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macron et les macronistes

  • Les macronistes .

    Macron, un « Juppé de gauche », selon le mot, 
    je crois, de Jean-Luc Mélenchon ? Ou, sans re­
    monter au général Boulanger dont on connaît la 
    fin piteuse, un Deferre, le « Monsieur X » lancé 
    naguère par L'Express, et dont on connaît la 
    chute après la campagne-éclair qui l'avait por­
    té vers le sommet? Pourquoi pas - tout simple­
    ment - un "amacronisme	 un amachronisme 
    "si l'on préfère (que l'on me pardonne ces néolo­
    gismes !) doublé d'un ''inaptocrate'' ? Une chose 
    est certaine, c'est que les gens de gauche (ce ne 
    sont pas tous des ''bobos'' ou des Bergé ni même 
    des saltimbanques du show-biz ou de la télé !) ou 
    même ceux de droite qui sont séduits par le per­
    sonnage qui se prétend ni de gauche ni de droite 
    sans oser se dire "centriste	 et encore moins un 
    "Français doublé d'un patriote, devraient lui p0- 
    ser la question: « Dis-moi d'où tu viens, dis-moi 
    qui te soutient,je te dirai qui tu es ? », avant de 
    voter pour celui qui ne connaît de la vie profes­
    sionnelle que les bureaux de Rothschild et ceux 
    que la République met à la disposition de ses 
    hiérarques, et qui, chaque fois qu'il parle du 
    ''peuple'' (le vrai, peu importe qu'il soit de droite 
    ou de gauche !) montre le mépris qu'il a pour lui. 
    
    Parmi les soutiens du favori des sondages : les 
    loges. Mais aussi les media qui ont pour lui les 
    mêmes yeux que ceux qu'ils avaient pour Hillary 
    Clinton ... Et également les «grands financiers » ••• 
    Tel Patrick Drahi, juif marocain vivant en Suisse , à la 
    tête d'une fortune estimée à 14 milliards d'eu­
    ros, propriétaire de SFR, de Next Radio (BFM 
    TV), d' ALTICE-MEDIA (L'Express et Libé) et 
    dont un collaborateur, Bernard Mourad, ancien 
    de la banque d'affaires Stanley Morgan, est de­
    venu le conseiller spécial du financement de sa 
    campagne. Sans parler de tous les opportunistes 
    qui - de façon désintéressée ou non - ne vou­
    lant pas être en retard dans le train de la ''moder­
    nité" et du ''progressisme'', se rallient au fur et à 
    mesure : Roland Castro, Ajain Minc, l'inusable 
    Line Renaud, Pierre Bergé, Daniel Cohn-Bendit, 
    Jacques AttaIi, Geneviève de Fontenay, tous des 
    «vieux de la vieille », En attendant DSK ? 
    
    Les macronistes - je parle des macronistes 
    de base, les anonymes -, ceux qui, de "droite" 
    ou de "gauche	 sont les éternels cocus des élec­
    "tions - devraient d'autant plus se méfier que 
    leur chevalier blanc, celui qui promet de sau­
    ver le pays sans dire comment il va s'attaquer 
    à toutes les casseroles (le déficit, les dettes, le 
    chômage, la sécurité, l'immigration) accro­
    chées par la ''République'' aux basques de la 
    France, sort de chez Rothschild (l'un des piliers 
    du mondialisme le plus dur !), tout comme na­
    guère feu le président Pompidou. Et se rappeler 
    qu'on doit à ce dernier la ruineuse autant que 
    liberticide Loi que les initiés appellent la Loi 
    Pompidou-Rothschid, laquelle, pour "obéir" à 
    Bruxelles, a imposé à l'Etat de ne plus emprun­
    ter à la Banque de France, mais à des banques 
    privées. Ce qui a mis les finances de la France 
    entre les mains de la finance internationale 
    (par définition sans patriotisme aucun) auprès 
    de laquelle l'Etat a accumulé une dette colos­
    sale qui a généré un total énorme d'intérêts. 
    Des intérêts que les Finances publiques exsan­
    gues peinent à rembourser. Alors que la banque 
    d'Etat prêtait sans intérêts. 
    
    Et, pour en terminer avec «l'Emmanuel», 
    le faux Messie de la ''République'', une chose 
    est certaine, c'est que ce faux jeune homme, en 
    complet veston, qui sait hurler à la façon des 
    tribuns d'autrefois devant quelques milliers de 
    personnes en extase comme s'ils étaient face à un 
    Johnny, est un libéral. Mais « un libéral de I'An­
    gleterre des années 1830 » (je précise bien «des 
    années 1830»), selon le mot récent de Frédéric 
    Farah, un économiste, sur RMC . Alors, gare à 
    la "macronite aiguë" ! Et à des lendemains électo­
    raux qui, une fois de plus, risquent de déchanter! ...