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  • En interdisant les véhicules thermiques, l' Europe se suicide et fait un fabuleux cadeau à la Chine communiste !

     

    Après des décennies de guerre au nucléaire qui ont déterminé une grande dépendance des pays européens au pétrole et gaz russes, dont l’ukrainophile Union Européenne se mord les mains aujourd’hui, c’est aux batteries électriques chinoises que cette même Union Européenne, devenue entre-temps une adepte de l’idéologie verte, veut rendre les industries automobiles européennes dépendantes.

    Les eurodéputés ont voté ce mercredi 8 juin 2022 un texte important dans le cadre du paquet climat visant à une neutralité carbone de l’Union européenne en 2050. À partir de 2035, les moteurs thermiques (essence et diesel) ne seront plus admis dans les véhicules neufs. c’est la fin de la voiture la plus utilisée actuellement : ni les consommateurs ni les constructeurs n’ont été interrogé. C’est à nouveau une décision unilatérale de la Commission européenne, organe technocratique non élu mais qui aujourd’hui, sous l’égide de l’atlantiste Ursula von der Leyen, fait la pluie et le beau temps.

    L’objectif du zéro émission proposé par la commission européenne, soutenu par les Verts, les rouges, les progressistes, les centristes, globalement la bien-pensance des bobos-radicaux-chics, a fait l’objet d’une âpre bataille dans l’hémicycle, avec un amendement du PPE (droite pro-européenne et première force au Parlement) proposant de viser plutôt une réduction de 90 % des émissions automobiles en 2035. Cela aurait permis de poursuivre la vente de voitures hybrides. L’amendement a finalement été rejeté.

    Les députés européens ont adopté par 339 voix pour, 249 contre et 24 abstentions leur position relative aux règles visant à réviser les normes de performance des émissions de CO2 pour les voitures particulières et les camionnettes neuves. Ils soutiennent ainsi la proposition de la Commission européenne d’atteindre une mobilité routière à émission de carbone nulle d’ici à 2035. Selon la doxa officielle, les voitures représentent 12 % des émissions de CO2 dans l’UE.

    La mesure est historique car elle vise à interdire tous les véhicules à moteur « à combustion interne », donc essence et diesel. La gauche exulte, et tant pis pour l’irréalisme de la mesure, la destruction des emplois et de pans entiers de l’industrie européenne, la paupérisation des classes moyennes. La droite, malgré tout plus ancrée dans une économie libérale, qui a logiquement voté contre l’ensemble du texte, s’alarme des conséquences industrielles. Imposer le zéro émission reviendrait à condamner tout un pan de l’activité industrielle et pénaliserait fortement les consommateurs, estime Agnès Evren (PPE). Elle fustige un texte qui empêchera de commercialiser des véhicules hybrides performants ou des véhicules utilisant des biocarburants, dont la production pourrait s’avérer moins chère et moins émettrice de carbone que les véhicules électriques.

    Cependant, le Parlement européen n’est pas un organe législatif au sens propre du terme. Par conséquent, la disposition votée hier n’entrera pas en vigueur, avec valeur juridique, dans les États membres de l’UE, mais fera l’objet de négociations entre tous les gouvernements membres. Qui garderont peut-être la tête sur les épaules face à cette mesure suicidaire.

    Et irréaliste si l’on pense seulement qu’aujourd’hui les voitures électriques représentent 10 % du marché européen, les hybrides rechargeables (l’hybride dont la composante électrique est la plus importante) 9 % alors que les voitures à essence représentent encore 36 % du marché, un pourcentage qui passe à 61 % si l’on additionne les voitures hybrides normales (qui de toute façon roulent à l’essence) et les voitures diesel et qui représentent encore environ 17 % du marché (données Acea, mai 2022). Si les pourcentages de voitures électriques sont si faibles, toujours en 2022, ce n’est pas par paresse, préjugé ou planification politique.

    L’électrique dont le coût est prohibitif demande encore de nombreux sacrifices et de nombreuses installations et infrastructures qui seront difficilement réalisables en 13 ans, – avec les meilleures batteries, il est possible de parcourir 300-400 km au maximum !, puis il faut recharger ce qui prend un peu moins d’une demi-heure, et les bornes de recharge électrique sont très rares. 

    Mesure folle également si l’on pense que « c’est un cadeau à la Chine », car les matières premières avec lesquelles les batteries sont produites, les « terres rares », sont de plus en plus monopolisées par les Chinois, pas seulement sur son territoire et en Asie… mais aussi en Afrique. Contrôlant 70% de l’approvisionnement mondial en « terres rares », la Chine à un quasi-monopole. Pour rendre l’Union Européenne indépendante du pétrole et gaz de l’ours russe, elle se met entre les mains du dragon chinois. Un changement qui n’est guère profitable.

    De ce point de vue également, la tyrannique UE commet un nouveau suicide stratégique.

     

     

  • La France en déshérence et les français lobotomisés !

     

    Plus il y des attentats commis au nom d’Allah, des agressions d' islamistes contre des Français, des viols, des coups de couteau ou autres « incivilités », et plus les Français votent pour les ordures qui leur imposent leur remplacement !

