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  • Le scénario apocalyptique du G7 Santé : un milliard de réfugiés climatiques d’ici 2050 .

     

    Un milliard de « réfugiés climatiques » d’ici 2050 : ce n’est pas un scénario apocalyptique digne des meilleurs films catastrophes hollywoodiens, c’est le prognostique établi par le G7 des ministres de la Santé qui se tient actuellement à Milan en se basant sur le rapport Lancet Countdown et d’autres documents comme celui de l’ONG Oxfam International. La thèse que ces organismes soutiennent serait que cette migration climatique est déjà en acte et ne peut cesser, réchauffement climatique oblige : entre janvier et septembre de cette année, environ 15 millions de personnes, dont 14 millions de pauvres, ont du fuir leurs maisons pour se mettre à l’abri d’un événement météorologique extrême, estiment-ils.

    Le réchauffement climatique ne serait-il pas alors la bonne excuse pour imposer aux peuples occidentaux des migrations de masses si ces changements de climat ne sont pas freinés ? C’est l’analyse d’un journaliste italien, Paolo Mauri, paru sur le quotidien Il Giornale qui a décortiqué les implications des politiques internationales qui depuis des années essayent de « mettre un terme, mais le peuvent-elles, à ces changements climatiques ».

    L’auteur fait en premier la distinction entre météo et climat :

    « La météo n’est pas le climat. Des événements météorologiques extrêmes ont toujours existé dans les anales de l’histoire humaine même avant que l’on ne commence à mesurer les températures et les précipitations systématiquement. »

    Pour appuyer ses dires il cite le prestigieux Centre Météo de Lombardie qui, il y a quelques mois, face à l’émotion créée de toutes pièces par les médias en relation avec les orages dévastateurs qui frappèrent le nord de l’Italie, précisa que

    « il existe des tests historiques qui documentent – avec les dates et la localisation – les événements météorologiques les plus sévères des siècles passés, certains remontant à l’époque romaine. Jusqu’il y a quelques décennies, la mort et la destruction sur une grande échelle étaient des conditions nécessaires pour que le souvenir en soit transmis à la postérité. Ce qui veut dire qu’un quartier inondé ou un alpage effondré, peut-être avec la perte de bêtes et quelques bergers, étaient des épisodes qui n’arrivaient même pas à la chronique locale ».

    En donnant une large visibilité à ces phénomènes météorologiques, les médias favorisent une perception catastrophique d’événements pourtant pas si nouveaux que ça souligne le journaliste italien.

    Il rappelle ensuite que

    « le NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), fameux institut américain qui travaille sur le climat et les océans, a conclu dernièrement que le nombre de tornades violentes qui ont frappé les États-Unis depuis l’après-guerre à aujourd’hui est en déclin. Quant à la World Meteorological Organization (WMO) dans un récent document de l’Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), “Managing the risks of extreme events and disasters to advance climate change adaptation. Summary for policymakers, a admis qu’il y a une relative faiblesse et peu d’évidences sur l’échelle mondiale en ce qui concerne les statistiques à long terme qui montrent des augmentations d’intensité ou de fréquence des événements extrêmes. »

    « Que signifie tout ceci ? »  se demande le journaliste : 

    « Qu’est-ce qui a changé ? Étant bien entendu que le déplacement de populations est une réalité, et considérant que l’écrasante majorité vient de pays sous-développés ou tout au moins avec des économies arriérées, ce modèle de migrations climatiques prend un peu « l’eau » – pardonnez le jeu de mots – de toutes parts. Si l’on peut donner pour certain qu’une sécheresse soudaine forcera la population à se déplacer des campagnes aux villes – donc une migration interne – comme cela est advenu en Syrie, la raison pour laquelle un orage ou une tempête devrait forcer des millions, voire des centaines de millions, de personnes à migrer d’un État à un autre en ayant comme but l’Europe est bien moins évidente. L’Italie est un pays avec un fort risque hydrologique et l’a toujours été, cependant l’émigration de milliers d’Italiens vers les Amériques ou vers l’Europe du Nord n’a jamais été motivée par les événements météorologiques extrêmes – que nous avons démontré être une constante dans l’histoire – mais bien par des facteurs économiques ; en outre les différents rapports démontrent comment ces motivations prétendument « climatiques » concernent presque exclusivement le continent africain, avec quelques exceptions fournies par l’Asie (Bangladesh, Népal) et par l’Océanie (Fiji). » 

    Paolo Mauri ironise alors :

    « Peut-être que l’Europe et les Amériques sont épargnées par les changements climatiques ? Ce n’est peut-être pas vrai que cyclones et tempêtes tropicales dévastent avec la même intensité le Golfe du Mexique et les Caraïbes ? »

    « Quel est donc le vrai facteur qui sous-tend ces vagues migratoires ? » interroge le journaliste.

