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réchauffement climatique

  • Voitures électriques : la grande imposture liée au prétendu réchauffement climatique .

     

    Dans le nuit du 6 au 7 octobre 2023 un magnifique" feu d’artifice" a illuminé la ville de Chambéry (Savoie). Quatorze Tesla ont explosé spontanément sur le parking du concessionnaire, et entièrement brûlé… Aucun islamiste n’a été aperçu dans les parages… Un mois avant en Allemagne, à Francfort, quinze Tesla avaient brûlé dans les mêmes conditions.

    Les voitures électriques sont toxiques pour l’environnement

    La plupart des véhicules dits « écologiques » sont équipées de batteries au lithium-ion (Li-ion). Il existe plusieurs variantes et alliages différents comme le nickel-manganèse-cobalt et le nickel-cobalt-aluminium. Mais aucune ne garantit la stabilité du produit. Leur transport aérien est réglementé. L’industrie a fait pression pour qu’on ne l’interdise pas. Malgré 55 départs de feu en vol en 2022.

    L’exploitation du lithium produit des catastrophes écologiques. Dans la province du Heilong Jiang en Chine, une couche de poussières toxiques recouvre d’immenses régions agricoles, les rendant stériles, et contraignant les paysans à l’exil ou à la famine. Ceux qui restent périssent de cachexie. Les enfants des survivants qui ont réussi à fuir à temps souffrent de malformations génétiques.

    Dans le désert d’Atacama au Chili l’exploitation du lithium a laissé des collines stériles, entre d’énormes terrils de sel blanc s’élevant au dessus de la plaine. La terre brune craquelée s’effrite dans les mains, et il n’y a plus aucun signe de vie végétale ou animale. Idem au Zimbabwe.

    De son côté, le cobalt indispensable aux aimants des moteurs électriques provient pour 70 % du Congo et du Zaïre où des enfants-esclaves travaillent à l’extraction dès l’âge de 6 ans pour 30 dollars par mois. Peu parviennent à fêter leur quinzième anniversaire. Cela n’a pas l’air d’émouvoir exagérément les belles âmes qui veulent sauver le monde…

    Les travailleurs exposés tout le temps au cobalt développent des affections de longue durée telles que perte de vision, faiblesse cardiaque, détérioration de la thyroïde, démences et multiples cancers.

    Les voitures électriques polluent plus que les autos à carburants fossiles

    En cas de défaut de fabrication, d’écrasement, de court-circuit, de surcharge ou d’incendie, les batteries présentent des risques d’électrocution et de brûlures, mais constituent aussi des menaces chimiques. Lorsqu’une cellule s’échauffe, des réactions se produisent qui augmentent sa température, avant de gagner les éléments voisins, au risque d’aggraver l’incendie et de produire une explosion.

    Selon l’INERIS (Institut National de l’Environnement et des Risques) l’emballement thermique d’une batterie Li-ion entraîne l’émission de fumées particulièrement toxiques et agressives. Parmi ces rejets, de l’acide fluorhydrique mortel en cas d’inhalation. Cet acide est assez corrosif pour dissoudre le verre. Alors, vos poumons…

    Par ailleurs des électro-chimistes affirment que la technologie à l’oxyde de manganèse retenue par des grandes marques est incontrôlable. Difficile de se faire une opinion, la plupart des pages web traitant du sujet, ont été escamotées. Et les procès en dénigrement pleuvent contre ceux qui dénoncent les pratiques de certaines multinationales.

    De son côté, la publicité évite de dire que le courant dont on se servira pour « faire le plein » est produit à 90 % soit par des usines atomiques, soit par des centrales à charbon, là où les "écolos "ont eu la peau du nucléaire… On annonce en France, pour l’hiver 2023-2024, des restrictions pour les ménages. Plus assez de tension pour faire tourner les lave-linge, les congélos et les chauffages électriques, mais assez pour recharger les véhicules « écolo ».

    Quant à l’argument selon lequel la consommation d’énergie coûterait moins cher en électrique, il est doublement biaisé. D’abord parce qu’il n’est valable à la marge que pour la minorité des privilégiés disposant d’une borne privée. Ensuite parce que l’État les taxera un maximum quand il verra s’effondrer son racket sur les produits pétroliers. Sinon comment continuer à financer toute la misère du monde si on arrêtait de tondre les petits moutons français ?

