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Franc-maçonnerie - Page 18

  • Macron est l’ennemi de la France et des Français avec son harcèlement fiscal .

     

     

    Macron est l’ennemi de la France et des Français dans l’univers des taxes et des impôts.

    Son monde de petit banquier est le monde du spectacle médiatique où tout le monde se comporte en prévaricateur irresponsable de l’argent public, autrement dit de l’argent des autres. C’est la lutte fiscale qui est la drogue dure de Macron en forme de champignon hallucinogène qui a suffit à la révolte des Gilets jaunes.

    La drogue dure de la fiscalité de Macron est un produit dangereux. En conséquence, avec la prolifération des taxes et des impôts, mais pas pour tous, la pauvreté pour tous les Français doit s’imposer à tous.

    Macron aujourd’hui est le fossoyeur de la France dans les chaumières, jusqu’à la morgue.

    En clair, quand le terrorisme fiscal de Macron illuminé est En Marche, la liberté individuelle s’éteint.

    Grâce à Macron, la France et les Français n’auront pas attendu longtemps pour la confiscation de l’argent des Français pour l’accélération fiscale afin d’augmenter la hausse des prélèvements obligatoires.

    C’est pourquoi Macron n’a même pas exprimé le désir de savoir si l’univers enchanté des taxes et des impôts était une mesure politique convenable pour préserver le pouvoir d’achat des Français. En clair, il menace les Français des bureaucrates de Bercy avec en ligne de mire le racket fiscal et la suppression des économies des Français les plus pauvres. On a beau savoir qu’un mensonge sur l’univers enchanté des taxes et des impôts, la gabegie de Macron ne peut justifier le racket fiscal organisé par Macron le petit banquier d’affaires.

    Macron Président détiendrait-il de l’argent placé dans un paradis fiscal ?

    Les journalistes de L’Huma, Jean-Baptiste Rivoire et Gauthier Mesrnier, soupçonnent qu’une part de sa rémunération par la banque Rothschild, en 2012, aurait été versée dans un trust à I‘étranger ! C’est pourquoi l’enquête de L’Huma jette le soupçon sur le patrimoine d’Emmanuel Macron déclaré officiellement par le candidat Macron à la présidentielle de 2022.

    Personne ne peut oublier la distance séparant Macron, le petit banquier d’affaires politicien, du monde réel et des besoins des vrais Français, aggravant le fiscalisme, le chômage et l’islamisme.

    Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, est venu sur terre d’une étoile éloignée de la vie concrète des Français envahis par les migrants et qui ont du mal à survivre et à se loger dans le pays réel. C’est pourquoi la vivre-ensemblophobie des Français va se développer sans espoir d’amélioration.

    Le cas de Macron venu sur terre d’une étoile éloignée de la réalité et de la vie des Français n’est pas différent de celui du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry. Les rêves francophobiques de Macron, le petit banquier d’affaires politicien, devraient figurer dans les livres pour enfants. Macron devrait demander pardon d’avoir oublié qu’il s’adresse à des grandes personnes pauvres et pas à des enfants ignorants.

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, devrait être une grande personne qui habite la France où il joue le rôle du président de tous les Français. C’est pourquoi la France a bien besoin d’être consolée.

    Mais toutes les excuses de Macron adolescent ne suffiront pas à calmer les esprits, car sa politique en forme d’enfantillage ne peut faire oublier que Macron reste un enfant qui joue à Macron Président.

    Macron enfant a vu une image dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ».

    Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. « Les serpents boas (En Marche) avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion » (Le Petit Prince). Depuis, Macron vit dans le monde imaginaire de ses obsessions fiscalistes. Il se situe au-dessus des turpitudes du petit peuple, à l’écart des difficultés des vrais Français.

    C’est pourquoi il veut avaler les économies des Français pauvres comme  sa proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite il ne veut plus bouger, il ne fait rien, et il dort pendant les cinq ans de sa digestion.

