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hâdiths

  • Macron veut interdire l' enseignement à domicile pour nous imposer de façon anticonstitutionnelle l’école « laïque obligatoire » celle du blasphème obligatoire, peut-être même avec examens de blasphème !

    Voilà que l’on célèbre ce jour dans nos médias le cinquantième anniversaire du misérable périodique nauséabond Charlie Hebdo.

    L’abominable attentat qui frappa sa rédaction nous imposerait-il de le qualifier autrement alors que depuis, cet insane torchon a notamment publié en couverture, le 13 mars 2019 la plus ignoble et la plus obscène défiguration du visage du Christ. Ce que l’Agrif poursuit devant la justice.

    Pensons particulièrement au génocide des Arméniens et autres populations chrétiennes qui avait été planifié par les dirigeants Jeunes-Turcs et débuta le 24 avril 1915 perpétré méthodiquement au long des trois années suivantes dans des délires de cruauté et qu' Erdogan rêve de perpétrer !

    Le Christ ne fut ni un dictateur, ni un chef de guerre.

    Mahomet, le prophète de l’islam en fut un, impitoyable et cruel et même tortionnaire de surcroît. Il n’est pour le vérifier que de lire les hâdiths  c’est-à-dire les récits de sa vie d’où a été tirée la Charia ( la loi islamique) avec ses châtiments de lapidations, de décapitations, d’amputations toujours appliqués en bien des pays islamiques.

    A cela, Charlie, où l’on s’en était pris sans risque, avec cent fois plus d’abjection, au christianisme, opposa les caricatures de Mahomet que l’on sait. A un mahométan qui s’en plaignait, l’avocat de Charlie, Richard Malka  avait rétorqué : «qu’est ce que vous diriez si l’on vous traitait comme les chrétiens qui ont du en avaler cent fois plus que vous ? » ...

    Les terroristes islamiques ont donc répondu à leur manière à Malka...

    Mais voilà que ce 1er octobre sur France-Inter, dans la « matinale » animée par le camarade anarcho-gaucho Nicolas Demorand a été prônée l’exigence de l’enseignement de l’histoire de Charlie à l’école; autrement dit, la porte ouverte à l’initiation au blasphème désormais valeur fondatrice de la République macronarde.

     

    Avec Macron, l’école « laïque et obligatoire » deviendra aussi celle du blasphème obligatoire, peut-être même avec examens de blasphème ?...

     

  • La méconnaissance et les erreurs de Mr Macron sur l’islam sont graves et pitoyables !

     

    En déplacement à Mulhouse, ville où est en construction une mosquée géante appelée « An-Nour» (la lumière) Emmanuel Macron a voulu accréditer qu’il s’intéresserait enfin au défi que constitue chaque année un peu plus la progression en France de ce qu’il a désigné comme le « séparatisme islamiste ».

    Sans doute s’est-il fait conseiller sur la question mais alors à l’évidence, bien mal. Car ses prises de paroles n’ont pas en effet révélé qu’il aurait beaucoup progressé dans sa connaissance de l’islam depuis son accession à l’Elysée.

    Ses déclarations appellent les réflexions suivantes :

    • Sur « L’islam politique»

    Mr Macron use comme tant d’autres commentateurs et politiciens de cette expression pour bien distinguer de l’islam « religion » un islam qui ne serait pas acceptable ; l’islam « politique », encore appelé « islamisme ». Or il n’existe pas d’islam non politique.

    Comment  l’islam ne serait-il pas politique alors que Mahomet son fondateur et son modèle a été simultanément et jusqu’à sa mort un chef de guerre, un chef politique et un chef religieux ? Mr Macron n’aurait-il pas lu un tant soit peu les Hadîths, ces textes rapportant les faits et gestes et les paroles du prophète lus et commentés, à l’égal des versets coraniques, dans toutes les mosquées ?

    Comment l’islam ne serait-il pas une réalité politique alors que sa plus grande instance de représentation est l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) à laquelle adhèrent les 57 états islamiques et qui dispose d’une délégation permanente à l’ONU ? Les états et l’ONU ne seraient-ils pas des organisations politiques ?

    Comme l’enseignent tous les docteurs de l’islam et tous les islamologues, l’islam est simultanément une religion et un ordre politique, une foi et une loi, une doctrine et un ensemble de mœurs.

    • Sur « L’oumma »

    Mr Macron n’en a semble t-il pas parlé. « L’oumma », c’est la communauté de tous les croyants de l’islam, « la plus belle communauté donnée aux hommes » proclame le Coran. Après Allah et après Mahomet, c’est la valeur supérieure de l’islam, distincte de tout le reste de l’humanité. « Obéissez à Dieu, obéissez à son prophète» cela revient sans cesse dans le Coran et les Hadîths. Comment imaginer que cette communauté ne soit pas distincte, donc séparée de ceux qui n’obéissent pas aux prophètes, et à sa loi (la charia) ?

