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islamisation de l' europe

  • Viktor Orban : « Quand les musulmans seront 10%, la gauche s’alliera avec eux et l’avenir de l’Europe se décidera sans les Européens » !

     

     

     Le Premier ministre hongrois Viktor Orban intervenait en Pays Sicule, territoire hongrois sous contrôle roumain, où il s’exprime chaque année en qualité de la Hongrie.

    Revenant longuement sur la situation européenne et internationale, Viktor Orban a une nouvelle fois rappelé les enjeux existentiels qu’affronte l’Europe, détruite de l’intérieur par des élites socialistes et internationalistes et menacée de l’extérieure par l’invasion afro-musulmane.

     

    Le chef du gouvernement hongrois a notamment souligné la destruction de la liberté d’expression en Europe de l’Ouest par la gauche afin d’imposer la colonisation de peuplement islamique :

    Nous pouvons justifier notre argumentation sur le déficit démocratique par le fait qu’en Europe occidentale la limitation de la liberté d’expression et la censure sont devenues générales. Les dirigeants des Etats et les géants de la technologie contrôlent conjointement les informations désagréables pour l’élite libérale. Ceux qui ne le croient pas n’ont qu’à consulter ces sites, ils n’ont qu’à aller sur les réseaux sociaux et voir avec quels trésors de ruse et d’ingéniosité ils effacent les accès aux informations négatives relatives aux migrants et aux questions qui leur sont liées, et comment ils empêchent les citoyens de l’Europe de connaître la réalité. La conception libérale de la liberté d’expression conduit les libéraux à considérer la diversité des opinions comme importante jusqu’au moment où ils constatent avec stupéfaction qu’il existe également d’autres opinions. La liberté de la presse « à la libérale » nous rappelle la vieille blague soviétique, qui disait que quelle que soit la manière dont on assemble le produit de l’usine de bicyclettes, il en sortira toujours une mitrailleuse. Cette liberté de la presse « à la socialiste », quelle que soit la manière dont on l’assemble, produira toujours de la censure et du politiquement correct.

    Viktor Orban a ensuite longuement expliqué que les élections européennes de 2019 seraient décisives dans la mesure où elles porteront, précisément, sur l’invasion de l’Europe planifiée par les élites socialistes ouest-européennes :

    Je rappelle aussi que les élites européennes se plaignaient régulièrement qu’il était bien dommage que chaque élection européenne porte en fait sur des affaires nationales et qu’il n’y ait pas de sujet constitutif d’une grande question européenne sur laquelle pourraient se prononcer ensemble les citoyens de l’Europe. Je vous signale que cette situation a pris fin. Il y a désormais une question sérieuse qui intéresse l’Europe tout entière, et sur laquelle – à l’exception de la Hongrie, où nous avons organisé un référendum sur le sujet – les gens n’ont nulle part été interrogés, et de laquelle il est grand temps qu’une élection européenne fasse son thème central : la migration, et l’avenir qu’elle nous réserve.
    C’est pourquoi je suggère que dans l’année qui s’ouvre nous concentrions toutes nos forces sur ces élections, qui seront déterminantes pour notre avenir. Si l’Europe décide en faveur de la migration, elle décide bien entendu aussi de ce que nous appelons l’élite européenne, et répond à la question de savoir si cette élite a bien géré le phénomène migratoire. L’élite européenne est visiblement nerveuse. Elle est nerveuse, parce qu’à la suite des élections européennes qui nous attendent, et sous l’effet d’un éventuel résultat favorable à notre bord, la vaste transformation de l’Europe, que nous appelons chez nous le « plan Soros », subirait un coup d’arrêt. Le grand objectif de transformation de l’Europe et de son passage à l’ère post-chrétienne, à l’ère post-nationale, ce processus est susceptible de se casser les dents sur les élections européennes, et notre intérêt fondamental, Mesdames et Messieurs, est que ce soit bien le cas.