    Macron ne peut rassurer personne en inquiétant tout le monde et en harcelant tout le monde.

    Son obsession de la fiscalité pour tous les pauvres et les classes moyennes est à la fois insistante et maladroite. C’est encore un mauvais coup porté par Macron à la France qui travaille.

    Et le risque zéro n’existe pas pour Macron lors des élections de 2022, même pas dans ses rêves !

    Macron veut imposer une conduite énergétique plus chaste, ce qui relève du plus pur puritanisme !

    Se chauffer est une tolérance qui s’accompagnera bientôt de l’obligation soviétique de renoncer au chauffage. Avec Macron, la confusion est devenue totale entre les taxes et le prix de l’énergie.

    Avec Macron, le terrorisme énergétique promet le pire de la pandémie du Covid 19.

    Combien de nouvelles restrictions seront-elles nécessaires pour inverser la tendance naturelle de la spéculation énergétique ? Macron peut rêver d’une société sans chauffage pour les autres. Il fait partie de ces gens supérieurement autorisés par la loi à harceler la France qui travaille et à « emmerder » les Français (Pompidou dixit).

    De toutes parts, Macron attaque et harcèle fiscalement la France qui travaille et les retraités pauvres avec la CSG de la honte. Avec Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, on vous condamne on vous taxe et on vous supprime toute forme de vie normale et devoir compter le moindre euro.

    #RothschildGate : Macron, le petit banquier d’affaires de la banque Rothschild, aurait planqué ses rémunérations via un compte situé dans un paradis fiscal. Source WikiStrike.

    Après le premier scandale déjà colossal du #McKinseyGate, voici que des journalistes  balancent une autre affaire d’argent qui concerne le véritable patrimoine d’Emmanuel Macron, qui ne serait pas de 500K seulement comme il l’a déclaré à la HATVP, et qui a étonné les Français, mais plutôt de plusieurs millions d’euros planqués en lieu sûr. En effet, des éléments troublants laissent à penser que lors de son passage à la banque Rothschild, Macron aurait été rémunéré via un compte situé dans un paradis fiscal (source : WikiStrike).

    Macron adolescent, le petit banquier d’affaires, ne tient aucun compte de ce que pensent les vrais Français. Le courage et la révolte sont de leur côté. Non seulement Macron n’œuvre pas pour la réconciliation des Français avec le pouvoir, mais encore il ne craint pas de harceler les gens par toutes sortes de décisions inadaptées. Le hasard a voulu que Macron soit élu par l’équipe de campagne de McKinsey qui le libère de toutes obligations. Comme le dit si bien Éric Zemmour : Macron adolescent,
le meilleur ennemi de la France

    Macron guignol LGBT n’a plus rien à faire à l’Élysée. Il n’est plus chez lui. Sa maison, c’est le PS.

    Moralité, avec Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

     

    Thierry Michaud-Nérard

     

     

  • Macron et McKinsey, les liaisons dangereuses ...

    Présidents en eaux troubles  : après l’Ukrainagate aux Etats-Unis qui révèle une possible corruption du clan Biden avec les autorités ukrainiennes, voilà le McKinseygate qui éclabousse Macron à quelques semaines du 1er tour de l’élection présidentielle.

    Les accusations brandies contre le célèbre cabinet de conseil américain par la commission d’enquête du Sénat pour fraude fiscale ainsi que la dénonciation, par la même commission, du « rôle de plus en plus important des cabinets de conseil dans la prise de décision publique, et notamment sur des dossiers critique » font émerger les liaisons dangereuses entretenues entre Macron et McKinsey, dès la campagne présidentielle de 2017.

    Oubliées, ces relations en eaux troubles avaient pourtant fait l’objet de l’intérêt d’un média aussi politiquement correct que Le Monde en février 2021 avant d’être minorées par les journalistes serviles à la faveur d’une « pandémie » occupant tout le devant de la scène médiatique.

