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Islamisation - Page 23

  • Amendes salées pour les indigènes sauf pour les "chances pour la France" ...

     

     

    Tandis que des catholiques, réunis à une douzaine pour entendre la sainte Messe hier dimanche, ont été verbalisés par des gendarmes zélés pour un non respect, plutôt subjectif, des règles de confinement, dealers et « djeunes » en banlieues s’en donnent à cœur joie pour ne rien respecter du tout :

    «  La nuit de samedi à dimanche n’a pas été de tout repos pour les pompiers et les policiers de Seine-Saint-Denis, relate Actu 17.

    Secours et forces de l’ordre ont été contraints d’intervenir à plusieurs reprises à Clichy-sous-Bois, ce samedi, pour des incendies volontaires. La première intervention a eu lieu vers 20h30, lorsque deux camionnettes ont été incendiées dans l’allée du Bois-du-Temple.

    Les pompiers escortés par les policiers en prévision d’un éventuel guet-apens ont effectivement été ciblés par une pluie de projectiles dès leur arrivée. Visiblement déterminés à blesser voire pire, les assaillants ont visé les fonctionnaires avec des boules de pétanque, relate Le Parisien.

    Sept médiateurs de l’équipe mobile de tranquillité mobile ont également subi des jets de projectiles, d’après le maire de la commune. À peine une trentaine de minutes plus tard, c’est entre le commissariat de la commune et la caserne de pompiers que des poubelles ont été incendiées.

    En Seine-Saint-Denis, des émeutiers harcèlent les forces de l’ordre et les secours depuis le début de la mise en place du confinement lié à la pandémie de Covid-19.

    Mardi soir à Aulnay-sous-Bois, une vingtaine de jeunes leur ont tendu un guet-apens dans la cité des 3 000. Les policiers ont pu interpeller et placer en garde à vue six suspects pour « participation à un attroupement armé ».

    Le Figaro traite du sujet pareillement :

    «  Au-delà des délinquants, les policiers constatent beaucoup d’infractions: bars ouverts, petits groupes, voitures avec quatre ou cinq passagers… Avec de fortes tensions en cas de contrôle.

    L’épidémie est un révélateur de la crise des «quartiers sensibles» et nul ne devrait s’en étonner. Secrétaire général de Synergie-officiers, Patrice Ribeiro déplore que «des individus, minoritaires, s’y considèrent au-dessus des lois. Et toute intervention policière est prétexte à affrontement».

    Les faits parlent d’eux-mêmes. Dès mardi, dans une cité d’Elbeuf (Seine-Maritime), des policiers sont pris à partie une heure durant par une cinquantaine de jeunes organisant un barbecue géant et un feu d’artifice…

    Mercredi, dans la région lyonnaise, des policiers sont insultés par une dizaine d’individus. À Massy et Savigny-sur-Orge (Essonne), des contrôles tournent à l’échauffourée. À Millau (Aveyron), un trentenaire, apparemment fiévreux et connu des services de police, crache sur les policiers pendant un contrôle.

    Même révélations sur le plateau de l’émission “L’Heure des Pros” (CNews) du 20 Mars 2020.

     

     

     

    C’est un choix délibéré de l’État: le confinement n'est désormais pas appliqué dans les zones criminogènes. Or, si certains veulent acheter la paix sociale, l’ancien préfet Michel Aubouin craint que l’assèchement des trafics de drogue ne mène à de nouvelles émeutes, au pire moment.

    «Ce n’est pas une priorité que de faire respecter dans les quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements», a déclaré le Secrétaire d’État Laurent Nuñez lors d’une visioconférence avec les préfets le 18 mars. Une révélation du Canard enchaîné qui conforte les instructions aux policiers du 92 que nous avions dévoilées la semaine dernière: alors que le confinement se révèle impraticable dans les zones de non-droit, l’État recule.

    «C’est une question de rapport de forces: pour confiner tous ces gens, il faudrait des moyens policiers que nous n’avons pas», regrette l’ancien préfet Michel Aubouin au micro de Sputnik.

     

    Ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai 40 ans dans les cités, notre interlocuteur connaît la réalité des zones sensibles. Pour lui, la situation est hautement inflammable: «ça ne m’étonnerait pas que ça se transforme franchement en émeute», nous confie-t-il. «Les maires que je vois sont très inquiets», ajoute-t-il, avant de préciser: «les préfets laissent les maires assez démunis et la Police municipale a peu de moyens juridiques, à part dire aux gens de rentrer chez eux...»

