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macron et les gilets jaunes

  • Macron et les Gilets Jaunes .

    Gilets jaunes : le pouvoir met le feu aux poudres !

    AURAIT-IL VOULU mettre le feu aux poudres et donner une nouvelle dynamique au mouvement des gilets jaunes que le pouvoir ne s’y serait pas pris autrement. Dans ses vœux pour le Nouvel An, un exercice qui requiert de la hauteur, de la pondération et la recherche de la concorde et de l’apaisement, le président de la République s’est en effet lancé dans une violente attaque contre l’actuel mouvement de protestation populaire, la colère se lisant sur son visage : « Je dois le dire, j’ai vu ces derniers temps des choses impensables et entendu l’inacceptable. Nous ne vivons libres dans notre pays que parce que des générations qui nous ont précédé, se sont battues pour ne subir ni le despotisme, ni aucune tyrannie. Et cette liberté, elle requiert un ordre républicain ; elle exige le respect de chacun et de toutes les opinions ; que certains prennent pour prétexte de parler au nom du peuple — mais lequel, d’où ? Comment ? Et n’étant en fait que les porte-voix d’une foule haineuse, s’en prennent aux élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels, c’est tout simplement la négation de la France ! ».

    Qualifier de « foule haineuse » des gilets jaunes qui demandent à vivre du fruit de leur travail et qui protestent contre des impôts et des taxes qui confinent à la spoliation en dit long sur la personnalité de ce président arrogant et méprisant. Lors de son allocution du 10 décembre, l’homoncule était tellement apeuré face à la détermination de la rue qu’il s’était montré beaucoup moins hautain et qu’il avait distribué quelques pièces jaunes dans l’espoir de sauver son trône, sa place et sa peau. Pensant que la trêve des confiseurs avait affaibli le mouvement et que le pire était derrière lui, il n’a pu s’empêcher pour la Saint Sylvestre d’insulter le peuple, le naturel revenant au galop. 

    En prenant ouvertement le parti de l’étranger, du juif, de l’homosexuel — qui ne sont nullement pris pour cibles par les gilets jaunes, que je sache ! —, ce pouvoir montre clairement qu’il est l’émanation et le serviteur des Etats confédérés que dénonçait Maurras en son temps, qu’il est un gang judéo-maçonnique et pédérastique au service de la finance apatride et cosmopolite et de la destruction de notre civilisation et de nos traditions.

    Quand Macron ose dire que les manifestants sont la négation de la France, il ment car les gilets jaunes sont précisément des Français de souche, le plus souvent provinciaux, de catégories populaires ou de classes moyennes, qui souffrent, qui se sentent et se savent dépossédés, qui comprennent qu’on les manipule et qu’on les trompe, même s’ils ne connaissent pas forcément les arcanes du système politique actuel, qui sentent confusément qu’on les conduit à la ruine et à l’asservissement et qui ne veulent pas mourir ni vivre en esclaves.

     

    C’EST MACRON et sa misérable clique de mafieux et d’invertis mentaux et sexuels qui sont la négation de la France, de son histoire, de son passé, de ses racines, de son génie, de sa foi, de ses mœurs, de son être historique.

    Lui, la créature d’Attali et des Rothschild, qui n’a nulle progéniture (il est d’ailleurs frappant que la plupart des dirigeants européens aujourd’hui n’aient pas le moindre enfant, de Merkel à Macron en passant par Theresa May) et qui est marié à une femme qui pourrait être sa mère est une honte pour notre pays et son renversement, ou son départ, est une impérieuse nécessité. Ce n’est d’ailleurs pas seulement de Macron et de son gouvernement qu’il faut se débarrasser, c’est ce régime abject et contre-nature qu’il faut détruire. Il faut un changement radical de régime et la mise à bas de cette Ve République, imposée par l’imposteur et traître De Gaulle, une Gueuse qui s’est acharnée depuis soixante ans à détruire l’entreprise, la nation, la famille, la morale, la religion par des lois scélérates, liberticides et mortifères, par la financiarisation de l’économie, la suppression des frontières physiques et morales, le rejet de la morale et de la doctrine chrétiennes et l’imposition de nouveaux dogmes et de nouveaux interdits qui nous étouffent, nous spolient, nous oppriment et nous tuent. 

