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mélenchon

  • Mélenchon toujours plus haineux et christianophobe .

     

     

    Le franc-maçon Jean-Luc Mélenchon vient de démontrer une fois de plus sa haine viscérale du christianisme. La simple présence d’Emmanuel Macron, président de la république, à la « messe » de funérailles du chanteur Johnny Halliday a fait l’objet de ce message haineux de Mélenchon.

     

     Le message de Mélenchon est d’autant plus inapproprié que cette cérémonie, bien que se déroulant dans une église, ne ressemblait en rien à une messe, même si c’est ainsi qu’elle fut présentée.
     
    Quant à Emmanuel Macron, même devant le cercueil du chanteur, il s’est bien gardé de faire le moindre signe de croix ! ...

    Il faut être d’une mauvaise foi crasse pour tenter insidieusement de faire passer Macron pour un chrétien, lui qui fait de sa cérémonie de victoire électorale un véritable rituel para-maçonnique.

    Remarquons que ce Mélenchon, qui mime en permanence Robespierre, ne trouve rien à redire au fait que les membres du gouvernement et des institutions parlementaires se succèdent très officiellement dans les loges maçonniques.

    Il serait pourtant grand temps que l’on sépare la secte maçonnique et l’Etat , mieux que l' on interdise et ferme toutes les loges !

     

  • Attentat bidon d’ "extrême droite" : le Système en rajoute ...

     

    Scène surréaliste que celle dont le Palais-Bourbon a été le théâtre le 19 octobre : Jean-Luc Mélenchon, prétendue cible d’un soi-disant attentat bidon d’extrême droite, a eu droit de la part des députés à une standing ovation comme s’il était un héros et un martyr de la démocratie face au totalitarisme! ...

    Le chef de la France insoumise, désireux de pousser son avantage et qui n’aime rien tant que faire parler de lui, s’est même fendu d’une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur, au préfet de police et au maire de Marseille dans laquelle il demande solennellement la fermeture du local de l’Action française dans la cité phocéenne, au motif que l’auteur présumé d’un très hypothétique projet d’attentat aux contours très flous, un certain Logan N., avait milité à l’Action française de Marseille pendant quelque dix-huit mois avant, semble-t-il, de se rapprocher du Front national dont il fut un des assesseurs aux législatives de juin 2017 à Vitrolles mais sans prendre la carte du parti. 

    Evoquant de manière grandiloquente et grotesque « le niveau de dangerosité et la détermination de ces groupuscules violents à l’idéologie antirépublicaine, l’urgence et la dangerosité de la situation » alors même que la police parle ouvertement « d’une bande de braques, de pieds nickelés » et que le ministère de l’Intérieur, Gérard Collomb, reconnaît lui-même, à propos de Logan N. et de sa dizaine de complices supposés, que « ce n’est pas la bande la plus sérieuse » à laquelle la police a eu à faire face, Mélenchon appelle à une répression injustifiée contre une mouvance qu’il déteste : « La République ne doit pas laisser impunis ceux qui l’attaquent. » L’ancien sénateur socialiste se garde bien de dénoncer pareillement les agissements des antifas qui, eux, commettent des violences qui ne sont pas virtuelles. Jean-Marie Le Pen a eu bien raison de tweeter avec son bon sens habituel : « L’hommage grotesque rendu par l’Assemblée nationale à Mélenchon, soi-disant cible d’un attentat bidon, est un des signes de notre décadence. »

     

    Oui, en effet, tout cela est grotesque quand on sait que cette affaire ne repose sur rien de tangible. Contrairement à ce qui avait été clamé au départ, où l’on évoquait un projet d’attentat très sérieux contre Mélenchon et Castaner, le porte-parole du gouvernement, les enquêteurs ont bien été obligés de convenir qu’aucun projet précis n’était en préparation, qu’aucune personne n’était visée et ciblée de manière explicite et crédible, que la petite dizaine de personnes qui ont été mises en examen le 21 octobre au soir pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » étaient un conglomérat de bras cassés, de pieds nickelés, très actives certes en paroles et sur Facebook mais très vraisemblablement incapables de passer à l’action, et singulièrement à l’action terroriste. 

    Ce n’est pas parce que Logan N. , un jeune homme perturbé de 21 ans, vivant avec sa mère à Vitrolles dans une cité connue pour sa très forte population immigrée, et qui est depuis juillet incarcéré à la maison d’arrêt d’Osny, faisait l’éloge sur Facebook du tueur norvégien Anders Breivik qu’il était capable de préparer et de réaliser un attentat terroriste. Comme dit l’adage : « grand diseur, petit faiseur ». Que la police du régime applique le principe de précaution et surveille tous ceux qui appellent à la lutte armée ou glorifient sans réserve des terroristes, cela se conçoit mais, de grâce, que l’on ne nous raconte pas n’importe quoi.  

