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les banques de macron

  • Macron et Mélenchon sont synonymes de la mort de la France .

    Il y a des images qui tuent. L’image qui s’est affichée dimanche 10 avril, à 20 heures, sur les écrans des télévisions françaises, est de celles-ci. Elle restera dans les annales.

    Elle a tranché net la tête à des espérances de renouveau pour un peuple méprisé, de délivrance pour un pays envahi et dévasté, de redressement pour une nation égarée, de réhabilitation et de purification pour une histoire et une culture souillées.

    Elle a tué l’espoir d’une reconquête tant désirée et tant souhaitée. Tant désirée pour que nos parents et grands-parents la vivent pleinement avant de se séparer de ce monde. Tant souhaitée pour l’avenir de nos enfants et nos petits-enfants.

    Elle a réduit à néant les initiatives pour le sauvetage de la France naufragée.

    Elle marque la fin de la France.

    Deux visages sur l’écran.  L' émétique Macron et Marine. Et c’est la fin d’un rêve. Un rêve brusquement interrompu et condamné à disparaître.

    Puis vient la tronche d’un autre fossoyeur de la République, un croque-mort de la France,  l' islamo collabo Mélenchon.

    Ils ont été désignés pour cette tâche suivant les vœux exprimés par le peuple français lors du scrutin du 10 avril.

    Le peuple français est généreux et reconnaissant. Il avait comme options de choisir entre la déchéance et le renouveau, entre la décadence et le redressement, entre la vie et la mort.

    Il a choisi la mort. C’est moins fatigant que le renouveau et le redressement. La mort avec Macron et Mélenchon. Il a rejeté la vie. En tirant à bout pourtant sur Zemmour avec "7 balles dans la tête".

    Le pauvre Zemmour, patriote parmi les patriotes, n’osera certainement plus jamais s’aventurer sur ce terrain où ceux à qui il veut redonner la vie veulent sa mort.

    On lui a bien fait comprendre que le terrain doit être laissé à ceux qui veulent enterrer la France et son histoire. Parce que la France a été condamnée à mort, sans possibilité de faire appel.

    Condamnée parce qu’elle se retrouve sur le chemin de l’islam, qui ne tolère nulle autre loi que celles d’Allah, et sur le chemin de la globalisation qui sous-tend l’immigration massive et l’abandon de la souveraineté.

    Allah et la globalisation sont aujourd’hui des intimes qui se tiennent bras dessus, bras dessous.

    Le peuple français avait décidé, ce 10 avril, que l’Espoir ne lui convenait pas.

    C’est une décision irrémédiable.

    On peut obliger un peuple à se soumettre, mais pas à espérer.

    L’espoir, on l’a ou on ne l’a pas. Le peuple Français ne l’a pas. Il préfère la soumission.

    C’est son droit le plus absolu.

    On imagine Macron ricaner en lisant ces lignes.

    Il est extraordinaire de constater que les deux acteurs de la vie politique française qui veulent enterrer la France obtiennent à eux deux près de 50% des suffrages, soit la moitié des électeurs, alors que celui qui veut la sauver, Zemmour, n’ a obtenu que 7% !

    Le verdict est clair : 50% des Français veulent être enterrés.

    Les deux « acteurs » qui veulent la mort de la France, ce sont Macron (27,8) et Mélenchon (22). Deux noms qui commencent par « M », comme la mort.

    Les deux hommes poursuivent des objectifs différents mais qui se rejoignent.

    Ce sont les banques pour Macron, le laquais des Rothschild. Les mosquées pour Mélenchon, l’homme le plus dégoûtant de toute la classe politique française.

    Tous les deux sont adoubés par ceux qui veulent s’emparer de la France après sa mise à mort.

    Ils ont terrassé la bête immonde qui se dressait sur leur chemin.

    Les banques et les mosquées se tiennent bras dessus, bras dessous.

    Elles dansent la java.

    Elles sont heureuses.

    La France est morte et les Français sont soumis.

    La soirée du 10 avril fut réellement une soirée d’enterrement, un enterrement prémédité.