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Europe - Page 16

  • Alors que la Turquie bombarde la Syrie, l’Union Européenne lui donne un milliard d' euros de plus ! ...

     

     

    Dans le contexte d’une Turquie qui bombarde la Syrie, l’Union Européenne a décidé d’offrir de nouveau un milliard d’euros à Erdogan.

    Jeudi dernier, d’Ankara, le vice-président américain Mike Pence annonçait ce que les États-Unis appellent un « cessez-le-feu » et que les Turcs n’hésitent pas à désigner comme une « pause » dans le conflit. Un arrêt de 5 jours dans les combats, le temps pour les Kurdes de se replier à 30 km au sud de la frontière syrienne.

    Ce même jour, le conseil européen de Bruxelles publie une condamnation de l’attaque unilatérale turque contre les Kurdes mais en même temps, poussé par l’Allemagne, engage le payement d’une nouvelle tranche des sommes destinées à Ankara sur la base de l’accord de 2016.

    Celui qui, en échange du traitement des réfugiés syriens en Turquie, oblige l’Union européenne à régler à Erdogan 6 milliards d’euros. Pour acheter la paix sociale en Europe !

    La chancelière allemande Merkel a peur de se retrouver avec 500 000, si ce n’est plus, de réfugiés syriens en Allemagne, comme cela est arrivé en 2015 et 2016. D’où cet amoindrissement de ton envers la Turquie et les négociations lancées pour empêcher Erdogan de donner suite à ses menaces d’envoyer les « migrants » en territoire européen.

    La Turquie bombarde et l’Europe paye ! Telle est la conclusion de l’action de l’Union Européenne dans le contexte syrien des derniers jours. Une UE toujours plus faible et ridicule sur le plan international, soumise qu’elle est au bon vouloir du « sultan » turc.

    Francesca de Villasmundo

  • Les veaux ont voté Loiseau !



    « Dimanche, soyez des veaux, votez Loiseau ». Tel était le slogan humoristique, que n’aurait pas démenti le caricaturiste Ignace, qui clôturait une petite vidéo comique, assez bien tournée, qui raillait la campagne de Dame Loiseau…

    Et nos concitoyens ont bien été veauter…

    Certains se félicitent quelque peu bruyamment du succès de Marine Le Pen qui est tout de même parvenu à coiffer Loiseau sur sa branche…
    Mais après ???
    Après rien du tout !

    On peut épiloguer, par exemple, sur l‘utilité de la candidature de Dupont-Aignan qui a opportunément privé Marine Le Pen des quelques points qui lui auraient permis d’affirmer une indiscutable victoire. (Il peut aller demander à Macron la juste rétribution de son aide objective à la victoire de l’anti-France).

    On peut revenir sur la lamentable prestation du tandem Camus/ Ouchikh dont la « Ligne claire » n’avait de claire que son hypersionisme…

    On peut se lamenter sur l’échec patent de listes à gilets jaunes qui n’avaient aucune lisibilité…

    On peut se gausser de l’effondrement du PS, de la claque donnée à Benoît Hamon ou des conséquences des querelles d’égos chez Les Ratés (pardon, Les Républicains).

    Personne ne souligne l’écrasante victoire anti-nationale de ces élections : celle de l’européisme immigrationniste triomphant !
    En dehors du Rassemblement National, tous les partis susceptibles d’envoyer des députés au parlement européen (5) sont tous des européistes fervents et des immigrationnistes invétérés !

    Certes, la répartition va y changer, mais si l’ensemble européen eurosceptique progresse, la vague de fond est celle de l’écolo-gauchisme – des khmers verts – qui a balayé le communisme historique, stalinien, dont Mélenchon est un dinosaure emblématique.

    On comptera apparemment autour de 220 députés eurosceptiques…
    Sur 750 c’est bien peu, même si cela traduit une réelle progression infiniment plus sensible dans d’autres pays d’Europe et on ne parle curieusement nulle part dans la presse des 31,8% du parti Brexit de Nigel Farage en Grande Bretagne.

    Macron peu pavoiser et annoncer qu’il conserve son odieuse équipe et qu’il continue sa politique.

    Les électeurs qui avaient fait un louable effort en se déplaçant à plus de 50% – cas jamais vu depuis des décennies dans ce type d’élection – ont clairement manifesté leur participation au rejet de l’Occident chrétien et de ses valeurs : 60% des voix  se sont portées sur des partis européistes immigrationnistes. Les banlieues soutiennent massivement Macron.

    Le clivage entre la France rurale et la France urbaine est acté.
    Les Gilets jaunes peuvent redescendre dans la rue.

    Les Français ont donc veauté pour un oiseau qui n’est pas en voie de disparition : le rapace européiste !

    Seule vraie bonne nouvelle en ce dimanche : la claque magistrale des Catalans envoyé à Manuel Valls arrivé en 5eme position aux élections à la mairie de Barcelone !
    Ils peuvent nous donner des leçons…

    Claude Timmerman

  • Pendant que les gilets Jaunes se font matraquer, Macron et son gouvernement hâtent le "grand remplacement " .

