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juppé

  • Projet macroniste : rassembler "du juif Cohn-Bendit au franc-maçon Alain Juppé", tout un programme !

     

     

    Christophe Castaner, le délégué général du parti présidentiel La République en marche (LREM), a dévoilé ses ambitions pour les prochaines élections européennes.

     

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    L’idée maîtresse : continuer à phagocyter les autres partis politiques, à les vider, à en absorber la moelle pour ne laisser que des coquilles vides. Bien sûr, c’est dit autrement, plus pudiquement, en parlant de « projet d’ouverture« ...

    Après ses déclarations lors de son intronisation à la tête du parti en novembre puis de son intervention lors du congrès du MoDem en décembre, Christophe Castaner va plus loin.

    «Nous allons continuer ce rassemblement jusqu’aux européennes avec ceux qui croient profondément en l’Europe», a-t-il déclaré.

    Puis Castaner ajoute qu’il souhaite une alliance «de Daniel Cohn-Bendit à Alain Juppé», avec ceux qui partagent «la même ambition progressiste exigeante et jamais béate pour l’Europe»...

     

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    D’ailleurs, il annonce qu’une «grande marche pour l’Europe» sera lancée par le parti.

    Drôle d’idée, tout de même, de vouloir recycler ces deux vieilles badernes de la politique que sont Daniel Cohn-Bendit et Alain Juppé. Après avoir prétendu que LREM allait apporter du sang neuf et avoir envoyé à l’Assemblée nationale une incroyable quantité d’incompétents, voilà que ce parti se retourne vers des personnages usés.

    On sait bien que cela va être l’anniversaire de Mai 68, mais quand même… D’ailleurs, cela va permettre de ressortir quelques dossiers…

    En attendant, certains se demandent si Cohn-Bendit et Juppé sont compatibles. Mais Emmanuel Macron est d’une telle élasticité qu’il est bien capable de concilier tout et son contraire.

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  • NICOLAS Hulot a toujours été un charlatan .

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    La seule différence entre hier et aujourd'hui, c'est que le voilà au pied du mur. Il va falloir qu'il cesse d'enfumer le monde comme il a toujours fait. Devenu l'invraisemblable démiurge qui peut seul sortir le macronisme du guêpier dans lequel il s'est fourré, en parvenant à convaincre la majoritédes Français que sa nouvelle société les sauve­ra (biodiversité, transition écologique, énergies renouvelables, réduction des inégalités dans le monde, solidarité avec les réfugiés climatiques, agriculture responsable et biologique, relance globale par le développement durable, l'écono­mie "verte" et la fiscalité écologique, lutte contre le changement climatique, les pollutions, la dé­sertification, la raréfaction de l'eau, les famines etc.). 

     

    Par une mystification puissamment médiatisée, le jupitérien farceur a pu tromper 14 ou 15 % des Français, la partie la plus stupide ou la plus cor­ruptible d'entre eux. Puis convaincre les autres soit de voter contre ses adversaires, soit de rester chez eux par lassitude de la chose politique, per­suadés qu'ils n'avaient aucun moyen de mettre fin à ce canular. Mais il va bien falloir passer au concret.

     

    La duperie et la simulation se sont pas perpé­tuelles et Macron, ce phénix omniscient, ne sau­rait oublier le fameux plan dialectique d' Abra­ham Lincoln:

    « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps. On ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».

    S'il n'en a que faire, il en paiera le prix !

     

    Est-il plus écologiste que les simulateurs qui se verdissent bruyamment? Le colonel Placé, par exemple. Ou le perroquet monté au perchoir, ce de Rugy dont les ancêtres eurent tant de peine il y a 300 ans à se faire anoblir et qui se dissout dans la roture avec autant de volupté qu'en ressent un député de la France insoumise à ne pas porter cravate au Palais-Bourbon. Ou Cécile Duflot, banlieusarde qui n'a jamais mis les pieds à la campagne, n'a toujours fait que des petits bou­lots , ministre compris, diplômée de I 'ESSEC en économie urbaine. Ou, succédant à un archétype d' écologiste d' esbroufe, Mamère, ce nouvel élu béglais de la France lnsoumise, Loïc Prud'homme, qui, comme son patron, Mé­lenchon, passé du rouge de conviction au vert de circonstance, se dit « écologiste prônant l'émer­gence d'un modèle agricole alternatif et soute­nable » ... Alors qu'il est technicien à l'INRA, cette centrale idéologique qui depuis 1946 n'a cessé d'œuvrer pour la destruction de I'agricul­ture naturelle dans ce pays.

     

    Le président de la République d'ailleurs n'est pas plus écologiste que ceux qui se drapent de la capuche environnementaliste sans avoir la moindre idée de ce que cela représente.

