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  • Macron humilie une fois de plus nos armées.

     

    Les nouveaux entrants au gouvernement font parler d’eux et notamment Sébastien Lecornu.

    L’armée est une fois de plus humiliée. Les chefs d’état-major vont être obligés de se mettre au garde-à-vous devant cet homme de 35 ans, qui, n’ayant pas fait de service militaire, n’a jamais vu un fusil de près!

    Politicien dans toute l’acception de ce terme, il est passé de l’UMP et des Républicains à LREM pour obtenir des sous-maroquins dans des ministères n’ayant aucun rapport avec les questions de défense et où il n’a laissé aucune trace de son passage.

    Il va maintenant donner des directives à des chefs militaires qui ont vingt ans de plus que lui, qui ont participé à des opérations extérieures en Europe balkanique, en Afrique et au Moyen-Orient et qui, en sus des compétences propres à leur armée, ont acquis sur le terrain les connaissances géopolitiques et géostratégiques indispensables à la connaissance du monde actuel. Qui, mieux qu’un marin ayant navigué sur les mers du globe, mieux qu’un aviateur ayant survolé l’Europe, la Méditerranée, l’Afrique subsaharienne, mieux qu’un fantassin s’étant immergé dans les populations de ces pays, peut avoir une vision des menaces pesant sur la France et des moyens d’y parer ? Sûrement pas ce politicien récompensé par un portefeuille régalien de sa soumission au pouvoir.

    Les chefs militaires recevront des ordres mettant en jeu la vie et la mort de leurs hommes de la part d’un irresponsable incompétent. Il est criminel d’attribuer ce ministère pour des raisons bassement politiciennes à un personnage qui, gendarme de réserve, a été nommé en 2017, à 31 ans, colonel de gendarmerie de réserve après sa nomination comme secrétaire d’État auprès de Nicolas Hulot.

    Une fois de plus nos armées sont humiliées par Macron .

     

  • Macron II et sa " Borne out " .

     

    Le second quinquennat de Macron a commencé officiellement le samedi 14 mai à zéro heure, même si son intronisation a eu lieu une semaine plus tôt, une cérémonie où il a choisi, comme en 2017, de rendre un vibrant hommage à ses prédécesseurs élyséens. Ce qui n’est guère étonnant puisque l’actuel président constitue la synthèse et le point d’arrivée des chefs d’Etat successifs de la Ve République. Son slogan de la présidentielle de 2022, « Nous tous », fait référence à « la France pour tous » de Jacques Chirac en 1995. Le primat que Macron accorde à l’européisme et à l’économisme fait également de lui le clone de Giscard. Son « en même temps » fait écho à l’ambivalence fondamentale de Mitterrand, maître de l’ambiguïté, et à la duplicité manœuvrière de De Gaulle. Et la première indication que le chef de l’Etat a choisi de donner en nommant le 16 mai au soir à Matignon une femme de gauche, Elisabeth Borne, une technocrate sexagénaire qui fut ministre sans discontinuité pendant les cinq ans de son premier mandat, n’est pas non plus dépourvue de sens et prouve que l’Elyséen inscrit aussi ses pas dans ceux de Jospin et de Hollande que Borne a consciencieusement servis.

    Cette nomination signifie d’abord que le chef de l’Etat a décidé, au moins symboliquement, d’orienter davantage à gauche sa politique. Lors de son premier mandat, il avait choisi des Premiers ministres venus de la droite (ou prétendue telle) : Edouard Philippe (2017-2020), puis Jean Castex (2020-2022). Il a choisi cette fois-ci, ce qui n’était pas forcément évident au départ, une personnalité politique fortement marquée à gauche puisqu’elle est passée par les cabinets de Lionel Jospin à Matignon (1997-2002) et par celui de Ségolène Royal à la Transition écologique (2014-2015), sans oublier un détour par la préfectorale et la mairie de Paris tenue par le Parti socialiste depuis une vingtaine d’années.


    Elisabeth Borne a été de toutes les aventures depuis la gauche plurielle il y a vingt-cinq ans ... sous la présidence de Jacques Chirac, a été directrice de cabinet de Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie sous François Hollande. Avec Gérald Darmanin, Bruno Le Maire et Jean-Yves Le Drian, Elisabeth Borne, âgée aujourd’hui de 61 ans, fait partie des rares ministres qui le sont restés tout au long du quinquennat. Nommée aux Transports en mai 2017, elle est appelée à la rescousse en juillet 2019 pour remplacer au pied levé à la Transition écologique François de Rugy, contraint à la démission. Un an plus tard, elle est propulsée au ministère du Travail à la place de Muriel Pénicaud, un poste qu’elle a occupé jusqu’à sa nomination le 16 mai à Matignon. En matière de nouveauté et de renouvellement, on fait mieux. C’est la deuxième femme à occuper le poste de Premier ministre. Y réussira-t-elle mieux qu’Edith Cresson qui fut Premier ministre de François Mitterrand pendant 10 mois et 18 jours, du 15 mai 1991 au 2 avril 1992, et qui fut d’une rare incompétence, multipliant les boulettes et autres maladresses, n’étant manifestement pas à la hauteur de la fonction ? Ce n’est pas gagné d’avance, même si elle semble avoir plus de métier que la favorite de l’homme à la Francisque.