     
    Des risques mal évalués

    Chaque batterie est équipée d’un système de sécurité (Battery management system ou BMS) qui surveille sa tension et sa température. En cas d’anomalie, le BMS est supposé déconnecter la batterie tout en assurant son refroidissement. Mais selon l’INERIS, le système fonctionne une fois sur deux, et les risques encourus sont mal évalués en raison d’un manque de recul sur l’exploitation de cette technologie trop récente pour être vraiment maîtrisée.

    Pour le moment, chaque constructeur prend ses responsabilités, entre impératifs de rentabilité et risques de procès. Tandis qu’une réglementation assez laxiste est en cours de discussion à Genève. Mais tant que le dédommagement des victimes, souvent découragées par des procédures interminables, coûtera moins cher que des refontes des chaînes de fabrication et des systèmes de contrôle, les constructeurs pourront continuer à s’enrichir tranquilles.

    Les véhicules électriques tombent plus souvent en panne

    Plus chers à l’achat, ils dépassent rarement les 45 000 km sans gros ennuis (à comparer avec un bon vieux Diesel !) avec des réparations plus onéreuses que sur les moteurs thermiques… Quand on trouve le mécano et les pièces de rechange qui vont bien. Malgré les efforts des constructeurs qui y voient une source de profits supplémentaires, mais ont des difficultés à anticiper et tournent à flux tendus.

    Pour l’OPTEVEN qui assure les pannes mécaniques de tout type de véhicule, thermique ou électrique, neuf ou d’occasion, la voiture électrique est  immobilisée plus souvent que la voiture thermique. En outre, la résolution d’une panne mineure, coûte en moyenne 15 % plus cher. Une grosse panne, on ne répare pas, on change tout. Obsolescences programmées...

    Depuis quatre ans, plus de 700 000 véhicules 100 % électriques ont été mis en circulation en France. Une étude en situation réelle pour accumuler des kilomètres et relever les défaillances… Si la voiture électrique est relativement simple, avec son moteur et sa transmission contenant 20 pièces mobiles contre 200 dans une voiture thermique, cela ne la protège pas des pannes, surtout d’usure… En outre, recharger les batteries à 100 %, ce que font la plupart des gens, réduit leur durée d’utilisation.

    Partenaire des grands constructeurs, OPTEVEN est bien placé pour observer la fréquence et la nature des pannes dont sont victimes le 1,8 million de véhicules qu’elle couvre en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie.

    Premier enseignement tiré de ces statistiques, les véhicules électriques quand ils ne cassent pas peu après leur mise en circulation, sont immobilisés dans les 4 ans suivant leur immatriculation et/ou 48 540 kilomètres en moyenne.

    Quant à l’occasion… Les véhicules électriques dont on s’est débarrassés après 2 ans d’utilisation, en raison de dysfonctionnements divers… , même réparés ils subissent deux fois plus de pannes que tous les véhicules thermiques d’âge et usage comparables.

    Globalement, 41 % des propriétaires de voitures « vertes » ont été confrontés à un problème d’ordre électrique ou électronique ou informatique dès la première année. Et la moitié d’entre eux déclarent avoir dû faire appel à une assistance-dépannage ou un remorquage.

    Le coût d'entretien est plus cher

    Dupés par la publicité, de nombreux convertis au courant, mesurent mal les opérations périodiques d’entretien. Certes il n’y a plus de vidanges ni de filtres à changer, mais une mise à jour constante voire payante des logiciels qui pilotent les systèmes embarqués est indispensable.

    Parmi les désagréments des électriques, ces voitures usent plus vite leurs pneus, en raison du poids de la batterie. OPTEVEN observe que parmi les propriétaires de voitures électriques de moins d’un an, 78 % ont déjà changé deux pneus et 18 % ont subi des crevaisons. Dix-huit mois après leur achat, les propriétaires sont 57 % à avoir remplacé leurs 4 pneus.