    D'aus­si méticuleusement que l'on recherche, on ne parvient pas à déceler la moindre inclination de cet urbain organique pour la nature, la biologie du monde, la biosphère. Sauf à y voir un instru­ment de conquête du pouvoir et de conservation de celui-ci.

    A y soupçonner une simple opportu­nité de se concilier des millions d'électeurs qui regardent avec suspicion ce personnage carrié­riste et mégalomane, prêt à toutes les compro­missions pour arriver à ses fins. y compris lais­ser de larges prérogatives à un personnage aussi trouble que Hulot au risque d'être entraîné dans des conflits de grande ampleur.

    Ne serait­ ce que dans l'imbroglio qui tôt ou tard précipitera les pitres du Réchauffement Climatique dans l'inéluctable refroidissement auquel la planète n'échappera pas.

     

    JUPPÉ ET BORLOO, SIAMOIS DE L'ÉCOLOGIE-BIDON

     

    Nicolas Sarkozy l'avait bien compris en 2007 lorsqu'il confia un super ministère de l'Ecolo­gie à Alain Juppé, puis un mois plus tard, après le cinglant échec de celui-ci aux législatives, à Jean-Louis Borloo. Ni l'un ni l'autre n'ayantpar le passé montré la moindre fibre environne­mentale !... Et ne s'y ralliant à l'évidence que par opportunisme. On ne sache pas, par exemple, que Juppé, maire de Bordeaux et président de la communauté Urbaine, ait affiché un grand intérêt pour le parc des Jalles qui, tout au long de ces années, fut au centre d'un interminable débat. Au lieu d'être, la vitrine écologique d'une grande metropole régionale dont la renommée et l’économie reposent justement sur I' agricul­ture.

     

    Il n'en alla pas différemment de Borloo, cita­din jusqu’au bout des ongles, avocat richissime spécialisé dans la finance et les fusions et acquisitions.Il n’aura jamais manifesté la moindre attention à l’ environnement jusqu a ce que la politique ne s'en mêle.

    Quoi de plus judicieux que de créer son propre parti avec quelques « éco­logistes » déjà bien implantés, Lalonde, Mamère, Haroun Tazieff? Et d'appeler ce machin « Géné­ration Ecologie »... Ce sera le début d'une carrière qui le mènera au sommet, succédant à Juppé au poste de N°2 du Gouvernement Fillon comme super-ministre de l'Ecologie, de l'Energie, duDéveloppement et de I' Aménagement Durables en charge des Transports et de la Mer.

    Respon­sable du Grenelle de l'Environnement, il ligotera la politique française dans la lutte contre l'effet de serre anthropogénique et contre le Réchauf­fement Climatique. Montrant de façon drama­tique que tout cela n'a rien à voir avec une dé­duction scientifique raisonnée mais relève d'une démarche ideologique liée à l'instauration d'un système de gouvernement bureaucratique mon­dialisé !

     

    Quant à Sarkozy, outre le fait d'être à la manœuvre dans un domaine qu'il avaitjusque là toujours méprisé - dans son autobiographie, Libre, parue en 2001 il n'y a pas un seule ligne sur l'écologie -, il se découvrit brusquement une âme d'adulateur de la nature.

    Comme Chirac avant lui et Hollande après, il tenta en vain de s'attirer les faveurs de Hulot pour ajouter quelques décimales à ses sondages. Se peignant sans vergogne en vert, allant jusqu'à convo­quer à l'Elysée une réunion semi-clandestine à laquelle participèrent Joseph Stiglitz, Jeffrey Sachs (économiste américain), Pachauri (pré­sident du GIEC, depuis mis en examen), Laurence Tubiana (maitresse des cérémonies de la future COP2l), Jemal Dervis, directeurdu Pro­gramme des .Nations Unies pour le Dévelop­pement, David Held, (Professeur à la London School of Economics), Ricardo Lagos (ancien président du Chili et envoyé spécial sur le Climat du secrétaire de l'ONU).

     

    Selon Laurence Tubiana il s'agissait « d'agir de façon importante sur la question de la fiscalité écologique et sur les marchés du carbone. C’est à dire d’abord exemplaire en France et en Europe, pour pouvoir entraîner les pays émergents ».

     

    Sarkozy suivra de près la Commission des Ex­perts sur le Changement Climatique qu'il avait confiée à Stiglitz et à Sir Nicholas Stern, appa­ratchik mondialisé à l'origine du GIEC. Mon­trant ainsi le même enthousiasme que partagent Macron et son factotum Hulot.

     

    Cela durera ce que durent les enthousiasmes et il y a fort à parier que face à l'irréalisme de l' entreprise et l'invraisemblance de la théorie chaque jour un peu plus infirmée par la réalité climatique, le nouveau président de la Répu­blique fera ce qu'a fait son prédécesseur. Face à des théories absurdes, à quoi sert-il de s'obstiner dans l'erreur, fût-elle partagée par tous ceux quipossèdent le moindre pouvoir sur les esprits ?

