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Gouvernement Macron, tous des dhimmis !

Le cacochyme Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur si peu en marche d’Emmanuel Macron, ergotait encore hier au soir sur le fait de savoir si l’égorgement atroce au cri d’ « Allah Akbar » de jeunes femmes était vraiment le fait d’un terroriste ou l’acte d’un "déséquilibré" !

Il faut n’avoir plus aucune vergogne pour oser encore, par tremblante soumission à la religiosité antiraciste, tenir le discours de l’explication psychiatrique pour taire celui de la motivation idéologique !

Peu après sur cette même chaîne d’informations en continu, son inévitable « expert » en sécurité qui, d’identité française mais aussi arabe, devrait pourtant savoir la réalité de l’islam, dévidait lui aussi, une fois de plus, sa théorie du déséquilibre psychiatrique, mais assortie cette fois de l’explication, pas fausse en soi mais sans bien la peser, par le facteur comportemental du mimétisme.

L’égorgeur aurait donc égorgé par imitation des précédents égorgeurs !

Sans en avoir conscience, il touchait là en effet au secret de toutes des violences jihâdistes de l’islam : l’imitation du prophète Mahomet !

Ce prophète qui, selon tous les plus grands rapporteurs des hadîths, « ses faits et gestes », a, comme nul autre, personnellement pratiqué massivement l’égorgement, comme celui du millier d’hommes juifs de la tribu des Banu Qorayza qui avaient refusé ce qui allait devenir l’institution musulmane fondamentale pour les gens dits du Livre (juifs, chrétiens et zoroastriens) : la dhimmitude.

C’est ainsi que toute la réalité millénaire de l’islam, et toute sa charia, est fondée sur une absolutisation du mimétisme, non pas seulement spirituel et moral, mais sur les moindres faits et gestes modélisés de son fondateur, les plus intimes mais aussi les plus cruels et sanguinaires.

C’est ce que, puisant dans les grands maîtres de l’islamologie, nous n’avons cessé avec quelques autres, pendant des années et des années, de rappeler dans nos allocutions et écrits, notamment dans notre étude et anthologie des hadîths de Mahomet : « L’islam ou la soumission au prophète »...

 

Le tueur de Marseille était connu des services policiers sous 7 identités


L’agresseur de Marseille, qui a tué deux jeunes femmes dimanche avant d’être abattu par les agents de Sentinelle, était connu de la police française depuis 2005 sous sept identités différentes, sans toutefois n'avoir jamais été condamné et n’étant pas connu des services antiterroristes, a communiqué lundi le procureur de la République de Paris.

L'homme qui a tué à l'arme blanche deux femmes à Marseille, était déjà connu de la police française sous sept identités, a rapporté le procureur de la République de Paris le lendemain du drame.

«L'agresseur […] avait été signalisé à sept reprises depuis 2005 sous sept identités différentes. La dernière signalisation, en date du 29 septembre 2017, correspond à une interpellation à Lyon pour des faits de vol à l'étalage», a-t-il annoncé, cité par l'agence Reuters.

Après avoir été interpellé à Lyon, il a présenté aux policiers lyonnais «un passeport tunisien délivré le 18 novembre 2014 au nom de Ahmed H., né le 9 novembre 1987 à Bizerte», a également indiqué le procureur.

«Cette identité ainsi que les différents alias utilisés sont inconnus des services spécialisés antiterroristes, aucune condamnation ne figure à ce jour sur son casier judiciaire», a-t-il conclu.

Même si l'organisation terroriste Daech a aussitôt revendiqué cet attentat, une source proche de l'enquête nie cette affirmation.Même si l'organisation terroriste Daech a aussitôt revendiqué l'attentat, une source proche de l'enquête nie cette affirmation.

«La revendication de Daech pose vraiment question, car aucun élément ne relie l'assaillant à l'organisation à ce stade», a-t-elle déclaré, sous couverture d'anonymat, citée par l'AFP.

 

Police de Marseille
Un homme a agressé des passants avec un couteau à la gare Saint-Charles de Marseille, dimanche 1er octobre vers 13h45. L'agresseur a poignardé deux personnes et aurait crié «Allahou akbar», selon France Info. Des militaires de l'opération Sentinelle ont ouvert le feu sur lui.

 

 

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