    • Islam et islamisme

    Mr Macron ne veut pas de ce qu’il appelle le « séparatisme islamiste ». Rappelons que le mot « islamisme » pendant longtemps signifia simplement la doctrine de l’islam.

    Aujourd’hui il est utilisé pour désigner les courants de l’islam dit radical ou fondamentaliste ou encore jihadiste.

    Mais « islamiste »ou pas, l’oumma islamique structurée autour de mosquées de plus en plus nombreuses ne fusionnera que superficiellement avec la société « des mécréants ».

    Dans toutes les mosquées, fût-ce animées par de gentils imams s’affirmant «  républicains » on distinguera toujours suivant l’enseignement du prophète le « dar-el-islam » (le «  territoire de l’islam ») du dar-el-Kofr  (le «  territoire de la mécréance et du dar el Harb (« le territoire de la guerre »).

    Mr Macron peut bien vouloir d’un islam républicain c’est plus facilement la république qui devient islamique depuis des années, avec la progression sans cesse des territoires de l’oumma!!

    Déni de réalité

    L’erreur fondamentale de Mr Macron comme de la plupart des politiciens est de ne pas considérer (ou de faire semblant ?) l’islam que comme une religion et de surcroît selon le modèle du christianisme,

    [L’imam en est le curé

    [La mosquée en est l’église

    [Le coran en est l’Evangile

    [Le ramadan en est le carème…

    Et le Allah de Mahomet serait le même Dieu que celui des Chrétiens !

    Faux en tous points ! Et particulièrement le dernier.

    Bien sûr, il n’y a qu’un seul Dieu Créateur de l’Univers. Mais le Dieu auquel croit les musulmans est si différent de la Révélation qu’en ont les chrétiens par le Christ, le Dieu de la Sainte Trinité, le Dieu de l’incarné, crucifié, ressuscité.

    Là est la racine de l’aversion islamique pour le christianisme. Car il est écrit et sans cesse répété dans le Coran que « le seul péché qu’Allah ne pardonne pas est d’associer d’autres Dieux à Dieu ».

    Et pire encore que les « associationnistes », il y a les athées.

    Voilà Mr Macron, le fond du problème. Oh bien sûr, nombre de musulmans n’adhèrent plus à l’islam, ou seulement en apparence, voire le quittent, voire se convertissent au Dieu de l’Evangile, à la charité du Christ.                                       

    Mais cela, souvent, à leurs risques et périls, et même au péril de leur vie, même chez nous tant le carcan de l’oumma est sévère. Et cela n’est pas affaire d’Imams bien formés, discourant en bon français. Et le problème n’est pas que tout le monde accepte qu’il n’y ait pas de lois religieuses au dessus des lois de la république.

    Le problème est d’abord que les lois de la république, si variables, ne soient pas contraires à la loi morale naturelle, la loi universelle de respect de la vie innocente, la loi de respect de la nature humaine.

    Sinon, l’islam, avec son exécrable charia, continuera de progresser, sous le couvert des bons discours dans l’art de la taqiya, l’islam «  patte blanche » bien sûr, mais derrière lequel n’a que trop progressé aussi, et tué, l’islam « mains rouges ».

    Pour le freiner, le faire reculer, encore faudrait-il ne pas alimenter la haine antifrançaise et antichrétienne parmi les populations originaires de l’empire français, souvent musulmanes, par de mensongers et criminels discours sur « la colonisation crime contre l’humanité » !!

    Après cela Mr Macron, allez donc faire respecter votre république ! ...

     
  • Onfray et le Figaro-Magazine : sur l’islam il atteint son seuil d’incompétence ! ...

     

    Le Figaro-Magazine de cette semaine a pour titre de couverture « Les intellectuels et l’islam » avec la photo en premier plan de Michel Onfray bordé à sa droite par Eric Zemmour et Alain Finkelkraut et à sa gauche par Zineb El Rhazaoui, Mohamed Sifaoui et Michel Houellebecq.

    Plusieurs pages du dossier sont consacrées aux parcours remplis d’embûches des journalistes d’origine musulmane, la marocaine Zineb El Rhazaoui, le franco-algérien Mohamed Sifaoui, l’algérien Kamel Daoud et aussi à Nadia Remadna, née à Créteil, orpheline de mère à 2 ans, que son père algérien, musulman fanatique, arrachera à la France pour des années de véritable enfermement dans un village des montagnes de Kabylie d’où elle pourra un jour s’enfuir enfin à l’âge de 25 ans.

