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  • Le ministre hongrois de la défense demande aux officiers de lutter contre l’immigration illégale et garder la foi chrétienne .

     

    Il faut lire et relire ces mots de István Simicsko, ministre hongrois de la défense, adressés aux jeunes officiers prêtant serment lors de la fête nationale hongroise le 20 août dernier.

    “Pour que nos enfants et petit-enfants vivent en tant que Hongrois en Hongrie, nous devons défendre nos frontières avec tous les moyens à notre disposition, et lutter contre le terrorisme et l’immigration illégale.”

    Nous devons garder notre foi chrétienne, dans ce monde pressé et changeant. Il n’y a pas d’autre voie […] que la foi chrétienne que nous avons reçu de Saint-Etienne pour nous mener de l’avant.”

     

    Le ministre hongrois de la défense, István Simicsko, lors de la cérémonie du 20 août 2017 à Budapest.

    Le ministre Simicsko a ajouté qu’il ne pouvait y avoir d’avenir pour le pays que tant que des jeunes hongrois seront capables de mourir pour la patrie. Des paroles comme on aimerait en entendre chez nous en France, mais nous en sommes loin…

    Le ministre hongrois a d’ailleurs conclu :

    “Malheureusement il semble aujourd’hui que Bruxelles renonce à sa foi, et perd ses fondamentaux. Nous Hongrois avons appris que la Hongrie, notre patrie, représente pour chacun de nous un bien inestimable et irremplaçable.”

    Le président de la république de Hongrie, János Áder, lors de la cérémonie du 20 août 2017 à Budapest.

     

    Jeunes officiers hongrois lors de la cérémonie du 20 août 2017.
    En France, pendant ce temps, nos ministres de la Défense tous franc-maçons (tel l' ancien Le drian)  feraient  bien d' imiter la Hongrie au lieu, par exemple, de remplacer les aumôniers par des imam !
  • Chute record de Macron dans les sondages ...

     

    La dégringolade de la popularité d’Emmanuel Macron dans les sondage se poursuit. En trois mois, le président a perdu 24 points. Record historique : jamais la popularité d’un président de la République n’avait chuté si rapidement.

    Lors de l’élection présidentielle, Macron était devenu le choix du moins pire, l’antidote à la course au pouvoir de Marine Le Pen, pour des Français aveugles. Élu par dépit par des classes bourgeoises que la présidente du FN n’avait pas su conquérir à l’inverse des classes populaires, ou par des jeunes convaincus qu’il était l’anti-système par excellence, il montre son vrai visage et son attachement au système. Et cela ne plaît pas.

    Selon Le Journal du Dimanche qui publie les résultats d’un sondage Ifop entre le 25 et le 26 août les Français satisfaits de son mandat sont 40 % tandis que les mécontents culminent à 57 %. Le dernier chef de l’État à subir une si rapide impopularité aussi nette avait été Jacques Chirac qui perdit 20 points entre son élection en mai 1998 et l’août de la même année.

    Macron apparaît toujours plus faible et les scandales qui parsèment son début de mandat n’aident pas.

    Le dernier en date concernant ses frais astronomiques de maquillage (26 000 €) manifeste un vrai dédain pour les Français à qui il veut imposer par ailleurs une politique d’austérité dont il s’abstient pour lui-même.

    Emmanuel Macron apparaît enfin auprès d’une opinion publique aussi changeante que le temps comme un grand séducteur qui n’est pas prêt à pratiquer les changements qu’il avait promis. D’où la désillusion et la colère des Français qui croyaient en ce jeune charmeur ambitieux à l’air éveillé pour transformer la France en un Eldorado.

    Pour l’instant Macron ne fait rien pour remédier à la situation : son ego napoléonien se fait toujours sentir en France et à l’étranger, ses gaffes autoritaires et diplomatiques sont légions tout comme les savons qu’il passe à ses collaborateurs... La communication de l’Élysée a de plus en plus de difficultés pour contenir l’irritation des ministres à l’intérieur des murs des palais ministériels.

    La rentrée s’annonce lourde de menaces pour un président, pour l’instant, en marche… vers sa chute !