    QUE DISENT en effet les enquêteurs à l’issue des interrogatoires de cette dizaine de jeunes gens et après investigations ?  « Ils avaient commencé à se distribuer les rôles, certains étant notamment chargés de la propagande, d’autres de constituer des larcins pour financer l’organisation. Mais en aucun cas, une date précise de passage à l’acte ou une cible n’avaient été arrêtées. D’autres rôles étaient attribués comme «militants» ou «responsable du sport”. » Vous avez bien lu : aucune date de passage à l’acte, aucune cible arrêtée. 

    Toute l’agitation autour de cette affaire est donc ridicule. Il s’agit de jeunes gens fragiles, qui s’amusaient à se faire peur et à jouer à la guerre via les réseaux sociaux. Lorsque l’on veut commettre un attentat, on doit agir dans le plus grand secret. On ne va pas s’en vanter sur Facebook. Tout cela est parfaitement risible. Un policier se montre d’ailleurs ironique quant au but de leur pseudo-entreprise criminelle : « Ce sont surtout des “branques”, gravitant autour d’un idolâtre de Breivik. Ce n’est certes pas une affaire de “loup solitaire” mais ce n’est pas à mettre sur le même plan qu’une structure djihadiste. » Aucun de ces individus n’était d’ailleurs considéré comme une « cible prioritaire ou dangereuse » ajoutent les policiers chargés du dossier. 

     

    Pour s'en convaincre, il suffit de résumer leurs actions d’éclat. Qu’avaient-ils réussi à faire jusque-là de concret ? A peu près rien. Le 21 juin, trois membres du groupe informel de Logan N. auraient “emprunté” le véhicule d’une de leurs connaissances dans les Bouches-du-Rhône, sans son accord, dans le but de « racketter des chefs d’entreprises » et d’« acheter des armes ».  En vain manifestement puisque les perquisitions effectuées ces derniers jours à leurs domiciles n’ont permis la découverte que d’un très maigre arsenal : des armes longues détenues légalement et « deux pistolets à poudre noir » de collection. « Certaines armes appartenaient à leurs parents », raille une source policière. Voilà en effet de dangereux terroristes qui justifient vraiment l’hommage unanime rendu à Mélenchon par la représentation nationale ! 

    Décrits comme “immatures”, les suspects mis en examen n’ont pas été jugés spécialement dangereux par la police. Logan N., présenté comme le chef du groupe, comme le plus convaincu et le plus radicalisé, selon l’expression aujourd’hui consacrée, a été entendu il y a quelques jours par le juge d’instruction chargé de l’affaire. Logan N. a assuré que ses propos relevaient davantage de la “provocation” et qu’en aucun cas, il n’avait « la volonté et les moyens d’aller jusqu’au bout ». Ce qui semble une évidence pour les enquêteurs qui savent faire la différence entre des pieds nickelés s’excitant sur les réseaux sociaux pour remplir le vide de leurs existences et des terroristes entraînés, motivés, organisés et fanatisés. Et puis disons-le franchement si l’extrême droite française était capable de commettre des attentats sanglants, cela se saurait ! Or, depuis l’OAS et la fin de la guerre d’Algérie, elle n’a jamais été à même de mener des actions violentes de grande ampleur. De Maxime Brunerie qui se vantait d’aller tuer Jacques Chirac le 14 juillet 2002 et qui n’a fait que tirer en l’air bien loin du cortège présidentiel (cela lui a quand même valu dix ans de prison ferme, preuve que le jury d’assise se faisait une haute idée de Chirac !) jusqu’à ce Logan N. et ses comparses, on n’a affaire qu’à des jeunes gens fragilisés psychologiquement, immatures, farauds et mal dans leur peau mais totalement incapables de mener jusqu’à son terme quelque attentat sanglant que ce soit. Mais qu’importe, quand il s’agit de diaboliser et de réprimer la maudite extrême droite dans son ensemble, y compris des mouvements pourtant très légalistes et fort modérés qui n’ont strictement rien à avoir avec les pseudo-projets d’attentat, l’occasion est trop belle pour que les grands media et les politiciens résistent à la tentation. 

     

  • Scandaleuse entrée à l’Assemblée de Danièle Obono, proche des Indigènes de la République !

     

     
    Scandaleuse entrée à l’Assemblée de Danièle Obono, proche des Indigènes de la République : l’AGRIF réclame sa démission.
     

