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Christianophobie - Page 103

  • Contrôles idéologique et de censure mis en place par Macron et son premier ministre ...

    Chaque dîner du CRIF ouvre tous les ans la voie à de nouvelles restrictions des libertés, le chef de l’Exécutif promettant devant cette auguste assemblée un renforcement, une aggravation des mesures destinées à lutter contre un antisémitisme que l’on nous dit chaque fois plus puissant, plus redoutable, plus effrayant ! ...

    Le cru 2018 n’a pas fait exception, le Premier ministre ayant présenté le 19 mars, jour de la fête de saint Joseph, un « nouveau plan (le énième !) contre le racisme et l’antisémitisme ». Il s’agit dans ce projet liberticide de procéder au « renforcement des obligations de détection et de suppression des contenus illicites sur Internet ».

    Voilà trente ans et plus que les gouvernements successifs, de gauche comme de droite, n’ont de cesse de renforcer l’arsenal répressif de sorte que la liberté d’expression, d’opinion et de recherche, et plus gravement encore la liberté de dire la vérité sur tous les sujets, se trouvent de plus en plus réduites et entravées.

    Il s’agit toujours de réprimer « les contenus haineux, racistes ou antisémites ». Mais qui décide de ce qui est haineux, sinon précisément ce que feu François Mitterrand appelait « un lobby puissant et nocif » ?

    Lors d’un discours au Musée national de l’Histoire de l’immigration à Paris, un lieu chargé de symbole et qui n’avait évidemment pas été choisi au hasard, le chef du gouvernement a fait part de sa volonté de s’en prendre tout spécialement aux réseaux sociaux. Et si la loi française ne suffit pas, Édouard Philippe a d’ores et déjà prévu d’aller « se battre pour un projet législatif au niveau européen contraignant les opérateurs du Net à retirer très rapidement ce torrent de boue ». « On ne me fera jamais croire, a ajouté le locataire de Matignon, que les réseaux sociaux seraient des espaces hors-sol. Pour moi, tout ce qui est publié et diffusé en France, est publié et diffusé en France. Et doit donc répondre aux lois de la République. Ce qui m’énerve, c’est que de nos jours, il semble plus facile de retirer la vidéo pirate d’un match de foot que des propos antisémites. »

    Pour accomplir cette mission de contrôle idéologique et de censure, le chef de la majorité a constitué une équipe représentative de la France d’aujourd’hui et de demain, un trio arabe-noir-juif : l’enseignant et écrivain franco-algérien Karim Amellal, la députée “marcheuse” Laetitia Avia et le vice-président du CRIF Gil Taïeb, laquelle triade va avoir pour fonction de traquer tous ceux qui ne se soumettent pas au politiquement, à l’historiquement ou au moralement correct.

    La répression sera particulièrement sévère et passera par des amendes très dissuasives contre les réseaux sociaux qui ne retirent pas les « propos haineux » sous 24 heures, par la fermeture des comptes ayant osé diffuser « de manière massive et répétée des messages de haine ». Le gouvernement entend mettre en place des « enquêtes sous pseudonyme de cyber-enquêteurs » sur les espaces de discussion en ligne, ce qui passe par l’infiltration et le strict contrôle des forums et des commentaires (sous les articles et les vidéos), sans oublier bien sûr la facilitation du dépôt de plainte « en cas d’actes racistes » : « Sans plainte, pas d’enquête, pas de responsable et pas de sanction. Seulement un acte. Dans cette optique, une formation approfondie sera expérimentée dès septembre auprès d’un réseau enquêteurs et de magistrats afin d’améliorer l’accueil et la prise en charge des victimes. » 

     

    Trois jours seulement après la présentation de ce nouveau plan répressif, l’on commémore le cinquantième anniversaire du mouvement du 22 mars qui allait donner naissance aux événements de mai 1968. Il est intéressant de faire le lien entre les deux car les révolutionnaires qui jetaient des pavés il y a cinquante ans et qui se voulaient libertaires (« il est interdit d’interdire » clamaient les murs de la Sorbonne) ont dans les faits donné naissance à une société certes extrêmement permissive sur le plan des mœurs mais on ne peut plus liberticide et totalitaire quant aux idées.