     

    Les maires appellent l’État au secours…

    Alors que les attroupements, les rodéos urbains et autres barbecues se multiplient avec le printemps et en dépit du bon sens sanitaire, certains élus craignent en effet le pire. La maire de Vénissieux (Rhône), Michèle Picard (PCF), a lancé un appel au secours pour obtenir des renforts de police. Avec 34 agents, la police municipale de cette ville de 66.000 habitants est débordée et n’est pas en mesure de faire respecter le confinement.

    Mais les renforts viendront-ils? 100.000 agents devaient quadriller le territoire national, selon Emmanuel Macron, mais l’annonce tarde à être suivie d’effet. Il faut dire que la police est déjà exsangue, d’autant plus que les agents contaminés sont de plus en plus nombreux. Ayant reçu l’ordre de ne pas porter de masque, les agents sont particulièrement exposés à la contagion. Au 25 mars, 100 sont officiellement malades, et 5.000 sont quant à eux confinés. Du côté de la gendarmerie, on compte 25 malades et 600 confinés.*

    … mais l’État tente d’acheter la paix sociale

    Face au désarroi des élus, les représentants de l’État ne rassurent pas. Ainsi, le préfet de Seine-Saint-Denis a-t-il exigé du maire d’Aubervilliers de lever l’arrêté de couvre-feu, menaçant de l’attaquer devant une juridiction administrative pour illégalité. Pourtant, 112 villes en France l’ont édicté… tout comme le préfet des Alpes-Maritimes. Une façon d’acheter la paix sociale? Entre des émeutes urbaines au pire moment ou la propagation du virus, l’État semble avoir tranché pour le deuxième des maux.

     

    Comme d’habitude, selon Michel Aubouin, la situation reflète une méconnaissance des quartiers et des réflexes culturels propres aux familles d’origine étrangère. L’échec du confinement dans les zones sensibles était presque prévisible: «pour toutes les familles originaires du Maghreb, les appartements abritent les femmes et les filles, et les garçons ont souvent peu de raisons d’y être,» affirme l’ancien fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, familier des quartiers défavorisés: «je ne crois pas que quelqu’un ait pris la peine d’y réfléchir.» Et le préfet d’ajouter que les consignes sanitaires télévisées n’ont pas de sens dans ces parties du territoire: «ils ne regardent pas ces chaînes», indique-t-il. Ainsi les maux des quartiers «populaires» se révèlent-ils autant dans cette crise que ceux des décideurs politiques:

     

    «On continue de penser que les problèmes sont loin, qu’il suffit de cantonner ces gens dans leurs quartiers, et de penser les quartiers comme des espaces extérieurs à la nation», estime Michel Aubouin.

    Or, un tel raisonnement est condamné à échouer. Car plus encore que le confinement dans ces quartiers, confiner ces quartiers est impossible: «les livreurs ou chauffeurs de VTC, les milliers de travailleurs indépendants en viennent», relève Michel Aubouin en guise d’exemple. La propagation du virus est dès lors garantie.

    L'intervention tant attendue de l'armée?

    Mais à l’échec du confinement dans les zones de non-droit, pourrait s’ajouter un coup brutal à leur économie. Les trafics de drogue, qui n’ont pas cessé à l’heure actuelle, pourraient bien s’assécher dans les jours à venir. Le secteur représente deux à trois milliards d’euros par an et pourvoit plus de 20.000 emplois à échelle nationale. Si certains collègues préfets de Michel Aubouin pensaient que le trafic pacifierait les quartiers, celui-ci dénonce «une énorme bêtise»: «je pense exactement le contraire: ça les rend incontrôlables.» Le gagne-pain de quartiers entiers est menacé à moyen terme, alors que les «go fast» sont rendus plus difficiles avec les nombreux contrôles policiers:

    «Ça va créer une tension qui ne peut s’exprimer que par la violence, je ne crois pas qu’ils resteront tranquillement à regarder la télévision chez eux… sans parler des 5.000 détenus que Nicole Belloubet envisage de libérer», soupire notre interlocuteur.

    Alors Michel Aubouin ne craint pas d’évoquer «d’autres types de moyens», et non des moindres: «je pense à l’armée», précise-t-il, sans craindre le politiquement incorrect. Mais est-ce vraiment réaliste? Oui, selon l’ancien préfet: «on le fait pour des opérations Sentinelle, je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas pour des situations d’urgence sanitaire.»

