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La franc-maçonnerie, c'est la contre Eglise, une société secrète et la synagogue de satan .

Commençons d’abord par définir la franc-maçonnerie de

manière succincte, dans ses fondamentaux, ses grandes

lignes.

Depuis sa création, ses défenseurs et adeptes aiment la

présenter de manière élogieuse, sous un visage respectable. Selon

le discours officiel maçonnique, la franc-maçonnerie serait un

club philosophique, une société de bienfaisance philanthropique

et apolitique qui se prétend tolérante et charitable. Cette

imposture dure depuis maintenant trois siècles. Ce ne sont

pourtant pas les détracteurs de la secte qui ont manqué durant

tout ce temps, ni les aveux de ses membres qui allèrent à

contresens de cette prétendue charité. Une charité qui est à

l’évidence chrétienne et non maçonnique.

La secte n’a jamais accompli ce qu’elle prétend faire. La francmaçonnerie

a-t-elle accueilli en son sein des pauvres, des gens en

détresse, en difficulté sociale ? Aucunement. Elle les exclut de ses

rangs. Consacre-t-elle une partie de son budget à ces personnes

dans le besoin ? Elle qui prétend être philanthropique, altruiste et

humaniste.

 

Qu’est-ce que la franc-maçonnerie ? En quoi consiste-t-elle ?

Au XIXe siècle, le franc-maçon illuministe Louis Blanc la

présenta dans sa globalité. Il s’agit, selon lui, d’« une association

composée d’hommes de tous pays, de toute religion, de tout rang,

liés entre eux par des conventions symboliques, engagés sous la

foi du serment à garder d’une manière inviolable le secret de leur

existence intérieure, soumis à des épreuves lugubres, s’occupant

de fantastiques cérémonies, mais pratiquant d’ailleurs la

bienfaisance et se tenant pour égaux quoique répartis en trois

classes, apprentis, compagnons et maîtres : c’est en cela que

consiste la franc-maçonnerie. »1 D’après ses statuts, « la franc-maçonnerie,

institution essentiellement philanthropique,

philosophique et progressive, a pour objet la recherche de la

vérité, l’étude de la morale et la pratique de la solidarité, elle

travaille à l’amélioration matérielle et morale, au perfectionnement

intellectuel et social de l’humanité. Elle a pour principe la

tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi-même et la

liberté de conscience. (…) Elle a pour devise : Liberté, Égalité,

Fraternité... La franc-maçonnerie a pour devoir d’étendre à tous les

membres de l’humanité les liens fraternels qui unissent les francs-maçons

sur toute la surface du globe. (…) Le franc-maçon a pour

devoir, en toute circonstance, d’aider, d’éclairer, de protéger son

frère même au péril de sa vie et de le défendre contre l’injustice. »

Ceci est la devanture de la secte maçonnique... Sa définition

officielle et séduisante pour tromper le grand public.

Dans un esprit semblable, le haut initié Ragon présenta la

franc-maçonnerie telle qu’elle prétend être. Il délivra une sorte de

définition politiquement correcte volontiers reprise par les médias

de masse : « La franc-maçonnerie est une association universelle,

soumise aux lois de chaque pays. Elle est, dans chaque État

comme dans chaque loge, une société intime d’hommes de choix,

dont la doctrine a pour base l’amour de Dieu, sous le nom de

Grand Architecte de l’Univers, et l’amour des hommes ; pour

règle, la religion naturelle et la morale universelle. Elle a pour

cause la vérité, la lumière, la liberté ; pour principe, l’égalité, la

fraternité, la bienfaisance ; la persuasion et le bon exemple ; pour

fruit, la vertu, la sociabilité, le progrès ; le perfectionnement et le

bonheur de l’humanité, qu’elle tend à réunir sous une seule

1 Histoire de la Révolution française de Louis Blanc, 1847.

 

bannière. Elle a son centre et son empire où est le genre humain ;

elle n’est point une société secrète, mais une société qui a un

secret. »1

Cette définition contient, à l’évidence, de nombreux

mensonges au regard de ce qu’est réellement la franc-maçonnerie,

de ce qu’elle a accompli depuis trois siècles. Trois cents ans

d’imposture puisque la secte continue, malgré son lourd passif, à

se faire passer pour ce qu’elle n’est pas ; la propagande

médiatique rejoignant, encore aujourd’hui, la description

déformée de Jean-Marie Ragon.

Les francs-maçons parlent en effet de vertus alors que leur

ésotérisme en est très éloigné ; de vérité alors que la libre pensée

en est la négation ; de patrie alors que leur seule patrie est la

république, autrement dit l’anti-France, le parti de l’étranger ; de

progrès humain et de fraternité alors que l’humanité n’a jamais

connu autant d’injustices et de conflits que depuis qu’elle est aux

affaires. Et l’on pourrait continuer ainsi sur les termes employés

par la secte qui sont souvent vides de sens et contredits par les

faits.

