Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.
Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine.
Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.
Mais pour le ministre de l’Intérieur venu des sombres salles de jeu, Castaner, « ces tensions ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnelle (…)
Les causes sont nombreuses, notamment le confinement (…) ». Il faut dire que le gouvernement, via les media aux ordres, minimise largement ces faits, avant tout parce que l’État a depuis longtemps abandonné ces quartiers non pas populaires mais d’immigration aux trafics de drogue et aux caïds.
Par contre, si l’État excuse toutes ces violences en banlieue, non pas quartiers populaires mais d’immigration, il prend sa revanche sur les vrais Français populaires, tous des Gilets Jaunes en puissance qu’il faut mater, et envoie manu-militari sa police sanctionner sans trêve les honnêtes citoyens du monde rural ou les confinés des villes normales. Ainsi une petite vieille, pas riche du tout, a été verbalisée pour avoir été se promener sur un quai d’une petite ville de Bretagne. Et un cavalier parti se promener avec son cheval s’est pris une amende sur un sentier de terre, les gendarmes du petit despote Macron ne pouvant concevoir le cheval comme un honnête moyen de déplacement pour sortir en confinement.
Nos anciens méritent-ils ce traitement? pauvre dame
Églises fermées jusqu’en juin mais ramadan permis entre voisins !
Les autorités profitent du confinement pour accélérer le Grand Remplacement .
On nous avait dit et répété à satiété qu’il faut « rester chez soi » pendant le confinement pour « sauver des vies », qu’il en va de la santé de tous, de l’humanité tout entière. Pour donner du poids à ce mot d’ordre salvateur, on pénalise et verbalise la petite vieille qui va faire un coucou à la fenêtre de son mari en maison de retraite, l’homme à cheval, l’acheteuse de coca… On nous avait dit que les administrations allaient tourner au ralenti, que les cabinets médicaux, les petites entreprises devaient fermer, que les opérations allaient être reportées, parce que il faut que le plus de personnes possibles restent chez soi, pour « sauver des vies », celle du voisin, de l’autre, de l’étranger et la sienne par extension.
Il est une population qui ne doit pas subir pas le confinement de la même manière que les Français, qui voient leurs démarches administratives ou opération retardée, leurs chantiers annulés, ce sont les demandeurs d’asile, c’est-à-dire les clandestins arrivés illégalement chez nous, sans carnet de santé ni motif valable !
Le tribunal administratif de Paris vient ainsi d’ordonner, mardi dernier, la reprise de l’enregistrement des demandes d’asile dans toutes les préfectures d’Île-de-France. Un flux de plusieurs centaines de dossiers par mois, avant la crise du Covid-19. Le préfet de police de Paris, les préfets de Seine-Saint-Denis, des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne, de l’Essonne, des Yvelines, du Val-d’Oise et de la Seine-et-Marne ont cinq jours pour la rétablir.
Le tribunal ordonne aussi que l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) rouvre «sans délai» la plateforme téléphonique qui permet de prendre rendez-vous pour faire sa demande. Les magistrats avaient été saisis en référé, le 15 avril, par un collectif de demandeurs d’asile et d’associations, dont la Ligue des droits de l’Homme et Forum Réfugiés-Cosi, association qui gère des centres d’hébergement pour demandeurs d’asile.