     

    L’AGRIF manifeste son indignation quant à l’arrivée à l’Assemblée Nationale d’une députée du parti La France insoumise, compagnon de route des Indigènes de la République. La dénommée Danièle Obono, Gabonaise d’origine, passée par le NPA, est une proche du mouvement raciste d’Houria Bouteldja, Saïd Bouamama et autre « militants anti-colonialistes » fanatiquement anti-français et anti-blancs : elle a donc très vite été repérée comme signataire d’une pétition de soutien au rappeur Saïdou et à Bouamama lorsque l’AGRIF les a assignés en justice pour le morceau de rap et le livre Nique la France.

    Quand les journalistes de la radio RMC lui demandent des justifications pour cette accablante prise de position, elle répond qu’elle défendait « la liberté d’expression de cet artiste, parce que ça fait partie des libertés fondamentales ». Et dirait-elle « vive la France ! » maintenant qu’elle est devenue députée ? C’est avec une gêne mêlée de dégoût que Mme Obono répond : « Pourquoi vive la France? Oui je peux dire vive la France, mais pourquoi? Pour le 14 juillet? ».

    Les adhérents et sympathisants de l’AGRIF imaginent bien à quel point cette déclaration d’amour à notre pays, même purement verbale, répugne aux militants du PIR qui font de la France l’objet de leur insondable ressentiment.

    Ces déclarations ont heureusement entraîné un certain nombre de protestations de la part d’hommes publics, au Front National et au parti Les Républicains avec Thierry Mariani en particulier, mais pas avec l’ampleur que l’on serait en droit d’attendre.

    L’enquête menée par le site Fdesouche a rapidement montré que cette Gabonaise d’origine, présentée comme « bibliothécaire et chercheuse en anthropologie sociale » sur son blog où elle arbore en image de profil le symbole des Black Panthers, a participé récemment, avec deux autres candidats France insoumise, à un forum du groupe Paroles d’honneur, parrainé entre autres par Houria Bouteldja, Françoise Vergès et la fille de Franz Fanon.

    Antérieurement, elle a été de la plupart des actions des Indigènes de la République : signature de « l’appel contre l’islamophobie et le racisme d’Etat », de « l’appel à un printemps des quartiers populaires » et autres pétitions où l’habituelle prose islamo­-gauchiste de ce mouvement exprime toute la détestation rabique, celle des révolutionnaires nihilistes de 1793 et de 1917, que notre pays lui inspire.

    L’AGRIF constate avec la plus vive inquiétude que La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon est devenu le refuge et le lieu de promotion des militants de l’anti-France héritant autant du marxisme internationaliste et de tous ses dérivés gauchistes que du discours dit « anti-colonial », né dans les universités américaines puis croisé en Europe avec les revendications islamiques.

    Mme Obono est loin d’être un cas isolé dans ce parti dont la nocivité apparaît de plus en plus clairement. Ainsi, Mélenchon lui-même, dont Obono est une des porte-paroles, déclarait en entrant dans le Palais Bourbon, à la vue du drapeau européen dont les étoiles rappellent la symbolique mariale : « Franchement, on est obligé de supporter ça ? Attends, c'est la République française ici, ce n'est pas la Vierge Marie. » Preuve, s’il en fallait, de la congruence de l’extrême-gauche (ici maçonnique) antichrétienne et de la haine antifrançaise contre laquelle l’AGRIF a été seule à agir concrètement et continuera de le faire.

    En conséquence, l’AGRIF réclame la démission de Danièle Obono de son poste de député et appelle tous les mouvements, politiques ou non, attachés au respect des patries à faire de même.

     

    Affaire AGRIF-Obono : proposition de débat au camarade Mélenchon.
     

    On pouvait s’y attendre, le camarade Mélenchon est monté au filet pour défendre son élue Danièle Obono interrogée sur ses positions en faveur des racistes antifrançais : le pseudo-penseur Saïd Bouamama et le rappeur Saïdou, militants algériens derrière l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja. Cette dernière, révisionniste et négationniste de l’histoire de la colonisation et de l’esclavage, distille en effet une idéologie de haine coontre la France selon elle raciste et esclavagiste sans jamais considérer les réalités séculaires de l’esclavagisme turco-arabo-musulman.

    Et voilà que le camarade Mélenchon, avec le plus parfait mépris léniniste de la vérité, distille sa colère dans un surréaliste amalgame de l’AGRIF (qui n’est pas d’extrême-droite alors qu’il est, lui, d’une archaïque extrême-gauche) et de milliardaires propriétaires des médias.

    Je lance pour ma part au camarade Mélenchon, à madame Obono comme à Houria Bouteldja le défi de débattre loyalement avec moi et deux de mes amis sur les contradictions racistes de l’antiracisme.

    B. ANTONY