    Le 5 février 2021, Le Monde publiait un article intitulé De la création d’En marche ! à la campagne de vaccination, McKinsey, un cabinet dans les pas de Macron, dans lequel on apprenait que le programme de Macron en 2017 avait été écrit « gratuitement » par vingt salariés de McKinsey ! ...

    Cette longue enquête affirmait qu’« en 2017, deux jours avant le second tour de la présidentielle, des hackeurs […] mettent en ligne des milliers d’e-mails internes de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron. On y identifie une vingtaine de salariés du cabinet très actifs. Des « partners » (« associés ») aguerris comme des « juniors » enthousiastes. Pour écrire le programme du candidat comme pour gérer l’intendance. Car, entre McKinsey et la Macronie, l’histoire a commencé dès 2007 » lorsque jeune énarque, inspecteur des finances de 29 ans, il devient rapporteur général adjoint de la commission Attali, et est remarqué précise Le Monde par « Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, et Pierre Nanterme, son homologue d’Accenture ». Au sein de cette commission se trouvent « trois ou quatre jeunes de McKinsey » dont Karim Tadjeddine, 32 ans, polytechnicien, que l’on retrouve au moment de la création d’En Marche !.

    Plus loin, le journal du soir écrit :

    « En 2010, le banquier Macron et le consultant Tadjeddine entrent ensemble au conseil d’administration du think tank En Temps réel. […] En 2016, l’inspecteur des finances Cazenave devient directeur adjoint de cabinet du ministre Macron. Il codirige aussi un livre collectif sur l’administration moderne, L’Etat en mode start-up (Eyrolles, 2016). Macron signe la préface et Tadjeddine, le chapitre sur les réformes menées à l’étranger. »

    « Où s’arrête la complicité intellectuelle, où commence l’entre-soi ? » s’interroge Le Monde.

    Car, continue de dévoiler l’article :

    « Elu président, Emmanuel Macron engage sa réforme de l’Etat. Il crée une direction interministérielle à la transformation publique (DITP) et place à sa tête Thomas Cazenave. Grand manitou de la réforme, il supervise toutes les missions commandées par l’Etat aux cabinets de conseil privés. Karim Tadjeddine se trouve être codirecteur de la « practice (le département) Secteur public » de McKinsey, chargée justement des missions pour l’Etat et prestataire, parmi d’autres, de la DITP. »

    D’autres jeunes de McKinsey rencontrés au sein de la commission resteront en contact avec Emmanuel Macron dont Guillaume Liegey qui définit les caractéristiques du « parti politique du futur » : il « devra oublier l’idéologie et se concentrer sur des projets concrets, une offre répondant à la demande des électeurs ». « La gauche caviar est morte, voici venue la gauche McKinsey » ironise Le Monde qui continue en retraçant la genèse de LREM, le parti de Macron :

    « En avril 2016, Emmanuel Macron crée En marche ! Le parti joue sur la « disruption », comme on dit chez les consultants. Officiellement, son programme sera ainsi établi à l’issue d’une « grande marche », du porte-à-porte à travers la France pour recueillir les doléances et les désirs sur une application. LMP, la société de l’ex-McKinsey Guillaume Liegey, est chargée de collecter et de traiter ces data et ces verbatim. « Des gens de McKinsey ont ensuite mis en forme le rapport de la “grande marche” », confie un acteur de l’opération. Les « MacronLeaks » révèlent effectivement que, début septembre 2016, le stratège du parti, Ismaël Emelien, transmet les résultats du porte-à-porte à deux cadres du cabinet de conseil, Karim Tadjeddine et Eric Hazan, un collègue chargé du secteur du numérique à McKinsey. »

    Des membres du McKinsey, on en trouve à la pelle pendant la campagne d’Emmanuel Macron. Il « n’a pas encore annoncé sa candidature, peut-on lire dans les colonnes du Monde, mais, à l’été 2016, des groupes de travail sont déjà constitués pour élaborer son programme. On y croise Thomas Cazenave, mais aussi une dizaine de salariés de McKinsey. Ils planchent sur l’économie comme sur les dossiers régaliens. Chez McKinsey, Guillaume de Ranieri dirige la « practice » chargée de la défense et du secteur aérospatial. Il rejoint le groupe de travail concerné. (…) ».

