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Projet de loi sur l’immigration : avec Macron, le grand remplacement et la mascarade continuent !

 

Avec Macron, LA COMÉDIE recommence. Ou plutôt elle continue.

Chaque nouveau gouvernement, chaque nouvelle majorité élabore son projet de loi sur l’immigration sans que rien jamais ne change mais plutôt n'empire !.

Voilà plusieurs décennies que ce cirque dure. Résultat : l’immigration ne cesse de gonfler dans notre pays, le Grand Remplacement avance et la comédie parlementaire continue.

Dans cette mascarade chacun a un rôle bien défini et parfaitement rodé : le ministre de l’Intérieur se grime invariablement en homme de la fermeté, les associations d’aide aux migrants lui font grief de son inhumanité, les éléments les plus immigrationnistes de la majorité veulent adoucir, assouplir le texte qui pourtant ne comprend aucune mesure de nature à freiner, et encore moins à arrêter ou à inverser, le torrent migratoire qui s’abat sur notre pays depuis des décennies.

D’un côté il y a un (faux) dur, de l’autre des hommes prétendument généreux.

On notera que l’on pense toujours aux allogènes, à leur condition de vie, à leur santé, à leur bien-être mais l’on se garde bien de prendre en compte l’intérêt supérieur de la nation et des nationaux.

C’est à cela aussi qu’on mesure la déliquescence de la chose publique et l’inversion choquante de l’ordre des priorités.

Un gouvernement authentiquement national devrait d’abord avoir en vue l’intérêt national, le bien commun, et pas seulement à court terme mais à long terme, ce qui est quasiment impossible dans un système électif avec des scrutins quasiment tous les ans.

L’explosion démographique du Tiers Monde conjuguée à la dépression démographique du Vieux Continent devrait conduire tout pouvoir digne de ce nom à l’arrêt total et immédiat de l’immigration, puis à une inversion graduelle des flux migratoires, ce qui passe, autant que faire se peut, par des systèmes d’aide au retour, par des accords avec les gouvernements des pays d’où viennent les migrants pour fixer sur place leur population, pour dynamiser l’économie de leurs régions. Or ce n’est manifestement pas le chemin qui est pris.

Au contraire on continue à jouer devant le peuple une comédie pour masquer une politique volontaire d’abdication et d’élimination d’un peuple vieux de plusieurs millénaires et qui subit silencieusement, passivement un double génocide, celui de l’avortement de masse et celui des migrations de masse.

ON CONNAÎT ce feuilleton depuis au moins une trentaine d’années, depuis l’époque où Pasqua et Pandraud jouaient au dur dans le premier gouvernement de cohabitation dirigé par Chirac. Moyennant quoi, à la faveur des manifestations estudiantines au cours desquelles mourut Malik Oussékine, le gouvernement dit de droite renonça à réformer le code de la nationalité qui devait reposer non plus sur le droit du sol mais sur celui de la filiation et abandonna toute volonté de lutter réellement contre l’immigration.

Tous les ministres de l’Intérieur, de Pasqua à Collomb, en passant par Chevènement et Sarkozy (et l’on pourrait sans doute remonter plus loin encore) n’ont eu d’autre fonction que de jouer le rôle du policier méchant afin de faire accroire aux Français de souche que l’on s’occupait enfin d’eux et que l’on veillait à leurs intérêts alors qu’en réalité ils ont tous avalisé dans les faits la politique de submersion migratoire et de préférence étrangère.

Si le Front national a été isolé et ostracisé pendant de longues décennies, c’est qu’il défendait la nation et s’opposait donc à la politique d’immigration massive et incontrôlée. C’est d’abord et historiquement ce qui lui a été reproché, par les partis politiques, comme par les organisations dites antiracistes et essentiellement juives comme la LICRA ou SOS-Racisme.

Dans les scrutins locaux et nationaux la droite parlementaire, quand elle était éliminée du second tour, préférait appeler à voter pour un socialiste voire pour un communiste plutôt que pour leur adversaire du Front national. Ce qui était le signe évident qu’ils conduisaient tous la même politique anti-nationale.

 

MAIS LE DRAME, c’est qu’à force de diabolisation, le Front national a lui-même abdiqué l’essentiel de son programme contre l’immigration, et notamment son volet le plus efficace. Les campagnes médiatiques ont eu raison de sa volonté de conduire une politique de réémigration.

