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  • Ferrand, Bayrou, Goulard, Griset... , tous ces ministres pris dans la "tourmente judiciaire" sous Macron...

     

    Avant Alain Griset, renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour omission de déclaration de patrimoine et d'intérêts, plusieurs ministres ont eu des démêlés judiciaires depuis le début de la présidence d'Emmanuel Macron.

    Le ministre chargé des PME est cité à comparaître le 22 septembre pour omissions substantielles dans ses déclaration de patrimoine et d'intérêts lors de son entrée au gouvernement en juillet 2020, a appris l'AFP jeudi auprès du parquet de Paris.

    Richard Ferrand

    À peine nommé ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand est épinglé par le Canard enchaîné qui révèle qu'en 2011 les Mutuelles de Bretagne qu'il dirigeait alors ont loué des locaux commerciaux appartenant à sa compagne.

    Il quitte le gouvernement le 19 juin 2017 et succède à François de Rugy à la présidence de l'Assemblée nationale en septembre 2018.

    Mis en examen pour «prise illégale d'intérêts» en septembre 2019, il se voit reconnaître le 31 mars 2021 la prescription des faits, mais cette décision n'est pas définitive.

    François Bayrou, Sylvie Goulard et Marielle de Sarnez 

    Le 9 juin 2017, le parquet de Paris ouvre une enquête visant le MoDem, présidé par François Bayrou, sur des soupçons d'emplois fictifs.

    La justice soupçonne des collaborateurs d'eurodéputés MoDem, notamment Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard, d'avoir été rémunérés par des fonds du Parlement européen alors qu'ils étaient affectés à d'autres tâches pour le parti centriste.

    Le 21 juin, Mme Goulard, devenue ministre des Armées, quitte le gouvernement, suivie de François Bayrou (Justice) et de Mme de Sarnez (Affaires européennes).

    Fin 2019, Mmes Goulard et de Sarnez (décédée en janvier 2021) sont mises en examen pour «détournement de fonds publics» et M.Bayrou pour «complicité» de ce délit.

    Gérald Darmanin

    Accusé d'abus de faiblesse par une habitante de Tourcoing qui affirmait avoir été contrainte à des relations sexuelles en échange d'un logement et d'un emploi, Gérald Darmanin bénéficie d'un classement sans suite de l'affaire en 2018.

    Accusé par une autre femme d'un viol intervenu en 2009 au moment où il était un responsable UMP intermédiaire, M.Darmanin bénéficie aussi de classements sans suite en 2017 et 2018, mais la plaignante obtient la relance des investigations en juin 2020. Le ministre, placé sous le statut de témoin assisté, a été confronté à son accusatrice en mars 2021.

    Éric Dupond-Moretti

    Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a été mis en examen le 16 juillet pour «prise illégale d'intérêts» par la Cour de justice de la République (CJR), seule juridiction habilitée à poursuivre et juger des membres du gouvernement pour des infractions commises dans le cadre de leurs fonctions.

    Le garde des Sceaux est soupçonné d'avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu'il réfute.

    La CJR avait ouvert en janvier une information judiciaire après les plaintes des trois syndicats de magistrats et de l'association Anticor.

    Le Premier ministre, Jean Castex, lui a renouvelé «toute sa confiance».

    Et d'autres...

    Le Haut-commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye, a démissionné du gouvernement en décembre 2019, en pleine réforme des retraites, après avoir été mis en cause pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Il fait l'objet d'une enquête pour «abus de confiance», «abus de biens sociaux» et recels.

    Le secrétaire d'État à la Fonction publique, Olivier Dussopt, est visé par une enquête du parquet national financier (PNF) pour «corruption» et «prise illégale d'intérêts» pour avoir reçu en 2017 deux lithographies en cadeau d'une entreprise, alors qu'il était député-maire d'Annonay, en Ardèche.

    Le PNF enquête aussi depuis mars 2019 sur des soupçons de «prise illégale d'intérêts» visant Sébastien Lecornu, chargé des Outre-mer, pour ses activités passées à la tête du département de l'Eure et au conseil d'administration d'une société autoroutière.

    De son côté, la CJR mène une instruction depuis juillet 2020 concernant l'ancien Premier ministre Édouard Philippe, l'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran, pour leur gestion du Covid-19.

    Etc ....

  • Un homme de 30 ans décède après sa vaccination au Pfizer dans les Landes, la famille y voit un lien et porte plainte.

     

    Un homme de 39 ans sans antécédents connus est décédé après une injection de Pfizer dans les Landes.

    Sa famille impute la tragédie à la vaccination bien que le lien causal ne soit pour l’instant pas établi...

    En France, plus de 700 morts ont été signalées après une immunisation avec ce vaccin, soit 2,4% des tous les effets indésirables enregistrés.