    « McKinsey ne souhaite pas nous préciser si ses collaborateurs se sont engagés à titre personnel, bénévolement et sur leur temps libre » souligne Le Monde qui ajoute :

    « Nous n’avons en tout cas trouvé aucune trace de « la Firme » dans les factures de la campagne, déposées à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). A La République en marche (LRM), la direction de la communication nous assure que le parti lui-même ne fait pas appel à des cabinets de conseil en stratégie : « Ni pour des missions facturées, car nous n’en avons pas les moyens, ni pour des missions “pro bono”, car ce serait considéré comme un don d’une personne morale à un parti politique et c’est interdit par la loi. » »

    Le « don » de leur temps des jeunes consultants de McKinsey à Macron leur permet, après la victoire de leur champion de « sauter le pas » pour être embauchés dans les cabinets ministériels !

    Le manque de transparence « sur la nature précise des missions comme sur leurs prix » dans le recours à ce cabinet de conseil n’en est que plus accru de même que « l’entre soi » « illustré, déclare le journal du soir, par la proximité entre le premier patron de la DITP, Thomas Cazenave, et son interlocuteur chez McKinsey, Karim Tadjeddine ».  

    Déjà en 2021, Le Monde s’était interrogé sur le règlement des impôts en France par McKinsey :

    « « Lors de la candidature au marché, cette société a fourni les attestations prouvant qu’elle est en règle avec l’administration fiscale française », et les missions pour l’Etat sont dûment facturées à Paris, nous assure pourtant le cabinet d’Amélie de Montchalin. » Il n’y a pas qu’à McKinsey devant la commission du Sénat que le mensonge est roi.

    Pour conclure, si « l’Elysée semble résister aux consultants privés […] en réalité, McKinsey rend quelques services à la présidence de la République. »

    Et avec une contrepartie officieuse : les fameux sommets organisés par Macron, entre autres, avec « grands patrons de la « tech […] sont en partie sous-traités à McKinsey ». Ainsi que la campagne vaccinale, la réduction des APL, la réforme des retraites, etc., etc. Pour un milliard d’euros sous le quinquennat Macron.

    Les liaisons dangereuses entre Macron et McKinsey rapportent au cabinet mais pourraient plomber le prétendant à un deuxième quinquennat. A l’aide McKinsey, il faut sauver le candidat Macron !

    Francesca de Villasmundo

     

  • Macron vient de couler Renault avec ses sanctions imbéciles !

     

    ……………………………Renault Arkana, un SUV Coupé pour la Russie

    Quelles qu’en soient les raisons !

    Renault se voit privé de son deuxième marché !
    2 ou 3 milliards d’investissements vont partir en fumée… et que récupèreront les Russes ! 
    Belle opération !!! Le travail de Carlos Ghosn est littéralement démoli… comme celui de son remplaçant !

     

    Renault quitte la Russie : chronique d’un départ en catastrophe

    Poussé par Macron dans ses retranchements, Renault a fini par céder en annonçant mercredi soir la suspension de ses activités en Russie et la possibilité de se désengager du constructeur russe Avtovaz. Un scénario inimaginable il y a encore un mois et qui se solde par une perte financière colossale. Récit d’un mois où tout a basculé.