    L’évocation de ces courageuses personnes est bien menée. Mais leur auteur, Alexandre Devecchio, n’évite pas, comme tant d’autres journalistes, le conformisme de l’expression « l’islam politique » dans l’affligeant sous-entendu qu’il y aurait un « islam non politique ». Ignorance ou prudence pour ne pas risquer l’imputation infâmante d’islamophobie ?

    Et de surcroît il a utilisé cela dans une phrase qui suffit à invalider l’expression. Citons-la : « Ironiquement, tous ces affranchis de l’islam politique avaient choisi la France pour échapper à la police des mœurs et de la pensée ». En l’occurrence, comme raconté, ils ont pour cela fui, les uns l’Algérie, les autres le Maroc, pays d’islam où, comme dans tous les pays adhérents de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) au nombre de 57, il y a police des mœurs et de la pensée, comme l’implique, depuis sa fondation à Médine par Mahomet, la théocratie totalitaire qui est la définition même de l’islam.

    De l’islam qui a balayé la fondamentale et révolutionnaire distinction apportée par le Christ entre la politique et la religion, ou en termes plus doctrinaux, entre le spirituel et le temporel : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ! ». Alexandre Dececchio ne peut ignorer, on l’espère, l’exhortation revenant si souvent dans le Coran et les Hadîths : « Obéissez à Allah, obéissez à son prophète ! ».

    Comme si Mahomet n’avait pas été simultanément un chef politique, un chef de guerre, un chef religieux !

    Où Devecchio a-t-il vu un islam non politique ? Des musulmans personnellement non intéressés par la politique, on peut en rencontrer mais pour autant ne font-ils plus partie de l’oumma ? Et l’oumma n’est-elle pas régie dans tous les aspects de la vie par la charia ?

    La vérité, c’est que si l’islam n’est plus politique, eh bien, il n’y a plus d’islam !

    Mais ce qui est excusable chez un journaliste qui n’est pas nécessairement très formé sur l’islam ne l’est plus dès lors qu’il s’agit de Michel Onfray, intellectuel et philosophe et auteur d’un livre sur l’islam...

    Non seulement lui aussi évoque « l’islam politique », affirmant donc implicitement un « islam apolitique », encore une fois, où et quand ? Avec les 4 premiers califes (« successeurs ») de Mahomet, avec les suivants ? Dans l’empire ottoman ? Aujourd’hui en Arabie Saoudite, en Iran, en Turquie ? Et même sous les régimes dits « laïques », kémaliste ou baasiste, en Turquie, en Irak, en Syrie, l’islam était-il apolitique ?

    Que nenni ! Ce serait ne rien connaître l’histoire et de la réalité de ces pays et de ces régimes que de l’affirmer !

    Onfray professe : « L’islamisme est l’islam qui s’appuie sur les seules sourates dont j’ai dit qu’elles étaient incompatibles avec les valeurs de la République ». L’embêtant, d’abord, c’est qu’il ne cite pas lesquelles et qu’il semble allègrement confondre sourates et versets tout en déformant le texte.

    Ainsi cite-t-il comme une sourate les mots suivants : « Exterminez les incrédules jusqu’au dernier » alors que le texte exact est : « … Dieu voulait manifester la vérité par ses paroles et exterminer les incrédules jusqu’au dernier,… ».

    Ce n’est évidemment pas une sourate mais un extrait des versets 7 et 8 de la sourate VIII titrée Le Butin !

    Ensuite, même si, comme nous, on a la plus grande répulsion pour l’islamisme, comment oser écrire qu’il s’appuie sur les seules sourates incompatibles avec les valeurs de la République ?

    Il y a 114 sourates dans le Coran. Ce serait intéressant qu’Onfray nous dise celles que l’islamisme délaisse. Remarquons aussi qu’il n’évoque même pas les Hadiths, deuxième texte sacré de l’islam dont le sahîh d’El-Bokhâri comporte 97 sourates dont on lit toujours au moins quelques versets dans les cultes du vendredi.

    Or, c’est à partir du Coran et des Hadîths qu’a été élaborée la charia, la loi fondamentale de la théocratie totalitaire islamique que les islamistes veulent simplement appliquer entièrement et dans toute sa rigueur et même son horreur.

    Et l’important n’est donc pas de savoir si tel ou tel verset (qu’Onfray appelle des sourates !) est compatible avec les valeurs de la République alors que bien évidemment la question de la compatibilité porte sur la charia, indéniablement loi religieuse, politique et code de mœurs régissant l’oumma dans tous les aspects de la vie collective et les moindres détails de la vie individuelle.