    Parmi les pannes incapacitantes les plus fréquentes, on note les défaillances de la batterie de traction, et celles du câble avec la prise de recharge. Fragiles et parfois inadaptés à certaines bornes. Un quart des conducteurs de voitures électriques se plaignent d’avoir été, à un moment ou à un autre, dans l’incapacité de recharger leur véhicule à une borne publique. Encore heureux quand la rareté et la lenteur du service ne produisent pas des rixes entre clients exaspérés !

    Outre la fréquence des immobilisations, Opteven note que le coût moyen de réparation ou de remplacement s’avère plus élevé pour les véhicules électriques. Une unité de traction à remplacer sur une petite citadine comme la Smart Forfour vieille de deux ans et demi, coûte 5 500 euros HT sans la MO, soit plus de 10 000 € TTC avec les autres frais.

    Tous ces désagréments ont fini par se savoir, et après avoir fait un bond entre 2018 et 2022, passant de 1 % à près de 10 % de parts de marché, les ventes régressent au point que Volkswagen, Mercedes et Tesla ferment des unités de production et licencient du personnel… Tandis que, imperturbables, les législateurs européistes, sans doute motivés par des commissions aussi juteuses que sur les vaccins, imposent leur diktat surréaliste 100 % tout électrique en 2030!!

    Christian Navis

  • Réchauffement climatique: la plus grande escroquerie de l’Histoire !

     

     

    Politiques et médias hurlent à la lune, la terre se réchauffe et c’est l’homme qui en est responsable ! Nous produirions trop de CO², ce dioxyde de carbone ou gaz carbonique qui est la cause du mal, son accumulation dans l’atmosphère induisant un effet de serre. Cette brillante découverte est l’œuvre d’un organisme né d’une initiative politique internationale (ONU), sous la tutelle de l’Organisation Météorologique Mondiale : l’International Panel on Climat Change, dont la traduction est Commission internationale d’enquête sur l’évolution du climat et en aucun cas Groupe d’Experts Intergouvernementaux du Climat. Et l’on ne compte dans cette commission que peu ou prou de véritables scientifiques en météorologie, climatique ou physique : la plupart des membres sont sans qualifications spécifiques en rapport avec le sujet, émanations politiques des gouvernements qui les ont mis en place.

    Dans la mission que lui à confié l’OMM, l’IPCC1.est « chargé d’évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et sociaux économiques qui sont nécessaires à la compréhension du phénomène climatique créé par l’homme […]. Il n’a pas mandat d’entreprendre des travaux de recherche, ni de suivre l’évolution des variables climatiques, ni d’autres paramètres pertinents. » !!!. (sic) Cette commission est en fait chargée de trier dans la masse des communications scientifiques, les éléments ponctuels qui pourraient étayer le postulat politique de la responsabilité humaine dans l’évolution du climat...

    Les prises de positions et les déclarations de « l’IPCC-Giec » sont contestées depuis vingt ans par la majorité du monde scientifique.

    En 2018, une pétition signée par 500 scientifiques de renommée internationale : Professeurs, prix Nobel, lauréats de nombreux prix, auteurs d’articles majeurs et universellement reconnus à dénoncé et rejeté ses conclusions, mettant en exergue les mensonges, les erreurs, les détournements partiaux. Dans le même sens et avec le même objectif plus de 31000 scientifiques de haut niveau ont signés l’Orégon Pétition.

    Si l’on y regarde de près, qui sont les bénéficiaires de «  la taxe carbone » qui est censée être payée par tous les émetteurs de CO²…en gros par toutes les activités humaines, industries, transports, chauffages…mais plus largement à tout ce qui vit, car le carbone étant le support de la vie sur terre, et tout ce qui vit rejette du CO² ?

    D’une manière générale à toutes les fabrications qui sont liées de près ou de loin aux actions pour la dite-préservation du climat : le rôle des fonds de pension méritent particulièrement d’être étudié : tout dans ce bas monde tourne autour « du pèze, du fric et du saint bénéfice » comme disait M. Audiard.