    Un habitant de Tartas (Landes) est décédé un jour après sa deuxième injection de Pfizer, rapporte Sud-Ouest. La tragédie est survenue dans la nuit du 2 au 3 juillet, 36 heures après l’injection. Selon les témoignages de ses proches, cet homme de 39 ans n’avait pas d’antécédents médicaux, mais l’autopsie a révélé une insuffisance cardiaque.

    La famille lie son décès avec la vaccination et a déposé une plainte contre X à la gendarmerie de Tartas le 26 juillet. Une enquête a été ouverte.

    Ce n’est pas le premier cas de mort après immunisation. Ainsi, un jeune de 22 ans est décédé le 26 juillet à Sète (l'Hérault) des suites d’un œdème de Quincke après avoir reçu sa première injection de Pfizer. Une information judiciaire a été ouverte.

    Le lien causal entre l’injection et le décès n’est ainsi pas établi dans tous les cas...

    Début juillet, le parquet de Dax (Landes) a classé sans suite une plainte pour homicide involontaire. Un retraité de 75 ans était décédé en avril, 12 jours après l’injection de sa première dose de Pfizer.

     

    Effets indésirables

    D’après les chiffres de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), depuis le début de la vaccination au 15 juillet 34.790 cas d’effets indésirables après l’injection du vaccin à ARN messager de Pfizer ont été analysés en France par rapport à plus de 49 millions d’injections.

    Ainsi, l’ANSM a constaté quelques dizaines de myocardites et une centaine de péricardites. Le 23 juillet elle a mis en garde contre ces cas pourtant «très rares» signalés après administration des vaccins à ARN messager, à savoir le Pfizer, mais aussi le Moderna.

    «Les cas sont principalement survenus dans les 14 jours suivant la vaccination, le plus souvent après la deuxième dose et chez des hommes jeunes», a écrit l’ANSM.

     

    «Un essoufflement (dyspnée), des douleurs dans la poitrine, des palpitations (battements cardiaques forts) ou un rythme cardiaque irrégulier» nécessitent une consultation chez le médecin, rappelle l’ANSM.

    Les autres effets indésirables sont la polyarthrite rhumatoïde, la néphropathie glomérulaire, le trouble rénal. La majorité des cas sont survenus chez des personnes de plus de 50 ans, qui font aussi l’objet d’une surveillance spécifique au niveau européen.

    Cas de décès

    Dans son rapport du 16 juillet sur les effets indésirables signalés avec le vaccin de Pfizer, l’ANSM a fait état de 761 décès depuis le début de la vaccination au 1er juillet. Cela représente 2,4% de tous les cas indésirables (31.389) sur plus de 42 millions d’injections au total. Dans 8,1% des cas, la mise en jeu du pronostic vital a été engagée.

     

  • Les évêques français et le passe sanitaire .

     

     

    Dans une tribune datée du 22 juillet, la conférence épiscopale de France dénonce les réfractaires au passe sanitaire et leurs manifestations!...

    Les évêques reprochent en premier lieu aux manifestants d’avoir brandi l’étoile jaune, mais plus encore leur insoumission aux décisions jugées légitimes du gouvernement. Pour eux, ce passe est une chance, voire un sésame sacré : « Cette épidémie nous fait éprouver à tous combien nous sommes responsables les uns des autres. C’est comme une annonce de l’unité du genre humain et de l’union intime avec Dieu ». Le ton est donné, il sera celui de l’entière dhimmitude à la bien-pensance du moment. 

    Quoi que l’on puisse penser du vaccin – c’est une chose – voici donc les évêques de France en faveur de la vaccination pour tous – ce qui est tout autre chose. 

    Or l’idéologie est aujourd’hui à la vaccination pour tous : « Elle fait partie intégrante, dit le ministre de l’Éducation Nationale, du Contrat Social contemporain ». Quoi que l’on puisse penser du vaccin – c’est une chose – voici donc les évêques de France en faveur de la vaccination pour tous – ce qui est tout autre chose. 

    Nouveaux chantres du passe sanitaire, nos évêques n’ont  pas mesuré la portée des propos du ministre de l’Éducation Nationale, simple relai parmi tant d’autres de la volonté dominante.

    Pour qui raisonne encore un tant soit peu, une telle phrase signifie que, sous peu, le non-vacciné sera comme exclu de toute vie sociale ; des cafés et transports tout d’abord, mais bientôt des centres commerciaux, et déjà en certains cas de son travail. Le réfractaire sera même considéré comme une menace pour la paix sociale. Aussi ce passe informatisé n’est-il rien d’autre que la mise en place d’une « note sociale » à la chinoise, et l’on est surpris de voir la Conférence Épiscopale de France l’adouber.

    Quand Jésus proposait son salut à tout homme, y compris au lépreux ; quand pour saint Paul, il n’y a plus au regard du Christ ni grec ni juif, ni maître ni esclave (Ga 3, 28), voici qu’au regard de nos évêques, il y aura désormais les vaccinés et les non vaccinés. Est-ce symptomatique ? Lors du voyage que le Pape effectuera en Slovaquie du 13 au 15 septembre, seuls les vaccinés pourront assister aux cérémonies.   

