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  • Aider Emmaüs, c’est aider l’immigration ...

     

     

    L’association Emmaüs France, soutenue entre autres par Edwy Plenel et La ligue des Droits de l’Homme, et désormais présidée par Thierry Kuhn, concentre de plus en plus ses moyens à l’aide aux migrants et autres sans-papiers, c’est-à-dire aux immigrés illégaux arrivant massivement sur notre territoire !

    Dans sa communication officielle, Emmaüs dit vouloir « porter des alternatives pour démontrer que la libre circulation est et sera bénéfique pour les sociétés et les populations en termes de richesses économiques et culturelles » et revendique un « changement radical de politiques migratoires, […] pour que sur terre aucun être humain ne soit illégal. ».

     

     

    Afin de poursuivre sa « campagne de mobilisation citoyenne pour la liberté de circulation » des immigrés, l’association fondée par l’abbé Pierre vient de réaliser un spot réunissant quelques figures de la bien-pensance show-business dont aucun n’a pourtant choisi de partager son domicile avec ces charmants immigrés.

     

  • La Hongrie demande à l’UE de payer une partie des frais de sa clôture anti-migrants ! ...

     

     

    La demande n’a pas du vraiment plaire aux technocrates de Bruxelles. Peut-être ont-ils même cru à une blague ! Viktor Orban n’a pas hésité en effet à leur envoyer la facture de la mise en place de la clôture anti-migrants. Il estime que les mesures de protection des frontières pour empêcher l’arrivée de migrants prises par la Hongrie doivent en partie être fiancées par l’Union Européenne. Que celle-ci soit ou non d’accord avec la politique immigrationniste restrictive décidée par la Hongrie.

    Viktor Orban, président hongrois, a écrit au président de la Commission Jean-Claude Juncker pour lui faire part de sa demande de remboursement concernant « ces coûts exceptionnels ».

    La Hongrie réclame donc 400 millions d’euros pour la construction en 2015 de cette clôture réalisée pour un montant global de 800 millions, la protection des frontières étant pour le directeur de cabinet du Premier ministre hongrois, Janos Lazar, une question de « solidarité européenne » dont l’UE doit faire «la démonstration concrète». «Bruxelles devrait payer sa part», comme l’UE l’a fait avec l’Italie, la Grèce et la Bulgarie.

    Un porte-parole de l’exécutif bruxellois a répondu qu’il n’était pas question de payer pour la Commission Européenne qui en revanche se dit prête « à fournir l’assistance appropriée, si la situation le requiert, pour soutenir la gestion des frontières extérieures de l’UE dans le respect du droit européen ». En contre-partie de ce soutien, le même porte-parole a insisté sur le fait que la Hongrie devra se soumettre aux injonctions bruxelloises : « nous ne devons pas oublier que la solidarité est une voie à deux sens », « ce n’est pas un plat à la carte ». Budapest en effet n’accepte pas les diktats européens concernant les clandestins et la répartition de ces derniers sur son territoire. Le gouvernement de Orban refuse ce plan bruxellois dit « de relocalisation » qui prévoit des quotas d’accueil obligatoires pour les pays membres de l’UE de ces mêmes immigrés clandestins que la Hongrie a empêché d’arriver chez elle par sa clôture anti-migrants !

     

     

  • Landivisiau (Finistère) : 90 migrants clandestins bientôt installés dans des logements sociaux !

     

     
     

    Cité Marine, Landivizio

    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (01/09/2017) Nouvelle étape dans le processus de remplacement de la population bretonne voulu par l’État Français, la commune de Landivizio (Landivisiau), près de Brest, va bientôt se voir imposer 90 colons afro-musulmans sur ordre du gouvernement central.

    Le Télégramme (source) :

    Quatre-vingt-dix étrangers vont être accueillis, dans les semaines à venir, à Landivisiau, dans le cadre du programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile. Cette opération est cogérée par l’Office français de l’immigration et de l’intégration et la société Adoma, filiale de Société nationale immobilière (SNI). Si Landivisiau, ville de 9.000 habitants, a été choisie, c’est parce que le bailleur social y dispose de nombreux logements dans la « Cité marine ». « Les demandeurs d’asile vont être installés dans 21 appartements vacants. Les premiers doivent arriver dans les tout prochains jours », a indiqué, hier soir, le sous-préfet de Morlaix, Gilles Quénéhervé.

    La colonisation de peuplement afro-islamique s’intensifie et le gouvernement français veille à la systématiser sur tout le territoire breton.

    La maire, Laurence Claisse (divers droite), affirme avoir été placée devant « le fait accompli » par l’État Français qui cherche à empêcher toute mobilisation populaire contre cette politique de remplacement racial :

    On ne connaît, pour le moment, pas le pays d’origine de ces personnes ni d’où elles vont arriver. Le groupe serait composé de 22 personnes seules et de familles. « 44 personnes vont arriver dans le courant de la semaine prochaine et les autres au mois d’octobre », a indiqué, hier soir, Laurence Claisse, la maire de la ville, qui regrette d’avoir été mise « devant le fait accompli ».

    Et :

    En effet, ce sont les services municipaux, contactés pour des renseignements sur la scolarité et la banque alimentaire, qui ont alerté la maire, mercredi. « J’ai immédiatement appelé la préfecture, qui m’a confirmé cette arrivée », a-t-elle expliqué hier soir. « Ne pas prévenir la mairie d’un tel projet, ce n’est pas normal. Je ne suis pas préparée à m’occuper de 90 étrangers alors que la ville se remet à peine de la fermeture de l’abattoir Gad.»

    Pour rappel, les habitants de cette commune de 9,000 habitants ont massivement voté pour le candidat de centre-gauche Emmanuel Macron lors des dernières élections présidentielles hexagonales, avec près de 75% des suffrages au premier tour (source). Ce dernier s’était illustré en décrivant les ouvriers de Gad « d’illettrés » (source).

    Emmanuel Macron s’est engagé à intensifier le transfert des migrants clandestins afro-musulmans vers l’Hexagone. Il tient donc les promesses pour lesquelles les habitants de Landivizio l’ont élu ...