    Revenons sur quelques annonces : Le climat terrestre est soumis à de grands cycles dont les plus longs se calculent en milliards d’années et les plus courts en millions. Depuis 18000 ans nous sommes dans une période interglaciaire, dans laquelle des cycles de réchauffements et de refroidissements se succèdent. Comme on le voit, ces transformations ne sont pas à l’échelle humaine et le travail de lIPCC ne porte que sur les trente dernières années. Les premières études sur le climat ont été réalisées dès le 18ème par les Anglais. Cette étude portait sur la production céréalière, en fonction des années chaudes ou froides. Il est apparu une corrélation entre l’augmentation des tâches solaires qui suivent un rythme de 11 et de 22 ans, avec les bonnes années : preuve que l’activité solaire avait une influence sur le climat.. Les études paléo climatiques ont mis en évidence que les variations de températures ne dépendaient pas de la composition de l’atmosphère, mais des quantités d’énergies produites par la géologie planétaire provenant du soleil. Les nuages de poussières mis en suspension dans la mésosphère à plus de 50Km d’altitude par les éruptions volcaniques ont plus d’influence sur le climat que le l’O3 ou le CO².

    La montée des eaux : La fonte des banquises amènerait une rapide montée des mers, mais le théorème d’Archimède prouve le contraire ! La fonte des glaciers aurait le même effet, on oublie de dire que dans le même temps les continents, allégés se soulèvent. D’ailleurs dans les temps historiques nous avons connu des périodes où les glaciers étaient beaucoup plus réduits qu’actuellement : Les chroniques danoises rappellent qu’au 8ème siècle, le Groenland était une terre d’élevage et de culture vivrière qui n’était pas couverte de glace. Les chartriers de Savoie et de Suisse font état de baux d’alpages au 12 et 13èmesiècle, concernant des terres actuellement recouvertes de glace… ! Enfin l’académie des Sciences Australienne à récemment stigmatisé la manipulation des données concernant aussi bien l’évolution de la température que le niveau des océans : elle remarque notamment que les informations concernant la zone Pacifique sont trop partielles et trop mal réparties pour une exploitation raisonnable. Les Océans et les mers recouvrent 70% de la surface du globe, dont le Pacifique à lui seul 35%. Il y encore trop d’inconnues pour une modélisation fiable.. Quoi qu’il en soit, cela fait 70 ans que je vois la mer sur le littoral Noirmoutrin et si parfois, les tempêtes grignotent le rivage ou changent les sables de place, il n’y a pas dans mes données de calcul de navigation de changement apparent sur le niveau moyen des eaux .

    Par contre le « réchauffement » fait marcher le commerce : Éoliennes dispendieuses et non rentables qui dévastent et stérilisent définitivement la terre et les fonds marins, avec leurs fondations, là où elles s’implantent, avec une durée de vie d’environ 25 ans ! Panneaux solaires d’une durée de vie elle aussi d’une vingtaine d’années, qui posent de très gros problèmes de recyclages et ne produisent eux aussi que de manière aléatoire et discontinue. ;

    la voiture électrique qui doit remplacer les moteurs thermiques mais qui outre la nécessité de doubler la production d’énergie pour leur permettre de rouler, utilisent des batteries effroyablement polluantes lorsqu’on veut les recycler ; et dans le meilleur des cas ne permettent que des sauts de puce de 200Km entre deux recharges (2h de route 12h de charge : Paris – Strasbourg , 500Km -30h… !)

    Les fonds de pension américains ne se sont pas positionnés sur le moteur à hydrogène, comme ils le sont sur les éoliennes et sur la production du cuivre ! Quant à la production de terres rares et du silicium, elle reste la chasse gardée de la Chine qui ne reconnaît pas la propriété industrielle.

    Au lieu de fantasmer sur des phénomènes naturels que nous ne pouvons maîtriser, cessons de transformer notre planète en dépotoir et réduisons drastiquement nos déchets…mais cela intéresse beaucoup moins nos politiques, car cela entraîne un changement de consommation et a des répercutions dans l’industrie et les médias : moins d’emballages inutiles, plus de fiabilité des produits, consommation de productions locales, moins de transports, moins de publicité inutile et plus grave, rupture des incitations à un consumérisme effréné…

    Cela ne va pas dans le bon sens pour la grande finance qui rêve de populations lobotomisées incapables de réfléchir que l’on peut pressurer à merci avant de les jeter…

    Michel Roger

     

    1Depuis le départ des Américains, pourtant initiateurs de projet, Macron fait assurer par la France, donc avec nos impôts, 40% du budget de l’ IPCC ...