    Est-ce symptomatique ? Lors du voyage que le Pape effectuera en Slovaquie du 13 au 15 septembre, seuls les vaccinés pourront assister aux cérémonies.

    Nouveaux chantres du passe sanitaire, nos évêques n’ont  pas non plus mesuré tout l’égoïsme sous-jacent à la politique vaccinale actuelle. Celui-ci est souligné, entre autres, par le philosophe Martin Steffens : « Ce qu’il a de nouveau, c’est qu’on vaccine aujourd’hui les enfants, non pour leur survie, mais pour celle de leurs grands-parents. (…) Cela change tout. Un enfant qui attrape le tétanos meurt en quelques jours. Les enfants étaient les premières victimes de la polio. Mais un enfant qui attrape la Covid ne meurt pas. » Et le philosophe de s’interroger sur ce que l’Histoire retiendra de ces grands-parents qui auront livré leurs petits-enfants à un vaccin, toujours officiellement en voie d’expérimentation, et dont on ne découvrira que trop tard les effets.

    A titre d’exemple, aucune étude n’a été réalisée sur les risques d’infertilité que pourrait entraîner le vaccin, risques qui interrogent plusieurs spécialistes. Cela n’empêche en rien la vaccination massive des 12-17 ans, déjà largement éprouvés par les premiers confinements. Au confort des baby-boomers, on n’hésite pas à prendre le risque de sacrifier les générations à venir – si elles viennent. De cela, les évêques, semble-t-il, n’en ont cure, au contraire. Béats, ils concluent : « Cette épidémie nous fait éprouver à tous combien nous sommes responsables les uns des autres. C’est comme une annonce de l’unité du genre humain et de l’union intime avec Dieu. » 

    Certains mots réclament d’être répétés : « C’est comme une annonce de l’unité du genre humain et de l’union intime avec Dieu ». Pour qui sait l’entendre, cette dernière phrase est terrible. Piquez-vous vaccinez-vous, disent-ils, et vous serez une annonce tant de l’unité du genre humain que de l’union intime avec Dieu ! Si un rieur se demandait qui est piqué, l’homme de foi ne peut que déplorer deux incompatibilités graves avec le domaine de la grâce.  

    Au salut éternel que le Christ propose à ceux qui croient en lui, ils préfèrent l’unité temporelle du genre humain. Ce faisant, loin d’agir en serviteurs de Dieu, ils se posent de facto en vassaux du pouvoir temporel.

    Tout d’abord, dans la ligne « pastorale » du concile Vatican II, nos hommes d’Église continuent à identifier artificiellement la recherche de l’unité du genre humain, supposément voulue par Dieu, et l’union intime avec Dieu. Rien pourtant ne justifie une telle identification, tout au contraire. Annoncé comme pierre d’achoppement (Is 8, 14) et posé en signe de contradiction (Lc 2, 34), le Christ est en effet l’incarnation même de l’inimitié originelle issue du premier péché : « Je poserai une inimitié entre toi et la Femme, entre ta descendance et sa descendance » (Ge 3, 15). Mais les évêques de Vatican II comme ceux d’aujourd’hui, épris de lendemains qui chantent, font fi de ces paroles divines. Au salut éternel que le Christ propose à ceux qui croient en lui, ils préfèrent l’unité temporelle du genre humain. Ce faisant, loin d’agir en serviteurs de Dieu, ils se posent de facto en vassaux du pouvoir temporel. Car c’est aux puissances politiques, et non aux hommes d’Église, qu’a été premièrement confié le soin de la paix temporelle. Apparaît alors le double crime inhérent à la nouvelle doctrine de la liberté religieuse : non seulement leurs tenants ont affranchi le pouvoir temporel de ses devoirs envers l’Église mais, en réduisant les droits de l’Église au droit commun, ils l’ont soumise au pouvoir politique. Et quand celui-ci prend ouvertement comme modèle la Chine communiste et sa « note sociale » contrôlée informatiquement, nos évêques bénissent, applaudissent et renchérissent. De quel dieu sont-ils donc les messagers ? 

    Piquez-vous, disent-ils donc en substance, et vous serez ainsi l’annonce vivante tant de l’unité du genre humain que de l’union intime avec Dieu. Dans le galimatias de leur nouvelle théologie, ils auraient tout autant pu dire, tellement les deux mots sont proches : Piquez-vous, et vous serez le sacrement de l’unité du genre humain. Apparaît alors le second fossé qui nous sépare de l’assertion épiscopale. Pfeizer ou Moderna sacralisés, le vaccin pour tous établi comme moyen actuel du salut voulu par Dieu ; l’homme de foi ne peut que s’interroger : quel est donc leur dieu ? 

    Si l’emploi de l’étoile jaune n’était pas forcément approprié, celui du carton rouge s’impose à l’endroit du communiqué de la Conférence Épiscopale de France. ..