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Si la France veut éviter une guerre civile, il faut renvoyer les allochtones .

Si le Front national a raison de soutenir la police scandaleusement lynchée par les media des jours entiers dans une affaire où l’on ne sait rien de certain et où les pouvoirs publics et la presse préfèrent croire la version des faits d’un “Jeune” plutôt que celle de policiers assermentés, il se garde bien de proposer la seule vraie solution qui est la réémigration de ces populations inassimilables. Quand bien même augmenterait-on en effet les effectifs et les moyens de la police, de la gendarmerie voire de l’armée, quand bien même leur apporterait-on tout le soutien moral et matériel dont elles ont besoin, cela ne réglerait pas le problème de fond. Tant que ces bandes ethniques qui haïssent la France et qui se plaisent à détruire tous les symboles de l’Etat resteront sur le territoire national, il est vain d’espérer un retour durable au calme et une pacification de ces territoires occupés, de ces zones de non-droit où le trafic de drogue, le trafic d’armes et tous les trafics se donnent libre cours. Dès que la police procède à un contrôle d’identité, essaie de démanteler un réseau mafieux, c’est aussitôt l’émeute. Et l’on ne compte plus les guets apens non seulement contre les forces de l’ordre mais aussi contre les pompiers, le Samu, les ambulanciers, les médecins, les chauffeurs de bus. « Rien qu’à Bobigny, les unités de forces mobiles engagées le 11 février au soir ont dû tirer plus de 100 grenades lacrymogènes pour faire reculer les assaillants  » confie au Figaro un gradé des CRS.

Car les violences consécutives au contrôle d’identité le 2 février de Théodore — que les media ont rebaptisé avec affection Théo et qu’ils font passer pour une victime innocente et un saint à canoniser sur-le-champ — n’ont cessé de s’étendre ces derniers jours, d’Argenteuil à Bobigny, d’Aulnay à Tremblay-en-France, du Blanc-Mesnil à Stains en passant par Neuilly-sur-Marne : voitures et bus incendiés, policiers, pompiers et journalistes caillassés. Dans le Val-de-Marne, le domicile du syndicaliste policier qui a déclaré sur BFMTV trouver le terme “bamboula” « à peu près convenable » fait l’objet d’une “sécurisation”, par peur de représailles. Le policier accusé de viol par Théodore lors de l’interpellation d’Aulnay est, quant à lui, ouvertement menacé de mort sur les réseaux sociaux tandis que, dans les mots d’ordre des émeutiers, le parallèle est établi entre cette affaire et le sort des deux jeunes immigrés de Clichy-sous-Bois, Zyed et Bouna, dont la mort, dans un transformateur électrique après une course-poursuite avec la police, le 27 octobre 2005, avait conduit aux émeutes, contraignant Chirac à décréter un couvre-feu. Ainsi un SMS a appelé à un rendez-vous devant la mairie de Drancy pour en découdre avec les “keufs”, au nom de « Théo, Adama, Zyed, Bouna ». Le 12 février, les pompiers étaient appelés pour un « feu de voiture » dans le quartier du Crozet à Scionzier en Haute-Savoie. En fait de voiture, ils trouvaient un amoncellement de portes en feu, et des bouteilles de gaz déposées à côté. Et pour couronner le tout, les sapeurs-pompiers recevaient des pierres au moment d’intervenir. Et face à tout cela que fait le gouvernement ? Il reçoit les associations dites antiracistes (LICRA, LDH, Sos-Racisme, MRAP…) et écoute deux heures durant le 13 février leurs doléances et leurs récriminations contre la police ! ...

On marche sur la tête. Les pouvoirs publics ne font pas preuve de laxisme envers les émeutiers. Ils font preuve de complicité active et criminelle envers des délinquants qui insultent, menacent, détruisent et dont la haine de la France et des Français peut conduire à tout moment aux pires extrémités. Face à cela il faudrait, il faudra un pouvoir fort, nationaliste, qui ne se contente pas de demi-mesures et qui procède avec énergie et détermination à une large réémigration des allochtones .

 

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