiter sa famille ou ses amis, si l’on ne peut plus sortir pour partager des moments conviviaux, si l’on ne doit pas se promener plus de trois heures et au-delà de 20 kilomètres de son domicile (et jusque-là c’était carrément soixante minutes et mille mètres !), si l’on ne peut plus aller prier à l’église ou sur les lieux de pèlerinages et d’apparitions, si l’on doit porter le masque partout, y compris à la maison, quel goût peut-on encore trouver à la vie ? Beaucoup de personnes âgées, diminuées ou fragilisées sont mortes pendant le confinement, ou ont vu leur état ou leur dépression s’aggraver, parce que précisément elles étaient privées de toute chaleur humaine, de la venue, du regard, de la conversation, du sourire de leurs proches. Cette tyrannie hygiéniste a quelque chose de profondément inhumain.

    Et les commerçants qui comptaient sur ce dernier samedi de novembre pour récupérer un peu de leur manque à gagner en ont souvent été pour leurs frais dans les grandes agglomérations du fait des manifestations massives et violentes organisées dans 70 villes (en plein confinement !) à l’appel de la gauche et de l’extrême gauche qui dénonçaient le projet de loi Sécurité globale et son fameux article 24 destiné à protéger les policiers, en interdisant la diffusion malveillante de leurs photos, adresses et informations personnelles et familiales.

    Les Black Blocs et autres Antifas ont sévi comme toujours avec une rare sauvagerie, blessant 62 policiers.

    Si les pouvoirs publics ont déploré ces violences contre les forces de l’ordre, ils sont particulièrement mal placés puisque Macron avait longuement dénoncé auparavant sur sa page Facebook (c’est là désormais que le chef de l’Etat s’exprime prioritairement ...) l’interpellation musclée d’un rappeur noir, Michel Zecler, par des policiers, diffamant publiquement sa propre police, la traitant de raciste et de brutale, alors même que l’enquête n’avait pas encore commencé.  

    Les quatre policiers en garde à vue et qui risquent la révocation ont affirmé qu’ils ont agi parce qu’ils « se sont aperçus que cet individu avait une énorme sacoche avec une odeur de stupéfiants très forte », qu’il s’est livré à « une rébellion caractérisée », tentant de fuir, injuriant et blessant même un des policiers. Comme souvent, dans ce genre d’affaires, l’homme n’est pas un enfant de chœur puisqu’il est connu pour vol à main armée, association de malfaiteurs, a déjà fait de la prison et a des antécédents judiciaires très lourds de stupéfiants, de vols et d’outrages. Mais quand il s’agit d’un rappeur de couleur politiquement correct, il est forcément la victime innocente du racisme, de la haine, de la violence et de la brutalité policières pour reprendre les expressions de Macron. En revanche, quand la police régimiste mutilait des gilets jaunes ou gazait des familles pacifiques lors de la Manif pour tous, là en revanche, les media et les associations droits de l’hommistes ne s’en offusquaient pas. 

    Si l'interpellation d’un multirécidiviste récalcitrant choque, en revanche les grands media se sont tus sur la nouvelle condamnation à de la prison ferme du révisionniste Vincent Reynouard.

    Le chercheur a en effet été condamné le 25 novembre à quatre mois de prison pour contestation de crime contre l’humanité, après une vidéo publiée sur YouTube le 3 mai 2017 dans laquelle il niait l’existence de la Shoah et signalée par la LICRA. Alors qu’il a déjà passé neuf mois derrière les barreaux, du 9 juillet 2010 au 5 avril 2011, Reynouard, depuis sa libération, a été de nouveau condamné à 23 mois de prison ferme qui se répartissent ainsi : un an en 2015, deux mois en 2016, cinq mois encore fin 2016 et donc encore quatre mois ce 25 novembre 2019. On comprend donc que l’historien quinquagénaire se soit exilé à Londres. On notera toutefois, et c’est la seule bonne nouvelle sur le front judiciaire, que Vincent Reynouard a été relaxé pour deux vidéos des 13 et 14 mai 2017, sur le drame d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944. Le tribunal a souligné qu’il s’agissait d’un crime de guerre, celui officiellement attribué à la division SS Das Reich, et que « la contestation d’un tel crime, à la différence de son apologie, n’est pas susceptible de qualification pénale ».

    Quant à Hervé Ryssen, en détention depuis le 18 septembre, c’est-à-dire depuis déjà deux mois et demi à la prison de Fleury-Mérogis, il comparait ce 2 décembre à nouveau devant la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris où il risque là aussi une nouvelle peine de prison ferme pour des écrits où il exerce pleinement sa liberté de penseur. Ryssen est confronté en ce moment à une très forte adversité car, en plus de son incarcération, des nouveaux procès qui s’ajoutent (il y en a encore d’autres à venir), il a perdu son père le 10 novembre, après avoir perdu sa mère il y a peu de temps. Le procureur avait donné son accord de principe pour qu’il puisse se rendre, encadré par l’administration pénitentiaire, aux obsèques de son géniteur. Le matin même de l’enterrement, alors qu’il se préparait à s’y rendre, on lui a fait savoir que c’était impossible, faute de personnel suffisant pour l’“escorter” ! C’est à cela aussi que l’on mesure l’inhumanité de notre monde et de notre société. Ryssen n’aura pas pu dire adieu à son père, n’aura pas pu l’accompagner dans son dernier voyage, lui dire une dernière fois combien il l’aimait, l’embrasser sur son lit mortuaire, bénir son cercueil, ce père dont il n’entendra plus ici-bas le timbre de la voix, dont il ne verra plus ni le visage, ni le sourire, ni les larmes, lui à qui il ne pourra plus se confier, plus écrire, plus parler, lui avec qui il ne partagera plus ni la table, ni les joies ni les peines, ni les espoirs ni les craintes. C’est déjà tellement difficile de perdre ses parents en temps normal, mais lorsqu’on est reclus, détenu, au fond du gouffre, combien cette épreuve doit être cruelle.

    Nous vivons vraiment en dictature,sous une tyrannie sans cœur, sans principe et sans honneur.