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  • Le journal de gauche Ouest-France a une nouvelle fois fait preuve de sa haine atavique envers l’héritage chrétien des Européens.

    Le journal de gauche Ouest-France a une nouvelle fois fait preuve de sa haine atavique envers l’héritage et l’essence des Européens.

     

    Fidèle au vieux terrorisme cosmopolite défendu par le clergé marxiste bergoglien, le journal du monothéisme démocratique a dénoncé avec virulence l’usage de runes scandinaves par la sélection olympique norvégienne.

    Ouest-France (source) :

    Dale of Norway est à l’origine d’un gros scandale en Norvège. En effet, après avoir sorti une ligne de pulls destinée au skieur alpin norvégien, la polémique comme quoi les symboles inscrits sur les vêtements étaient nazis a enflé.
    C’est le scandale qui fait du bruit ces derniers jours en Norvège. Des équipements créés par la marque Dale of Norway destiné aux skieurs alpins arborent des motifs qui ont été utilisés par les nazis. Ces symboles sont aujourd’hui utilisés par des groupuscules néo-nazis.
    Le motif à l’origine de la polémique est une rune en forme de parapluie qui représente Tyr, le dieu de la guerre. Celui-ci est associé à la bataille, à la stratégie et à la victoire. Dans les années 1930, le IIIe Reich a repris la rune de Tyr pour en faire l’emblème d’une école où ont été formés des représentants du régime nazi.

    Il s’agit ici de l’habituelle inquisition cosmopolite pour laquelle tout ce qui existait avant les tables de la loi des droits de l’homme relève de l’hérésie, du séparatisme culturel et moral, bref du différentialisme.

    Ces prétendus « symboles nazis » sont en réalité vieux de plusieurs millénaires et étaient en usage dans le monde germanique et scandinave : les runes.

    La vieille haine de la bourgeoisie socialo-marxiste, post-chrétienne et cosmopolite envers la culture populaire des Européens n’est pas une chose nouvelle.

    Et elle doit cependant alerter ces derniers contre les tentatives désespérées des tenants du monothéisme antiraciste visant à détruire, à l’image des islamistes, tout ce qui incarne l’identité profonde des peuples qu’ils cherchent à maintenir, avec une difficulté croissante, dans le giron de leur superstition.

     

     

    Plus particulièrement, les oghams celtiques ou les symboles comme le triskel ne manqueront pas d’être désignés comme suspects aux yeux des inquisiteurs de l’église démocratique pour lesquels l’abolition des peuples et de leur culture est une condition sine qua non de la parousie du communisme racial, i.e. le « multiculturalisme ».

     

    Le programme anti-européen de Ouest-France et du Vatican néo-communiste ne doit tromper aucun Breton : leur héritage celtique sera ciblé tôt ou tard pour faire place au nouveau monothéisme qu’est le socialisme couronné par l’islam !

     

     

  • Le traitement médiatique de l'assassinat de Boris Nemtsov par la presse "occidentale" a été l'occasion, une fois encore, de constater les manquements flagrants à la déontologie de beaucoup de journalistes français.

     

     
    La dépouille de M. Nemtsov n'avait sans doute pas encore fait l'objet de l'autopsie de rigueur que déjà la twittosphère française vibrait de messages d'indignation avec, en ligne de mire, Vladimir Poutine. "Coupable, forcément coupable, Vladimir P. " pourrions-nous dire pour paraphraser Marguerite Duras. Celle-ci, rappelons-le, couvrait une autre affaire sordide d'assassinat il y a trente ans pour le quotidien Libération. Elle avait attribué la culpabilité d'un crime à la mère d'un enfant-martyre, sans la moindre preuve, la moindre enquête. Le procédé foulait aux pieds toutes les règles de la profession journalistique mais qu'importe: l'émotion primant sur la réflexion, Libération avait publié cette infamie sans plus de précautions. L'art officiel, n'est-ce pas, peut l'emporter sur les faits.
     