    Le fait que Macron ait choisi ce profil prouve en tout cas qu’il entend désormais réduire l’influence électorale de la gauche après avoir contribué à affaiblir et diviser les droites (ou ce qui en tient lieu). Cette nomination prouve que, pour lui, les droites ne sont plus un danger électoral, ce qui n’est pas faux actuellement vu leurs divisions extrêmes, leur atomisation suicidaire, et qu’il convient désormais de limiter les performances électorales des partis situés à sa gauche. La personnalité d’Elisabeth Borne est également très significative. C’est une technocrate jugée cassante, inhumaine et n’ayant aucune fibre sociale. Ce qui tendrait à démontrer que, contrairement à ce qui s’est produit de 2017 à 2022, ce n’est plus Marine Le Pen que le président choisit comme première opposante mais la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) de Mélenchon. Lequel a commenté la nomination de Borne en rangeant cette dernière « parmi les figures les plus dures de la maltraitance sociale ». Dans ses différents ministères, Elisabeth Borne a en effet géré plusieurs dossiers sensibles comme la réforme de la SNCF au printemps 2018 ou la réforme de l’assurance-chômage en 2021. Et elle sera chargée de l’épineux dossier de la réforme des retraites, une question très inflammable. Elle n’est pas connue pour son souci du compromis.
    Celle qui fut présidente de la RATP est au contraire considérée comme dure, raide voire brutale, désireuse de tout contrôler. Elle a la réputation d’user ses équipes : « avec elle, une note incomplète ou imprécise expose son auteur à des moments difficiles. Celles ou ceux qui l’ont côtoyée pointent l’ambiance qu’elle a imposée parmi ses troupes. « Elle est très dure, jusqu’à lessiver ses équipes. Très grosse travailleuse, elle s’attend à ce que tout le monde autour d’elle suive le même rythme », estime Gilles Dansart, directeur de la lettre spécialisée dans le transport Mobilettre.

    Dans les couloirs du pouvoir, la nouvelle Première ministre a rapidement gagné un surnom : « Borne out ». L’exaspération a parfois été telle que certains dans l’administration ont envisagé sérieusement d’en référer par écrit au président de la République et au Premier ministre, sans suite finalement. « Ce n’est pas une bisounours dans ses relations de travail, c’est sûr. Mais cela s’est normalisé avec le temps », confie une source proche, tout en anticipant des réunions bilatérales “compliquées” avec celui ou celle qui la remplacera au ministère du Travail. Les syndicalistes se souviennent aussi d’Elisabeth Borne. Au printemps 2018, elle était chargée de mener à bien la réforme de la SNCF. Elle a dû gérer une grève perlée qui finira par s’essouffler. « Elle était intransigeante, restant sans dévier sur la ligne fixée par Matignon. Il n’y avait pas grand-chose à négocier. Et avec les représentants syndicaux, elle est toujours restée distante et froide », se rappelle Roger Dillenseger, ancien secrétaire général de l’Unsa Ferroviaire » note le quotidien économique Les Echos qui lui est pourtant favorable et qui salue sa compétence.

    MACRON, ce qui n’est pas étonnant de sa part, a fait le choix d’une pure technocrate qui appliquera sans état d’âme sa politique qui sera à n’en pas douter d’une très grande dureté sur le plan social et sur celui des négations de libertés.

    Cette nomination prouve que le chef de l’Etat qui ne peut se représenter une nouvelle fois en 2027 a l’intention de conduire une politique bien plus dure et anti-sociale lors de son second quinquennat. Tout laisse à penser que Macron II sera bien pire encore que Macron I. Les classes moyennes peuvent se faire du souci car l’Exécutif va les tondre comme des moutons. Elisabeth Borne doit s’entourer de deux ministres forts, l’un chargé de la « planification énergétique » et l’autre de la « planification écologique territoriale ». Des dossiers que cette polytechnicienne (et ancien préfet de région) est censée connaître parfaitement. Elisabeth Borne a souligné lors de la passation de pouvoir avec Jean Castex le « défi écologique et climatique » sur lequel « il faut agir plus vite et plus fort ». Il s’agit de passer en force.
    On peut craindre le pire : au nom de l’écologie, on ne cesse de multiplier les taxes, de persécuter l’automobiliste, souffre-douleur et vache à lait de l’Etat, de restreindre les libertés. Nul doute qu’un coup d’accélérateur va être donné avec ce nouveau gouvernement. Et cela au détriment du peuple. N’oublions pas que le mouvement des gilets jaunes est né dans la France périphérique à cause des taxes excessives sur les carburants qui rendaient la vie impossible à des millions de provinciaux qui ont besoin de leur voiture au quotidien pour se déplacer. Et l’essence et le diesel sont aujourd’hui beaucoup plus chers qu’à l’époque du déclenchement de ce mouvement populaire à l’automne 2018. Et ces denrées pourraient encore augmenter puisque les mesures de freinage (plus que relatif !) de l’envolée des prix prises par les pouvoirs publics sont provisoires et doivent s’achever le 31 juillet 2022, un mois environ après la fin des élections législatives, comme par hasard !

    Avec la transition et la planification écologiques, on peut compter sur la Macronie et sur ses sbires pour pourrir encore davantage la vie des Français au quotidien, pour les traiter de pollueurs, les inonder de taxes et d’impôts, les obliger à acheter une voiture électrique, à en finir avec leur chaudière au fuel ou au gaz, bref à les brider et à les brimer de toutes les façons dans leur vie de chaque jour, à les opprimer et à les écraser au nom de folies écolo-gauchistes.

    Il faudra résister de toutes nos forces et par tous les moyens possibles à ce rouleau compresseur appauvrissant et asservissant notre peuple, et voulant lui voler ses biens, sa terre et son âme.  « A bas les voleurs » criaient les manifestants le 6 février 1934. Ce slogan reste d’actualité dans toute son ampleur. Car ceux qui nous dirigent et nous oppriment ne sont pas seulement corrompus, ces propagandistes de l’euthanasie et de l’infanticide de masse veulent nous déposséder, nous voler ce qui nous est le plus cher, nous ôter jusqu’à notre raison de vivre, d’aimer et de lutter, nous prendre nos biens et assassiner notre âme. Il faut leur faire face de toutes nos forces, avec toute notre énergie et toute notre foi.

     

  • Les barbus ne veulent plus de Merluchon !

    Merluchon alias Jean-Luc Mélenchon a construit une grande partie de sa stratégie électorale pour l’élection présidentielle sur la séduction des quartiers abusivement appelés « populaires », qui sont en réalité les cités de l’immigration. Et pour capter cet électorat des français de papier et des musulmans de France, il n’a pas épargné ses efforts : éloge passionné de la « créolisation » de la société, promotion du droit du sol intégral, défense du voile islamique, attaques contre la police toujours suspecte de « racisme », et promesse de revenir sur la pourtant bien timide loi macronienne « contre le séparatisme ».

    Indiscutablement, ses exercices de danse du ventre ont porté leurs fruits puisque le candidat de l’extrême gauche est arrivé en tête des suffrages dans nombre de ces zones que certains appellent « les territoires perdus de la République ». Pas perdus pour tout le monde en l’occurrence. En fin de compte, 69 % des électeurs musulmans ont voté pour le chef de file des « insoumis » au premier tour de la présidentielle 2022. Avec de tels résultats, l’insoumis en chef pouvait penser avoir remporté la timbale, devenant le « leader » incontesté de la « nouvelle France » multiethnique et islamisée. Las, c’était faire preuve de beaucoup d’optimisme et d’une totale cécité face aux mouvements profonds qui travaillent l’Hexagone.

    Car malgré toute sa bonne volonté, Merluchon reste un homme blanc, athée et bourgeois, bref un vestige de la « France d’avant » qu’il a certes totalement trahie mais dont il reste le pur produit. Or ce profil ne convient pas du tout à une part grandissante de la population issue de l’immigration qui n’entend plus déléguer le pouvoir à des « babtous », fussent-ils serviles, mais bien prendre elle-même en main la défense de ses intérêts et la promotion de ses objectifs communautaires. C’est ainsi que l’Union des démocrates musulmans de France, un parti communautaire islamique, a annoncé avoir investi une centaine de candidats pour les élections législatives de juin prochain. Des candidats qui se trouveront donc en concurrence directe avec ceux de « l’union de la gauche » menée par Mélenchon.

    Créée en 2012 par Nagib Azergui, un ingénieur en télécommunication, l’UDMF avait seulement présenté une dizaine de candidats aux élections législatives de 2017. Cinq ans plus tard, le mouvement en annonce une centaine, principalement concentrés dans les bastions du vote communautaire musulman (48 candidats en Ile-de-France, 16 en Auvergne-Rhône-Alpes).

    Cette croissance exponentielle est une démonstration irréfutable du développement du communautarisme musulman dans notre pays, d’autant que l’UDMF est ouvertement islamiste comme le montre son tract de campagne où est représentée une femme voilée. Le parti est d’ailleurs régulièrement pointé du doigt comme étant une émanation de la confrérie des Frères musulmans, mouvement par ailleurs interdit dans nombre de pays musulmans comme l’Egypte et la Syrie.

    Le petit timonier Mélenchon sera-t-il à son tour « grand remplacé » par ceux-là mêmes qu’il a tant flattés et cajolés ? C’est un scénario, énième version de l’arroseur arrosé, qui apparaît fortement probable et dont on pourrait sourire s’il n’était pas, malgré tout, un nouveau et inquiétant symptôme de la profonde transformation ethnico-culturelle de notre nation !!