    Or Onfray n’évoque même pas l’oumma, ni la charia, ces deux mots-clés de la réalité islamique !

    Parler de l’islam sans même les considérer un instant, ce n’est pas sérieux. Mais là où vraiment il se dévalue, c’est en brandissant lui aussi, comme les musulmans maniant la taqiya, le verset « Pas de contrainte en religion ! ». Or tous ceux qui ne sont pas des prosélytes de l’islam savent que le verset fut utilisé par Mahomet lors de ses débuts à La Mecque, pour réclamer que nul ne s’oppose à ceux qui souhaiteraient se convertir à l’islam.

    Jamais, même dans les époques et les régimes islamiques les moins fanatiques ce verset n’a été appliqué dans l’autre sens. Pas question de respecter une non-contrainte : abandonner l’islam, c’est apostasier et la charia stipule la peine de mort pour cela, toujours appliquée dans les deux pays phares de l’islam, l’Arabie Saoudite sunnite et l’Iran Chiite et plusieurs autres pays. Ailleurs, si ce n’est pas la mort « de jure » ce l’est très souvent « de facto », par la violence de l’oumma, et pour le moins, ce sont légalement de lourdes peines que l’on inflige.

    Et il en a été ainsi jusqu’à nos jours, et toujours et partout à sens unique, par exemple en Égypte où sans cesse des pressions et souvent des menaces pèsent sur les Coptes pour qu’ils passent à l’islam. À ceux des chefs religieux chrétiens qui osent protester, les imans et les oulémas répondent alors : « pas de contrainte en religion ! ». Ce qui signifie « pas de contrainte contre la conversion à Mahomet ! »

    En fin d’entretien, Onfray, pour terminer en beauté son exposé de science coranique, cite un verset que voici : « Petit est le nombre de ceux qui réfléchissent ». Et il donne la référence XL, 78. L’embêtant, chacun peut le vérifier, c’est que le texte cité n’est pas dans ce verset qui se conclut par :  « Ceux qui profèrent des mensonges sont alors perdus »…  Dans la même sourate, dans les précédents versets, toujours sur les menteurs, il est dit : « Ceux qui ont traité de mensonge le Livre et les messages dont nous avons chargé nos prophètes sauront bientôt (v. 70) (la vérité) :

    Lorsque, carcan au cou,

    Ils seront traînés avec des chaînes (v.71)

    Dans l’eau bouillante,

    Et précipités ensuite dans le Feu (v. 72)

    On leur dira :

    « où sont donc ceux que vous avez associés à Dieu ? »

    Ces versets sont parmi les innombrables visant les « associateurs », c’est-à-dire les chrétiens, coupables d’associer deux autres divinités à Dieu, le seul péché qu’Allah a déclaré impardonnable (pour les autres, « Il fait ce qu’il veut », dit le Coran).

    Antoine Moussali, le très grand islamologue libanais et érudit de la langue arabe, range de pareils passages dans ce qu’il appelle des « occurrences de violence ». il en a dénombré 700. On aimerait savoir si Onfray les place parmi ce qu’il appelle « les sourates tolérantes » (sic !) dans sa confusion des sourates et des versets.

    Faut-il comprendre que tous ces passages vouant aux gémonies ces associateurs de chrétiens le laissent indifférent, puisqu’il est pour sa part athée ? Néanmoins, ne perçoit-il pas qu’il y a dans ce Coran comme une délectation dans la description sans cesse réitérée des supplices auxquels ils sont voués pour l’éternité ?

    Curieuse ambiance tout de même dans ces « sourates tolérantes ».

    Et comment cet intellectuel ne s’avise-t-il pas de réfléchir à l’importance mimétique du modèle du prophète ? Comme si Mahomet lui-même n’avait pas fait égorger, amputer, lapider, fouetter, torturer. Ce que peuvent invoquer pour leur justification tous les jihadistes des « États islamiques » d’hier et d’aujourd’hui !

    Mais à la lecture des propos d’Onfray, tous ceux qui ont un tant soit peu de culture islamique n’éprouvent-ils pas comme une gêne ? Et si ce personnage était dans cette catégorie des intellectuels et des artistes qui, parce qu’ils ont, semble-t-il, un domaine de compétence, ne craignent pas d’émettre sans vergogne des considérations et jugements en des matières qu’ils ne connaissent pas ?

    La vérité, c’est que sur l’islam Michel Onfray est bien affligeant avec son orgueilleuse méconnaissance.

     

    B. Antony