    C’est jour de fête à Boulogne-Billancourt ce 18 février. Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, s’apprête à annoncer à la presse et à l’ensemble de la communauté financière des comptes de résultats miraculeusement bons dans un contexte pourtant défavorable avec la pénurie de semi-conducteurs, la hausse des prix des  matières premières, ou encore la baisse des marchés. Tous les voyants sont au vert : cash flow, profit opérationnel, résultat net…

    Tout semble sourire à ce nouveau Renault que l’Italien, arrivé en juillet 2020, est parvenu à remettre sur les rails en un temps record. Le groupe automobile français est même prêt à enclencher une nouvelle étape dans son plan de reconquête : l’international. Dans les couloirs du siège, on prépare le lancement imminent de trois nouveaux modèles en… Russie. Ces modèles sont fin prêts, et certains cadres préviennent les journalistes de l’imminence d’une grande opération de lancement à Moscou même.

    Inimaginable…
    Renault est à des années-lumières d’imaginer qu’une semaine plus tard, le président russe enverrait ses troupes en Ukraine…

    C’est tout juste si Luca de Meo est interrogé sur les conséquences d’un embargo sur la production russe. Il assure alors que la forte localisation des approvisionnements des usines de Renault, à plus de 90% explique-t-il, protègera les activités russes. Sauf que la crise du Covid a montré qu’il suffisait qu’une seule pièce manque pour paralyser pendant plusieurs semaines une usine.

    A ce moment de l’Histoire, personne chez Renault (comme ailleurs puisque le monde entier a été surpris par la tournure géopolitique des événements en Ukraine) n’envisage le pire. D’autant que la Russie représente des enjeux industriels colossaux pour le groupe français. C’est d’abord le rachat d’Avtovaz, le fabricant des célèbres Lada, dans lequel le groupe détient 63% du capital.

    Depuis dix ans, plusieurs milliards d’euros ont été injectés dans la modernisation des usines, puis la refondation d’une nouvelle gamme… Renault a commencé à tirer les premiers fruits de ses investissements avec un premier exercice profitable en 2021.

    Le groupe s’attendait à ce que la Russie, son deuxième marché mondial en volume, monte désormais en puissance dans la contribution aux profits du groupe. Avec la nouvelle gamme que Renault s’apprêtait à lancer, Luca de Meo voulait appliquer sa nouvelle formule visant à privilégier la création de valeur, c’est-à-dire augmenter la profitabilité unitaire par rapport à une stratégie de volumes. Pour Renault, le levier était alors perçu comme immense.

    Un déni ?
    Puis la guerre survint, et son cortège de sanctions internationales mais qui semblent préserver, sur le papier du moins, la légalité des opérations de Renault en Russie. « Nous resterons toujours en conformité avec les sanctions », a toujours expliqué Renault. Même le scénario d’une nationalisation russe n’est pas pris au sérieux : le pays de Vladimir Poutine ne serait pas capable de poursuivre les opérations industrielles, veut-on croire à Boulogne-Billancourt.

     

    Pertes et profits
    Un conseil d’administration réuni dans la soirée de ce mercredi 23 mars, a acté la fin de l’aventure russe. Et de préciser qu’il « évalue les options possibles concernant sa participation dans Avtovaz ». Autrement dit, Renault prépare son retrait de Russie, et passe ses lourds investissements autant en cash qu’en ressources humaines (ingénieurs, transferts technologiques…) par pertes et profits.

    Le préjudice s’élève à plusieurs milliards d’euros, trois milliards si l’on en croit la valeur comptable inscrite dans les comptes de 2021. Bien plus si on projette les profits prévus sur les dix prochaines années, additionnés aux investissements des dix années précédentes. Colossal !

    Au passage, Renault abandonne son objectif d’une génération de trésorerie d’un milliard d’euros cette année, et baisse d’un point son objectif de marge opérationnelle (3%). Une annonce qui ne devrait pas stopper la chute du titre qui a déjà perdu 21% en Bourse depuis un mois…

     

    Quoiqu’ils pensent de leur embargo, comme suite à celui de 2014, la Russie en ressortira gagnante !

    Les Européens, dont les Français, seront les grandes perdants !