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politique migratoire de la france

  • La politique migratoire suicidaire de la France mise en place et voulue par nos dirigeants !

    Tous les experts de l’antiterrorisme avaient pourtant mis en garde l’Etat : cinq ans après les tueries islamistes de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, le procès en cours des complices des auteurs de ces deux sanglants attentats et la republication à cette occasion de ses caricatures de Mahomet par le journal satirique, qui ont récemment suscité de nouveaux appels au meurtre de la part d’Al-Qaïda, faisaient, plus que jamais peut-être, peser sur notre pays la menace d’un nouvel attentat islamiste. Une mise en garde qui, faute d’avoir été suffisamment prise au sérieux et surtout suivie de la mise en place par le gouvernement d’importantes et très strictes mesures de précaution, n’aura, hélas, pas suffi à empêcher l’un de ces milliers de djihadistes présents sur notre sol de passer à l’acte et de blesser grièvement au hachoir deux personnes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, au 10 de la rue Nicolas-Appert.

     

     

     

    L' islam, « religion d’amour » à l’œuvre…

     

    Vendredi en fin de matinée, alors que ces deux collaborateurs du magazine de France 2 « Cash Investigation », employés par la société de production Premières Lignes, fumaient tranquillement une cigarette au pied de l’immeuble où ils travaillent, et où était aussi hébergée jadis la rédaction de Charlie Hebdo, ils ont vu subitement débouler sur eux un individu « de type pakistanais » armé d’un hachoir, qui s’est alors mis à les frapper « avec une hargne et un acharnement inouïs ». Alertés par les hurlements, leurs collègues se sont alors rués à la fenêtre de l’immeuble, depuis laquelle ils ont aperçu l’un de leurs deux amis, « déjà blessé et même ensanglanté », poursuivi dans la rue par l’islamo-terroriste qui voulait de toute évidence achever sa victime, mais s’est finalement vu contraint de prendre la fuite. Transférées en « urgence vitale absolue » à l’hôpital Georges Pompidou et à celui de la Pitié Salpêtrière, les deux victimes de cette attaque barbare, une femme de 27 ans et un homme de 30 ans, étaient fort heureusement lundi matin tirées d’affaire, mais promis, hélas, à de très lourdes interventions de chirurgie reconstructrice.

     

    Youssef, le « héros » inespéré des grands médias

    Quant à Ali Hassan, l’agresseur islamiste au profil une fois de plus emblématique (voir l’article ci-dessous), il a été interpellé vers 12 h 30 sur la place de la Bastille, les vêtements couverts de sang, par des agents de l’important dispositif policier rapidement déployé dans tout l’arrondissement, qui ont également réussi à mettre la main sur le hachoir dont s’était débarrassé le djihadiste dans sa fuite. Un peu plus tard, on apprenait l’interpellation d’un deuxième individu, Youssef, un Algérien de 33 ans en situation irrégulière, suspecté un temps de complicité parce qu’aperçu en compagnie du coupable sur les images de vidéosurveillance, mais rapidement relâché par les enquêteurs auxquels il aurait expliqué avoir cherché à convaincre Ali Hassan de se rendre.

    Un cas qui fait aujourd’hui le bonheur des grands médias islamophiles, qui réclament bien sûr pour lui l’attribution de la nationalité française et s’échinent lamentablement à le faire passer pour un « héros », histoire de faire croire à nos compatriotes que l’islam n’aurait évidemment rien à voir avec de tels actes barbares !


     

    Cas de l’islamo-terroriste pakistanais Ali Hassan

    Emblématique d’une politique migratoire suicidaire

    Alors que les premiers éléments de l’enquête ouverte vendredi par le parquet national antiterroriste pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste » commencent à fuiter dans les médias, et que l’on en sait un peu plus sur le profil d’Ali Hassan, force est de constater qu’une fois de plus l’auteur de l’attaque djihadiste de la rue Nicolas-Appert aura bénéficié, tout au long de son parcours, non seulement de la politique d’immigration suicidaire de notre pays, mais en outre de la générosité inimaginable de celui-ci à l’égard des clandestins et de son incroyable laxisme judiciaire.

    Entièrement pris en charge par la France !

    C’est ainsi que ce Pakistanais, né officiellement « en 2002 » à Mandi Bahauddin au Pendjab, a tranquillement débarqué sur notre sol en août 2018.

    Se présentant comme l’un de ces fameux « mineurs isolés » que leurs parents envoient chez nous en précurseurs, il a alors été, bien que visiblement plus âgé qu’il ne le prétendait, immédiatement pris en charge par l’aide sociale à l’enfance du Val-d’Oise, comme l’impose la très laxiste réglementation française.

    Très sceptique quant à sa minorité, le département a fini par contester celle-ci devant la justice. En vain : selon Le Parisien, en juillet 2019, le tribunal pour enfants de Cergy-Pontoise confirmait sa prise en charge par l’ASE. Mieux : le juge des enfants chargé de l’affaire refusait même de procéder à des examens médicaux de probation permettant de déterminer l’âge réel d’Ali Hassan ! Une décision qui a permis cet islamo-terroriste d’être nourri, logé et blanchi avec l’argent du contribuable français, qu’il rêve aujourd’hui de décapiter, jusqu’à sa prétendue majorité en août dernier !

    Aucune leçon tirée depuis 2015

    Certes, comme aiment à le répéter aujourd’hui les grands médias islamophiles, Ali Hassan était jusque-là inconnu de nos services de renseignements pour « radicalisation ». Mais il faut tout de même souligner que cet individu était en revanche déjà connu de la justice puisqu’il avait été interpellé, lors d’une rixe en juin dernier dans Paris, par la brigade des réseaux ferrés, en possession d’un tournevis. Une affaire grave qui ne lui avait pourtant valu qu’un simple rappel à la loi…

    Bref, à l’heure où se tient le procès des attentats de janvier 2015, le cas d’Ali Hassan, qui a officiellement revendiqué samedi son geste devant les enquêteurs et avait même préparé une vidéo dans laquelle il expliquait vouloir « venger le Prophète », prouve une fois de plus à tous ceux qui pouvaient encore en douter que, par idéologie ou par un aveuglement totalement suicidaire, aucune véritable leçon n’a été, hélas, tirée par l’Etat depuis les carnages islamistes de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher.