Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologisme politique de gauche

  • Eoliennes: la face cachée des coûts astronomiques et qui ne profitent qu' aux écolos de gauche !

    Éoliennes, la face noire de la transition écologique
    par Fabien Bouglé, Editions du Rocher, 2019

    Dans cet ouvrage, Fabien Bouglé ne se contente pas de déplorer les atteintes des éoliennes à nos paysages et au charme de nos campagnes, mais il dénonce avec précision et efficacité l’inutilité, voire la nocivité des éoliennes.

    Son analyse méthodique et percutante démontre que les éoliennes sont plus polluantes que ses promoteurs ne l’avouent.

    Leur construction est consommatrice de terres agricoles dont l’extraction est généralement outrancièrement dévastatrice de la nature et des ouvriers qui s’y consacrent. Leur durée de vie est courte et leur démantèlement à échéance de 20 ou 25 ans risque de produire des déchets difficiles et coûteux à traiter. Leur production intermittente d’énergie, dégressive avec l’usure du temps, oblige bien entendu à maintenir en activité des centrales consommatrices d’énergie fossile. Elles produiraient même un effet local de réchauffement…

    Les effets sur la santé de ces nouveaux moulins paraissent également inquiétants. Les plaintes des riverains se multiplient contre les effets néfastes de ces engins qui produiraient des infrasons attentatoires à la santé des hommes comme à celle des animaux.

    Leurs pales tuent les oiseaux en série et font disparaître les chauves-souris qui pourtant jouent un rôle essentiel dans la protection de nos écosystèmes. Et leur implantation en mer nuit à la faune marine et à la profession des marins pêcheurs. Elle fait également fuir les touristes et donc globalement elle porte atteinte à l’emploi qui n’est pas compensé par celui que leur implantation suscite.

    En outre, la politique française d’encouragement à l’installation d’éoliennes coûte une fortune.

    La politique publique a convenu de soutenir ces projets en subventionnant le prix de l’électricité éolienne à des niveaux très élevés et supérieurs à ceux de nos voisins. Alors que le prix moyen du mégawhattheure a été de 45€ en 2017, les prix de rachat consentis aux producteurs d’éolien marin sont, après renégociation l’an dernier, encore très supérieurs aux prix de marché puisqu’ils ont été arrêtés par exemple pour le projet d’Yeu à près de 175€ tout compris!...

    Au total, les engagements pris par le gouvernement représenteront un coût pour les vingt prochaines années, à la charge des consommateurs électriques et des contribuables, d’environ trente à quarante milliards pour l’éolien terrestre et trente et un milliards pour l’éolien marin!

    Alors pourquoi une telle gabegie, pourquoi un tel acharnement à vouloir installer des éoliennes non seulement peu utiles mais dangereuses, polluantes et ruineuses ? C’est là que Fabien Bouglé dévoile le dessous des cartes.

    Cette politique de destruction massive de l’environnement est soutenue par les écologistes parce qu’ils y ont un double intérêt idéologique et personnel.

    Les apologistes de l’énergie du vent sont des idéologues étatistes. Ils veulent que l’Etat nous gouverne en tout. « C’est sous le prétexte de la transition écologique, note Fabien Bouglé, que les Etats occidentaux se sont mis à dépenser des centaines de milliards d’euros, accentuant les déficits publics des pays concernés au détriment de citoyens rackettés via leurs factures d’électricité ou d’essence ». Et via la fiscalité. Ils en font une religion pour sauver la planète et ils désignent leurs prophètes que des enfants incarnent jusque devant les instances onusiennes plus ébahies qu’elles ne le seraient devant Bernadette Soubirous.

    Et pour eux, ce combat justifie tous les reniements de la démocratie élémentaire : ils permettent aux commissaires enquêteurs d’être rémunérés par les sociétés éoliennes dont ils doivent apprécier les projets ; ils ont supprimé les recours devant les tribunaux administratifs pour gagner du temps dans la procédure ; ils ne suivent jamais les avis des consultations publiques, même très majoritaires ; quand une association dont la consultation est obligatoire donne un avis hostile au projet, ils suppriment cette obligation de consultation….