    Le chef du gouvernement hongrois a rappelé un phénomène politique central : le caractère irréversible qu’engendre l’africanisation raciale et l’islamisation culturelle d’une société. Si les alternances entre la droite et la gauche était habituelle, avec la modification du substrat ethno-racial des pays européens amènera la fin de cette alternance, les musulmans ne votant jamais pour des partis de droite ou nationalistes :

    Nos adversaires sont à deux doigts du succès. Nous ne nous en rendons même pas compte. Et nous ne nous rendons pas compte non plus de la signification de ce risque. Sans vouloir être trop long, je voudrais en donner une brève illustration. Si vous vous remettez en mémoire les dernières cent et quelques années de la démocratie européenne, vous pourrez découvrir la structure qui a été déterminée par la compétition entre les communautés demeurées pour l’essentiel fidèles aux traditions chrétiennes, disons les partis chrétiens-démocrates d’une part, et les formations qui contestaient cette tradition et s’en éloignaient, disons les partis de gauche ou les partis libéraux d’autre part. L’Europe progressait au rythme de la concurrence que se livraient ces deux forces, dont tantôt l’une, tantôt l’autre avait le dessus. Cette compétition était salutaire, dans la mesure où elle libérait les énergies et les forces spirituelles. Au fond, c’est cette alternance qui a assuré le développement de l’Europe. C’était une concurrence à la fois politique et spirituelle. Voilà comment fonctionnait l’Europe jusqu’à maintenant. C’était cela, la politique européenne, c’est ainsi que se décidaient les rapports de force au sein de l’Europe.
    Mais si maintenant, mes chers amis, l’on en arrive à une situation où tel ou tel pays se retrouve avec une population musulmane de dix pour cent ou plus, dont nous savons qu’elle ne votera jamais pour un parti chrétien, et si nous l’ajoutons à la population des Européens de souche qui n’ont pas d’attachement pour les traditions chrétiennes, il est clair que l’on ne pourra plus jamais gagner d’élections en Europe sur une base chrétienne. Les groupements fidèles aux traditions chrétiennes seront définitivement exclus des sphères du pouvoir et l’avenir de l’Europe se décidera sans eux. Voilà la situation, voilà le but recherché, et nous en sommes très proches, Mesdames et Messieurs !

    Viktor Orban a enfin fait le bilan des élites occidentales, démontrant qu’elles étaient en train de détruire l’Europe par fanatisme idéologique :

    Dans l’Europe chrétienne, le travail était respecté, l’homme avait sa dignité, l’homme et la femme étaient égaux, la famille était la base de la nation, la nation était la base de l’Europe, et les Etats étaient garants de la sécurité. Dans l’Europe de la société ouverte d’aujourd’hui, il n’y a plus de frontières, les Européens sont interchangeables avec les immigrés, la famille est devenue un cadre de cohabitation variable selon les goûts, la nation, la conscience nationale, le sentiment d’appartenance à une nation sont considérés sous clef négative et comme devant être dépassés, et l’Etat ne garantit plus la sécurité en Europe.
    Etre Européen dans l’Europe libérale ne signifie en réalité rien, cette Europe ne donne aucune orientation, elle n’est qu’une forme sans contenu. Et de plus, Mesdames et Messieurs, la démocratie libérale s’est transmuée – je fais maintenant droit à la provocation de M. le Pasteur Tőkés, comme quoi je dois dire quelque chose de l’illibéralisme – la démocratie libérale s’est donc transmuée pour devenir une « non-démocratie libérale ». Cela veut dire qu’en Occident il y a le libéralisme, mais pas la démocratie.

    Cette dénonciation du nihilisme occidental est absolument fondamental et c’est la première fois qu’un chef de gouvernement européen articule parfaitement la situation historique et idéologique dans laquelle se trouve l’Europe contemporaine, c’est-à-dire au bord de l’anéantissement.

    Face à la mystique de l’utopie égalitariste et sans-frontiériste qui pave la voie de l’islamisation du continent et de sa tiers-mondisation, Orban appelle l’Europe Centrale à se dresser et à repousser la menace incarnée, essentiellement, par la France et son régime républicain pré-islamique.

    Source : Visegrad Post

     
  • Soros va utiliser 33 milliards de dollars pour faire sauter les gouvernements européens hostiles à l’immigration islamique (Farage) !