    L’antiracisme dogmatique et unilatéral d’une part et la liberté sexuelle la plus effrénée d’autre part sont les fruits évidents de Mai-68.

    Le mouvement du 22 mars dont le principal animateur et instigateur était le juif juvénile, Daniel Cohn-Bendit, né à la faculté de Nanterre, avait en effet pour principale revendication le droit pour les garçons d’aller dans les chambres des filles de la résidence universitaire. 

    Dès le 8 janvier 1968 Cohn-Bendit, dont l’impudence et le culot ont toujours été phénoménaux, interpelle François Missoffe, alors ministre de la Jeunesse et des Sports, qui inaugure la nouvelle piscine de Nanterre, sur son livre blanc : « Monsieur le ministre, j’ai lu votre Livre blanc sur la jeunesse. En trois cents pages, il n’y a pas un seul mot sur les problèmes sexuels des jeunes ». À quoi le ministre répond : « Avec la tête que vous avez, vous connaissez sûrement des problèmes de cet ordre. Je ne saurais trop vous conseiller de plonger dans la piscine ». « Voilà une réponse digne des Jeunesses hitlériennes » aurait rétorqué, insolent, Cohn-Bendit, déjà adepte de la reductio ad hitlerum. C’est l’époque où les étudiants de ce qui allait devenir le Mouvement du 22 Mars passaient leur temps à diffuser leurs idées sur la liberté sexuelle et sur les “névroses” qu’induisait selon eux le manque de liberté dans ce domaine. 

     

    On voit un demi-siècle plus tard où ont conduit ces revendications : la cellule familiale a été extrêmement fragilisée, les divorces et les séparations ont explosé avec toutes les conséquences psychologiques dévastatrices, notamment sur les enfants, l’institution du mariage a été considérablement ébranlée. Le slogan « jouissez sans entrave » a eu (et a toujours) des conséquences funestes en détruisant la stabilité des couples et des foyers, en mettant à mal la notion de fidélité, d’engagement, de parole donnée, en exprimant le refus radical et militant de toute forme de sacrifice et de maîtrise de soi et de ses pulsions, y compris les plus effrayantes.

    C’est dans la foulée de mai 68 que l’on fera l’apologie de la pédophilie, de l’homosexualité, de la transexualité. De ce bouleversement complet de l’ordre traditionnel la société ne s’est toujours pas remise, et d’autant moins qu’on ne cesse d’aller plus loin dans les réformes mortifères voulues par les lobbies féministes et LGBT.

    Et pendant que l’on va toujours plus loin dans la promotion du libertinage et de la débauche la plus éhontée, l’on restreint toutes les vraies libertés : liberté de circulation, de manifestation, de réunion, d’affichage, d’opinion, de recherche, d’expression, de pensée. Même les humoristes n’ont plus le droit de faire rire leur public sur certains sujets considérés comme sacrés, comme intouchables. La répression des automobilistes, des délinquants de la pensée, des militants politiques de la vraie droite, la surveillance chaque jour plus étroite des écoles libres hors contrat, le flicage des réseaux sociaux ne cessent de s’accroître. Tels sont les fruits de 68 : antiracisme dogmatique et unilatéral et libertinage à tous les étages, nouvel ordre moral et nouvel ordre mondial.

    Ce qui a pour effet de détruire à une vitesse foudroyante notre civilisation et de mettre en danger de mort, mort physique et mort spirituelle, à court et moyen terme, un peuple et une nation plus que millénaires.

     

  • L’Australie prête à accorder des visas humanitaires aux fermiers blancs d’Afrique du Sud victimes de persécutions .