    Un besoin d’aide militaire qui se fait par ailleurs sentir en d’autres points du territoire, selon Michel Aubouin. En effet, les marchés sont désormais fermés, notamment dans les quartiers populaires de la capitale, à Barbès ou aux Batignolles. Le scénario du prolongement n’est pas à écarter:

    «à un moment ou un autre, il faudra distribuer des produits alimentaires à la population des métropoles. On ne tiendra pas encore plusieurs semaines comme ça, et s’il faut le faire, c’est l’armée qui le fera

     

     
    Deux heures après le plaidoyer de Michel Aubouin pour l'intervention militaire, Emmanuel Macron annonçait le lancement de l'opération «Résilience» à Mulhouse, où les hôpitaux sont actuellement débordés par la pandémie. Distincte de l'opération «Sentinelle» comme l'envisageait l'ancien préfet, elle sera consacrée au soutien à la population dans les domaines «sanitaires, logistiques, et de la protection.» Reste à savoir si cette «protection» incluera des opérations de maintien de l'ordre dans des zones jugées sensibles. Une hypothèse pour l'instant peu probable, compte tenu des craintes du gouvernement ! ...

     

  • Face à la fraude aux allocations sociales (supérieure à 30 milliards d' euros), Macron et son gouvernement ne font rien !

     

    Cela fait maintenant des années que la question de la fraude sociale s’invite à la une de notre actualité. Normal : avec 700 milliards d’euros de revenus de transfert, la France est le pays du monde qui alloue le plus d’argent au social… ce qui ne manque pas d’attirer la convoitise des fraudeurs, de France et du monde entier !

    Il y a six mois, un rapport parlementaire conduit par la députée UDI Nathalie Goulet pointait l’existence de 86 millions de numéros de sécurité sociale, pour une population totale de… 67 millions d’habitants. Une anomalie qui indique de façon flagrante l’existence d’une fraude massive. Nathalie Goulet avait évalué le préjudice entre 25 et 45 milliards d’euros par an… 

    Ces derniers jours, c’est l’ancien magistrat Charles Prats qui confirme, en démontrant par a+b l’existence de 3 millions de prestataires nés à l’étranger inscrits avec des faux documents.

    Comme la moyenne des prestations perçues par les allocataires est d’environ 11500 euros par an, cette seule fraude couterait donc plus de 30 milliards  d’euros par an…

    Et il ne s’agit là que des faux allocataires nés à l’étranger, auxquels il faudrait ajouter les faux allocataires nés et vivant sur le territoire, les arrêts maladie de complaisance, les faux chômeurs et tant d’autres choses… Charles Prats affirme avoir déjà alerté, en 2011, le gouvernement Fillon sur cette question, et l’arrêt complet des versements des prestations était programmé… jusqu’à ce que Hollande ne reprenne le dossier en 2012. Et bien sûr, ne le mette à la poubelle. Quand des députés de droite interpellent dans l’hémicycle, il y a quelques semaines à peine, le ministre de tutelle, ils se voient bredouiller que le contrôle a déjà commencé, d’ailleurs 500 de ces dossiers ont été vérifiés…  500 dossiers sur 3 millions de fraudeurs présumés, de qui se moque-t-on ?

    Depuis les annonces de Charles Prats, le check news de Libé s’évertue à contester les chiffres avancés par Prats, mais reconnait quand même une fraude de plusieurs milliards d’euros. En 2015, pour répondre à des estimations bien plus hautes, les organismes sociaux l’avaient  évaluée entre 6,8 et 8 milliards d’euros. Même si tel était le cas, le gouvernement a lancé le projet de réforme des retraites, avec tout le remue-ménage que l’on sait, pour pallier un déficit présumé de cet ordre, et encore, à venir d’ici huit ans… Pour bien moins que cela, le gouvernement n’hésite pas à mettre la France sens dessus-dessous. Pour cette fraude évidente, rien, pas de commission d’enquête gouvernementale, pas de renforcement des contrôles… 

    Et d’ailleurs, Macron avait bien parlé de « pognon de dingues », à propos du montant du social en France… Alors, pourquoi ne s’attaque-t-il pas en priorité à cette fraude ? Pourquoi un tel malaise, à gauche comme à la LREM, sur ce sujet précis ? Si ce problème était enfin résolu, le déficit des caisses de sécurité sociale serait annulé, la France entière respirerait mieux, on pourrait entrevoir la baisse les charges des PME, des artisans, des commerçants, des agriculteurs, bref on remettrait la France en ordre de marche… Oui mais voila, pour cela, il faut se décider à s’attaquer à ceux qui profitent de cette fraude, essentiellement des gens issus de l’immigration, de la diversité. C’est à dire à l’électorat du PS, de LFI et… de LREM ! S’attaquer à la fraude sociale, pour ce gouvernement comme pour le précédent, c’est s’attaquer directement à propre son électorat,  probablement pas loin de 25% de son électorat…