Qu’il est loin le temps où Jean-Marie Le Pen proposait le retour de trois millions d’immigrés dans leur pays d’origine au cours du septennat comme il s’y engageait sur les affiches de sa campagne présidentielle en 1995, qu’elle est loin l’époque où l’on pouvait voir dans les réunions du FN cette affiche avec un avion et ce slogan sans détour : « Quand nous arriverons, ils partiront ». Même si l’organisation a aujourd’hui beaucoup perdu de sa superbe, que plusieurs de ses dirigeants ont eu maille à partir avec la justice pour des affaires de corruption, que le nombre de ses adhérents a fondu, Sos-Racisme a gagné la bataille politique dans la mesure où il a réussi à tétaniser, à émasculer les différents mouvements de droite et à détruire en grande partie les défenses immunitaires des Français. 

 

Par crainte de paraître racistes, les Français souvent s’expriment beaucoup moins librement que naguère sur ces questions.

Et ce d’autant plus qu’il n’est plus rare dans les familles qu’un tel ou qu’une telle ait épousé une personne d’origine extra-européenne ou vive maritalement avec elle. Les pouvoirs publics savent ce qu’ils font : de même qu’ils savaient qu’en imposant la mixité entre les garçons et les filles à l’école dès la maternelle et jusqu’à l’université cela changerait les mœurs et les mentalités, de même en favorisant par tous les moyens des classes colorées et multiethniques dès le jardin d’enfants, ils ont réussi à susciter un sentiment d’accoutumance, de résignation, d’acceptation. Toute guerre passe en effet par une conquête des esprits et des âmes. Et il faut reconnaître que les ennemis de la nation ont bien joué. Créant une situation inédite et inouïe dans notre histoire : pour la première fois, d’ici quelques décennies, tout au plus, sauf improbable renversement de situation, notre territoire sera peuplé par une majorité de non-Blancs.

Dans nombre de maternités, et notamment en région parisienne et dans beaucoup de grandes villes de province, les naissances sont très majoritairement étrangères. Et le phénomène ne peut que s’aggraver puisque notre pays est en état d’invasion libre et qu’aux migrants politiques et économiques on veut ajouter désormais les “réfugiés” climatiques, ce qui permettra d’ouvrir encore davantage les vannes.

 

QUANT au texte actuel du gouvernement, déjà très faiblard et homéopathique (il n’est question que d’accélérer un peu les procédures d’examen des dossiers de demande d’asile et d’allonger le délai de rétention dans les centres administratifs, c’est comme si l’on voulait soigner le cancer avec une aspirine !), n’en doutons pas, il sera, selon une habitude désormais enracinée, totalement vidé de sa (très maigre) substance à la suite des avis du Conseil d’Etat et de la saisine du Conseil constitutionnel qui agissent comme des assemblées politiques, idéologiquement de gauche, gardiennes du Politiquement Correct.

Thierry Tuot, l’un des deux rapporteurs du Conseil d’Etat appelés à se prononcer en assemblée générale sur la légalité du texte gouvernemental, l’a déjà violemment fustigé, au mépris du devoir de réserve. Cet ancien juge délégué de la reconduite aux frontières, auteur il y a cinq ans d’un rapport intitulé La Grande Nation : pour une société inclusive, est connu pour ses positions favorables à une immigration totalement libre.

 Dans Libération, qui avait à l’époque fait son portrait, il regrettait que « depuis vingt ans, l’immigration ne soit abordée que de façon grincheuse, nourrie par la peur ». Thierry Tuot a publiquement regretté qu’il ne soit pas possible au Conseil d’État de « refuser d’examiner le texte », ce qui aurait, selon lui, « constitué un geste politique fort ». Le rapporteur a également asséné une série de pseudo-vérités concernant les flux migratoires, supposées « démonter les fantasmes de l’opinion » sur le sujet. À l’en croire, depuis 2009, les migrations sont à l’échelle mondiale le fait d’une population très qualifiée, sans volonté d’installation définitive, avec un mouvement plus nord-sud que sud-nord. Une assertion que l’intéressé se garde bien (et pour cause !) d’étayer de chiffres. Voilà en tout cas de quoi est composé aujourd’hui le Conseil d’Etat. Il faut dire que la plus haute juridiction administrative est spécialiste des coups tordus. Elle avait déjà interdit le spectacle Le Mur de Dieudonné en 2014 et affirmé, dans l’arrêt Nicolo, en 1989 la supériorité du droit européen sur le droit national.

Si les politiciens qui nous dirigent sont des traîtres à la patrie, que dire de beaucoup de magistrats gauchistes ?

Décidément le poisson pourrit toujours par la tête ! ...

 

 

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