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/02/fermiers-blancs-afrique.jpg

    Le ministre australien de l’Intérieur propose d’accorder des « visas humanitaires » aux fermiers blancs sud-africains chassés de leurs terres par le gouvernement raciste anti-Blancs d’Afrique du Sud.

    Le 27 février 2018, le Parlement sud-africain a ouvert la voie à une modification de la Constitution visant à exproprier sans compensation les fermiers blancs de leurs terres.

    Peter Dutton, ministre australien de l’Intérieur, a évoqué les « persécutions » dont sont victimes les fermiers sud-africains blancs. Il s’est dit prêt à leur accorder des visas humanitaires si la loi sur l’expropriation sans compensation entre en vigueur.

    Avec un culot inqualifiable, le gouvernement sud-africain, raciste anti-Blancs, a aussitôt convoqué les diplomates australiens et la ministre des Affaires étrangères sud-africaine a demandé au ministre australien de retirer sa proposition.

     

    Et que fait le gouvernement français pendant ce temps là ? : il ferme nos écoles et ouvre des REP !

     

     

     

  • Yassine Belattar, un nouveau conseiller d’Emmanuel Macron aux relents islamistes et anti-Blancs .

     

    Mardi, à l’Elysée, a été organisée la première réunion du Conseil présidentiel des villes, lancé en faveur des « quartiers populaires » par Emmanuel Macron. L’humoriste Yassine Belattar fait partie des personnalités sollicitées pour faire partie des membres de ce Conseil présidentiel...

    Selon le cabinet présidentiel, ce conseil est censé « créer et rassembler des personnes issues des quartiers populaires, de tout âge, de tout profil et animées par un engagement et reconnues pour leur expertise. Elles seront chargées de nourrir la réflexion du président de la République sur la politique de la ville »...

    « J’aurai une quinzaine d’engagés auprès de moi dans ce Conseil présidentiel de la ville qui suivra un peu l’action faite au quotidien, m’alertera, sera également un relais et participera à ces réunions trimestrielles », avait déclaré Emmanuel Macron, à Tourcoing, en novembre dernier. « Tous les trois mois il y aura ces réunions de chantier pour être pragmatique et je veux que nous nous concentrions sur une dizaine de quartiers de ville particulièrement en difficulté pour là avoir des engagements d’ici deux ans. »
     

    Mais cet humoriste Yassine Belattar recruté par Emmanuel Macron est-il vraiment un exemple à suivre pour les « quartiers populaires » ? Cet individu avait été interpellé, le 20 février, aux Mureaux, dans les Yvelines, tout près de la médiathèque où le président de la République était en déplacement avec la ministre de la Culture Françoise Nyssen. Il avait alors été placé en garde à vue pendant quelques heures pour avoir insulté un policier!

     

     

    Relents islamistes et anti-Blancs

    Yassine Belattar avait affirmé « il n’y a pas de modération dans une religion : on est musulman ou on ne l’est pas ». Au moins , on sait à quoi s' attendre ! ...

    Parmi ses déclarations, il y a aussi celle-ci très révélatrice de son mépris à l’égard des Blancs : « ces hommes blancs de plus de 60 ans sont peut-être la clé du problème ».

    Selon le magazine Marianne, peu suspect d’être une presse réactionnaire, Yassine Belattar véhicule « le déni de l’islamisme comme le discours sur “les Blancs” et les autres ». Suite à ces propos de Marianne en décembre dernier, Yassine Belattar avait envoyé ce SMS à son « frère » (sic) Macron : « Visiblement, c’est une nouvelle guerre que lance ce journal, je suis au fond du trou. » à quoi le président de la République avait répondu : « T’obsède pas. Continue. Les critiques suivent le talent. »

     

    Habitué à multiplier les insultes sur Twitter, ce Yassine Belattar avait d’autre part animé un gala de soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), organisation considérée comme islamiste.