Si l’on devait définir la franc-maçonnerie en un mot, ce serait

la contre-Église. En deux mots : une société secrète. Et en trois :

la Synagogue de Satan.

La franc-maçonnerie est incontestablement la contre-Église, et non

« l’Église du progrès humain »,2 comme osa écrire Oswald Wirth.

Par son état d’esprit intrinsèquement antichrétien et les faux

principes qu’elle ne cesse de diffuser.

 

Elle est aussi un contre-État, par son rôle politique majeur à la

tête des nations, sur le plan temporel et spirituel. Elle est hostile à

la vraie morale auquel elle oppose sa propre morale laïque et

révolutionnaire. Contrairement au catholicisme qui est un

1 Rituel de l’apprenti maçon de Jean-Marie Ragon, 1860.

2 L’idéal initiatique d’Oswald Wirth, éditions Le symbolisme, 1927.

 

exotérisme (enseignement commun professé publiquement et

accessible à tous), la franc-maçonnerie est ésotérique. Du mot

grec « esoteros » qui signifie « intérieur ». L’ésotérisme est une

doctrine secrète réservée uniquement aux initiés. Ainsi, à

l’exotérisme de l’Église catholique s’oppose donc l’ésotérisme des

loges maçonniques. C’est un point commun important entre

toutes les sectes antichrétiennes. Une constante dans les sociétés

secrètes : l’enseignement est réservé aux seuls initiés en fonction

de leur grade.

 

Autre notion importante : l’occultisme et sa conception

mystique de Dieu, du bien et du mal, qui précéda la création

officielle de la franc-maçonnerie. L’occultisme et sa considération

de l’humain en trois parties : le corps physique, astral et l’esprit.

L’occultisme et son « rayonnement invisible » de l’humain, ses

trois mondes composant l’univers.

Fondée à Londres le 24 juin 1717, la franc-maçonnerie est une

société secrète. Plus précisément une superposition de sociétés

secrètes où les bas grades ignorent ce qui se trame au-dessus

d’eux. En effet, les membres des degrés élevés maintiennent dans

l’ignorance ceux des grades inférieurs. La tromperie est bien

réelle. Elle fut avouée par Albert Pike. Selon lui, « les degrés bleus

ne sont que le parvis ou l’antichambre du Temple. Une partie des

symboles est divulguée à l’initié, mais ce dernier est

intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les

comprenne. Leur vraie explication est réservée aux adeptes, aux

princes de la franc-maçonnerie. »1

Haut initié palladiste américain né à Boston en 1809, Albert

Pike fit, vers la fin du XIXe siècle, cette révélation éloquente :

« Nous adorons un Dieu, mais c’est le Dieu que l’on adore sans

superstition. À vous, Souverains Grands Inspecteurs Généraux

1 Morals and dogma d’Albert Pike, 1871.

 

(33e...), nous disons, pour que vous le répétiez aux frères des 32e,

31e et 30e degrés (et non pas aux frères des grades inférieurs) : la

religion maçonnique doit être, pour nous tous, initiés des hauts

grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. »1

Tirés d’une ancienne correspondance d’Albert Pike, ces écrits

démontrent deux choses importantes. Des instructions sont

données uniquement aux francs-maçons des hauts degrés (à partir

du 30e) et non à ceux des grades inférieurs. Le deuxième point

nous indique que ces hauts initiés adorent un Dieu qui n’est autre

que Lucifer, le porteur de lumière. Les francs-maçons des grades

supérieurs sont donc dans le culte de Lucifer, si l’on s’en tient à

Pike.

Selon cet occultiste très influent du XIXe siècle, un petit

nombre d’initiés serait dans l’ésotérisme et le secret maçonnique.

Il s’agirait de décideurs dans la société profane, d’« une section

ésotérique qui donne généralement l’impulsion aux masses

sociales »,2 tandis que la majorité des francs-maçons serait dans

l’ignorance et l’absence de pouvoir réel.

Selon Albert Pike, la secte maçonnique serait la seule vraie

religion, les autres étant toutes dans l’erreur : « La francmaçonnerie

enseigne et a conservé dans toute sa pureté les

principes fondamentaux de la vieille foi primitive, qui sont les

bases sur lesquelles s’appuie toute religion. Toutes les religions

qui ont existé jusqu’ici ont eu un fond de vérité et toutes l’ont

recouvert d’erreurs. »3

Dans un esprit tout à fait talmudique, la franc-maçonnerie n’a

cessé de dire une chose et son contraire. Et surtout, elle n’a cessé

de dire une chose puis d’effectuer le contraire. De mentir sur sa

vraie nature. Tel le prince Lucien Murat qui osa affirmer que cette

« société n’est ni secrète, ni antireligieuse et sans but politique, elle

n’est qu’une simple société de bienfaisance ». Ceci est totalement

1 Le palladisme de Domenico Margiotta, 1895.

2 Martinès de Pasqually de Papus, 1895.

3 Morals and dogma d’Albert Pike, 1871.

 

faux mais cela correspond à l’esprit de la Synagogue de Satan.