    Mais ils n’oublient pas leurs intérêts personnels. Les cas de prises illégales d’intérêt des élus ne se comptent plus. Les sociétés de production éolienne « arrosent » largement les associations, les élus, les professionnels… pour gagner leur adhésion. Des ONG comme Greenpeace ou WWF ont elles-mêmes des intérêts dans des sociétés éoliennes qui permettent de mieux comprendre leur volonté de favoriser à tout prix cette politique dans une totale ambiguïté. « La vérité, note encore Fabien Bouglé, est que l’industrie éolienne n’est pas du tout écologiste mais répond à une logique de profit exclusif en faveur des promoteurs éoliens par des montages financiers couverts par la politique écologique des Etats ». Les liens entre les élus, parlementaires, ministres écolos et les promoteurs éoliens sont fréquents. Cosa Nostra serait même lourdement impliqué dans nombre de projets financés par l’Union européenne. Là où il y a de l’argent public et des affaires, les profiteurs sont toujours à l’affût. C’est ce qu’on peut appeler le socialisme de connivence.

    Heureusement, certains pays commencent à comprendre les dangers de cette folle politique en faveur de l’éolien. Les Etats-Unis, qui ont déjà plus de 14 000 éoliennes hors service dont ils ne savent que faire, et la Russie expriment désormais leur scepticisme. La Pologne a annoncé avoir mis fin à l’installation d’éoliennes sur son territoire. L’Allemagne commencerait à en démanteler. Puisse cet ouvrage ouvrir les yeux des Français et de leur gouvernement.

     

  • L’écologisme en France est un totalitarisme de plus !

     

    Avec Macron,en plus de l’étatisme, nous avons droit aussi à l’écologisme (ces deux notions sont d’ailleurs liées). Nous subissons aujourd’hui les effets d’une terrible idéologie qui est un totalitarisme de l’interdit : culpabilisation des amateurs de viande, suppression des trajets courts en avion, la pression s’intensifie dans tous les domaines.

    On cultive aussi la contradiction. Le Premier ministre annonce la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et l’objectif de réduire à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité à l’horizon 2035 alors que c’est bien le nucléaire l’énergie la moins polluante.

    La fameuse « transition écologique » est en réalité une inflation de taxes au nom de l’écologie, contre lesquelles s’étaient prononcés les gilets jaunes. Les énergies renouvelables sont des gouffres pour les finances publiques.

    Dans le budget pour 2019, pour 100 euros supplémentaires d’impôts prétendument écologiques, en réalité seulement 5 euros représentent de vraies dépenses écologiques et 95 euros s’égarent dans le financement d’autres dépenses noyées dans le budget général.

    Le - mauvais – exemple allemand devrait nous servir de leçon !... L’Allemagne a toujours affirmé vouloir réduire au plus vite les émissions de CO2 grâce aux énergies renouvelables. Elle a donc pratiqué une politique de subventions et d’investissements massifs. Entre 2013 et 2018, elle a dépensé plus de 160 milliards d’euros en faveur de ces énergies renouvelables. Plus de 30 000 éoliennes installées sur son territoire devaient produire à plus ou moins longue échéance l’équivalent de l’énergie d’une dizaine de centrales nucléaires. Mais quand il n’y a pas de vent, il faut du charbon. Finalement, malgré tout cet argent, les émissions de CO2... sont toujours au niveau d’il y a 10 ans !

    Ne cédons pas aux utopies de gauche en dépensant l’argent des contribuables inutilement et en s' endettant plus ...

     

     

  • L’imposture Greta Thunberg : l’icône des écologistes mange du pain en plastique et des fruits hors saison ...

     

    L’activiste suédoise contre le changement climatique, l’icône des mouvements en défense de l’environnement, Greta Thunberg, a publié une photo qu’elle aurait mieux fait de garder cachée.

    Ce portrait a été pris lors du voyage en train que Greta a entrepris pour se rendre au World Economic Forum de Davos fin janvier. Le cliché montre cette fille du moment, cette coqueluche des médias, cette pasionaria de l’environnement, en train de manger. Sur la table en face d’elle du pain en plastique, de la fausse salade, des fruits hors saison :

    « la typique écologique nord-européenne, écrit un internaute sur les réseaux sociaux, qui mange de la nourriture hors saison comme les bananes, qui use du plastique. Cette photo décrit parfaitement le genre de personnes qui participent à ces mouvements. Tu es seulement un autre jeu d’une grande et hypocrite machine à laver les cerveaux. »

    Derrière l’événementiel et la notoriété médiatique orchestrée par les fanatiques du changement climatique, l’imposture !