    Loin de faire marche arrière et d’entendre la colère légitime des gilets jaunes qui jusque-là tiennent bon malgré le froid, la fatigue et très souvent les coups d’une police régimiste qui semble plus courageuse quand il s’agit de frapper des Français de souche que des racailles de banlieue (on s’en était déjà rendu compte lors des Manifs pour tous où les forces de l’ordre avaient gazé même des personnes âgées pacifiques et des familles avec enfants !), le gouvernement, par la voix du Premier ministre Edouard Philippe, a annoncé le 7 janvier le vote d’une nouvelle loi donnant plus de pouvoir aux forces de l’ordre et permettant de sanctionner plus durement les manifestants jugés radicaux. Le gouvernement prend prétexte du défoncement par un engin de chantier de la porte du secrétariat d’Etat rue de Grenelle lors de l’Acte VIII des gilets jaunes le 5 janvier et de l’exfiltration subséquente de Benjamin Griveaux, un intime de Macron après avoir été un très proche de Dominique Strauss-Kahn (que du beau linge !), pour monter d’un cran dans la répression. Drôle de façon d’engager un dialogue qui a pourtant été annoncé solennellement par le chef de l’Etat et qui doit en principe durer plusieurs mois ! Quand Griveaux dit que l’on s’en est pris à « la maison France », il déraisonne. S’en prendre, même symboliquement, à son ministère, c’est attaquer l’anti-France. Et les nationalistes conséquents ont tout intérêt à l’affaiblissement et au renversement de cette République de coquins, de gredins et de faquins.

     

    DE GRÂCE, que l’on ne vienne pas en faire des tonnes sur la violence des gilets jaunes. Les méthodes de répression des manifestations ne sont-elles pas brutales avec des personnes grièvement blessées, énuclées, mutilées ?

    Et ce régime n’est-il pas né de la violence et du crime, ceux de la Révolution dite française, ne s’est-il pas maintenu par d’odieuses persécutions religieuses et politiques sous la IIIe République (guerre contre l’Eglise catholique, suppression des ligues, etc.) ? Ne s’est-il pas roulé dans la fange de l’épuration sous la IVe République, n’a-t-il pas été criminel sous la Ve à l’égard des Français d’Algérie et des harkis ? On nous parle de violence contre des journaux et des journalistes mais n’a-t-on pas interdit des périodiques, réquisitionné leurs locaux, privé de leurs biens leurs légitimes propriétaires lors de la Libération, n’a-t-on pas traîné en justice, fusillé ou condamné à l’indignité nationale ceux qui se retrouvaient dans le camp des vaincus ? Or cette violence et ces injustices, bien réelles, ne sont jamais condamnées, et pour cause, par ceux qui nous dirigent.

    Et que dire de la violence permanente qui est imposée de nos jours par le pouvoir ? La violence d’une immigration de remplacement qui nous condamne à la servitude à brève échéance sans un bouleversement radical des politiques menées.

    La violence du massacre de masse des enfants à naître et qui constitue un véritable génocide. La violence de législations détruisant la famille, glorifiant les inversions et toutes les perversions. La violence d’une imposition confiscatoire qui fait de la France le champion des prélèvements et des taxes en tous genres. La violence des délocalisations. La violence de la répression qui fait qu’on ne peut plus parler librement d’un nombre chaque jour plus grand de sujets, que l’on ne peut plus rouler tranquillement en voiture, les routes et autoroutes étant jalonnées de milliers de radars automatiques (mis hors d’état de nuire pour certains d’entre eux par de vaillants gilets jaunes), que l’on est bon à payer toujours plus et à se taire. Il y en assez de cette tyrannie. Nul ne sait sur quoi débouchera ce mouvement des gilets jaunes. Il peut en sortir le pire comme le meilleur. Mais pour une fois que des Français bien de chez nous ne se laissent pas faire, résistent, se révoltent, ayant perdu toute confiance envers un pouvoir oppresseur, menteur et malfaisant, il serait stupide de s’en désolidariser. Le jaune est la couleur du soleil, de la lumière, de l’espoir. Que de la nuit actuelle jaillisse l’aurore d’un nouveau monde, c’est la grâce qu’il nous faut souhaiter à l’orée d’une année qui s’annonce explosive. Sans illusions excessives mais avec toute la force de notre volonté, de notre énergie et de notre foi.

    Jérôme BOURBON.

  • Macron, sa stratégie du pourrissement et du chaos .