    Voila pourquoi gauche et LREM ferment les yeux, malgré la pleine conscience qu’ils ont de l’ampleur du phénomène. La réaction à ce sujet rappelle d’ailleurs l’inertie du pouvoir face à la délinquance des banlieues, aux trafics, à l’islamisme radical : c’est en off, comme François Hollande l’a fait avec les journalistes Lhomme et Davet, ou en quittant le pouvoir comme Gérard Collomb, que l’on ose parler de séparatisme, partition, territoires perdus de la République. Tant que la gauche sera au pouvoir, rien ne sera entrepris qui puisse aller contre la colonisation du pays par des minorités étrangères : la fraude sociale massive participe du phénomène, et sans contester l’existence de fraudeurs bien de chez nous, le gros du gâteau est capté par les mêmes.

    Le clientélisme électoraliste de la gauche et LREM nous impose donc impôts massifs, confiscatoires, déficits permanents de l’état et des caisses, mais encore insécurité, islamisme, terrorisme…

    La gauche aide volontairement les nuisibles à nous nuire !  Jusqu’à quand allons encore tolérer cela ? 

     

    Olivier PIACENTINI

  • La Turquie envoie des forces spéciales à la frontière pour empêcher Athènes de repousser les migrants !

     

    La Turquie ne relâche pas son chantage migratoire contre l’Europe : elle met tout en ouvre pour aider les migrants sur son territoire à passer illégalement sur le Vieux Continent.

    Ce 5 mars, explique le quotidien italien des bien-pensants La Repubblica « la Turquie enverra mille agents des forces spéciales “pour éviter le rejet” des migrants par les gardes-frontières d’Athènes à la frontière grecque. Le ministre de l’Intérieur d’Ankara, Suleyman Soylu, l’a annoncé après être allé à la frontière ce matin, ajoutant que 164 réfugiés avaient été frappés par les autorités grecques. Quelques 138 647 migrants, selon la Turquie, sont allés des régions intérieures du pays à la frontière avec la Grèce pour tenter d’entrer dans l’UE, après qu’Ankara a annoncé qu’elle ne les arrêterait plus. (…)

    S’adressant à des journalistes dans la province frontalière du nord-ouest d’Edirne, Soylu a déclaré que la police grecque avait blessé des dizaines de migrants qui tentaient de franchir la frontière: “164 personnes ont été blessées. Elle a tenté de repousser 4 900 personnes vers la Turquie. Nous allons déployer 1 000 agents des forces de police spéciales à la frontière pour empêcher le refoulement.” La Turquie, en conflit avec Moscou et Damas dans le nord-ouest de la Syrie, abrite 3,6 millions de réfugiés syriens et a déclaré qu’elle ne pouvait plus les gérer... »

    Les migrants, qui se sentent soutenus par la Turquie, ont lancé des pierres en direction des forces de sécurité grecques, qui ont riposté en faisant usage de gaz lacrymogènes. Plusieurs ambulances turques sont arrivées dans le secteur à la suite de ces heurts.

    De son côté, la Grèce « dément catégoriquement » avoir tiré sur les migrants lors des heurts qui ont opposés ces derniers venant de Turquie et les forces de l’ordre grecques à la frontière. Le gouvernement grec  précise que ce sont « des fausses nouvelles fabriquées par la Turquie ». Il a aussi fourni une vidéo à l’AFP dans laquelle on voit des policiers turcs en train de tirer des grenades lacrymogènes contre les policiers grecs au poste-frontière. Des cordons de policiers casqués et lourdement équipés se tenaient prêts côté grec.

    La Grèce est en état de siège !

     

     
     

    Non seulement le président turc Erdogan a ouvert les frontières entre son pays et la Grèce et la Bulgarie mais il protège également les passeurs turcs qui aident les « migrants » à enter illégalement en Europe.

    Il faut écouter l’un d’eux expliquer qu’il fait cela par patriotisme :

    « Bien sûr je considère que c’est mon devoir. Je veux qu’ils partent d’ici pour que l’économie turque s’améliore. C’est tout ce qui compte pour moi. »

    En Turquie, les « migrants » ne sont donc pas considérés un bienfait économique ni par le pouvoir ni par les Turcs mais dans l’Europe des bien-pensants c’est ce que l’on vend aux peuples !

     

     

     

     

    Francesca de Villasmundo