     

    II reste cependant que depuis un demi-siècle l'écologie a été investie par des milliers d'in­cultes et d'ignorants, dénués du moindre bon sens s'ils sont couverts de bonnets d'ânes qu'ils appellent diplôme.

    Il existe dans le monde d'innombrables centres de dressage dans lesquels sont formées ces "élites" scientifiques et bureaucratiques qui ont mis l'écologie" sociale" au service de la révolution d'extrême gauche.

    Ce sont ces idéologies et ces idéologues qui par leur ignorance et leurs élucubrations ont provoqué la méfiance des peuples pour des théories dont ils ont bien compris qu'elles n'apporteraient rien à la survie des sociétés traditionnelles balayées par le déferlement migratoire porteur de métissage et d 'uniformisation génocidaire.

     

    René BLANC.

     

  • Cazeneuve et Juppé deux franc-maçons très attentionnés envers les musulmans ...

    Cazeneuve, c’est cet inquiétant ministre de l’Intérieur – et des Cultes – qui refuse d’interdire de vente dans les librairies (1) les brûlots islamistes. Au motif que « prôner le djihad n’est pas un délit ». Pas un délit chez les dingos d’Allah sans doute, mais en Europe où l’on tue au nom du djihad ?
     
    Vous aurez noté que, par une sorte de contorsion kamasoutresque, le gouvernement et la majorité des médias dhimmitisés ont retourné le problème. Ce sont des musulmans (pervertis, ignorants, fanatiques, déjantés, tout ce que vous voudrez, mais des musulmans revendiqués) qui ont tué en janvier dernier!
     
    Dans les journaux, ça devient : « Depuis les attentats de janvier, les milieux musulmans sont la cible (sic) d’une flambée (resic) d’actes de vandalisme et de violence. »
    C’est bien dommage, car surtout pas damalgame. Mais la faute à qui ? Est-il permis de demander à la communauté musulmane fréquentable (et pas au seul cacochyme Boubakeur) ce qu’elle fait concrètement pour endiguer et annihiler des gens qui, nolens volens, se réclament de l’islam ? Et qui, en tout état de cause, ne sont pas des extra-terrestres sortis de nulle part ?
     
     
    La semaine dernière, Cazeneuve est allé à Bordeaux, la ville du dhimmi Juppé qui l’accompagnait, « pour apaiser » nous dit-on. Pour apaiser qui ? Les chrétiens et les juifs qui sont les cibles – et plus souvent qu’à leur tour – des djihadistes ? Non. Pour apaiser les milieux musulmans !
     
    L’espace d’un après-midi, il a ainsi visité trois lieux de culte musulmans. A la mosquée Al-Houda, il a été reçu par le grand imam de Bordeaux (eh, oui, ça existe…) Tareq Oubrou. Car Cazeneuve a un plan pour l’islam : « s’appuyer sur le dialogue entre les religions pour éviter les fractures communautaires ou confessionnelles »...
     
    Mais qui les a créées et creusées, ces fractures ? Les chrétiens, les juifs, les bouddhistes ?
     
    Cazeneuve, c’est le fils naturel du Père Ubu et de Dada ! Alain Juppé s’est dit réjoui de cette visite (2) et en a profité pour y aller d’un laïus bisounours : « A Bordeaux, nous vivons cette fraternité, nous faisons la promotion du vivre ensemble. » Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais cette expression utilisée ad nauseam, « le vivre ensemble », me fait hurler.
     
    Cazeneuve a dit s’engager à faire tout ce qui est en son pouvoir « pour apaiser les craintes, répondre aux attentes légitimes et procurer la tranquillité d’esprit ». Et comment il apaise ces djihadistes qui, après la décapitation de 21 coptes chrétiens, ont envoyé ce sympathique message : « Ceci est un message de sang à la nation de la croix et aux fidèles de l’Eglise ennemie » ? Et il apaise comment les Merah, Kaouachi, Coulibaly, les « Danois » à la Omar Hamid el-Hussein, à venir ?
     
    Alors que l’UMPS continue de se vautrer dans l’angélisme, il est temps de parler vrai. Même Yves de Kerdrel de Valeurs actuelles, qui n’est pourtant pas une flèche, s’en est rendu compte : « Comme s’il n’y avait pas urgence, de la part de tous, à ouvrir enfin (sic) les yeux sur cette guerre de religion que les islamistes ont décidé de porter sur notre sol contre des Français chrétiens ou juifs ».
     
    (1) Et pas seulement dans les librairies musulmanes, mais jusqu’à la FNAC (entre autres).
    (2) Réjoui et un brin admiratif : « Je n’avais jamais fait trois mosquées dans la journée. » ! ...