    « Encore une fois, cela s’avère être la recherche d’un style de vie meilleur. Certes, un éboulement ou un orage peuvent donner l’impulsion à ce qu’une personne puisse prendre définitivement la décision d’abandonner sa propre terre […]. Mais encore une fois, le changement climatique peut être une cause concomitante, non la cause principale. »

    Pour mieux expliquer son propos, Paolo Mauri livre un rappel opportun sur le climat terrestre :

    « Notre planète est sortie lentement de ce qu’on a appelé « le Petit Âge glaciaire » qui a duré entre 1300 et 1800 : les dernières implantations de Vikings au Groenland avant l’arrivée des glaces sont datées de 1406 et en 1469 la production de vin en Angleterre cesse, symptôme du refroidissement terrestre. Petite ère glaciaire qui suivit une période très chaude pour la terre commencée en 900. En somme, cycliquement le climat terrestre se modifie, alternant périodes chaudes à froides avec des pics de chaleur ou de gel qui peuvent être très longues à l’échelle de temps humaine. »

    « La recherche scientifique nous dit que l’augmentation des gaz à effet de serre […] augmente la température moyenne de la planète et que cette augmentation de CO2 a une empreinte humaine bien précise parce que le carbone qui le compose est de nature fossile. Cela est-il suffisant pour dire que l’homme est en train de changer le climat de la terre ? Peut-être, mais cela ne nous intéresse pas »

    précise le journaliste.

    « Ce qui nous intéresse c’est que la politique internationale du G7 milanais parle de migrations apocalyptiques et cherche à mettre un frein à ce phénomène en proposant une drastique réduction des émissions et un projet de « développement durable » pour les pays les plus arrièrés et pour ceux qui sont en train de devenir des puissances économiques mondiales. Il y a seulement un problème. « Développement durable » est un oxymore ; s’il y a un vrai développement il ne peut y avoir durabilité et vice-et-versa. Le PIB de la Chine avec toutes ses problématiques de nature environnementale (ou de l’Inde) est là à nous le démontrer. »

    En conclusion, tant que le réchauffement climatique anthropique persistera dans « l’imaginaire collectif  de l’homme du troisième millénaire », les  solutions proposées par le G7 Santé, et autres rendez-vous internationaux, pour y mettre un terme étant des leurres, les phénoménales migrations d’aujourd’hui ont encore de beaux jours devant elles…

    Le "Grand Remplacement" est en marche avec la bénédiction des judéo-maçons …

     

  • Afrique du Sud : rumeur de génocide des blancs pour fin novembre .

     

    D’après le compte tweeter sud-africain Stop white génocide, des militaires blancs ont signalé à leurs frères de sang que le chef d’Etat du régime racialiste en place à Pretoria a décidé de lancer une offensive armée du groupuscule raciste EFF contre les manifestants blancs pacifiques qui ont l’intention de manifester les 24 et 25 novembre prochain dans tout le pays. Les supérieurs ont annoncé aux soldats qu’ils avaient ordre de ne pas intervenir et de laisser les Blancs se faire massacrer par les milices auxiliaires du régime ANC et de son président Zuma. « Il n’y aura aucune protection pour les Blancs » précise l’informateur. Une femme a d’ailleurs témoigné, photo à l’appui qu’une tentative d’incendie de la maison de ses parents avait été commis et revendiqué par l’EFF.

    Cela n’est pas sans rappeler le triste jour du 5 juillet 1962 où 5.000 Européens ont été massacrés par le régime ethno-socialiste du FLN, l’immonde général Joseph Katz (par ailleurs marié ultérieurement à une fellagha de plus de 40 ans sa cadette) ayant donné ordre au 19e Corps de ne pas bouger, gagnant le surnom de « boucher d’Oran » et poussant l’ignominie jusqu’à faire mettre aux arrêts le lieutenant Rabah Klélif, du 30e bataillon de chasseurs portés, qui – désobéissant aux ordres – sauva du massacre des centaines de femmes, enfants et vieillards européens qui allaient se faire exterminer. Katz lui lancera : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ». Par vengeance, le régime gaulliste le bloqua au grade de capitaine.