     

     

  • Les mensonges de Macron et de son gouvernement à propos du réchauffement climatique et du pouvoir d' achat n'ont pas berné les français !

    Le mouvement qui a endossé le gilet d’alerte est pour le moins hétéroclite. Il est un rassemblement de mécontents, ou peut-être même seulement d’insatisfaits. Ils ne comprennent plus le langage présidentiel qui a dit tout et fait tout le contraire.

    Le chef de l’Etat avait promis une augmentation du pouvoir d’achat et elle n’est pas là. Il annonce 25 milliards de baisse des prélèvements obligatoires et la réalité est qu’il y en aura 11,9 de plus, 37 Md€ d’écart !

    Les gens ordinaires n’ont pas besoin de calculs compliqués et d’un décryptage réservé aux initiés des budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale pour se rendre compte que l’essence est plus chère à la pompe et leur fin de mois plus difficile. Il a exonéré, avec retard sur le calendrier initial, les salariés de cotisations maladie et chômage, mais n’en profitent pas les retraités, les chômeurs, les bailleurs…

    De l’exonération de taxe d’habitation, 20% en sont privés de manière discriminatoire, et les personnes non imposables à l’impôt sur le revenu qui en étaient déjà exonérés en tout ou partie, n’en profitent pas non plus ou guère !

    Il a joué aux chaises musicales pour masquer l’incapacité de l’Etat à réduire ses dépenses.

    Et il continue en laissant déjà entrevoir une réforme des retraites qui amputera les pensions de réversion et ne remettra pas en cause la répartition qui précipitera inéluctablement la pauvreté de pensionnés de plus en plus nombreux quand les actifs le seront de moins en moins. Rien n’a été fait dans le bon sens et la violence qui les déborde exprime aussi le ras le bol des gilets jaunes.

    Bien sûr chaque parti politique essaie d’accaparer ce mécontentement si bigarré que les partis y trouvent tous un peu de leur programme, pour rétablir l’ISF et une plus grande progressivité de l’impôt sur le revenu avec les Insoumis, s’opposer aux immigrants avec le RN ou sauver le petit commerce en taxant les gros avec LR. Seuls LREM essuie les plâtres tandis que les écolos restent cois en attendant que passe l’orage pour reprendre leur folle construction d’un Etat toujours plus puissant afin de combattre "leur monstre du Loch Ness" qui réchauffe la terre (mensonges sur le réchauffement climatique habilement élaborés par les mondialistes via le GIEC avec de surcroît les taxes CO2 ...) .

    Mais cela ne saurait satisfaire les foyers ordinaires qui vivent autrement la réalité de leur quotidien !

     

     

    Ce serait l’occasion de remettre à plat un système déboussolé qui a encore créé 11 taxes, pour plus de 11 Md€, depuis le début de ce mandat et qui continue.

    L’opposition de droite n’est pas en reste : dernièrement Gilles Carrez a demandé l’augmentation de la taxe de bureau et de la taxe de séjour pour financer le budget du Grand Paris Express et le Sénat a voté ces derniers jours, à la demande du groupe Les Républicains (LR), le relèvement, repoussé à l’Assemblée par la majorité LREM, de 13,27 % à 18,02% en 2019 de la taxe sur les complémentaires santé, ce qui aurait pesé sur les assurés pour 1,5Md€.

    Mais de son coté l’Assemblée nationale dévouée au président de la République a voté l’augmentation de la taxe générale sur les activités polluantes qui passera de 450 millions d’euros en 2017 à environ 800 millions en 2025.

    Et plus les impôts augmentent, plus il faut créer de dérogations pour en atténuer les effets avec des crédits pour ceux qui payent trop de CSG ou de TICPE ou qui accueillent des migrants… Ce qui n’empêche pas les parlementaires de s’adonner à des futilités pour interdire les fessées, pourchasser les éventuelles fake news qui les gênent, imposer l’égalité hommes/femmes de manière artificielle, mais sonnante et trébuchante, dans les entreprises…