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rouillan et les djihadistes

  • L’ex-terroriste Jean-Marc Rouillan, proche des antifas, salue les meurtriers du Bataclan ! ...

     

     
     

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    BREIZATAO – POLITIKEREZH (08/03/2016) « J’en ai marre des poncifs anti-terroristes, sur les lâches attentats. Moi, je les ai trouvés très courageux. En fait, ils se sont battus courageusement. Ils se battent dans les rues de Paris, ils savent qu’il y a 2 ou 3000 flics autour d’eux », c’est par ces mots que l’ancien terroriste d’extrême-gauche Jean-Marc Rouillan a tenu à saluer les djihadistes ayant perpétrés les tueries du 13 novembre 2015, à Paris.

    L’ex-terroriste Jean-Marc Rouillan, 63 ans, est en liberté conditionnelle depuis 2012. Il était membre d’Action directe, organisation communiste célèbre pour ses actions violentes dans les années 1980, notamment l’assassinat de Georges Besse, le patron de Renault.

    Rouillan avait déjà été renvoyé en prison en 2008 pour des déclarations légitimant l’usage du terrorisme rouge : “En tant que communiste, je reste convaincu que la lutte armée à un moment du processus révolutionnaire est nécessaire”.

    Rouillan  s’inscrit depuis sa libération dans la nébuleuse “antifasciste” hexagonale dont le chef de file, en Bretagne, est l’ancien terroriste maoïste Gaël Roblin. Cette nébuleuse suit ses activités et en répercute parfois les déboires (voir ici). On la retrouve en pointe dans le soutien aux migrants musulmans clandestins, comme encore récemment à Quimper (lire ici). Elle dispose de soutiens dans la presse institutionnelle.

    Les milieux marginaux se revendiquant “antifascistes”, généralement anarcho-communiste ou trotskistes, sont désormais engagés aux côtés des franges les plus dures de l’islamisme. L’association “Parti des Indigènes” est une des structures se situant à la confluence des deux tendances, comme le rappelait récemment le journal de gauche Marianne (lire ici).