    La dérive raciste du régime mandeliste refroidit même ses plus ardents collabos. Ainsi, le communiste Ronald « Ronnie » Kasrils, juif letton qui comme la plupart de ses coreligionnaires – qui ont œuvrer pour la spoliation des Afrikaners d’abord de leur liberté et de leurs richesses minières (Guerre des Boers), puis du pays qu’ils avaient bâti – a soutenu le régime antiblanc, vient de lâcher définitivement Zuma, qu’il a qualifié de « dangereux, trompeur et traître à son pays ». L’un de ses proches, le journaliste Jacques Pauw, a reçu des menaces de mort le 6 novembre. Quand un régime raciste commence à s’en prendre à ses idiots utiles, le génocide n’est pas loin. L’Afrique du Sud a été longtemps le plus gros producteur mondial d’or, contrôlant jusqu’à la moitié de la production mondiale, et ce jusqu’en 2006. Année après année, l’ Afrique du Sud dégringole au classement, au point de n’être en 2014 que la 6e productrice mondiale avec seulement 5 %, loin derrière la Chine, l’Australie, la Russie, les Etats-Unis et le Canada. Les mines étant épuisés, les vautours changent de nids.

    Depuis le dernier article, le nombre de Blancs massacrés augmentent : entre le 5 et le 10 novembre, sont décédés : M. Jan Hough, 64 ans, de Kakamas ; M. Bobby van Zyl, de Krugersdrop ; une jeune fille de 15 ans dont l’identité n’a pas été encore communiquée à Driefontein ; un clochard Blanc de 45 découvert mort, le bras arraché, près de la Klein Olifants River ; M. André Saaiman et son épouse Lidia, âgés respectivement de 65 et 69 ans, ont été assassinés à coups de hache à Port-Elizabeth.

    Comme pour confirmer l’avenir sombre pour les Afrikaners, chassés du pays qu’ils ont créé et bâtis par des gens qui pour beaucoup n’en sont pas originaires (en 1965, 14 % des Noirs d’Afrique du Sud étaient originaires du Kenya et de Tanzanie), celle qui est présumée succéder à Zuma, son ex-épouse Nkosazana Dlamini Zuma, communiste et raciste fanatique, a déclaré son intention en cas d’accession au pouvoir de spolier les Blancs des fruits de leur travail, comme me fit Mugabe au Zimbabwe avec le succès que l’on sait.

    Si les Sud-Africains Noirs ne veulent plus de leurs Blancs, la France pourrait les acceuillir !. Après tout, nombres de Boers ont des noms français (Rousseau, Du Toit, de Villiers), puisque descendants des Huguenots chassés par Louis XIV.  On pourrait même les échanger contre les 7 millions de Noirs vivants en France métropolitaines,se plaignant constamment du « racisme » et qui de plus veulent "niquer" la France.

     

  • La LICRA et la franc-maçonnerie veulent contrôler encore plus la gueuse !

     

     

    A l’initiative d’un Collectif laïque, la LICRA, les différentes obédiences maçonniques et quelques-unes de leurs organisations satellites viennent de publier un communiqué intitulé Réintroduction des religions dans le champ politique qui, en substance, prétend s’alarmer d’une prétendue influence « informelle » des religions sur la vie et les institutions politiques.

    Et ce communiqué de conclure :

    Les seuls représentants sont les élus du peuple issus du suffrage universel.

    Sous le communiqué, la liste des signataires :
    Grand Orient de France, Fédération Française du Droit Humain,
    Grande Loge Mixte Universelle, Grande Loge Mixte de France,
    Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité, Union des Familles Laïques (U.F.A.L), EGALE, Laïcité Liberté, Fédération Nationale des Délégués Départementaux de l’Education Nationale (D.D.E.N),
    AWSA – France, Association Européenne de la Pensée Libre (A.E.P.L) Ile-de-France, Libres MarianneS, C.A.E.D.E.L. – Mouvement Europe et Laïcité, Regards de Femmes, Femmes Contre les Intégrismes, Ligue du Droit International des Femmes, Conseil National des Associations Familiales Laïques (C.N.A.F.A.L), Le Chevalier De La Barre, Observatoire de la Laïcité de Provence (O.L.P.A), l’Observatoire de la Laïcité de Saint Denis (O.L.S.D), Observatoire de la Laïcité du Val d’Oise – Forces Laïques, Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (L.I.C.R.A.), Association des libres penseurs de France (A.D.L.P.F),
    Comité 1905 Auvergne-Rhône-Alpes, Comité 1905 de Draguignan, Comité 1905 de l’Ain, Viv(r)e la République, Comité Laïcité République.

    Autant de sociétés secrètes et de lobbies qui considèrent visiblement que l’influence de la vie et des institutions politiques doit être leur chasse gardée ! ...

    Pour mémoire, quelques photos significatives à ce sujet, parmi tant d’autres.

    Renouvellement de partenariat entre le ministre socialiste de l’Education nationale et la LICRA
    Convention entre le ministre UMP de l’Education nationale et la LICRA