    Moins ils votent pour ceux qui, comme Zemmour, Vardon ou Patrick Jardin, essaient de leur remonter la culotte, plus il y a de mesures de confinements avec l’alibi du sanitaire, et plus les Français votent pour les crapules comme Véran, vendus et soumis aux labos.

    Et moins ils votent pour Martine Wonner ou Florian Philippot, qui ont essayé de les informer et de les aider à résister, plus Macron protège les racailles, plus il impose de nouveaux immigrés, plus il se moque ouvertement des Français, en mentant grossièrement, avec son larbin Darmanin, et plus nos compatriotes votent pour LREM et pour Moussa ...

     

  • Prévisions législatives 2022 .

    Les élections législatives des 12 et 19 juin pourraient être marquées par un nouveau record d’abstention du fait de la démobilisation et du désintérêt du corps électoral pour ce scrutin.

    Les scores vertigineux déjà observés en 2017 (51,30 % d’abstention au premier tour, 57,36 % au second tour) pourraient être encore plus impressionnants cette fois-ci. Il faut dire que tout concourt actuellement à ce que les Français en âge de voter et jouissant de leurs droits civiques désertent l’isoloir. On observe d’abord une certaine lassitude. Les législatives qui suivent de quelques semaines l’élection présidentielle, elle-même organisée sur deux tours, sont traditionnellement marquées par une participation assez médiocre, sinon faible. Les électeurs ont tendance à considérer que tout se joue lors de la présidentielle qui est en effet depuis la réforme constitutionnelle de 1962 l’élection-reine de la Vème République et, assez logiquement, ils se désintéressent par conséquent des législatives subséquentes. L’instauration du quinquennat en 2000 a considérablement aggravé cette évolution en faisant du président un futur Premier ministre et en ne dissociant plus les durées du mandat du chef de l’Etat, réduit à cinq ans au lieu de sept auparavant, de celui des députés, également de cinq années. Au-delà de ces deux facteurs, il faut reconnaître que tout est fait pour entraîner une dépolitisation du peuple. Il est loin le temps où l’on se battait pour un idéal, des principes, une doctrine, une vision de l’homme et de la société. Il s’agit aujourd’hui d’être les gestionnaires du déclin, de la décadence, les garants et gardiens du politiquement correct, de la police de la pensée. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les campagnes électorales, et surtout celles dans les 577 circonscriptions de la métropole et de l’outre-mer, ne passionnent pas les foules.
    Cela dit, il n’est même pas sûr que des campagnes dynamiques, avec des propositions très marquées et des propos vigoureux seraient de nature à réveiller un peuple amorphe, passif, résigné, drogué de jeux télévisés, d’écrans et de divertissements variés.

    Malgré l’aggravation de la situation dans tous les domaines, il n’est pas évident que même un discours relativement décomplexé et clair comme celui du Front national dans les années 1980 et 1990 rencontrerait aujourd’hui un franc succès auprès des masses tant l’heure est aujourd’hui à la modération, à la fadeur, à la résignation, à la recherche à tout prix de la tranquillité personnelle et immédiate, et répugne à la radicalité, à la transgression du politiquement correct. Et ce n’est certes pas là une bonne nouvelle, car cela signifie une perte d’énergie, de capacité à résister, à se mobiliser, à refuser, à rejeter ce qui nous conduit à la mort et à la destruction. Il n’est rien de pire qu’une marche mente et insidieuse vers la tombe, vers le précipice. Et pourtant c’est bien ce que nous vivons aujourd’hui. De fait, dans sa grande majorité, il n’y a plus, semble-t-il, aujourd’hui de résistance active et résolue à la submersion de notre pays, à la destruction de la morale traditionnelle et de nos traditions les plus fondamentales, aux avancées chaque jour plus effrayantes du lobby LGBT, à la négation chaque jour plus totale de nos libertés.

    Les sondeurs et gazettes s’interrogent ces jours-ci pour savoir si Macron et ses alliés disposeront de la majorité absolue à l’Assemblée nationale. Ce qui semble être le cas si on en juge par les résultats déjà connus chez les Français de l’étranger, même si Macron obtient chez ces électeurs des scores toujours nettement supérieurs à la moyenne nationale.

    Soit dit en passant on se réjouira de la défaite dès le premier tour de l’ancien Premier ministre, le Likoudnik Manuel Valls, persécuteur de Dieudonné et de la libre parole !