     

     

     Interrogé par un média hongrois sur le rôle joué par le milliardaire socialiste George Soros, la figure de proue de l’indépendantisme britannique Nigel Farage a fait part de ses inquiétudes quant aux plans du spéculateur américain Soros d’origine juive.

    Visegrad Post (source) :

    Le traitement que j’ai subi en Amérique est incroyable. Je serais désormais un antisémite parce que j’ai critiqué M. Soros. On m’a traité de tout au cours des vingt dernières années, mais ça, on ne l’avait jamais dit, jusqu’à ce que j’attaque M. Soros.
    Je m’inquiète au sujet de M. Soros, parce que son Open Society a déjà injecté 15 milliards de dollars et s’apprête à y rajouter 18 autres. Dans le monde de la politique, on a jamais vu un groupe de pression disposant d’une telle masse d’argent. Ils ont plus d’argent que la plupart des gouvernements.
    Pour ce que j’en vois, M. Soros veut détruire les États nationaux, il veut détruire la cellule familiale, il veut détruire toutes les normes de la société occidentale.
    Je pense que c’est une chose très dangereuse. Je sais que quiconque serait sur son passage passera un mauvais quart d’heure. Il s’est engagé dans une bataille à mort contre votre premier-ministre dans votre pays. Je ne crois que la plupart des gens comprennent vraiment l’étendue de l’organisation de cet homme, tout l’argent qu’il y a derrière elle. C’est une énorme guerre de propagande qui est en train de se dérouler.
    J’ai montré qu’il avait 226 de ses amis au sein du Parlement européen.
    Je leur ai donc écrit à tous pour leur demander de déclarer quel était le niveau de leur engagement au sein de cette Open Society. Je n’ai pas eu une seule réponse. M. Soros constitue un réel problème, pas seulement pour la Hongrie.
    George Soros est l’ennemi majeur de l’État Nation et de la culture chrétienne.

    L’intervention de Nigel Farage sur le sujet au parlement européen en novembre dernier.


     

  • « L’immigration conduit à l’islamisation de l’Europe » : les paroles fortes de l’archevêque hongrois, Gyula Márfi .

     

     

    Gyula_Marfi

     

    Une fois n’est pas coutume dans ce monde ecclésiastique aseptisé et formaté très politiquement correct. Cela mérite d’être signalé et répercuté tellement les paroles de l’archevêque hongrois, Gyula Márfi, vont à contre-courant de la pensée dominante qui crèche dans les palais du Vatican.

    A l’occasion d’une conférence de presse « Problème démographique du bassin méditerranéen aux 19e et 20e siècles », Mgr Márfi, n’a pas mâché ses mots pour dénoncer l’islamisation de l’Europe à travers l’immigration ni occulté la réalité de cette invasion qui, bien que pacifique pour l’instant, est une agression culturelle et civilisationnelle :

    « Je pense que l’immigration essentiellement n’a pas de causes mais des buts spécifiques. Qui parle seulement de causes ment ou se trompe. La surpopulation, la pauvreté ou la guerre ont seulement un rôle d’importance secondaire dans la migration.
    Dans les familles musulmanes naissent 8 à 10 enfants non par amour mais parce qu’ils estiment être supérieurs et que le Djihad leur impose de conquérir d’une façon ou d’une autre le monde. Dans la charia nous pouvons lire que le monde est constitué par le Dar al-Islam et par le Dar al-Harb, c’est-à-dire des territoires de guerre qui doivent être occupés d’une façon ou d’une autre. Cela est écrit, les musulmans doivent seulement l’apprendre par cœur. En discuter est interdit, ils exécutent seulement ce qu’ils doivent faire.
    Momentanément, leur but est d’occuper l’Europe, où pour l’instant tout le monde croit ce qu’il veut, mais où en vérité personne ne croit plus en rien. Pour l’islam, c’est un terrain idéal à conquérir.
    Si l’Europe devient Dar al-Islam, alors elle cessera d’exister. Nous devons considérer cela, comme nous devons accepter l’idée que cela mettra fin à la liberté et à l’égalité. »

    Un discours à adresser d’urgence au locataire des palais vaticanesques ! ...

     

    Francesca de Villasmundo