Laquelle s’efforce de diffuser mensonges et erreurs. Ainsi, Satan

sera gnostique. Puis tour à tour panthéiste, manichéen,

bouddhiste, protestant, islamiste, rousseauiste, voltairien,

évolutionniste, matérialiste, communiste, socialiste, rosicrucien,

kabbaliste, maçonnique, talmudique... Mais dans tous les cas,

Satan sera fondamentalement antichrétien.

 

La pieuvre maçonnique se couvre de secret. Elle impose le

silence à ses membres dans leurs serments. Ceux qui dérogent à la

règle sont sanctionnés. Une sanction matérielle et sociale sous

forme de diffamation, de calomnie et de mise au placard. Le

franc-maçon démissionnaire voit alors les portes de l’ascenseur

social se refermer et ses réseaux diminuer de manière

conséquente. Sur le caractère secret de la secte, relevons cette

phrase significative extraite d’un convent du Grand Orient en

1922 : « On doit sentir la maçonnerie partout, on ne doit la

découvrir nulle part. » Ou encore celle-ci : « Notre effort consiste

à préparer les hommes à exercer une action extérieure, mais ce

n’est pas le rôle de la maçonnerie de s’extérioriser. »1

Parce qu’elle est sous la tutelle juive et qu’elle opère par le

mensonge et le secret, la franc-maçonnerie est la Synagogue de

Satan. Car elle est l’alliance entre le juif et Satan. La loge étant

leur point de rencontre, leur inévitable intersection. La loge est

aussi et surtout le laboratoire de la société. Nous le verrons dans

ses faux principes, dans le rôle politique qu’elle a joué durant

l’histoire et qu’elle continue de jouer. Dans toutes les

conspirations qu’elle a menées dans l’ombre.

Le mode de fonctionnement maçonnique est vertical et sa

structure pyramidale. Ce qui est contraire à son principe d’égalité.

Les ordres se transmettent de haut en bas et les informations

remontent de bas en haut, comme dans toute hiérarchie au sein

d’une entreprise, afin que la tête ait toujours le contrôle de la

base.

1 Convent maçonnique du Grand Orient en 1929.

 

Mensonge, invisibilité et secret marquent la franc-maçonnerie

de leur empreinte. Datant du XIXe siècle, une circulaire du

Grand Orient stipulait qu’« une institution, qui connaît le monde

et n’est pas connue de lui, est d’une puissance irrésistible car

aucun élément étranger ne l’altère ni ne la dénature. »1 Cette vérité

appelle certaines interrogations. Comment combattre et espérer

vaincre un ennemi lorsque celui-ci est invisible ? Comment en

venir à bout alors que la majorité de la population ne sait même

pas qui il est, ses projets et comment il opère ?

Ayant rapidement perçu cette dangerosité, l’Église catholique

condamna la franc-maçonnerie à maintes reprises. La première

fois, ce fut le 28 avril 1738 avec la bulle pontificale In eminenti

apostolatus specula du pape Clément XII.2

L’« ordo ab chaos » est une devise fondamentalement

maçonnique. Selon l’initié italien du 33e degré Porciatti, « elle

représente la synthèse de la doctrine maçonnique et en représente

le secret fondamental. Elle signifie que le grand oeuvre ne peut se

produire qu’à travers un état de putréfaction et de dissolution et

enseigne que l’on ne peut arriver à l’ordre nouveau qu’à travers un

désordre savamment organisé. »3

On entre généralement en franc-maçonnerie pour se faire un

réseau, par intérêt financier. On en sort difficilement de peur de

perdre ce réseau, de se retrouver à nu, mais aussi à cause des

éventuelles représailles si jamais l’on transgresse le secret

maçonnique. Quitter la franc-maçonnerie bleue ne comporte pas

de grands risques. Mais plus le franc-maçon monte en grade, plus

il lui sera compliqué et compromettant d’en sortir.

C’est dans les hauts grades que la sélection devient exigeante.

Et dans la maçonnerie bleue que ces mêmes hauts grades

1 Cité dans Le pouvoir occulte contre la France de Paul Copin-Albancelli, 1908,

éditions Saint-Rémi.

2 Ce sujet sera traité en profondeur dans le chapitre VII La franc-maçonnerie

condamnée par la papauté.