    Mais au fond cette question de la majorité parlementaire n’a guère d’importance car, que le président réélu dispose ou non d’une majorité absolue, cela ne l’empêchera nullement de mener à bien son entreprise de destruction du pays. Une simple majorité relative lui suffirait amplement pour gouverner pendant tout le quinquennat. Souvenons-nous des législatives de juin 1988. Le président socialiste François Mitterrand, brillamment réélu face à Jacques Chirac le 8 mai 1988 avec plus de 54 % des suffrages exprimés, avait dissous l’Assemblée mais, contrairement à juin 1981, le Parti socialiste n’avait pas alors obtenu la majorité absolue, mais seulement la majorité relative. Est-ce que cela a empêché le président de conduire la politique qu’il souhaitait ? Nullement. Il a nommé successivement trois Premiers ministres socialistes, Michel Rocard (1988-1991), Edith Cresson (1991-1992) puis Pierre Bérégovoy (1992-1993) et tous les textes qu’il a voulu faire adopter, y compris les plus détestables, comme la loi Gayssot en 1990 ou la loi Neiertz en 1993 créant un ahurissant délit d’entrave à l’IVG, l’ont été sans grande difficulté. Pour faire voter ces projets de loi, le gouvernement s’appuyait en effet tantôt sur les centristes, tantôt sur les communistes, et c’est ainsi que la législature est allée à son terme. Aucune motion de censure n’a obtenu la majorité absolue, les différents gouvernements socialistes entre 1988 et 1993 n’ont jamais été renversés.

    De la même manière, il y a fort à parier que si Macron n’obtenait pas la majorité absolue (ce qui n’est pas l’hypothèse la plus probable, ses électeurs, majoritairement âgés et aisés, ne désertant jamais les urnes, contrairement aux jeunes et aux catégories populaires qui lui sont beaucoup moins favorables), il pourrait s’appuyer tantôt sur la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) de Mélenchon, ou sur certains de ses éléments les plus modérés, tantôt sur les Républicains pour obtenir, au cas par cas, une majorité d’idée sur tel ou tel texte de loi. Par exemple la Macronie pourrait compter sur les voix de la NUPES pour légaliser l’euthanasie, le suicide assisté, la GPA et faciliter le changement de sexe. Ou encore pour aller plus loin dans les folies écologistes et antispécistes. A l’inverse, elle pourrait parfois avoir besoin des voix des députés LR pour la réforme des retraites et de la Sécurité sociale, pour le refus de l’augmentation des bas salaires et des minima sociaux.
    Ajoutons que le scrutin majoritaire à deux tours favorise mécaniquement et fortement le président élu ou réélu. Lequel, sauf en 1988, a toujours obtenu une majorité absolue. C’est pourquoi Macron s’est refusé lors de son premier mandat à réintroduire la proportionnelle, fût-ce de manière restrictive, pour les législatives, et ce contrairement à ce qu’il avait dit lors de la campagne présidentielle de 2017. Il n’avait en effet aucun intérêt à modifier le mode de scrutin, dès lors qu’il était convaincu d’être réélu face à Marine Le Pen qu’il voulait une nouvelle fois comme adversaire au second tour, assurance de sa confortable et certaine réélection.

    COMBIEN DE PARLEMENTAIRES obtiendront le Rassemblement National, Reconquête, Debout la France et les Patriotes au soir du 19 juin  ? Probablement aucun, à part peut-être Nicolas Dupont-Aignan dans l’Essonne, pour les trois derniers cités et sans doute une poignée pour le premier, le scrutin majoritaire à deux tours agissant comme un laminoir, surtout pour les mouvements disposant de peu de sortants et d’élus locaux implantés et connus. Le déficit de notoriété et d’implantation est dévastateur dans des élections législatives qui reposent sur un système par circonscription au scrutin majoritaire à deux tours. En une quarantaine d’années, depuis son émergence à Dreux en 1983, le Front national, rebaptisé en 2018 Rassemblement national, n’a jamais réussi, sauf dans quelques rares exceptions qui, comme en grammaire, confirment la règle, à percer le plafond de verre du scrutin à deux tours. Il est douteux qu’il y arrive beaucoup plus fortement cette fois-ci malgré la politique de dédiabolisation et de normalisation de Marine Le Pen.
    De toute façon, les huit députés FN et apparentés élus en 2017 ont brillé par leur absentéisme, se sont montrés le plus souvent incapables de s’opposer aux projets de loi restreignant les libertés fondamentales ou détruisant l’institution familiale et les vertus traditionnelles.

    Sébastien Chenu, l’un des porte-parole de Marine Le Pen, après avoir été cofondateur de Gay-Lib, a ainsi déclaré que le RN était favorable aux droits des homosexuels, au “mariage” inverti, à la PMA pour les lesbiennes. Et Marine le Pen a avalisé les lois Pleven et Gayssot à maintes reprises, et encore pendant sa campagne présidentielle de 2022. Comme nous l’indiquait en privé un membre lucide et isolé du bureau politique du RN, l’un des très rares à ne pas nous être hostile, de toute façon, quel que soit aujourd’hui le gouvernement, qu’il soit LREM, LR, NUPES ou RN, il persécuterait vraisemblablement de la même manière RIVAROL, maintiendrait en tous points les législations liberticides et mortifères que nous subissons. C’est d’ailleurs cela qui est le plus tragique. Il n’est désormais plus aucune force d’importance significative qui se batte aujourd’hui pour la vérité et la liberté. A nous alors, à notre humble niveau, de nous battre avec foi, ardeur, courage et opiniâtreté, de rester sur le pont avec la grâce de Dieu .