     

    IL FAUT SE PINCER pour y croire. Lors de sa conférence de presse en clôture du G20 en Argentine le 1er décembre, Emmanuel Macron n’a pas eu un mot pour les centaines de milliers de gilets jaunes qui expriment leur colère et leur détresse depuis la mi-novembre, il n’a pas développé une seule proposition, ni manifesté la moindre empathie, se contenant de condamner les pillages qui ont eu lieu en marge de la manifestation parisienne des gilets jaunes et balayant d’un revers de la main méprisant les questions sur ce sujet.

    C’est à se demander si la créature des Rothschild et d’Attali n’a pas totalement perdu le sens du réel. A force de ne fréquenter que des dirigeants de startups et des millionnaires, l’ex-banquier semble incapable de mesurer l’intensité de l’exaspération populaire. Même les préfets nommés par le pouvoir expriment pourtant leurs inquiétudes voire leur désarroi dans les colonnes du Monde sous le sceau de l’anonymat, ne comprenant pas l’autisme du Président et du gouvernement, le rocardo-juppéiste Edouard Philippe rappelant le Juppé de novembre-décembre 1995 qui se disait « droit dans ses bottes » et qui a tenu tête un mois durant aux manifestants contre la réforme des retraites du secteur public avant de céder. « Ce qui se passe est le fruit d’années de fragmentation de la société française, juge l’un des préfets. Pour l’heure, la réponse de l’exécutif est à côté de la plaque. » « Je suis très inquiet car le pouvoir est dans une bulle technocratique, renchérit un autre. Ils sont coupés de la France des braves gens qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois. Ils n’ont aucun code et aucun capteur. Nous, les préfets, pourrions leur donner des éléments mais ils ne nous demandent rien. Quand ils viennent sur le terrain, c’est parés de leur arrogance parisienne. »

    Que des préfets chargés d’exécuter les ordres du gouvernement déclarent cela au quotidien vespéral éclaire sur la gravité d’une situation que plusieurs représentants de ce corps de hauts fonctionnaires décrit comme « explosive et quasi insurrectionnelle », voire « pré-révolutionnaire ».

    Un mouvement des gilets jaunes qui regroupe des profils très différents : « Dans mon département, analyse un préfet, le mouvement agrège des travailleurs pauvres, des retraités avec de petites pensions qui s’estiment touchés dans leur dignité, des dirigeants d’entreprise de travaux publics confrontés à des hausses de prix des carburants et des patrons de sociétés de petite taille, qui affirment ne pas s’en sortir. » C’est une révolte des classes moyennes, des classes populaires et de la petite bourgeoisie contre l’oppression fiscale, l’augmentation continue des taxes et des impôts qui conduit à une perte très sensible du pouvoir d’achat et qui crée des conditions de vie de plus en plus difficiles.

     Il semble qu’un point de non-retour ait été franchi et que l’exaspération soit aujourd’hui à son comble. C’est qu’à l’approche de Noël beaucoup de parents disent qu’ils n’ont pas de quoi glisser un cadeau sous le sapin pour leur progéniture, qu’ils n’arrivent plus à joindre les deux bouts, qu’on leur parle fin du monde alors qu’eux s’angoissent pour leur fin de mois. L’augmentation du prix de l’essence et du diesel touche de plein fouet tous ceux qui habitent loin des centres villes, faute souvent de moyens, et qui doivent parcourir des kilomètres pour aller à leur travail, surtout en province. La voiture est pour la plupart des Français une nécessité. Diaboliser la voiture diesel ou essence, accroître sans cesse les taxes, exhorter à acheter des voitures électriques est incompréhensible, inacceptable, inaudible. 

     

    LE POUVOIR politique a rejeté bruyamment la morale chrétienne et les dogmes religieux mais il impose sans cesse de nouveaux dogmes dont la contestation est interdite : le dogme holocaustique, le dogme réchauffiste, le dogme de la transition énergétique et écologique, du développement durable, du commerce équitable, autant d’éléments de langage auxquels on nous demande d’adhérer les yeux fermés et qui impliquent que l’on paye toujours davantage !

