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  • Tandis que les banlieues s’embrasent sous l’œil bienveillant de Castaner, des Français inoffensifs sont verbalisés à tour de bras !

     

    Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.

    Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine. 

     

     

     

    Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.

    Mais pour le ministre de l’Intérieur venu des sombres salles de jeu, Castaner, « ces tensions ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnelle (…)

    Les causes sont nombreuses, notamment le confinement (…) ». Il faut dire que le gouvernement, via les media aux ordres, minimise largement ces faits, avant tout parce que l’État a depuis longtemps abandonné ces quartiers non pas populaires mais d’immigration aux trafics de drogue et aux caïds.

    Par contre, si l’État excuse toutes ces violences en banlieue, non pas quartiers populaires mais d’immigration, il prend sa revanche sur les vrais Français populaires, tous des Gilets Jaunes en puissance qu’il faut mater, et envoie manu-militari sa police sanctionner sans trêve les honnêtes citoyens du monde rural ou les confinés des villes normales. Ainsi une petite vieille, pas riche du tout, a été verbalisée pour avoir été se promener sur un quai d’une petite ville de Bretagne. Et un cavalier parti se promener avec son cheval s’est pris une amende sur un sentier de terre, les gendarmes du petit despote Macron ne pouvant concevoir le cheval comme un honnête moyen de déplacement pour sortir en confinement. 

  • Églises fermées jusqu’en juin mais ramadan permis entre voisins !

     

    Emmanuel Macron a annoncé, après ses entretiens d’hier avec le pape François et les responsables des cultes en France, que les églises ne rouvriront pas avant juin, ce qui signifie que les catholiques seront encore privés de messes pendant des semaines. Comme ils en sont privés depuis plus d’un mois de confinement. Et aucune exception n’a été tolérée pour les fêtes de Pâques.

    Parallèlement à cette annonce, le préfet de police de Marseille,  Emmanuel Barbe, par une déclaration candide à  Radio Gazelle, la radio communautaire musulmane, donne latitude aux musulmans de se retrouver malgré le confinement entre voisins pour la rupture, chaque soir, du jeûne du ramadan qui doit débuter cette année le 24 avril et durer jusqu’au 23 mai :

    « Certes, a-t-il expliqué, nous ne pourrons pas éviter que les gens se rendent visite les uns les autres dans une même barre d’immeubles. Mais, là, il s’agit d’une question de responsabilité individuelle. Il me semble que la période du ramadan permet encore plus que d’habitude de veiller les uns sur les autres. En revanche, les soirées festives » hors les murs, « comme il y en a tous les ans à cette période, seront interdites ».

    Deux poids, deux mesures, que vous soyez un honnête catholique ou un frauduleux musulman, tel est la morale de l’histoire ! Et c’est le frauduleux qui obtient gain de cause. La soumission aux mahométans, certainement par peur des déchaînements et des actes de guérilla en banlieues, est le mot d’ordre qui définit le mieux la lâche et injuste attitude des autorités politiques, administratives et civiles de la République maçonnique française.

  • Les autorités profitent du confinement pour accélérer le Grand Remplacement .

     

    On nous avait dit et répété à satiété qu’il faut « rester chez soi » pendant le confinement pour « sauver des vies », qu’il en va de la santé de tous, de l’humanité tout entière. Pour donner du poids à ce mot d’ordre salvateur, on pénalise et verbalise la petite vieille qui va faire un coucou à la fenêtre de son mari en maison de retraite, l’homme à cheval, l’acheteuse de coca… On nous avait dit que les administrations allaient tourner au ralenti, que les cabinets médicaux, les petites entreprises devaient fermer, que les opérations allaient être reportées, parce que il faut que le plus de personnes possibles restent chez soi, pour « sauver des vies », celle du voisin, de l’autre, de l’étranger et la sienne par extension.

     Il est une population qui ne doit pas subir pas le confinement de la même manière que les Français, qui voient leurs démarches administratives ou opération retardée, leurs chantiers annulés, ce sont les demandeurs d’asile, c’est-à-dire les clandestins arrivés illégalement chez nous, sans carnet de santé ni motif valable !

    Le tribunal administratif de Paris vient ainsi d’ordonner, mardi dernier, la reprise de l’enregistrement des demandes d’asile dans toutes les préfectures d’Île-de-France. Un flux de plusieurs centaines de dossiers par mois, avant la crise du Covid-19. Le préfet de police de Paris, les préfets de Seine-Saint-Denis, des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne, de l’Essonne, des Yvelines, du Val-d’Oise et de la Seine-et-Marne ont cinq jours pour la rétablir.

    Le tribunal ordonne aussi que l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) rouvre «sans délai» la plateforme téléphonique qui permet de prendre rendez-vous pour faire sa demande. Les magistrats avaient été saisis en référé, le 15 avril, par un collectif de demandeurs d’asile et d’associations, dont la Ligue des droits de l’Homme et Forum Réfugiés-Cosi, association qui gère des centres d’hébergement pour demandeurs d’asile.