    SUBMERSION ET SUBVERSION MIGRATOIRE

     

    Dans l’incapacité de prendre durablement le pouvoir par en haut, à l’occasion d’un coup de force à la façon d’octobre 1917 en Russie, ou d’un coup d’État institutionnel à la façon du sieur Macron en 2017, messianiques et illuministes (trotskistes freudo-marxistes et attaliens antinomistes anarcho-capitalistes) ont opté pour la subversion de la nation et de ses institutions par le bas. C’est-à-dire par la submersion sous un tsunami de migrants, faux réfugiés et faux mineurs fuyant la guerre, l’oppression ou cherchant un meilleur avenir. Submersion imposée au prétexte cousu de fil blanc qu’il existerait un sacro-saint droit/devoir d’asile inscrit dans le code génétique de la République et s’appliquant à tout un chacun sans la moindre discrimination. Autrement dit, sans exclusive venant contredire l’universalité granitique des nouvelles Tables de la Loi qu’est la charte des Droits de l’Homme de 1948… (dont René Cassin, maçon sans tablier, prix Nobel en 1968 (tiens donc !), sous la houlette de la pionnière lgébétiste Eleanor Roosevelt, fut le nouveau Moïse à la suite des constituants de 1789). 

    Un déferlement rendu nécessaire (voire obligatoire suivant la sophistique en usage dans des classes dirigeantes) à la suite de la dépénalisation de l’avortement devenu après janvier 1975, une liberté fondamentale coûtant annuellement, en moyenne à l’Hexagone, trois cent vingt mille naissances (une IVG pour quatre accouchements). Un lourd déficit démographique qu’induit de façon permanente cette formidable avancée sociale (sur laquelle aucun retour en arrière n’est envisageable !) qui constitue un imparable prétexte à l’ouverture des frontières. Raison pour laquelle, un an après l’ouverture des avortoirs, par décret du 29 avril 1976, le regroupement familial était instauré par le couple infernal Giscard/Chirac, le ministre du Travail étant alors le célèbre Michel Durafour. 

    Politique qui transforma ipso facto l’immigration temporaire de travail (désigné non sans raison par les marxistes comme « l’armée de réserve du Capital ») en immigration de peuplement… donnant, le coup d’envoi à l’actuel et cataclysmique Grand Remplacement. Assez stupidement les politiciens (des liquidateurs professionnels) crurent (ou firent mine de croire) que nous goberions en sus les autres prétextes allégués : à savoir que les migrants abonderaient les caisses de retraite.

    Aujourd’hui, selon l’INSEE, 60 % des nouveaux arrivants en âge et en capacité de travailler, seraient au chômage et par conséquent, à la charge de la collectivité!

    En 2018, environ 255 000 migrants se sont officiellement présentés à nos portes, et sur les quelque 60 000 demandes d’asile (100 000 en 2017) déposées au cours des sept premiers mois de l’année 2018, 70 % étaient de faux demandeurs, qui, déboutés, n’ont et ne seront jamais renvoyés.

     

    COQUECIGRUES ET AUTRES BILLEVESÉES MEURTRIÈRES

     

    Parmi les coquecigrues et autres billevesées meurtrières qui, dans une société bien faite, seraient inaudibles, objets de dérision ou tomberaient sous le coup de la loi, l’une d’entre elles consiste à prétendre que l’immigration nous enrichirait. Une thèse aussi absurde que stupide bien résumée par Mitterrand dans la formule emblématique : « Une chance pour la France »…

    Malheureusement cette chance ineffable a un prix qui se compte en plusieurs dizaines de milliards, nul ne sait ni ne veut vraiment savoir… Un gouffre insondable où se déversent la politique de la ville, le rattrapage scolaire, les zones de priorité, les couvertures sanitaires universelles, les pensions versées dans tous les bleds et les douars du bout du monde, les fraudes multiples et le coût pharamineux des institutions judiciaires et pénitentiaires. Sujet proscrit, objet d’un interdit idéologique majeur qui, s’il était abordé sans tabou, donnerait le tournis mais également les moyens ( à la hauteur d' au moins 100 milliards d' euros) de renflouer nombre de secteurs déficitaires et de services publics en  grande souffrance.

    Si Macron parvient — ce que nous ne lui souhaitons surtout pas — à la fin de son mandat, ce seront deux millions d’allochtones de plus qui au bas mot se seront, au bout de ce maudit quinquennat, installés chez nous…À l’invitation de nos gouvernants et de notre si belle et si humaine bobocratie.

    Pourtant, même l’ancien ministre du sieur Sarkozy Brice Hortefeux, découvrait ce 27 janvier 2019 [BFMTV] que notre pays ne détient « ni la capacité ni la nécessité » d’accueillir tout ce beau monde débordant de vie (habité par des appétits torrentueux) qui grignote silencieusement des parts du marché démographique… et bientôt politique. D’aucuns, mal intentionnés, sont aller jusqu’à évoquer un djihad par les urnes ! L’idée d’une subversion démocratique par le nombre n’est évidemment pas à exclure et une fois le point de basculement atteint, rien n'exclut que la France puisse devenir la fille aînée de l'Islam dont la tendance n’est pas à la modération si l’on en croit le durcissement sensible de sa pratique collective dans les trois pays du Maghreb. 

    In fine, le communautarisme exclusiviste aidant, cette société, pour aimablement bigarrée et plurielle qu’elle a été imaginée au départ par des idéologues ahuris, devrait assez vite aboutir — en toute logique — à une situation comparable sinon semblable à celle prévalant en Afrique australe, notamment dans le monde rural : au mieux nous pourrions d’ici trois décennies être conviés à descendre du trottoir ; au pire, le choix nous sera gracieusement offert entre la valise et le cercueil. Les Français d’Algérie ont déjà connu cela, et l’histoire bègue affichera à la commissure de ses lèvres tremblantes, la bave sanguinolente de tous les renoncements.