    Au moyen de réparations, de taxes, d’amendes, d’impôts supplémentaires. Au profit exclusif des multinationales et de la finance internationale. L’alliance de la science, des puissances d’argent et des politiciens est chaque jour davantage une catastrophe absolue car l’on ne gouverne plus en fonction de l’intérêt général, du bien commun, on n’a plus souci du bien, du beau et du vrai, on sert exclusivement des intérêts mercantiles, par exemple les laboratoires pharmaceutiques avec l’industrie du cancer (chaque président a présenté en début de mandat son plan anti-cancer), les banques d’affaires de Wall Street et de la City avec le remboursement des intérêts de la dette. 

    On ne dira jamais assez de mal de la loi Pompidou-Giscard-Rothschild du 3 janvier 1973 qui a fortement contribué à l’endettement du pays en contraignant l’Etat à emprunter sur des marchés privés avec des taux d’intérêts prohibitifs alors que la Banque de France prêtait à l’Etat de très fortes sommes sans intérêts.

    La France a aujourd’hui une dette de 2 300 milliards d’euros. Au deuxième trimestre 2018, elle a encore augmenté de 1,1 %. L’endettement de la France équivaut à 99 % du PIB. C’est-à-dire que le montant de la dette publique est aussi élevé que toutes les richesses produites par la France en un an, c’est inouï ! Et la France a déjà payé plus de 1 400 milliards d’euros d’intérêts à des prédateurs financiers depuis quarante ans. Au détriment du peuple, du développement, de la richesse du pays. Il est important de poser les bonnes questions : on fait payer au peuple les intérêts de la dette avec une surfiscalisation des carburants mais d’où vient la dette, qui la fait payer, et qui la touche ? A quoi servent les 252 taxes qui existent en France ? De la réponse donnée à ces questions dépend en partie la suite des événements. 

    On aura en tout cas noté que les représentants et amis de la finance anonyme et vagabonde ont tout de suite compris que le mouvement des gilets jaunes menaçait leurs intérêts. Aussi ont-ils réagi rapidement et sans nuance. Le B’nai B’rith qui ne s’exprime de manière publique que rarement a jugé urgent dans un communiqué de dénoncer le populisme qui pourrait incendier la République car le B’nai B’rith sait bien que la République en France est par essence judéo-maçonnique et que ce qui menace la République n’est pas bon pour la communauté. Bernard-Henry Lévy, Alain Finkielkraut, les cinéastes Goupil et Kassovitz ont manifesté leur mépris et leurs inquiétudes à l’égard des gilets jaunes car ils sentent confusément que ce mouvement populiste a des relents antisémites. De même que M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir, les gilets jaunes combattent à leur insu l’étoile jaune.

     

    D’OÙ la stratégie de pourrissement et du chaos tentée par le pouvoir.

    Les violences et les pillages du 1er décembre à Paris montrent que les parasites du bas (les antifas, les Black Blocs et les racailles de banlieue) qui sont généralement des assistés vivant d’aides sociales, de RSA et qui se moquent éperdument des revendications des gilets jaunes et de la détresse populaire, sont les alliés objectifs des parasites du haut (le gang Attali, Rothschild et consorts). N’importe qui peut revêtir un gilet jaune sans rien avoir de commun avec ce mouvement d’essence essentiellement poujadiste. Il s’agit pour le pouvoir de laisser les violences et pillages se donner libre cours pour rendre le mouvement impopulaire, le discréditer, le dévoyer, et ainsi le tuer dans l’œuf. 

    Il n’est pas sûr cependant que la stratégie soit payante au final vu le degré d’exaspération d’un grand nombre de nos compatriotes. Et même ceux qui ont fait preuve de retenue jusque-là pourraient se montrer plus vindicatifs demain si le pouvoir s’obstine dans son arrogance et son mépris. La Manif pour tous qui était très propre sur elle et n’a commis aucune violence ni déprédations a échoué malgré les millions de Français qui ont défilé. Le « mariage pour tous » a été voté, promulgué et appliqué, y compris par les édiles qui avaient manifesté contre. Sans nullement se confondre avec les casseurs et les pilleurs professionnels, du type Black Blocs, des Français exaspérés et pensant n’avoir plus rien à perdre pourraient perdre patience et devenir eux aussi très turbulents en réponse à la violence qui leur est opposée par les pouvoirs publics depuis des décennies (impôts massifs, Grand Remplacement, destruction de la famille et de la civilisation, théorie du genre…) Il suffit parfois d’une allumette (l’augmentation de la taxe sur les carburants) pour qu’un incendie se déclare et dévaste tout sur son passage.