    Nous ne savons pas encore qui a tué Boris Nemtsov. Peut-être ne le saurons-nous jamais. Mais ce qui est certain c'est que nous savons qu'il existe un double standard dès qu'il s'agit de parler de Vladimir Poutine, dès qu'il s'agit de parler de la Russie. Pour le chef de l'Etat russe, pour son peuple qui, les sondages en attestent, le soutient massivement, pas de présomption d'innocence. Ex-agent du KGB, Vladimir Poutine est nécessairement un nostalgique de l'Union Soviétique qui, via une propagande magistralement orchestrée par des médias sous contrôle total du Kremlin, a hypnotisé son opinion publique et l'entraîne dans une dangereuse spirale ultranationaliste et impérialiste. Cette dérive, bien évidemment présentée comme fascisante par les médias occidentaux, est susceptible de selon eux de mener le Président russe à conquérir l'Ukraine et, qui sait, demain les pays Baltes, ou la Pologne.
     
    Il suffit d'ouvrir n'importe quel journal ( "Ouest Torchon", par exemple champion de la désinformation), d'écouter quelques heures la radio pour que, sans cesse, le même mythe d'un retour de la guerre froide revienne avec, en arrière-plan, le spectre menaçant d'une armée rouge ressuscitée. Français stockez des pâtes. Comme en mai 1981, les chars russes se préparent à défiler place de la Concorde. Tout cela serait comique si, en définitive, un vrai climat de haine et de paranoïa ne s'installait pas peu à peu en France, tout individu ne hurlant pas avec les loups contre le péril russe étant qualifié d'agent d'influence à la solde de Moscou. Il n'est plus possible aujourd'hui de parler, d'échanger, de raisonner, d'argumenter dès qu'il s'agit de la Russie, de Vladimir Poutine. Vous êtes contre et vous êtes dans le camp du bien. Ou bien vous n'êtes pas sur la ligne dominante et vous participez de l'axe du mal ou, au mieux, êtes suspect de trahison envers la nation. Ne parlons même pas de ceux qui écrivent dans les colonnes d'un média gouvernemental russe…
     
    Le pire est que l'on retrouve ce manichéisme dans certains des cercles de réflexion supposés les mieux informés. Loin des caméras et des micros, alors que la discussion pourrait être sereine entre individus aux opinions divergentes, mais censés se caractériser par leur sang-froid, leurs capacités d'analyse, les craintes les plus folles s'expriment vis-à-vis de la Russie. La Russie c'est l'ennemi. Et gare à celui qui ose apporter la contradiction. "Il suffit d'observer les programmes militaires que les Russes développent prioritairement pour se rendre compte qu'il s'agit essentiellement de programmes défensifs", constatait récemment un brillant penseur militaire français, ancien officier supérieur, lors d'une discussion à laquelle l'auteur de ces lignes prenait part. Le silence de plomb qui a suivi ses propos en disait long sur la prudence de ceux qui, partageant cette opinion n'osaient acquiescer, et la réprobation de ceux qui le tenaient pour un individu "politiquement incorrect".
     
    Nous sommes sortis du raisonnable. Il convient de vite y revenir. Fragile, le cessez-le-feu tient malgré tout pour l'heure, dans le Donbass. Timidement, pas à pas, certains dirigeants européens renouent un dialogue plus apaisé avec la Russie. Il faut poursuivre dans ce sens, dans les mois qui viennent, pour régler le problème ukrainien en concertation, avec toutes les parties concernées en Europe. Les responsables français, allemand, russe et ukrainien ont signé un accord à Minsk  et évoquent "la création d'un espace humain et économique commun, de l'Atlantique au Pacifique". On n'avait pas évoqué une perspective aussi ambitieuse et optimiste depuis l'époque de François Mitterrand, Helmut Kohl et Mikhaïl Gorbatchev, il y a de cela vingt ans. Vingt ans perdus. Nous devons nous accrocher à cet espoir et cesser en France et en Russie —car les médias russes ont leur part de responsabilité — une guerre médiatique absurde qui ne fait que creuser le fossé entre les nations. "Une information et son démenti, cela fait deux informations", déclarait Pierre Lazareff, le plus célèbre des patrons de presse français, cité encore en exemple dans toutes les rédactions et toutes les écoles de journalisme de l'hexagone. Il faut en finir avec ce cynisme. Car le démenti arrive toujours trop tard et le mal est fait.