3 Symbolisme maçonnique d’Umberto Gorel Porciatti, 1981.

 

viennent recruter et décider qui a le profil pour gravir les

échelons supérieurs. Ainsi, les initiés des bas grades devront leur

carrière à ceux des degrés supérieurs. En somme, leur

avancement professionnel dans le monde profane dépendra de

leur ascension au sein des loges. Les deux étant liés. L’un se verra

au grand jour, l’autre pas.

Pour espérer percer le fameux secret maçonnique, il faut

obligatoirement atteindre les grades élevés, comme ceux des loges

palladistes qui sont supérieures au 33e degré, à l’instar du B’naï

B’rith. Ce sont souvent des décideurs et hommes d’influence que l’on

retrouve dans ces hauts grades où rien ne filtre. Des hommes au

pouvoir supérieur à celui des chefs d’État. Comme Albert Pike,

Nicolas Roerich, Jacob Schiff, Henry Morgenthau et Henry

Kissinger aux États-Unis, Giuseppe Mazzini et Adriano Lemmi

en Italie, Gerson von Bleichröder et Paul Warburg en Allemagne,

Lord Palmerston en Angleterre, Josef Retinger en Pologne,

Richard Coudenhove-Kalergi et Papus sur le vieux continent ou

encore Adolphe Crémieux, Alain Bauer et Jacques Attali en

France. La liste des hauts initiés francs-maçons n’est bien sûr pas

exhaustive. Elle est méconnue du grand public, la haute

maçonnerie prenant garde de rester secrète.

Pour recruter, outre la maçonnerie bleue où les hauts grades

viennent effectuer leur sélection, la secte organise parfois des

tenues blanches fermées. Ces réunions sont ouvertes aux

profanes, afin de tester d’éventuels et futurs maçons, populariser

les idéaux maçonniques, donner une bonne image de la francmaçonnerie.

Les tenues blanches sont un moyen de propagande de la

contre-Église. Elles invitent un ou plusieurs non-initiés à leur

réunion maçonnique. S’il s’agit d’une tenue blanche fermée, le

conférencier s’exprime devant des francs-maçons. Si elle est

ouverte, des profanes entendent le discours d’un franc-maçon.

Ces tenues blanches font évidemment l’éloge des faux principes

issus de 1789. Elles cherchent à montrer un visage séduisant de la

secte. Elles sont un moyen d’attirer certaines personnes dans les

rangs de la contre-Église ou de gagner ces personnes à la cause

maçonnique. Ses principales cibles sont les profanes et la gent

féminine. « Soustraire les femmes à l’influence cléricale »1 fut

l’objectif avoué par le Grand Orient de France. « Que ces

manifestations soient extrêmement rares, extrêmement soignées

par les choix des programmes et des orateurs »,2 précisa la

Grande Loge.

Tous les corrompus dirigeant les grandes nations de ce monde

appartiennent à des clubs, sectes, cercles, lobbys, think tanks,

loges, sociétés secrètes et autre fraternité de la mort. Tous

tutoient Satan de près ou de loin.

On distingue plusieurs sortes de francs-maçons. Des instruits,

des faux érudits, des imbéciles,3 des carriéristes, des pervers

narcissiques, ceux qui accomplissent le mal froidement... Mais audelà

de ces diverses caractéristiques, nous ressortirons

principalement deux catégories : les matérialistes se basant sur la

raison en opposition à la foi catholique, et les spiritualistes (ou

occultistes) qui, le plus souvent dans les hauts grades, sont

généralement dans le culte de Lucifer, le panthéisme voire le New

Age. Au fil du temps et sous l’influence du Grand Orient, la

franc-maçonnerie a suivi l’évolution d’une association à la fois

politique et matérialiste, qui oscille entre déisme, panthéisme,

agnosticisme et athéisme.

Des divergences et rivalités ont toujours existé entre les francsmaçons

et les obédiences qui se déchirent dès qu’elles ont du

pouvoir. Mais il y existe une unité d’esprit, car tous sont unis

1 Convent du Grand Orient de France en 1900.

2 Convent de la Grande Loge de France en 1929.

3 Au XIXe siècle, Albert Pike écrivit, de manière sarcastique, au Grand

Orient de France, que la franc-maçonnerie « a toujours été entre les mains des

trois I, des ignorants, des imbéciles et des intrigants. »

 

idéologiquement contre la religion catholique et l’authentique

souveraineté de Jésus-Christ sur la nation. C’est cet

antichristianisme qui unit les francs-maçons de tous les grades et

de tous les horizons de la planète. Car la franc-maçonnerie est

d’abord un état d’esprit, en opposition au dogme et à la religion.

Un état d’esprit antichrétien, basé sur la haine de l’Église, l’orgueil

de l’homme, la vengeance, le mensonge, la duplicité, sur des faux

principes qui la caractérisent et forment l’esprit du monde dont

Satan est le prince.

 

 

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